Edité par XXYYZZ. Merci de respecter le pseudo de chacun.
Mon job premier, ce n’est pas de passer mes heures au téléphone avec des dizaines de parents parce que j’ai 50 enfants sur les bras qui ne veulent pas aller à l’équitation. Non mais sérieusement, tu t’imagines ce que ça représente comme boulot superflu ??? Appeler un par un 50 parents, tu t’imagines un peu ?? Débarquons un peu sur terre…
Et puis je ne pense pas que ça soit super sain pour l’enfant que d’avoir ses parents au bout du fil qui l’obligent à faire ci ou ça. Quelque soit leur âge, ils ne savent pas le faire comme tu dis, les enfants ne sont pas des robots tous identiques.
Et oui, la différence entre toi et moi (et nous), c’est que nous savons plus ou moins comment sont constitués les enfants…
Et oui, l’équitation était un appât commercial très certainement. Et oui je peux le remplacer par du VTT, ou pire, par un grand jeu et encore pire (oulala abomination), par… du temps libre.
Du moment que je propose le choix de pouvoir aller à l’équitation, je peux tout faire.
Pour te répondre XXYYZZ.
Je n’ai pas le choix de communiquer ou pas avec les parents avant la colo, c’est l’organisateur qui gère cet aspect. Et je ne travaille pas pour une ville mais pour un organisme national.
Bonne soirée à tous.
saro4 a écrit :
Mais oui, si je pouvais réunir les parents avant la colo et leur présenter le projet péda, ça aurait été très bon…
Avé saro
Je comprends que tout le monde n’a pas la possibilité de bosser dans un département qui est une petite ile, où on peut réunir les parents assez facilement.
Mais ne serait il pas possible de faire un pré projet avanrtde lancer les inscriptions, dans lequel tu pourrais préciser que le choix des enfants seraient prises en compte, et que le programme pourra être modifier? Bien sur avec certaines limites.
Il ne serait probablement pas possible de tout préciser, mais certaines grandes lignes.
Où alors communiquer aux parents par courrier, par mail etc
Maintenant peux être que je me gourre complètement.
Allez bye
Bonjour Gerger,
Je rebondis absolument dans le sens de xxyyzz et je suis tout à fait d’accord avec toi.
Matim,
une certification n’oblige aucunement à avoir un programme “indéboulonnable”… comme si les Pep ou Temps jeunes “obligeaient” les enfants (en pleur ! ) à monter sur le cheval jusqu’à la fin du séjour…
Concernant les parents, ça me semble assez sain qu’on prenne aussi leurs souhaits en compte, qu’on les respecte, même si (et c’est une évidence) le job premier des anims, c’est de s’occuper des enfants.
Salut Quentin, … J’apporte juste une petite précision à ton post.
Tu dis :
(…) on devrait valoriser tout autant le projet du séjour que les activités. Or, c’est un point qui ne figure pas sur 123sejours par exemple (mais ce n’est pas le seul !) (…)
Ce n’est pas exact, car nous permettons à chaque organisme, non seulement d’évoquer son Projet Educatif, mais également sa “philosophie” afin que les parents puisse très exactement se rendre compte du “qui-qui-fait-quoi-comment-pourquoi” de l’organisme.
(voir : Nous nous étions posé la question d’évoquer le PP sur le descriptif des séjours, mais cela ne nous a pas semblé une bonne idée car le PP, comme chacun sait, est rédigé par le directeur du séjour qui, dans la très grande majorité des cas n’est pas connu au moment de la commercialisation…. Si on faisait cela, ça reviendrait immanquablement à encourager les “copier-coller” des PP anciens…
Bien à vous tous,
Vincent
Ce que tu refuses de comprendre, c’est le fait que sur une colo ou un clsh il y a d’un coté un payeur (les parents) et d’un autre coté un participant (l’enfant) ce qui ammene une différence fondamentale avec un séjour type “club med” pour adultes.
