Oiseau et l’enfant (L’)
LâOiseau et lâEnfant (Marie Myriam)
Comme un enfant aux yeux de lumiĂšre
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l’oiseau bleu survolant la terre
Vois comme le monde, le monde est beau !
Beau, ce bateau dansant sur les vagues
Ivre de vie, dâamour et de vent
Belle, la chanson naissante des vagues
Abandonnée au sable blanc.
Blanc lâinnocent, le sang du poĂšte
Qui en chantant, invente lâamour
Pour que la vie sâhabille de fĂȘte
Et que la nuit se change en jour.
Jour dâune vie oĂč lâaube se lĂšve
Pour réveiller la ville aux yeux lourds
OĂč les matins Ă©veillent les rĂȘves
Pour nous donner un monde dâamour.
Lâamour, câest toi ; lâamour, câest moi
Lâoiseau câest toi ; lâenfant, câest moi.