123 séjours et agrément qualité

  • Ce sujet contient 70 réponses, 17 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par gerger, le il y a 13 années et 4 mois.
20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 71)
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    Messages
  • #109821
    saro4
      @saro4

      Enfin, le coup du Karcher est drôle.

      C’était le but…

      Pour en revenir à la liberté d’expression, je te laisse relire ce que Moilapa a dit avant moi, je ne fais qu’approuver ses dires.
      La liberté a des limites (la liberté des uns etc) et ce forum a des règles.
      J’arrêterai de parler à ce sujet afin de ne pas polluer davantage un topic déjà bien mazouté…
      Bon “débat”.

      #109833
      Simon
      Administrateur
        @simon

        Sur la démarche qualité,

        Je suis contre toute forme de labellisation ou quelconque logo qualité qui distinguerait un organisme plus qu’un autre.

        C’est réemployer des techniques de management qui accrue les phénomènes de concurrence. Le monde de l’animation n’a pas besoin de ça pour se distinguer. Ca nuit aux relations humaines et ce pour quoi l’on travaille.

        Une colo, c’est pas une gare SNCF. Elle n’a pas besoin d’une norme.
        Puis elle en a pas. Quid des camps itinérants, des camps jeunes, des chantiers, des séjours sous tente. Sont-ils donc de moins bonne qualité car un lit de telle dimension n’y est pas prévu?

        #109834
        Simon
        Administrateur
          @simon

          saro4,

          Il n’est pas plus utile de d’en appeler au bâillonnement de la liberté d’expression.
          C’est le pendant d’un forum d’avoir des posts HS et des inexactitudes. Je ne crois pas qu’il soit bien possible de valider les dires de chacun. Et tu n’es quand même pas pour qu’on vire ceux qui disent des bêtises j’imagine. Alors que proposes tu?
          Enfin, le coup du Karcher est drôle. Pourquoi réutiliser une phrase malheureuse qui a fait tant de mal par le passé. C’est bête.

          #109837
          saro4
            @saro4

            Moilapa, tu dis tout fort ce que je pense et ce que pensent beaucoup de forumeurs. J’en ai parlé aussi (en privé) avec XXYYZZ qui m’a contacté à ce sujet.

            Arrêtons avec le droit d’expression blabla !! Je connais un tas de gens super intéressants et intéressés par notre métier qui REFUSENT de venir sur ce forum à cause des parasites qui polluent avec des postes HS !!
            Je ne sais pas ce qui m’énerve le plus, si c’est le ton des messages, les erreurs récurrentes faites par des personnes se disant impliquées dans l’animation, l’ambiance générale…
            Un coup de Kärcher s’impose !!!

            #109838
            Simon
            Administrateur
              @simon

              Pour porter crédit à ce que dit Moilapa, je propose une solution simple.

              Créez un sujet sosvoyages où il sera possible de déblatérer de cette association…

              #109840
              moilapa
                @moilapa

                C’est dommage que par vos comportements enfantins, vous veniez, posteurs et modérateurs, rendre peu lisibles les échanges d’idées..

                Ne pourriez-vous créer un post-récréation où vous puissiez donner libre court à tous ces enfantillages ?

                Ou juste prendre un jour de recul avant de revenir non pas comparer la taille de vos bistouques-à-celui-qui dira-le-dernier mais apporter quelque chose à la communauté ?

                Et du côté modérateurs, arrêter avec cette autre idée enfantine “qu’il faut laisser s’exprimer tout le monde” !
                Cela n’a pas de sens : ce n’est pas là laisser “tout le monde s’exprimait”. C’est laisser certains s’accaparer tout thème pour bloquer les débats autour d’enfantillages, de séances de ping-pong improductives. Ca n’a d’autre résultat que de tuer les uns après les autres les débats…

                C’est même le contraire d’une libre parole. C’est la négation de l’échange. Et vous, modérateurs, vous en êtes ici sur ce forum la principale cause, du fait de votre incapacité à comprendre ce qu’est modérer (bon des particpants comme moi ont sans doute aussi leur part dans cet état de fait)

                Ca n’apporte rien et ça fait effectivement fuir ceux qui prétendaient confronter leurs idées à celles des autres…

                #109848
                selinger
                  @selinger

                  réponse a fg63

                  tu dis :Les centres de loisirs (on dit les accueils de loisirs depuis 4 ans) SONT des ACM… Voilà typiquement le genre d’erreurs qui rendent ton discours bien souvent incompréhensible…

                  pour les parents c’est une garderie alors cesse de chipoter et si mon discours t’est incompréhensible ce n’est pas un problème je ne m’adresse pas a toi

                  tu dis N’en est-il pas exactement de même dans le secteur du tourisme ?

                  pas du tout

                  tu dis : le soucis est plutôt dans la stigmatisation de tout un secteur et le fait de faire croire que des pratiques anormales et minoritaires sont représentatives de l’ensemble de ce qui existe.

                  nous ne stigmatisons pas nous permettons au secteur d’évoluer aux bénéfices des consommateurs

                  Je ne suis pas d’accord. Ce que tu décris des objectifs des parents sont le minimum, évidemment ! Mais bien des parents (la plupart AMHA) ont d’autres objectifs qui ne se réduisent pas à ce minimum évident… Et ça tu sembles le nier totalement.

                  que tu sois d’accord ou pas m’indiffère ,nous sommes en désaccord cela ne m’émeut pas

                  alexis Selinger

                  #109849
                  Utilisateur anonyme 37304
                    @utilisateur-anonyme-37304

                    nous nous sommes aperçus que globalement les centres de loisirs ne posent pas de gros problèmes, ce qui n’est pas le cas des ACM

                    Les centres de loisirs (on dit les accueils de loisirs depuis 4 ans) SONT des ACM… Voilà typiquement le genre d’erreurs qui rendent ton discours bien souvent incompréhensible…

                    Grâce aux interventions de certains intervenants du forum, nous avons parfaitement compris que suivant la qualité et l’implication des animateurs le séjour peut être réussi ou non. Toutefois cette incertitude quant au résultat nous pose problème.

                    N’en est-il pas exactement de même dans le secteur du tourisme ?

                    Mais saches que notre objectif n’est pas de faire peur pour accroitre notre audience mais de mettre en garde les consommateurs contre les dérives de certains opérateurs qui privilégient leurs profitabilités au mépris de leurs engagements contractuels.

                    Pas de problème avec cet objectif louable… le soucis est plutôt dans la stigmatisation de tout un secteur et le fait de faire croire que des pratiques anormales et minoritaires sont représentatives de l’ensemble de ce qui existe.

                    A la différence d’autres associations de défense des consommateurs qui pour orienter juridiquement les consommateurs exigent une adhésion qui varie de 40 à 65 euros, nous, nous cultivons la gratuité.

                    Voilà une démarche des plus louables ! On ne peut en effet que regretter l’obligation d’adhérer (parfois cher !) à certaines associations de défense des consommateurs.

                    Si je t’accorde que les objectifs de chaque organisme sont singuliers, ceux des parents sont identiques, offrir à leurs enfants un séjour agréable dans de bonnes conditions d’accueil et de sécurité.

                    Je ne suis pas d’accord. Ce que tu décris des objectifs des parents sont le minimum, évidemment ! Mais bien des parents (la plupart AMHA) ont d’autres objectifs qui ne se réduisent pas à ce minimum évident… Et ça tu sembles le nier totalement.