Toi tu te place systématiquement du coté du parent, du payeur, qui veut ce pour quoi il a payé (équitation ou autre) en oubliant qu’au final c’est l’enfant qui profite du séjour et c’est donc lui qui doit passer de bonne vacances.
C’est une façon de voir.
En gros l’enfant, ses désirs et envies passent après le chéquier de papa/maman et même si il n’a pas envie d’aller à cheval et qu’il ne tient pas tête à ses parents, comme tu le préconises , il ira tous de même à cheval.
Je n’ai pas été voir ton site, je n’en ai pas envie, mais j’ai compris qu’il se voulait défendre les intérêts des “consommateurs” de séjours.
Donc en reprenant le même principe, si je me prend une semaine au club med avec par exemple de la voile, et bien tous les matins je devrais avoir le moniteur de voile qui viennent me tirer du lit pour me dire “aller hop!!! t’à payer pour de la voile, tu vas en manger”.
Sa te parait inconcevable pour un adulte ? alors pourquoi pour un enfant ?
bjr saro4
Tu dis :Si je devais appeler tous les parents des enfants qui ne veulent pas faire telle ou telle activité proposée au catalogue, je passerai mes journées au téléphone, et j’ai d’autres chats à fouetter.
Ne me dis pas cela c’est ton boulot a charge pour toi d’organiser cette possibilité pour que cela te pose le moins de problème
Tu dis:Tout en prenant bien sur le risque de se retrouver coincé entre l’avis du parent et celui de l’enfant.
Tu le laisse régler le problème avec ses parents ,te fais pas de souci quelque soit leur age ils savent très bien le faire
Tu dis Certains ne comprennent pas du tout… mais je préfère pas parler aux cons et essayer de faire passer un peu de bon temps à leur progénitures.
On est toujours le con de quelqu’un mais ton rôle n’est pas de te substituer aux parents dans ce que tu considère être l’intérêt de l’enfant
Si tu ne veux pas de prise de tête tu annonce en entré de jeu plusieurs activité et que celles ci seront aux choix des enfants
Mais si l’équitation est ton accroche commercial tu ne peux remplacer cette discipline par du VTT a moins de faire un rabais sur le prix du séjour
Cordialement
alexis Selinger
Bourricot, je ne suis pas du tout contre l’idée de présenter la colo et de récuperer des parents conscients de ce dans quoi ils envoient leurs enfants.
Je bosse pour un organisateur ou cette présentation pré-colo n’est pas du tout pratiquée et les séjours sont choisis dans un catalogue (avec les activités etc).
Mais je reste proche de mes valeurs, et cela ne contredit pas les valeurs de l’organisateur.
Mais oui, si je pouvais réunir les parents avant la colo et leur présenter le projet péda, ça aurait été très bon…
saro4,
Dac avec ton positionnement sur le choix. Mais là où je ne suis pas d’accord c’est de ne pas le dire (avant !)et l’affirmer. Pourquoi ne pas le présenter avant…? Comme tu dis les parents peuvent le comprendre et l’accepter !
Chaque année, j’encadre une colo où l’on indique clairement aux parents et enfants avant qu’ils partent qu’il n’y a pas de planning. Que cela sera fait en fonction de leurs envies, de nos savoirs-faire, du contexte.
Chaque année, nous avons une liste d’attente énorme à cette colo…
Mais la subtilité entre un séjour qui propose un catalogue figé et un séjour où l’on fait ce que l’on veut qui produisent tous deux des colons consommateurs (abrutis dans le premier cas, cyniques dans le deuxième ). c’est d’amener un choix orienté et stimulant. Là est le secret de l’éducation nouvelle…
“Oui Paul ? Comment ça tu ne veux pas venir à l’équitation ? Tes parents ont payé pour ça tu sais… bon attends, je vais les appeler…”
“Oui allo madame ? Alors je vous appelle parce que Paul ne veut pas aller à l’équitation…”
“Bon, Paul, je suis désolé, ta maman n’est pas d’accord, tu viens avec nous à l’équitation”.
Youhou !
