Ouais… y’a effectivement des problèmes avec l’édition des messages. J’en parle sur un autre post… je commençais à me dire que ça venait de mon vieux ordi tout pourrite…
jojosmala a écrit :
le pire dans tous ca c’est que au moment du recrutement et à la réunion prépa je leur avais bien expliqué… mais bon…
C’est malheureusement souvent ainsi pour plusieurs points un peu “originaux” du projet : au moment du recrutement, les anims veulent surtout… être recrutés (le projet péda leur importe souvent peu) ; lors de la réunion de préparation, l’important… c’est la grille d’activité : que fera-t-on le 3ème jour entre 9h13 et 10h38 ?
Beaucoup s’imaginent que les principes de fonctionnement que tu leur détailles en long, en large et en travers, c’est du papier ou du vent, qu’une fois sur place, on verrait bien (= on ferait au plus simple, c’est-à-dire comme on a toujours fait).
salut…
Selon leur conception des choses, le claé est éducatif, en ce sens que les adultes animateurs ou directeurs ont posé au départ un certain nombre d’objectifs pédagogiques, qu’ils sont censés décliner sur des activités, et ainsi faire passer des valeurs à l’enfant et participer à son éducation.
Tu sais, je pense que nous pouvons mettre des objectifs simples sur nos séjours, claé, et autre ; comme par exemple : Vivre ensemble et jouer.
voilà deux objectif qui peuvent faire un trés beau projet péda.
pas besoin de faire des grande phrase…
Concrètement, ça veut dire que sur le projet pédagogique on défend le “développement durable”, alors on fera des activités à partir de matériaux recyclés. Et ça aboutira à des ceintures avec des pots de yaourt, de “l’art-récup”, de la merde empilée et collée dans une activité chiante à mourir.
peu être que là je sort du sujet initiale, mais j’ai une petite interrogation
est ce que “l’art récup” permet réellement de défendre le développement durable?
1) On ne sait plus, dans l’animation, ce que veut dire “s’amuser”. On croit s’amuser en collant des bouteilles de plastique ensemble avec de la colle vinylique et en disant que ça fait une statue (parce que ça se voit pas vraiment) avant que quelqu’un la bouscule et qu’elle s’effondre.
On croit s’amuser en mettant des pissenlits entre trois bouts de bois pendant deux heures et se flatter “d’avoir fait du land’art” avec les enfants.
On ne comprend pas que l’amusement passe par la diversité (on ne s’amuse pas à refaire mille fois le même match de foot, on s’occupe…), la nouveauté, l’imprévu, l’ambition…
On ne sait plus ce que c’est que s’amuser.
tout à fait d’accord avec toi…
2) Les animateurs sont incapables de concevoir une animation à partir de rien. On leur a trop appris à faire là où on leur a dit de faire, ils ne savent rien faire par eux-mêmes.
D’où les thèmes, qui leur disent quoi faire. D’où les projets pédagogiques, qui leur disent quoi faire : de la merde recyclée.
alors là encore plus d’accord.
j’ai une petite anecdote, l’été dernier sur l’un de mes séjours. L’ équipe d’anims m’a reproché que je laissais trop de temps libre aux enfants et qu’ils (les anim) ne savaient pas gérer ca…
Donc je leur explique qu’il n’y a rien à gérer c’est leur temps ( celui des enfants) et en font se qu’ils veulent. Et là Premier drame…
Ensuite ils me disent que ces temps libres débordent sur leur activité prévues, et qu’ils ont du mal à lancé l’activité…
je leur répond que : ce n’est pas grave que les enfants ne font pas l’activité à partir qu’il prennent plaisirs à ce qu’il font et là ; deuxième drame…
le pire dans tous ca c’est que au moment du recrutement et a la réunion prépa je leur avais bien expliquer… mais bon…
Si l’on demande aux professionnels de l’animation quelle différence ils voient entre ce qu’ils appellent “garderie” et les accueils de mineurs qui garantissent ce rôle (AL et claé notamment), c’est la “dimension éducative”.
Selon leur conception des choses, le claé est éducatif, en ce sens que les adultes animateurs ou directeurs ont posé au départ un certain nombre d’objectifs pédagogiques, qu’ils sont censés décliner sur des activités, et ainsi faire passer des valeurs à l’enfant et participer à son éducation.
Concrètement, ça veut dire que sur le projet pédagogique on défend le “développement durable”, alors on fera des activités à partir de matériaux recyclés. Et ça aboutira à des ceintures avec des pots de yaourt, de “l’art-récup”, de la merde empilée et collée dans une activité chiante à mourir.
L’important étant qu’on aura sensibilisé les enfants au développement durable par ce choix de construire de la merde en plastique recyclé. Qu’on peut se targuer d’être un éducateur aux missions nobles qui déroule en toute logique le projet pédagogique conçu par l’équipe, etc.