                    #109850
                    selinger
                      @selinger

                      Bjr Vincent

                      Lorsque nous avons créé le site association sos voyage nous pensions nous limiter aux voyages à forfaits. La multiplication des litiges concernant les vols secs et les assurances nous ont contraints d’élargir notre champ d’intervention.

                      Nous n’avons pas pris un beau matin la décision de nous intéresser aux ACM mais nous avons été confrontés à des événements qui nous ont obligés de prendre position.

                      Nous l’avons fait dans un premier temps avec ce que nous maitrisions le mieux, les codes du tourisme et de la consommation qui pour mémoire régissent l’ensemble de la filière touristique et ce indépendamment du public visé.

                      En visitant les sites spécialisés associatifs ou commerciaux, nous nous sommes aperçus qu’un certain nombre d’organisateurs prenaient des libertés avec lesdits codes, ce qui représente un trouble à l’ordre public : mauvaises informations des clients, pratiques commerciales trompeuses, clauses abusives.

                      Compte tenu que les ACM sont sous l’autorité de la JS, nous avons cherché à comprendre la particularité de ce secteur.

                      Nous avons été aidés en cela par notre vice présidente Annie Lainé professeur des écoles qui est fille de colons, fut colon puis mono et directrice.

                      Aujourd’hui elle à la retraite elle continue son engagement bénévole dans l’animation en organisant des séjours de vacances à destination des personnes âgées isolées pour le compte d’une association caritative nationale dont elle est la co-présidente locale.

                      Depuis 8 mois nous avons axé notre réflexion sur le secteur nous nous sommes aperçus que globalement les centres de loisirs ne posent pas de gros problèmes, ce qui n’est pas le cas des ACM, et plus particulièrement ceux organisés à l’étranger où nous avons pu constater des dysfonctionnements importants.

                      A notre sens il sont générés par les contradictions du système qui cherche à faire coexister la thématique éducation populaire et la réalité du marché

                      A cela s’ajoutent les difficultés de recrutement, la formation insuffisante des personnel, le manque de professionnalisme des organisateurs qui dans la pratique sous-traitent les séjours à leurs encadrants avec un contrôle insuffisant pour ne pas dire sans contrôle.

                      Grâce aux interventions de certains intervenants du forum, nous avons parfaitement compris que suivant la qualité et l’implication des animateurs le séjour peut être réussi ou non. Toutefois cette incertitude quant au résultat nous pose problème.

                      La souscription d’un séjour pour mineurs ne doit pas être tributaire du bon vouloir des encadrants d’autant que les parents ne contractent pas avec eux mais avec l’association ou l’enseigne qui selon le code du tourisme est responsable de plein droit et a un devoir de résultat.

                      En ce qui concerne l’intégration sur le même site de 2 secteurs touristiques différents est justifiée par leurs points communs,

                      Les 2 sont régis par les codes du tourisme et de la consommation et la méthode de résolutions des litiges au cas de désaccord est similaire à la justice de proximité, le tribunal d’instance ou de grande instance suivant la gravité des faits.

                      Toute la partie jurisprudentielle que nous développons sur le sites association sos voyages s’adapte dans les grandes lignes aussi bien aux séjours pour adultes que pour les mineurs.

                      Il se peut que dans l’avenir nous mettions en ligne un site satellite dédié, mais en l’état nous ne pensons pas que cela pose problème.

                      Nous avons un style rédactionnel militant qui peut plaire ou déplaire suivant que l’on est consommateur, producteur ou animateur.

                      Mais saches que notre objectif n’est pas de faire peur pour accroitre notre audience mais de mettre en garde les consommateurs contre les dérives de certains opérateurs qui privilégient leurs profitabilités au mépris de leurs engagements contractuels.

                      A la différence d’autres associations de défense des consommateurs qui pour orienter juridiquement les consommateurs exigent une adhésion qui varie de 40 à 65 euros, nous, nous cultivons la gratuité.

                      Cela nous permet de choisir nos adhérents par cooptation une formule à laquelle nous tenons et qui nous a incité à ne pas donner suite au rapprochement que nous a proposé l’une des plus importantes associations parmi les 18 agréées.

                      Il y a deux manières d’analyser un fait divers la première il s’agit d’un malheureux hasard, la seconde en recherchant sans tabou ni apriori les causes

                      Malheureusement trop souvent ces faits divers sont la suite logique de dysfonctionnements plus ou moins importants qui auraient pu être évités.

                      La caution bancaire que tu évoques sort du présent sujet, elle a pour seul objet d’éviter les dépôts de bilans sauvages où les consommateurs perdraient les sommes confiées mais elle n’est ni un gage de sérieux ni de qualité.

                      Parmi les adhérents de l’APS figurent des opérateurs qui cumulent les litiges et que nous épinglons régulièrement sur notre site.

                      Effectivement il existe bien un label concernant les séjours linguistiques, il n’empêche qu’un des labellisé a vendu à une de nos correspondantes un séjour où les prestations promises n’ont pas été fournies.

                      Elle a contacté le labellisateur et à ce jour aucune solution amiable n’a pu être trouvée. Ce qui illustre les limites tant des labellisés que des labellisateurs.

                      C’est pourquoi je t’ai posé des questions précises sur la méthode que tu envisages pour en amont éviter les litiges en aval pour les traiter.

                      Si je t’accorde que les objectifs de chaque organisme sont singuliers, ceux des parents sont identiques, offrir à leurs enfants un séjour agréable dans de bonnes conditions d’accueil et de sécurité.

                      Je comprends ta démarche, celle d’un portail infomédiaire dont la finalité est de créer du trafic pour des annonceurs, mais est-ce suffisant pour capter la confiance des parents sachant que leurs pouvoirs de décision est limité.

                      Les vrais décideurs étant majoritairement les CE et les collectivités locales qui financent largement ces séjours.

                      Adhères-tu à notre proposition en 6 points et dans la négative pourquoi ?

                      Alexis Selinger

                      #109858
                      Vincent LE CAM
                        @vincent-le-cam

                        Bonjour Quentin,

                        Si on parle, d’un agrément de l’Office ou de l’Unosel, ou encore de la FFV ou de l’agrément Qualité Auvergne, effectivement, il faut se plier aux critères demandés, et c’est l’essence même de la légitimé de ces organismes.

                        Bien entendu, nous prenons en compte ces démarches car elles sont légitimes et suivies.

                        Si on parle des formations que nous proposons, elle n’ont qu’un but, celui de baisser le coût des formations et du coup, de devenir accessible à chacun.

                        Sans doute me suis-je mal exprimé à un endroit ou à un autre, mais il n’est pas question pour nous d’imposer un référentiel aux organismes et c’est bien à chacun de définir son propre référentiel. En cela, notre proposition n’a pas évoluée depuis que nous en avions parlé.