Bon, Alexis, je pense que tu es bien loin du terrain. Je suis directeur de colo, j’ai dirigé une colo en juillet dernier ou de l’équitation était prévu pour tous les enfants (60). Au final, ils ont été 12 à vouloir y aller. Pour les autres, on avait prévu un grand jeu sur le centre. Je ne suis pas forcément pour les discours du type “sus aux activités de consommation ! vive l’animation pure !”. Je pense qu’il faut avant tout laisser le choix aux enfants.
Si je devais appeler tous les parents des enfants qui ne veulent pas faire telle ou telle activité proposée au catalogue, je passerai mes journées au téléphone, et j’ai d’autres chats à fouetter. Tout en prenant bien sur le risque de se retrouver coincé entre l’avis du parent et celui de l’enfant.
Alors oui, j’ai déjà eu des parents au téléphone “Mais pourquoi mon fils n’a pas été à l’équitation ??”. Y a des parents qui comprennent facilement quand je parle de choix pédagogiques, d’autres qui mettent un peu plus de temps. Certains ne comprennent pas du tout… mais je préfère pas parler aux cons et essayer de faire passer un peu de bon temps à leur progénitures.
Le côté commercial, perso, j’en ai rien à foutre. Si les parents ne veulent plus envoyer leur enfants en colo, bah tant pis, j’arrêterai l’animation. Ca sera toujours mieux pour les enfants que de se retrouver dans des vacances-prisons.
bjr quentin35
tu dis :Comme je vois Sosvoyages venir avec ses gros sabots, je me permets une question : vaut-il mieux respecter le parent-payeur en tenant ses engagements liés à des activités annoncées ou vaut-il mieux respecter l’enfant, en tenant compte de ses envies qui peuvent différer des activités annoncées ?
les 2 et si il y a un blème avec l’enfant il faut de suite tel au parenst ou adresser un mail pour les informer ,leurs demander ce qu’il y a lieu de faire et non décider a leurs place en les mettant devant le faite accomplit
ce n’est pas plus compliqué que cela que mettre la relation client au centre d’une stratégie commerciale
cordialement
alexis selinger
+1 pour gerger, rien à rajouter…
Ce débat sur la certification replace les priorités des organisateurs> centrer ses actions sur les parents (ceux qui payent le séjour) ou sur les enfants (ceux qui vivent le séjour) ?
Il y a un nécessaire équilibre à trouver entre les deux démarches. Un projet tourné vers les enfants mais qui n’attire pas les parents-inscrivants risque in fine de ne jamais aboutir, faute de public ! On connaît le décalage existant entre les facteurs qui déclenchent le choix d’une inscription, du ressort des parents, et ce que l’enfant retient au final de son séjour. Et ton exemple Gerger ne fait que souligner ce que certaines études, notamment de l’OVLEJ, ont montré : l’essentiel ne se trouve pas dans l’activité phare écrite en gras sur la brochure ! Les enfants apprécient davantage les relations avec leurs copains, les activités moins “alléchantes sur le papier”, l’ambiance générale… Autant de points qui ne sont pas quantifiables comme peuvent l’être le nombre de séances de kayak.
Comme je vois Sosvoyages venir avec ses gros sabots, je me permets une question : vaut-il mieux respecter le parent-payeur en tenant ses engagements liés à des activités annoncées ou vaut-il mieux respecter l’enfant, en tenant compte de ses envies qui peuvent différer des activités annoncées ?
En allant plus loin : respecter ses engagements contractuels alors que ça déplaît à l’enfant, est-encore respecter le parent-payeur ? Car un parent a certes un chéquier, mais il a d’abord un enfant : cherchez le plus important dans la phrase.