Les promoteurs des claé pensent ainsi que l’animation n’est pas reconnue à sa vraie valeur parce que les parents en ignorent le rôle éducatif et pédagogique. Ce qui manque pour réhabiliter l’animation, pensent-ils, c’est une vaste communication auprès des parents pour leur faire prendre conscience de ces objectifs pédagogiques inscrits dans leur projet et qui font leur gloire.
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Si au contraire -comme moi – vous basez vos activités uniquement sur le fait de s’amuser, et que vous avez le malheur de le dire, alors vous vous attirerez les regards condescendants, les réprimandes maternelles et les critiques “ben alors tu fais de la garderie, c’est nul !” (Jusqu’à ce qu’on fasse l’effort de montrer ce qu’on entend par “s’amuser”)
C’est que :
1) On ne sait plus, dans l’animation, ce que veut dire “s’amuser”. On croit s’amuser en collant des bouteilles de plastique ensemble avec de la colle vinylique et en disant que ça fait une statue (parce que ça se voit pas vraiment) avant que quelqu’un la bouscule et qu’elle s’effondre.
On croit s’amuser en mettant des pissenlits entre trois bouts de bois pendant deux heures et se flatter “d’avoir fait du land’art” avec les enfants.
On ne comprend pas que l’amusement passe par la diversité (on ne s’amuse pas à refaire mille fois le même match de foot, on s’occupe…), la nouveauté, l’imprévu, l’ambition…
On ne sait plus ce que c’est que s’amuser.
2) Les animateurs sont incapables de concevoir une animation à partir de rien. On leur a trop appris à faire là où on leur a dit de faire, ils ne savent rien faire par eux-mêmes.
D’où les thèmes, qui leur disent quoi faire. D’où les projets pédagogiques, qui leur disent quoi faire : de la merde recyclée.
3) Et que par conséquent, sans planning d’activités imposé, sans thème, sans projet péda, un animateur claé ne peut même pas s’imaginer comment faire de l’animation. Il ne reste plus, pour lui, que de la surveillance. De la garderie ?
——–
La “pédagogie” des claé, c’est donc une arnaque. Une construction mentale faite pour justifier son utilité, et pour cacher son incompétence.
C’est une arnaque et ça se sent. Et les parents le sentent avant tout, qui ne comprennent pas que la dame de la garderie soit remplacée par une flopée d’animateurs qui coûtent bien plus cher et dont on se demande à quoi ils servent.
Pourquoi un claé et pas une garderie ? Sachant que le premier coûte bien plus cher que le second ? Pourquoi dix animateurs entre midi et deux heures, au lieu des deux dames de cantine qui surveillaient autrefois ?
A cela on sort la réponse “éducation”, l’échafaudage mental censé justifier d’une inutilité flagrante.
Si les claé étaient utiles, ça se verrait. On n’interroge pas l’utilité des animateurs qui la démontrent sur le terrain. Un animateur devrait pouvoir justifier son rôle autrement que par des discours auprès des parents.
Merci.
Prêter, ça va être difficile, non ?
Je vais chercher du côté des bibliothèques…
Alors. Pour les bouquins qui ont alimenté mes réflexions.
Julie Delalande : La cour de récréation, Des enfants entre eux (dir.)
Régine Sirota (dir.) : Éléments pour une sociologie de l’enfance
Cléopâtre Montandon (dir. et coll.) : L’éducation du point de vue des enfants, Les formes de l’éducation : variété et variations.
Et suivre les travaux de l’AISLF (Association internationale des sociologues de langue française), une équipe de chercheurs (cités plus haut) s’intéressent tout particulièrement aux enfants et leurs cultures (CR n°31).
(leur revue au cas où : http://sociologies.revues.org/)
Et si tu le trouves, un pionnier dans le genre. “La vie sociale des enfants – essai de sociologie enfantine” de Roger Cousinet qui a été le premier a observé ces temps de récréations.
Certains me sont encore utiles pour mes recherches mais je peux t’en prêter quelques uns si besoin.
Shaaa : pourrais-tu préciser s’agissant de Sirota, Montandon et Delalande… Quels ouvrages recommandes-tu ? Notamment traitant de l’entre-enfant, des cours de récré… Mes recherches n’ont pas été fructueuses.
Je te remercie Shaaa de ce que tes messages participent à mon évolution, à ma formation et ma réflexion.
Et re-merci pour ces 3 auteurs que je ne connais pas.
T’es de Toulouse ? Tu y fais quoi ?
(les modos, faudrait penser à refaire marcher les MP, parce que sinon je vais flooder la plupart des posts sur lesquels j’interviens)
Sauf XXYYZZ qui est dispancé en tant que geek tout récent… Faudrait pas que le forum merde encore plus…
A accompagner dans l’auto apprentisage ?