                        Essentiellement, c’est un fait, le référentiel traditionnel repose sur des mises en place de protocoles sur des questions forcément évaluables. A titre d’exemple, voici quelques points qui seront quasi incontournables et pourront faire partie du référentiel des organismes :

                        – la brochure (et le site Internet) sont des documents contractuels (ce n’est pas la moindre chose, car, si par exemple un organisme annonce 1 animateur pour 5 enfants dans sa doc, il convient qu’il le mette en place sur le terrain)
                        – le protocole d’inscription est défini,
                        – le protocole de recrutement est défini,
                        – le délai de réponse aux réclamations des parents est défini,
                        – (…)

                        Ce qui n’en fait pas nécessairement partie sont effectivement les questions pédagogiques. Libre choix, pour un organisateur de se fixer, ou non comme critère dans son référentiel (par exemple) “sur tous nos séjours, les enfants goûteront de tout à tous les repas” ou “”si un enfant n’aime pas quelque chose, un plat de substitution lui sera forcément proposé”

                        Il peut tout à fait ignorer cette contrainte dans son référentiel alors que son voisin en parlera.

                        Il peut également la définir plus largement, du type : “Ce sont les directeurs de séjour qui définissent leur politique du goûtage des repas”.

                        Bref, effectivement, la dimention qualité porte essentiellement sur des engagements matériels et organisationnels et ne remettent en rien en cause l’identité de chaque organisme (via son PE). (en tout cas dans ce que nous proposons, puisque qu’en gros, sur 3 années, nous proposons d’apprendre aux organisateurs à rédiger et à mettre en place leur propre référentiel).

                        Concernant le bureau de contrôle, ce sont des organismes tels que :
                        http://www.bureauveritas.fr
                        – ou http://www.apave.com/
                        – ou http://www.alpes-controles.fr/
                        qui viennent contrôler une fois l’an que le référentiel de l’organisme est bien respecté.

                        Ce ne sont pas les organismes eux-mêmes qui s’inspectent entre eux !

                        En revanche, dans “l’idée de mutualisation” que nous avons (dans le but, là encore de diviser les coûts), il est envisageable que 5, 6 ou 10 organismes s’engagent sur un référentiel commun, créent une structure que l’on peut nommer “pépinière qualité” et que ce soit cette pépinière qui soit sujette au contrôle du bureau de contrôle.
                        Maintenant, rien n’empèchera un organisme de faire tout tout seul, parce qu’il ne trouve pas de point commun avec d’autres, il pourra tout autant que les autres bénéficier des formations qualité que nous mettons en place.

                        L’idée de ce que l’on propose est simplement d’offrir la possibilité d’une démarche qualité à tous les organismes (particulièrement les plus fragiles) sans que la contrainte financière ne soit un obstacle (cf mon post plus haut).

                        Pour ce qui adviendra dans 5 ou 10 ans, … en fait, je n’en sais rien même si je sens bien que “ça pousse” du côté de la certification.
                        Quoiqu’il en soit, si nous nous trompons, notre démarche n’aura “juste” pas servi à grand chose (mais aura sans doute eu le bénéfice de faire réfléchir sur l’organisation)
                        Et si nous ne nous trompons pas, ça aura ouvert une possibilité à chacun de monter dans le train, …. et je suis convaincu que les autres auront alors bien du mal à tirer leur épingle du jeu…

                        Tout ça ne remet absolument pas en cause le propos de ton post et j’adhère parfaitement à ton point de vue. Ceci dit, j’ai quand même une trentaine de parents par jour qui m’appellent au printemps, et j’aimerai bien pouvoir répondre factuellement à leur légitime inquiétude…

                        J’espère en tout cas que tu vas bien et que tes projets vont bon train ! (mais je ne m’éparpille pas ici 😉 )

                        Si tu veux reparler de tout ça (ou quelqu’un d’autre !), mon téléphone est toujours le 04 50 39 57 97
                        A très +

                        Vincent

                        #109864
                        Quentin35
                          @quentin35

                          Bonjour,

                          Avant toute chose, je tiens à préciser, par souci d’honnêteté, que j’avais discuté il y a quelques mois avec Vincent de son intention d’aller vers une démarche de qualité. Je n’avais pas d’opposition de principe à l’époque, comprenant que le label se bornerait à certifier des engagements “matériels” et ne toucherait pas l’aspect pédagogique. Surtout, je trouvais rassurant de savoir que l’organisateur ne serait pas tenu de se fondre dans un moule, mais pourrait définir lui-même ses propres critères. En ce sens, la singularité de chaque organisateur me semblait préservée.

                          Maintenant que le projet est plus clair, j’ai quelques réserves. D’une part, le fait que les séjours des organisateurs apparaissant sur 123séjours seraient classés en fonction de leur engagement ou non vers un label de qualité. Cela reviendrait à pénaliser des organismes qui, pour des raisons qui se comprennent tout à fait, n’ont pas envie de s’engager formellement et d’exhiber des labels à tout bout de champ… ce qui n’enlève rien au fait qu’eux-mêmes peuvent faire des séjours de qualité. Mais si j’ai bien compris, cette solution de classement est abandonnée.

                          D’autre part, j’émets quelques doutes sur la composition du bureau de contrôle. En gros, ce sont des organismes de séjours qui en contrôlent d’autres…. D’un sens, c’est rassurant : les vérificateurs connaissent le monde des ACM et ne sont pas des technocrates planqués du bureau. De l’autre, le risque de se payer un “concurrent” n’est pas loin. Je crains que ceci ne fasse qu’exacerber la concurrence alors que les ACM ont plutôt besoin de réfléchir conjointement à trouver des solutions pour assurer leur pérennité…

                          Plus généralement, je trouve qu’il y a une inflation de labels dans tous les secteurs. Certaines marques ou secteurs n’hésitent pas à créer leurs propres labels, induisant les gens en erreur. D’autres jouent sur des appellations (“bio” quand le produit n’en contient qu’une infime partie ; “made in France” quand le produit est juste emballé dans l’Hexagone ; etc). Ceci amène le consommateur (ou les parents, pour notre secteur) à se méfier… alors que ces labels visent justement à endormir sa méfiance !

                          Le côté positif, c’est que les parents deviennent très regardants : quand ils choisissent une colo, ils ne regardent pas que la brochure ou le site web. Dans l’organisme pour lequel je travaille, environ 90% des parents qui s’incrivent appelent au siège auparavant pour obtenir des précisions. Souvnt, la conversation commence sur des détails administratifs mais glisse doucement vers le coeur du séjour. Certains demandent également des précisions sur les engagements qu’on avance. Bref, il y a un intérêt prononcé pour ce qui fait l’essence d’une colo : son projet. Je n’ai encore vu aucun parent me demander si on réservait assez de places dans le TGV ou si on envoyait les tentes à temps, signe qu’ils savent où se trouve l’essentiel.

                          capsule a écrit :

                          Qu’adviendra-t-il dans 5 ou 10 ans du petit organisme qui ne sera pas monté dans le train de la démarche qualité ?

                          Il n’aura d’autre choix que de fermer ou de patauger.

                          C’est là que nos prévisions diffèrent. Les parents ne vont pas se satisfaire d’une démarche qualité pour choisir un séjour. De plus en plus, je reçois des parents qui comprennent très bien que le maître d’oeuvre d’un séjour, c’est son directeur (et son projet qui va avec) plus que l’organisateur. J’ai des parents “anciens” qui appellent et qui me demandent : “Est-ce que c’est encore Nicolas qui dirige cette année ?”. Bref, ils savent très bien que l’équipe d’animation est au coeur du projet.

