[Pierre]

il y a aussi un autre avantage de déclarer son club enfant en clsh. si le village vacance a des difficultés de remplissage ou si sur une periode il ya plus d’adultes que d’enfants, le fait d’etre déclaré clsh permet d’acceuillir des enfants extérrieurs (par simple information auprès des offices de tourisme)
ayant déja était anim dans ces structures, cela permet une “magniabilité” de l’effectif.
aussi cela varie en fonction des ddjs, car dans certains cas il est aurorisé de déclarer les enfants “vacanciers” comme enfant clsh et dans d’autres cas pas.

[moilapa]

Ouais, t’as raison…

Mais en relisant mon poste, je me suis fait la remarque que c’était chiant ce que j’écrivais.

Alors j’ai rajouté cette dernière phrase plus “godriole”.

Je ne pense pas que les villages vacances ou les campings (y auraient-ils droit ? Cela serait une situation très drôle) aient en tête les subventions en créant un CLSH…

Peut être l’idée de rassurer les parents…

En tout cas, un clsh déclaré sur un village vacances, c’est loin d’être une généralité.

Heureusement. Dieu nous en garde, comme disait l’abbé Cottard en faisant “coucou” de la main au bateau qui disparaît au loin.

[Import]

Les déclaration JS donnent des habilitation et les habilitations donnent lieu à des subventions. L’aspect financier devient de plus en plus important et les pressions budgétaires font que les organisateurs recherchent de plus en plus de financement extérieurs. Cela est peut être un début d’explication.

Est ce une bonne ou une mauvaise chose, je ne sais pas encore mais je ne suis pas sur que cela change énormément sur les structures de vacances de loisirs

Contrairement à Moilapa je crois que les lourdeurs ne sont pas seulement liées aux normes quelle qu’elles soient mais plutôt à l’interprétation de celles ci et aux choix qui sont faits par les organisateurs et de là mis en place par les réalisateurs et ce quels qu’ils soient (CE, camping, Collectivité, Asso Populaire…)

Encore une fois je dirais que les cadres légaux posés ne doivent pas être pris comme des contraintes mais plutôt comme des aides et des supports qui fixent des modalités de fonctionnement sans pour autant définir les moyens de mise en oeuvre, néanmoins les déclarations JS apportent des financements conséquents et il paraît donc normal que l’Etat (par le biais de JS et de la CAF) donne des règles et un cadre.

Pour les organismes qui ne souhaitent pas avoir ses contraintes il suffit de na pas demander d’habilitation et de renoncer aux subventions liées. Ce sont des choix à faire.

Alors, s’il vous plaît, gardez vos boulets sans motivation, ils sont très bien sur les colos ou les clsh.

La tu pousses le bouchon un peu loin Maurice!
Jure moi que tu n’as jamais eu de boulets sur tes structures et je te jurerai que je n’ai jamais recruté de neuneux sur mes centres de loisirs et de vacances. 😀

[moilapa]

Ce qu’il y a de bien à bosser en village vacances ou en camping, c’est la liberté d’initiative, l’absence de lourdeur, les possibilités que l’on a pas en clsh ou cvl…

Le problème d’une déclaration CLSH, ce sont les contraintes supplémentaires amenées par Jet S (puisque la structure dépent du ministère du tourisme) Double contrôle, normes différentes…

La plupart des structures emploient des animateurs ayant une “formation Education polulaire” qui ont, si ce n’est compris, au moins entendu les valeurs que l’on y défend.

Il n’y a pas besoin de j et S pour écrire des projets pédagogiques intéressants, réaliser sur le terrain des actions qui prennent en compte l’enfant, son bien-être, ses envies…
Sur les gros CE, il existe des projets éducatifs depuis des lustres, des réflexions sur le travail d’animateur…

Bien plus que dans les grandes Fédé de l’Education Populaire où je suis passé, l’animateur y est réellement en capacité de proposer, de réaliser, de gérer ses actions. A partir du moment où il a fait ses preuves, il est “maître d’oeuvre” de ses actions.
L’écoute de l’enfant, la prise en compte de ses envies, le repect des sensibilités de chacun, la sécurité des enfants… tout ça n’appartient pas à J et S.

Alors, s’il vous plaît, gardez vos boulets sans motivation, ils sont très bien sur les colos ou les clsh.

[crevette76]

Je ne suis pas au courant des modifs dont tu parles ; et j’avoue qu’une déclaration de club enfants de village vacances en clsh m’étonne un peu..?

Ceci-dit, ce qui est clair, c’est qu’il est possible de faire de l’éducation populaire dans un village vacances (même si théoriquement ce n’est pas le but premier de la structure).
Personnellement, quand je travaille en village vacances, j’y vais avec les mêmes valeurs que pour une colo et comme on me laisse le champ libre, je mets en place ce que je pourrais réaliser sur un centre de loisirs “classique”… la différence est que le projet péda n’est pas sur papier.

[PROBST]

[PROBST]

Je vous vois très réactif par rapport aux villages vacances. Je voudrais vous posez une question.

Ces villages vacances sont pour certains en plein mutation. Leurs clubs enfants sont pour certains déclarés en CLSH. Certains d’entre eux veulent qu’il y ai un projet de fonctionnement de structure et un projet pédagogique découlant de leur projet éducatif.

Est ce une utopie ? un nouvel argument de vente ? ou des personnes qui veulent revenir aux premieres valeurs de l’éducation populaire ??

[Auteur]

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