Bon, je reformule. Histoire de montrer que la question “éducative” est une fausse question.
Dans une garderie, les “surveillants” laissaient les enfants entre eux jouer dans la cour et papoter allègrement. Que ce soit à Ikea ou dans une cour de récréation, que le enfants jouent sans adultes, en quoi ce n’est pas éducatif ?
Quand un enfant dessine “librement” ou sans thème, sans modèle, sans consignes, sans déroulement d’activité, est-ce pour autant qu’il n’apprend rien ?
Il suffit de voir les travaux de la sociologie de l’enfant via Sirota, Montandon, Delalande (sur la cour de récré, moilapa en cause depuis un bon moment) qui montrent qu’il existe une société enfantine qui a sa culture et ses moyens de transmissions c’est-à-dire que les enfants, entre eux, s’apprennent des jeux, des règles, des comportements…
Et tout ça, dans une garderie. Les enfants apprennent par contre, les “adultes” estiment que ce n’est pas éducatif.
La télé, aussi, elle est éducative ou porteuses d’apprentissages. Sans rentrer dans le débat de la bonne ou mauvaise éducation (valeurs et autres)… c’est un fait que les animateurs ne peuvent pas occulter. Sous couvert d’un projet éducatif-pédagogique, de loisirs éducatif, doit-on stigmatiser tout centre laissant (ou surveillant) les enfants dans leurs activités comme des garderies ?
Sous certains aspects, je préfère encore le fonctionnement garderie que centre de loisirs où tout est cadré, verrouillé, programmé, planifié, dirigé. Parce que nous faisons de l’éducation, nous (!), de la pédagogie, nous justifions ainsi nos fonctionnements coercitifs… Stupide.
On en reviendrait presque à l’école des loisirs, des loisirs scolaires. Mais est-ce que c’est le rôle des animateurs de faire apprendre des “choses” via des activités aux mômes ? Autrement dit, est-ce que le loisir est un espace formalisé avec un programme d’apprentissages et son lot de thèmes ? Comme à l’école ? Les CLAE sont un exemple flagrant d’un mélange indéterminé.
Si on observe les activités enfantines, ce n’est pas un projet éducativo-pédagogique qui va garantir des apprentissages ni la présence d’animateurs et de leurs activités. Ils le font très bien tous seuls et ils ont pas besoin de nous pour s’amuser.
On en revient à la même question (voir le fil sur la notion de projet). À quoi servent les animateurs (à côté des enseignants, parents, éducateurs, entraîneurs) ? À quoi peut servir la présence d’adultes sur ces temps de loisirs ?
Encore une fois une réponse idiote où l’on se base sur une exception infinitésimale.
Un clsh, une colo, la structure où tu bosses… tout ça c’est de la garderie.
Tu fais de la garderie, on est bien d’accord ?
Ou tu fais partie de ces andouilles qui prétendent que la garderie est un gros mot ? Que eux ont une mission bien plus “noble” ?
Shaaa a écrit :
Shaaa a écrit :
Simples questions.En quoi une garderie n’est pas éducative (porteuses d’apprentissages) ? Ou pour qui ?
Est-ce qu’un projet éducatif-pédagogique garantit le rôle éducatif de l’ACCEM ?
J’insiste. 😀
Car à la garderie du fabricant de meubles suédois ils sont parqués et occupés par la télévision ou 3 feutres et surveillés par un adulte…. C’est une garderie….
Question 2- Non. C’est juste du papier et de l’encre.
Shaaa a écrit :
Simples questions.En quoi une garderie n’est pas éducative (porteuses d’apprentissages) ? Ou pour qui ?
Est-ce qu’un projet éducatif-pédagogique garantit le rôle éducatif de l’ACCEM ?
J’insiste. 😀
Pour une fois d’accord avec ce qui vient d’être dit.
Ces thèmes qui servent à remplir des plannngs (à la con) ne sont en rien vendeurs. Les parents s’en foutent. Et c’est bien dommage. On peut imaginer qu’ils sont un peu moins cons que les anim’ (ce qui ne demande pas des grandes capacités côté imagination) , qu’ils aient par exemple fait un peu d’études.
Ce qui poserait alors des problèmes aux équipes qui par exemple mouillent de plaisir leur culotte à l’idée d’avoir pondu le thème du siècle (l’Europe, ses racines politiques et commerciales pour des mater’ ou autres idées lumineuses que l’on retrouve sur le forum)
Une sorte de méritée bonne claque dans la gueule. Comme dans nombre de métiers.