                          C’est pourquoi la clé de la “survie” est ailleurs. La prime ira aux organisateurs qui feront un choix triple :

                          – celui de conserver une taille humaine, garantissant une qualité de relation. Il ne faut pas des secrétaires ni des BTS force de vente au téléphone (et encore moins confinés dans des call centers), il faut avant tout des praticiens de l’animation, qui connaissent les séjours qu’ils proposent voire y travaillent. Les parents y sont particulièrement sensibles. Je rejoins parfaitement XXYYZZ.

                          – celui de confier au directeur de chaque séjour une partie de la communication. Dans l’organisme pour lequel je travaille, nous orientons certains parents vers le directeur du séjour lorsqu’ils ont des questions qui touchent au fonctionnement, propre à chaque projet. La démarche reste rare -certains parents se satisfont des réponses données par le siège – mais ceux qui ont voulu contacter le directeur ont été rassurés par cette prise de contact.

                          – celui de communiquer sur ses valeurs, en éliminant tout discours pompeux. Réaffirmer sa spécificité et non copier ses voisins, c’est sans doute la clé. On peut avoir deux organismes de grande qualité mais des façons de diriger les séjours diamétralement opposée. Arrêtons de ne jurer que par les chartes qualité, et allons sur le terrain de ce qu’on veut promouvoir auprès des enfants. Ca intéressera les parents et ça grandira notre secteur.

                          Quentin

                          #109867
                          Vincent LE CAM
                            @vincent-le-cam

                            Bonjour Alexis,

                            j’ai jeté un oeil sur ton site.
                            Avant de répondre à ton post ci-dessus, je te livre mon sentiment :
                            Sosvoyages peut avoir son utilité dans le monde du voyage adulte ou des séjours enfants.
                            Je dis “ou” car il me semble bien compliqué de de rassembler en un même éditorial les deux secteurs d’activité.
                            A mon sens, par exemple, si une agence de voyage agit en intérmédiaire sur la vente d’un séjour pour adulte, cela me semble pratique et légitime.
                            Si une agence de voyage agit en tant qu’intermédiaire pour la revente de séjours enfants, cela me semble illégitime car il me parrait bon, dans ce domaine, que l’interlocuteur du parent soit directement l’organisateur du séjour (je rejoints ce quévoquait xxyyzz lorsque, dans son poste du 21 10, il parlait de “la personne qui procède aux inscriptions, …).
                            Ce sont (et ils resteront) deux secteurs très différents et je crains qu’à les évoquer au sein d’un même site, des confusions naissent.
                            Par ailleurs, si je suis favorable à des actions de défense des consommateurs, je reste prudent sur des effets d’annonces et il me semble important, lorsqu’on évoque un secteur d’activité ou un fait divers dans ce secteur, de rester factuel et d’appréhender les sujets dans leur globalité.
                            Pour faire simple si on évoque “que” ce qui ne va pas, on tend immanquablement à “faire peur” et à noircir un tableau inutilement.
                            Je suis donc un peu mitigé, car il y a quand même plein de choses qui vont très bien dans les ACM, des centaines de milliers d’enfants qui vivent d’excellents séjours chaque année, des centaines d’organismes investis et responsables tout autant que des milliers d’animateurs responsables et qui apprécient de faire … de l’animation !

                            Alors pour répondre à tes questions, je ne vois pas pourquoi les séjours à l’étranger seraient foncièrement différents des séjours en France. Ce qu’il existe à ce jour me semble raisonnable (la caution bancaire, par exemple, demandée par Atout France est plus élevée pour un organisateur de séjours à l’étranger que pour le centre tartempion qui organise ses propres séjours dans son chalet en Hte Savoie, … et c’est bien normal)

                            Mon propos porte sur l’avenir des séjours.
                            Si j’entends l’expérience du passé, je me refuse pourtant à évoquer les affaires en cours, car je ne suis pas juge et certainement pas habilité à prendre des positions.
                            J’aimerai vivement d’ailleurs, qu’aucune polémique ne soit évoquée dans ce fil car il me semble que son caractère généraliste en fait tout son intérêt.

                            Mon rôle, avec 123sejours.com, se borne à être un portail à disposition des organisateurs pour présenter leurs réalisations ET un portail à disposition des familles pour qu’elles trouvent le prochain séjour de leur progéniture.

                            Pour autant, concernant l’étranger, il existe déjà des choses portant sur les séjours linguistiques.

                            Si je suis favorable à ce que les organismes aient les moyens de s’engager sur la qualité de leur services, c’est au cas par cas qu’il faut en étudier le référentiel. Certains, effectivement, ne font que des séjour à l’étranger, d’autres que des séjours en France, d’autre encore font des séjours un peu partout, en France comme à l’étranger.
                            Les objectifs de chaque organisme étant singuliers, pour répondre à ta question, il ne me semble pas adéquat qu’une labellisation spécifique aux séjours à l’étranger existe.

                            Voili pour la pensée du jour.
                            A bientôt,
                            Vincent

                            #109897
                            Vincent LE CAM
                              @vincent-le-cam

                              Bonjour,

                              Je prends du retard dans mes réponses… et ne pourrai répondre à tout. Bien des éléments se rejoignent d’ailleurs et il semble plus intéressant d’évoquer pour l’heure des généralité en ce qui concerne certains posts.

                              Avant tout, il convient de comprendre qu’en matière de certification, il ne s’agit en aucun cas de “formater l’humain” ou d’uniformiser tous les enfants, tous les séjours, tous les anims.
                              Chaque organisme doit pouvoir conserver son identité propre et les questions que tu poses, Matim, sont très exactement ce qui fait la diversité et la complémentarité des séjours et des organismes français. Il ne faut pas voir un engagement qualité comme un frein, mais bien le concevoir comme un outil de fiabilité et de service…. Et cela ne remet en rien en cause “l’humain”.

                              Je n’avais pas évoqué la “mutualisation”, je vais le faire un peu plus loin, mais il me semble important, avant cela d’évoquer le constat.

                              A ce jour, en france, il n’existe une norme spécifique que dans le domaine des séjours linguistiques.
                              Elle a été créée à l’époque pour répondre au fait que les Inspecteurs J&S ne passaient pas les frontières, et que de ce fait, les séjours n’étant jamais inspectés, il a fallut que la profession fasse son propre ménage.

                              Sur la base de cette Norme, deux fédérations nationales (l’Unosel et l’Office) existent et permettent aux organisateurs qu’elles agréent de se dispenser d’une certification, puisque ces fédérations “jouent le rôle” du bureau de contrôle lié à une certification.

                              Il semble par ailleurs que le soucis de ces deux fédérations soit de contraindre “au delà” des termes de la norme les organisateurs.

                              En France, il existe également la norme ISO 9001.
                              Il s’agit d’une certification de services.