Au final, je pense que nous sommes nombreux, en tant qu’organisateurs, à faire une erreur sur nos supports de communication : on devrait valoriser tout autant le projet du séjour que les activités. Or, c’est un point qui ne figure pas sur 123sejours par exemple (mais ce n’est pas le seul !) parmi les items imposés pour la description d’une colo. Pourtant, je pense que les parents seraient intéressés de savoir que leurs enfants auront le choix de leurs activités, qu’ils seront accompagnés par les animateurs dans la réalisation de leurs projets, qu’ils participeront au fonctionnement du séjour, qu’ils ne seront pas réveillés à la même heure…
Si l’on peut comprendre que les parents n’aient pas tous envie de lire un projet péda en entier, quelques lignes synthétiques sur ce que l’on veut promouvoir auprès des enfants, rédigées dans un langage accessible, peuvent les intéresser. A nous d’en faire un “argument de vente” à même de les séduire.
je me souviens, il y a une dizaine d’anées sur un forum de “prestaires” vacances pour le personnel d’une énorme ville (…), certains avainet la mention “label qualité Nicolas Hulo”
perso: j’ai horreur de ce personnage, mais est ce que le séjour portant ce label avait quelques chose en plus ??
vive TF1! :tresfache:
gerger a écrit :
(petit hors sujet)“Papa et maman m’ont inscrit dans un centre de vacances pour que je découvre l’équitation…. et en vacances, le principal c’est de se faire plaisir. C’est en tout cas ce que m’a répété mon père juste avant le départ.
Ça fait une semaine que le centre de vacances a commencé. C’est sympa, je m’amuse bien avec les copains, mais faire du cheval tous les jours, ça ne me plait pas vraiment.
J’en ai parlé au directeur. Il est sympa. Nous avons trouvé une solution : à la place de l’équitation je fais du VTT. Du coup ça a été une super colo ! C’est la première chose que j’ai dites à mes parents en rentrant… qui ont trouvé ça scandaleux en disant qu’ils avaient payé pour de l’équitation et non du vélo.
Et moi qui pensait que les vacances, c’était pour se faire plaisir…”
Réflexion issue d’un cahier de l’animation (n°43).
Peut être que c’est ça aussi l’éducation populaire, et que ce n’est justement peut être pas certifiable…
Avé geiger
Tu n’es pas hors sujet. Au contraire tu es en plein dedans.
J’approuve entièrement ton message.
Situation réèlle ou fiction ? en tout cas l’exemple donné par gerger est rès clair :
Il y a ceux qui qui se focalisent sur les parents-payeurs, a coup de programmes indéboulonnables, de normes iso-truc, de procédures administratives au cordeau et qui se protègent de toute réclamation de type “commerciale”.
Et il y a ceux qui n’ont pas oublié qu’on s’adresse AVANT TOUT aux enfants et qui replacent ces derniers au centre de leur démarche : ainsi le programme peut être modifié en fonction des besoins et envies des participants; La démarche pédagogique peut prendre le dessus sur le programme établi. Attention, c’est malhonnête de laisser insidueusement croire que ces organisateur seraient de gros bordéliques dangereux.
Que ce soir l’animateur ou l’enfant ce ne sont pas des robots programmables, aussi la part d’imprévu, de spontanéité, de modification de dernière minute et d’improvisation doit rester présente.
N’en déplaise à certains, comme le souligne gerger , cette démarche et ce fonctionnement n’est pas certifiable.
Ce débat sur la certification replace les priorités des organisateurs> centrer ses actions sur les parents (ceux qui payent le séjour) ou sur les enfants (ceux qui vivent le séjour) ?
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(petit hors sujet)
“Papa et maman m’ont inscrit dans un centre de vacances pour que je découvre l’équitation…. et en vacances, le principal c’est de se faire plaisir. C’est en tout cas ce que m’a répété mon père juste avant le départ.
Ça fait une semaine que le centre de vacances a commencé. C’est sympa, je m’amuse bien avec les copains, mais faire du cheval tous les jours, ça ne me plait pas vraiment.
J’en ai parlé au directeur. Il est sympa. Nous avons trouvé une solution : à la place de l’équitation je fais du VTT. Du coup ça a été une super colo ! C’est la première chose que j’ai dites à mes parents en rentrant… qui ont trouvé ça scandaleux en disant qu’ils avaient payé pour de l’équitation et non du vélo.