                              C’est une norme en mesure de regrouper des types d’activités totalement différents les uns des autres tels, par exemple :
                              – des cours particuliers à domicile, (http://www.completude.com/certifications-qualite.aspx)
                              – des l’activité cargo de “Air Maroc” (http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=113&id=140779)
                              – des lunettes (http://www.opticiens-atol.com/pages/opticiens-engages/la-qualite.php)
                              – l’observatoir des sciences et techniques (http://www.obs-ost.fr/fr/dossiers/article/lost-certifie-iso-9001.html?no_cache=1&tx_ttnews%5BbackPid%5D=54)
                              – des boutiques qui font de la mécanique (http://www.mpi-mecanique.com/mpi-activite.php)
                              – d’autres qui vendent des fruits et légumes (http://www.allfresh.fr/pdf/COMMUNIQUEDEPRESSEcertificationsISOALLFRESHLOGISTIQUE.pdf)
                              – d’autres encore qui font des séjours de vacances pour enfant comme les PEP (http://www.vacancespep.fr/) ou Temps Jeunes (http://www.temps-jeunes.com/vacances-garanties.aspx).
                              – (…)
                              Parmi les métiers que peut toucher Iso 9001, (tous les métiers !), certains ont effectivement dans leur coeur d’activité, une prédominance “d’humain” et d’autres une prédominance de “matériel”.

                              Iso 9001 n’a anéanti, ni le matériel, ni l’humain chez les certifiés, bien au contraire, il leur a permit de mettre en valeur leur service par une garantie de pérennité pour chaque client ou pour chaque membre.

                              A ce jour, sur http://www.123sejours.com, les engagements cités ci-dessus sont signifiés (par les logos correspondants, cf http://www.123sejours.com/qualite/ ainsi que l’avait justement remarqué Crevette76).
                              (Le premier logo, amené à évoluer, sera imprimé à terme sur chacun des séjours proposés par un organisateur qui s’est engagé dans une démarche qualité. Il a la volonté unique de ne pas multiplier des logos différents et d’être signe visible et reconnaissable du premier coup d’oeil par l’internaute de passage sur nos sites).

                              La liste des engagements qualité va se compléter de tous les engagements qualité existants (et que nous découvrons petit à petit).
                              Par exemple, :
                              – la charte qualité Auvergne (http://www.qualite-auvergne.fr/charte3.htm)
                              – le Label EFV (Ecoles Francaise de Voile – http://www.ffvoile.net/ffv/web/services/developpement/efv.asp)
                              – …
                              Il existe sans doute d’autres certifications ou d’autres démarches d’engagement équivalentes et nous les prendrons toutes en compte (si elles sont légitimes).

                              Car il n’y a pas de raison de ne pas signaler aux parents ceux qui se sont engagés dans une démarche qualité…. Quelquent soient les arguments contre ces démarches, elles existent, impliquent un engagement fort supplémentaire et sont un signe net pour les familles d’une garantie de service et de respect de la brochure.

                              Seulement voilà, je l’évoquais plus haut, il existe de “tout petits organismes” et d’entrer dans une démarche qualité prend du temps, de l’énergie et de l’argent.
                              (A ce propos, en réponse à xxyyzz : ma phrase n’était sans doute pas bien tournée, car je comprends tout à fait tes arguments, mais je n’évoquais le pêcheur et ses 7 enfants, non pour vanter les mérites des petits séjours, mais simplement pour évoquer le fait qu’on peut être “tout petit” et avoir une démarche qualité… Que tout à chacun entend souvent comme “réservée au gros”).

                              Bref, ça coûte des sous.

                              En gros, une formation qualité digne de ce nom coûte entre 3500 et 5000 €,
                              Puis chaque année, il faut encore dépenser 1000 à 3000 € pour se maintenir à la norme et payer un bureau de contrôle.

                              Bien entendu qu’un petit organisme ne peut pas auto-financer ces dépenses.

                              En revanche, un gros organisme peut le faire (et le fait).

                              Qu’adviendra-t-il dans 5 ou 10 ans du petit organisme qui ne sera pas monté dans le train de la démarche qualité ?

                              Il n’aura d’autre choix que de fermer ou de patauger.

                              123sejours n’a pas inventé la démarche qualité, mais veut précisément donner les moyens aux petits comme aux grands de monter dans ce train.

                              J’en viens donc aux formations mutualisées que j’évoquais plus haut.

                              Avec le concours d’un cabinet spécialisé dans “le management de la qualité”, nous avons choisi de proposer des formations mutualisées. Cela offre un quadruple avantage à chacun :

                              – le coût de ces formations est divisé par 10, (215 à 540 € par an)
                              – l’émulation du travail en équipe ouvre sur des idées nouvelles,
                              – le respect de l’identité de chaque organisme est préservé et son PE aussi,
                              – chaque organisme bénéficiera des mêmes droits et des mêmes retombées que, par exemple un organisme certifié ISO 9001.

                              Par la suite, nous mettrons en place des “pépinières qualité”, toujours sur le principe de la mutualisation, et ce seront les organismes membres agréés eux-mêmes qui l’administreront. Là encore, le coût sera négligeable au regard du bénéfice d’image qu’en tireront les organismes.

                              Bon, j’peux là encore pas prendre en compte toutes vos réactions …. pardonnez m’en !
                              Cependant, Moilapa, ta réflexion sur le rationnel et l’irrationnel est très intéressante. Je ne peux qu’adhérer à ton propos sur le constat du “ce qui se passe dans la tête d’un parent”. Pourtant, … J’ose y croire, si nous avons négocié un grand virage vers des séjours de consommation ces 10 dernières années, il me semble qu’une tendance à re-proposer des vrais séjours d’animation est en train de s’opérer…

                              … J’ose y croire !

                              Je ne sais pas xxyyzz si toutes tes réactions trouvent réponse dans ce post, mais il me fallait, plutôt que de suivre un cheminement “question-réponses”, adopter une ligne descriptive plus globale pour qu’elle soit compréhensive…
                              Concernant la composition du bureau de contrôle, il convient de préciser que le principe d’une certification, c’est de s’engager à appliquer un “référentiel” qui stipule, des actions à entreprendre, des délais à respecter, des modes opératoirs à mettre en oeuvre, …
                              Selon le cas de figure, le bureau de contrôle ne sera pas le même, mais le principe doit le rester : La personne effectuant le contrôle doit être extérieure à l’organisme contrôlé, désintéressée de sa gestion et habilitée à le faire.

                              Il ne jugera pas la pédagogie mise en oeuvre, mais contrôlera que ce que l’organisme s’est engagé à faire, … il l’a bien fait.

                              Alexis, je ne connaissais pas ton site. Avant de te répondre, je vais me donner le temps de le lire, …

                              De sortie ce soir, il faut que je vous laisse..
                              Alors à très bientôt chacun et excellents séjours à ceux qui en font !

                              Vincent

                              PS : Tant pis Moilapa, j’ai quand même rajouté ton site dans mes liens !

                              #109907
                              crevette76
                              Administrateur
                                @crevette76

                                juste une question au passage, c’est du projet où ça existe déjà ?
                                si on regarde cette liste ça laisse croire que divers labels sont déjà communs…
                                (le premier est rigolo : y’a aucun critère)

                                Sinon, ben le débat date pas d’aujourd’hui…

                                #109909
                                saro4
                                  @saro4

                                  Perso, je ne peux qu’être du même avis que Moilapa…
                                  Entre la théorie et la pratique, il y a véritablement un gouffre !

                                  Alors oui, peut-être que cette certification proposée pourrait être un critère pour classer les organismes, mais pour rester juste, il faudrait également proposer d’autres critères. Des critères qui sont beaucoup trop difficiles à évaluer.
                                  S’en tenir à la seule “certification ISO” faite de plus par des personnes extérieures serait très réductrice.

                                  Et puis n’avez vous jamais fait de bilan de colo en fin de séjour ? N’avez vous jamais eu de “Oh la colo était trop trop géniale !!!” et de “Moi j’ai pas trop aimé la colo…” ? sur un même séjour ? Les relations humaines sont ce qu’il y a de plus complexe et on ne sait jamais de quoi le lendemain va être fait.

                                  Pour conclure, on peut quand même plus ou moins dire comment va se passer le séjour. Mais pour cela, il faut être très bien placé et très bien renseigné. J’ai dirigé 10 séjours, je me suis rarement trompé sur l’avenir de mes colos. Mais je ne suis surement pas habilité à certifier mes propres séjours d’ISO 9001 !

                                  #109981
                                  selinger
                                    @selinger

                                    Bjr Vincent,

                                    Mon nom est alexis Sélinger, je suis le porte-parole de l’association sos voyage spécialisée dans la défense des consommateurs de produits touristiques secs ou packagés.

                                    Pour nous situer nous existons depuis 2 ans, nous disposons d’un réseau de 2.500 correspondants composé majoritairement de consommateurs que nous avons directement conseillés, notre site éponyme fait une moyenne de 8.000 connexions mois et distribuons mensuellement une moyenne de 25.000 pages

                                    Depuis quelque temps a la suite de demande de parents nous nous intéressons au secteur des ACM et plus particulièrement ceux qui se déroulent à l’étranger où nous avons pu constater un certain nombre de dysfonctionnements qui nécessite à notre sens des corrections.

                                    Quel est ton point de vue sur le sujet, que peut apporter une labellisation sur ce créneau qui représente 190.000 départs et quels sont les moyens de vérification que tu disposerais.

                                    Au cas de litiges quels seraient tes moyens de pression pour faire respecter par les organisateurs les prestations souscrites et quelles sanctions tu envisage au cas de non respect de celles-ci

                                    Cordialement

                                    alexis Selinger.

                                    #109993
                                    XXYYZZ
                                      @xxyyzz

                                      capsule a écrit :
                                      Bonjour les planetanimiens,
                                      je sais (malheureusement) que je fais réagir quand je fais quelque chose…

                                      Pourquoi malheureusement ? je dirais au contraire heureusement, que cela réagit. Comme je trouve bénéfique que tu réagissent à nos réponses.

                                      Pourtant, le “plus petit” organisme qui présente son séjour sur le site est sans doute ce guide de pêche qui n’organise que quelques séjours dans l’été pour un maximum de 7 enfants. Et celui-là, je suis sûr qu’il a une démarche qualité et qu’il la met en oeuvre chaque jour.

                                      La je n’en suis pas si sur! Comme tu le dis plus haut, le nombre est indépendant de la qualité.
                                      Les deux camps d’ados que j’ai le mieux reussi, avec des critères définies avant, sont des camps avec respectivements 18 et 72 ados.

                                      La bonne question, en fait, c’est de savoir ce qu’est un engagement qualité.

                                      Il s’agit là de la mise en place d’une grille (appelée référentiel) qui implique des exigences organisationnelles (pour faire simple, … mais cette phrase est importante !)

                                      C’est à dire (pour reprendre l’exemple ci-dessus), qu’un organisateur sera !
                                      – obligé de rencontrer le directeur avant le séjour,
                                      – obligé de valider les recrutements 8 jours avant,
                                      – obligé de verser le budget pédagogique,
                                      – obligé de prendre le nombre de place qu’il faut dans le TGV,
                                      – obligé de répondre aux familles, aux directeurs, aux prestataires, ….
                                      … et qu’à chaque fois qu’il aura l’impossibilité de réaliser l’une de ces actions, il sera :
                                      – obligé détablir une fiche de non-conformité,
                                      – obligé de réfléchir à un système d’amélioration pour que le problème ne se reproduise plus.
                                      – ou selon le cas, obligé d’apporter une réponse et une solution (au directeur, au prestataire, …)

                                      En gros, on élimine les acts liés à la négligence ou au laxisme, ou on les sanctionne.

                                      Ta liste est très belle sur le papier. Ensuite il y a la réalité. Exemple j’ai dirigé de tres bons séjours sans avoir tout le budget réel au départ. Bien je savais qu’elle somme ne pas dépasser, mais cette somme était disponible de façon progressive. Les rénumarations ont été exécuté en fin de séjour, quelquefois même en fin du mois en cours.
                                      De plus certains fournisseurs acceptaient d’être payé en fin de séjour.

                                      Plus sérieusement, et essentiellement pour répondre à XXYYZZ, certes, le plus difficile, c’est de vérifier que ce qu’il est obligé de faire, l’organisateur (en l’occurence), l’a bien réalisé.
                                      C’est le job d’un bureau de contrôle.
                                      Il vient une fois par an et demande à voir tous les documents (qui bien sûr doivent être classés).
                                      Il va demander à voir les formulaires d’envoi de tente, les mails arrivés et leurs réponses, le chrono du courrier, les fiches budget, les fiches de “non conformité, ….
                                      Il ne regardera pas tout, ma vérifiera que les éléments pour lesquels s’est engagé un organisme ont bien été mis en oeuvre et que des points d’amélioration ont été mis en place suite à des non conformités.
                                      Si ce n’est pas le cas, la certification saute.

                                      J’en arrive au point crucial, du moins, pour moi. Quelle sera la composition de ce” bureau de controle” et surout quelle sera sa légitimité et son pouvoir reel.
                                      Excuse moi de parler encore de moi, mais c’est ce que je connais le mieux.
                                      Chaque vacance, avec un ami, je passe voir, certains anciens stagiaires sur leurs ACM. J’en profite pour donner quelques avis, conseils, pour améliorer certaines choses. Mais cela est complètement informel; nous n’avons aucun pouvoir. Nos avis sont parfois suivi d’effet, mais pas toujours. Jusqu’à présent personne ne nous a “foutu dehors”, mais cela est une possibilité, et si cela se produit, nous ne pourrons rien dire.

                                      Je n’ai que trop de parents qui m’appellent chaque jour en me demandant : “J’ai trouvé tel séjour, .. Vous savez si c’est un organisme de qualité ? …”
                                      Et je réponds invariablement : ” Je suis désolé, Madame, mais aucun critère à ce jour ne me permettent de vous répondre.. Ceci dit, je n’ai jamais eu d’écho négatif sur cet organisme…”
                                      Et des coups de fil comme ça, au printemps, j’en ai 30 par jour !

                                      Oui, mais qu’elle est ta légitimité pour cela. Il est possible que pour un même séjour, tu ai des avis opposées.
                                      Ce que tu dis est tout simplement du “bouche à oreilles”. Dans mon département cela existe. Je le pratique et ne suis pas le seul. Mais je précise que ce n’est que mon avis et pas plus.
                                      Et puis comme te l’as dit Moilapa, avec son langage à lui “plein de délicatesse”, les séjours sont tres différents, et évoluent tres vite, même avec le m^me organisme et le même directeur.

                                      Je crois qu’il n’y a pas de question de “niveau” dans l’animation, je suis sincèrement convaincu qu’un organisateur ne peut pas être insensible à la joie qu’éprouveront les enfants quant il cré un séjour. Je suis convaincu que l’animateur est le fer de lance de l’organisateur et que c’est dans ce sens qu’il faut aller, en complémentarité et ensemble. L’anim a son job à faire en apportant ses singularités et ses compétences et c’est pas son engagement qui est en cause, seulement celui des organismes qui bluffent les parents (en général tout comme ils bluffent les anims !)