Et moi qui pensait que les vacances, c’était pour se faire plaisir…”
Réflexion issue d’un cahier de l’animation (n°43).
Peut être que c’est ça aussi l’éducation populaire, et que ce n’est justement peut être pas certifiable…
Bonjour,
je ne suis pas trop du genre à passer ma vie sur le forums, mais le présent fil, d’une part touche mon activité et d’autre part me semblerait particulièrement intéressant s’il n’était pollué.
Que chacun m’en excuse, mais, je réserve mes réponse pour plus tard étant assez en phase avec l’idée de Moilapa et de Bourricot.
Jusqu’au post de fg63, (qui était légitime), tout allait bien, mais là …
Comment dirais-je c’est surprenant ….
J’vais attendre un peu !
Belle journée
Vincent
sosvoyages a écrit :
réponse fg63T’est fatiguant a force d’être hors sujet ,que viens faire « la libéralisation récente du marché de l’énergie qui a vu augmenter les factures des consommateurs, sans la moindre avancée pour eux. » alors que le débat porte sur l’agrément qualité et sur la labellisation
alexis Selinger
C’est toi qui défend le principe de la concurrence, ‘moins mauvais système” dans “l’intérêt des consommateurs et citoyens”.
Je me contente de te démontrer que tu as torts, avec un exemple très précis.
Tes “arguments” sont aussi partiels que partiales et tes jugements sont à l’emporte-pièce le plus souvent.
Tu n’espères pas que tout le monde te laisse débiter ici ton discours sans y apporter la moindre contradiction tout de même ? Es-tu contre le débat ? Contre le fait qu’on puisse contredire ton raisonnement ?
réponse fg63
T’est fatiguant a force d’être hors sujet ,que viens faire « la libéralisation récente du marché de l’énergie qui a vu augmenter les factures des consommateurs, sans la moindre avancée pour eux. » alors que le débat porte sur l’agrément qualité et sur la labellisation
alexis Selinger
La concurrence comme la démocratie est la moins mauvaise solution pour que soit tenu compte dans le premier cas des intérêts des consommateurs dans le second celui des citoyens
C’est oublier un peu vite, pour ne citer que cet exemple, la libéralisation récente du marché de l’énergie qui a vu augmenter les factures des consommateurs, sans la moindre avancée pour eux.
Que tu le veuille ou non le monde de l’animation qu’il soit associatif ou commercial est confronté a la concurrence comme du reste toutes activité humaine
Oui, il existe une concurrence. Et d’ailleurs il n’est pas mauvais que les parents disposent d’une multiplicité d’offres, ne serai-ce que sur le plan pédagogique te des valeurs défendues, tout le monde ne se retrouvant pas dans les mêmes choses.
Par contre, il est à souhaiter que certaines activités humaines ne soient pas soumise à la concurrence, surtout commerciale…
bjr bourricot
Ce n’est pas le management qui crée la concurrence mais plutôt cette dernière qui suscite la nécessité d’une gestion managérial structuré
La concurrence comme la démocratie est la moins mauvaise solution pour que soit tenu compte dans le premier cas des intérêts des consommateurs dans le second celui des citoyens
Que tu le veuille ou non le monde de l’animation qu’il soit associatif ou commercial est confronté a la concurrence comme du reste toutes activité humaine
Une colo, certes n’est pas une gare SNCF.mais elle est sujette a des normes. Il y’a celles qui sont imposées par le législateur et celles que l’ organisateur s’imposent volontairement dans sa démarche qualitative
En faite le rôle d’un référentiel est d’être un pense bête En le mettant en place l’organisateur n’est plus contraint a improviser et réinventer a chaque fois le fil a couper le beurre et peut donc mieux se consacrer aux relations humaines
L’ambiguïté de la norme ISO c’est que ce n’est pas un label qualitatif mais le constat du respect d’un référentiel qui peut porter sur un seul aspect métier comme par exemple le temps d’attente avant que le standard décroche le téléphone mais non sur la totalité des prestations
alexis Selinger