                                      Qu’il faillent que les organisateurs, les directeurs, les anims travaillent ensemble; cela ne fait aucun doute, mais attention il y a aussi des directeurs et des animateurs qui “n’en font pas une rame”. C’est trop facile de tout mettre sur le dos des organisateurs seuls, même si quelques uns voient uniquement l’aspect fric.

                                      Je serais tres curieux de connaître tes propositions sur la mutualisation des formations.
                                      Bye et A+

                                      #110023
                                      moilapa
                                        @moilapa

                                        Salut Vincent

                                        Ah non j’ai pas eu ton mail !
                                        De toute façon, je ne fais pas d’échange de lien : quand un site me semble intéressant, j’introduis le lien directement dans une fiche technique en rapport avec le contenu du site. Par exemple un site sur l’utilisation du latex dans ma partie marionnettes…
                                        Et tout cela ne concerne que l’animation du point de vue “machin et bidules à faire avec un public” et non la réglementation, les offres d’emploi, les séjours, etc…

                                        Sinon pour finir sur les allopass de mon site, cela n’envoie pas sur des infos mais des fiches techniques. Tout bêtement parce que le site est un site payant. Comme peut l’être un livre sur le maquillage, les bâtonnets de glace… Et le deviendra de plus en plus.

                                        (Et dieu me garde de toute tentative de charte de qualité, et autres agréments à caser les choses dans des bidules ; mon site reste une secte dont plus de gens se voient refuser l’entrée que le contraire)

                                        sinon : Voilà en quoi je trouve vaine cette tentative :

                                        Gagnons du temps : Pour qui ? Evidemment les parents.
                                        Au delà du questionnement premier sur “vous êtes sûr que le miroir de la salle de bain sera à la hauteur de mon petit chose”, qu’il aura bin une place assis dans le train, qu’il fera bien trois fois du téléski et quatre fois du manège dans le train fantôme… au bout du bout de toutes ces questions, angoisses, il y a la vraie question :

                                        “Qui sont ces inconnus entre les mains desquels je vais livrer corps et âme un bout de ma chair ?”

                                        J’ai l’impression que ta démarche est comme une tentative (forcément vaine) de croire maîtriser ce qui ne l’est pas. Et ne le sera jamais. Quelque chose qui échappe à tout contrôle, toute tentative de triage, rangement, certification.

                                        On ne peut rien certifier dans ce domaine. Pas même qu’on nous ramène le gamin en un morceau.

                                        C’est essayer de mettre du rationnel, du censé, dans quelque chose d’incensée (ce qui s’appelle à un autre niveau le Bafa)

                                        Là où cela va certainement réussir, c’est que c’est une réponse rationnelle sur certains points bien définis, facilement définissables et contrôlables, pour des angoisses irrationnelles (non pas que les risques n’existent pas, mais la possibilité d’y pouvoir faire quelque chose, à moins d’aller sur place avec son gamin ! )
                                        Ce qui, au passage, pour moi, met en exergue les lacunes des institutions qui devraient elles faire ce boulot IN SITU. (ce qui voudrait dire qu’on embauche massivement !!!)

                                        Peur irrationnelle mais légitime. Comme quand on dit à son enfant de se méfier des étrangers, quand on devrait, si il s’agit de dire à son enfant de se méfier, de se méfier d’abord des gens qu’il connait”.

                                        On est passé de ce qui peut paraître une naîveté incroyable de la part de ces parents vis à vis de ces bonnes vieilles colonies de vacances d’un autre temps, (tout comme une façon de pensée notamment le collectif d’une autre époque incompréhensible pour nous aujourd’hui, parce que contexte totalement différent…), à ensuite l’extrème opposé autour du mythe actuel du grand méchant pédophile (non pas que la pédophilie n’existe pas, mais qu’elle n’est pas ce que les médias et l’hysterie collective nous en ont portraitisé, ce qui rend d’autant plus dangereuse toute chose que l’on connait pas, que l’on connait mal, surtout quand il y aune part volontaire dans cette ignorence) à une troisième étape, si je peux me permettre de faire l’historien-sociologue à deux balles : celui où la colo ne se suffit pas à elle-même, où cette situation où enfants et adultes se retrouvent ainsi dans une aventure loin de papa et maman ne se suffirait pas à elle seule. Où l’on ne peut faire confiance aux seules capacités des animateurs a créer durant cette rencontre quelque chose. Que cette démarche là d’un autre temps ne peut être qu’improductive, sans intérêt, sans gain mesurable pour l’enfant-roi.

                                        où au final ces séjours ne sont que des séjours à apprendre à consommer du loisirs. Où les adultes ne sont depuis longtemps plus des animateurs. Tout au plus des accompagnateurs, dans le meilleur des cas. Des débiles mentaux alcoliques plus certainement.

                                        Au delà des colos, et votre démarche, c’est le fantasme d’une société qui voudrait tout contrôler, chaque chose, jusqu’à maîtriser ce qui n’est pas par définition maîtrisable, l’inconnu, l’âme humaine…

                                        Bon, c’est possible aussi qu’il soit tard, que j’ai encore abusé de produits illisites et que je sois pas vraiment frais et encore étanche…

                                        #110029
                                        Matim
                                          @matim

                                          N’importe quelle recette peut être alléchante… Mais le plat final dépendra de la brigade qui se trouve derrière les fourneaux.

                                          Autrement dis, ce critère (les moyens mis en place par l’organisateur) est nul si on a comme objectif la “réussite” d’un séjour.
                                          Certes ça rassure le bon consommateur-mouton. C’est tout, SAUF un gage de qualité !

                                          Quid de :
                                          La qualité humaine ?
                                          La qualité pédagogique ?
                                          La capacité à faire grandir ?
                                          La capacité à vivre ensemble ,
                                          La capacité a prendre en compte l’enfant dans son intégralité ?
                                          L’empathie ?
                                          etc.

                                          Autant d’objectifs impossibles a “criteriser” et surtout pas de manière normative !!

                                          **

                                          #110032
                                          Vincent LE CAM
                                            @vincent-le-cam

                                            Bonjour les planetanimiens,
                                            je sais (malheureusement) que je fais réagir quand je fais quelque chose… mais voilà, j’ai envie de construire. Et comme chacun d’entre vous, j’ai envie de construire pour le bien des enfants dont on a la charge, mais aussi en tenant compte de la réalité du marché et de la réalité socio-économique de notre “monde”.
                                            En gros, il ya “les gros” et “les petits”.
                                            Parmi eux, il y en a des bons et des moins bons (chez les gros comme chez les petits).
                                            Parmi tous ces gens là, chacun avait à l’origine des pensées et des volontés louables et ce n’est qu’après qu’ils sont devenus “bons” et “moins bons”.
                                            Un “bon au début” devient vite “moins bon” si ses séjours sont à moitié remplis, car clairement, il perd de l’argent et va forcément avoir tendance à tirer les bouts de ficelles.
                                            Sur 123sejours, il y a 900 organismes de toutes tailles qui présentent 12000 séjours… (de quoi s’y perdre un peu quand on est un parent “lambda” qui ne cherchait “qu’un” séjour de vacances pour son p’tit gars “qu’à plein d’énergie à dépenser”).
                                            Depuis cinq ou six ans,le nombre des organismes est stable, seulement le “hic”, c’est que parmi eux, chaque année, 40% de nouveaux s’inscrivent, 20% déposent le bilan et 20% finissent en queue de cerise (Trois séjours, puis deux, puis plus rien … puis les mails ne sont même plus receptifs et répondent invariablement “Failure Nototice – MAILER-DAEMON@6.mail-out.ovh.net – undelivery recipient”
                                            Pourtant, le “plus petit” organisme qui présente son séjour sur le site est sans doute ce guide de pêche qui n’organise que quelques séjours dans l’été pour un maximum de 7 enfants. Et celui-là, je suis sûr qu’il a une démarche qualité et qu’il la met en oeuvre chaque jour.
                                            Seulement, pour le parent lambda que j’évoquais plus haut, comment est-il possible de savoir qui “fait de la qualité” et qui n’en fait pas.

                                            C’est impossible.

                                            Certains organismes ont de très beaux sites internet (parfois truffés d’erreurs) et recrutent leurs équipes “à l’arrache” et oublient le budget pédagogique, et ne prennent que 20 places dans le train alors qu’il y a 30 enfants et ne répondent pas aux mécontentements des familles, pas plus qu’au directeur qui cherche les tentes “qui devaient lui être livrées 2 jours avant le séjour mais qui ne sont toujours pas là 5 jours après le début du séjour”, pas plus qu’au prestataire “qu’était prévu pour l’escalade, mais qu’aimerait déjà bien être réglé de sa prestation de l’année dernière” !
                                            Ce type de négligences ne pas arriver (ou alors pas longtemps !) dans un organisme qui a un engagement qualité.
                                            Certes ça a un coût et ça implique un investissement fort, mais c’est précisément pour cela que ça met en valeur les séjours de celui qui s’implique.

                                            La bonne question, en fait, c’est de savoir ce qu’est un engagement qualité.

                                            Avant tout, il convient de préciser que nous prônons un engagement qualité “de service”.

                                            Il s’agit là de la mise en place d’une grille (appelée référentiel) qui implique des exigences organisationnelles (pour faire simple, … mais cette phrase est importante !)

                                            C’est à dire (pour reprendre l’exemple ci-dessus), qu’un organisateur sera !
                                            – obligé de rencontrer le directeur avant le séjour,
                                            – obligé de valider les recrutements 8 jours avant,
                                            – obligé de verser le budget pédagogique,
                                            – obligé de prendre le nombre de place qu’il faut dans le TGV,
                                            – obligé de répondre aux familles, aux directeurs, aux prestataires, ….
                                            … et qu’à chaque fois qu’il aura l’impossibilité de réaliser l’une de ces actions, il sera :
                                            – obligé détablir une fiche de non-conformité,
                                            – obligé de réfléchir à un système d’amélioration pour que le problème ne se reproduise plus.
                                            – ou selon le cas, obligé d’apporter une réponse et une solution (au directeur, au prestataire, …)

                                            En gros, on élimine les acts liés à la négligence ou au laxisme, ou on les sanctionne.

                                            Pour exemple (et pour répondre à Moilapa qui décidément me plait bien !) : Tu vois Moilapa, il y a environ deux semaines, je suis tombé sur ton site et je t’ai envoyé une proposition d’échange de liens (en plus c’est vrai, il est super original et très amusant ce site, … faites donc un tour avant de lire la suite sur http://moilapa.free.fr/, la rubrique enfants est super sympa et celle des animateurs aussi, …. Je ne regrette qu’un chose, c’est que t’abuses un peu des codes allopass pour qu’on obtienne de l’info !).
                                            Bref, je t’ai envoyé une proposition de lien, mais j’attends toujours la réponse !
                                            Une démarche qualité t’aurait sûrement obligée à me répondre (oui ou merde, mais à me répondre !)
                                            J’en déduis donc légitimement, sans que la “qualité” de ton site ne soit mise en défaut, que toi, tu n’as pas adopté un démarche qualité.

                                            Plus sérieusement, et essentiellement pour répondre à XXYYZZ, certes, le plus difficile, c’est de vérifier que ce qu’il est obligé de faire, l’organisateur (en l’occurence), l’a bien réalisé.
                                            C’est le job d’un bureau de contrôle.
                                            Il vient une fois par an et demande à voir tous les documents (qui bien sûr doivent être classés).
                                            Il va demander à voir les formulaires d’envoi de tente, les mails arrivés et leurs réponses, le chrono du courrier, les fiches budget, les fiches de “non conformité, ….
                                            Il ne regardera pas tout, ma vérifiera que les éléments pour lesquels s’est engagé un organisme ont bien été mis en oeuvre et que des points d’amélioration ont été mis en place suite à des non conformités.
                                            Si ce n’est pas le cas, la certification saute.

                                            C’est contraignant, certes, mais c’est cela la qualité. Que le parent puisse être garanti que, par exemple, ce qui lui a été vendu est un minimum par rapport à ce qui sera réalisé pendant le séjour.

                                            Je n’ai que trop de parents qui m’appellent chaque jour en me demandant : “J’ai trouvé tel séjour, .. Vous savez si c’est un organisme de qualité ? …”
                                            Et je réponds invariablement : ” Je suis désolé, Madame, mais aucun critère à ce jour ne me permettent de vous répondre.. Ceci dit, je n’ai jamais eu d’écho négatif sur cet organisme…”
                                            Et des coups de fil comme ça, au printemps, j’en ai 30 par jour !

                                            Alors de trouver une solution me semble indispensable.
                                            Quelle solution …. parlons-en !

                                            Shaaa, j’ai un peu de nostalgie quand je lis ton post 😉 Je suis un animateur Bafa et afps (à l’époque), puis j’ai été directeur pendant longtemps mais je suis toujours resté animateur dans l’âme, regrettant désormais et depuis bien des années de ne plus faire autant d’animation que je le souhairerais.
                                            Je crois qu’il n’y a pas de question de “niveau” dans l’animation, je suis sincèrement convaincu qu’un organisateur ne peut pas être insensible à la joie qu’éprouveront les enfants quant il cré un séjour. Je suis convaincu que l’animateur est le fer de lance de l’organisateur et que c’est dans ce sens qu’il faut aller, en complémentarité et ensemble. L’anim a son job à faire en apportant ses singularités et ses compétences et c’est pas son engagement qui est en cause, seulement celui des organismes qui bluffent les parents (en général tout comme ils bluffent les anims !) … (Et je connais des directeurs de très grosses boîtes qui continuent de diriger des séjours ou de faire des animations ! et ça, … c’est un signe !)

                                            J’ai plusieurs point que je n’ai pas évoqués, mais il faut que je vous en parle….
                                            Pour l’heure, je vais ranger la viande dans le torchon (parceque je ne suis pas sûr que planetanim ait assez d’espace disque pour mon post à rallonge … mais que voulez-vous, ça me tient à coeur !)

                                            – Faut que je finisse de répondre à Shaaa et XXYYZZ,
                                            – faut que j’évoque l’idée de la mutualisation des formations,
                                            – faut que j’refasse une demande de liens vers certains sites !

                                            Belle nuit à tous
                                            Vincent

                                          20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 71)
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