– Non mais vous êtes cons ou quoi !! Vous voulez que je vous apprenne à quoi peut rêver un gosse de 3 ans ! Si vous ne montrez pas un peu de respet pour mon enfant, je vais aller avec les autres parents…
Mais malheureusement, en animation socio-culturelle, on peut faire ad eternam dans la merde dans ces huit-clos crasseux (clsh, colo…) : les seuls qui pourraient s’en plaindre, n’ont pas droit au chapitre.
Quand à leurs parents, effectivement, ils sont plus intéressés de savoir si ils vont offrir à leur cher rejeton une semaine avec jet-ski, en mini-moto ou autres merdes que vous allez encadrer avec grand plaisir cet été dans les jolies colonies de vacances.
Est que le thème est arme commercial pour donner envie aux parents d’inscire leurs enfants en accueil de loisirs ?
Je n’y crois pas. L’accueil de loisirs, est tout d’abord un mode de garde pour les parents, qui ne bénéficit que rarement de concurrence sur un territoire.
Ce n’est effectivement pas le cas pour les séjours vacances mais là la notion de thème est beaucoup moins fréquente. Par contre on y trouve une surenchère d’activités dites de catalogue qui sont affutées comme de véritables roulots compresseur commercial.
Dans les deux cas on oublie l’éducatif pour ne penser qu’à la forme alors que la forme devrait servir le fond.
A quoi servent les thèmes ?
Une réponse parmi d’autres….
Les ACM sont désormais en concurrence :
-par une offre supérieure à la demande (comment remplir ma structure, moi petite asso fraîchement créee par moi, petit animateur plein d’ambitions…)
-par un système de marché public avec renouvellement des DSP tous les trois quatre ans ( en ce qui concerne les AL, les ALAE, et hors ACM, les centres d’animation, maaisons de quartier, etc…)
Il faut donc pour sortir la tête de l’eau avoir un taux de remplissage satisfaisant au regard des subventionneurs. Et pour avoir ce taux de remplissage, un argument choc qui attire les parents/enfants. Le thème affiché trois mois à l’avance est donc un excellent moyen de créer du désir, de la convoitise, de l’attente forte. Qui après qu’il soit bancal, irréaliste, non porté par des compétences, n’y change rien. On aura eu un taux de remplissage satisfaisant, donc des subventionneurs (CAF, mairies, )satisfait donc une reconduction des marchés…
Celui qui tire son épingle du jeu? La boîte privée. Telligo pour n’en nommer qu’une. Qui elle produit des thèmes, peut les maintenir portées par des outils performants et sans erreur possible(cf malettes “péda”). Des clients satisfaits, un CA qui gonfle, une multiplication des séjours, une influence grandissante…
Résumé : le pauvre va à l’AL public du coin pourri. Le riche peut se payer la colo TF1 qui finira de le rendre crétin pour le persuader ensuite d’envoyer ses gamins à sa colo.
moilapa a écrit :
Non. Effectivement le scoutisme n’est pas à mon avis un mode de garderie. il ne correspond pas en tout cas à l’idée que j’ai de la définition “garderie”.
Donc il ne faut pas égnéraliser sur les accueils collectifs de mineurs…
C’etait juste pour cela…
Non. Effectivement le scoutisme n’est pas à mon avis un mode de garderie. il ne correspond pas en tout cas à l’idée que j’ai de la définition “garderie”.
tu vas encore dire que je aprles de ce que je connais…
Ah ! C’est bien d’anticiper ce que je vais penser et dire… Mais pourrais-tu m’expliquer ce que je vais dire ? Parce que là je t’ai pas suivi ???
Tu veux dire quoi en français compréhensible ?
Juste pour te rappeller que dans les accueils de mineurs, il y a 3 catégories :
– accueil avec hébergement,
– accueil sans hébergement,
– accueil de scoutisme…
Et je peux te garantir qu’on ne peut pazs généraliser sur la notion de garderie… l’accueil de scoutisme n’est pas un lieu de garderie et n’est pas considéré comme tel par les parents…
Mais bon… tu vas encore dire que je aprles de ce que je connais… et que le scoutisme ne devrait pas…
Comme j’ai vu que ça en tittillait certains, je vais continuer à gratter :
Finallement la situation est assez marrante , que ces animateurs ou directeurs ridicules qui se défendent de ne pas faire de la garderie, qui serait un gros mot dans le vocabulaire de l’animation socio-culturelle.
C’est marrant parce que ceux qui ont ce dédain, sont certainement les mêmes qui accumulent les merdes quand il s’agit d’en arriver “au terrain”.
J’irais plus loin : S’agissant des loisirs de l’enfant quand le parent ne reste pas sur place (ne fait qu’accompagner), il y a contrat moral (et plus) entre le parent et l’encadrant.
Là où môme je prenais mon vélo pour faire la demi heure en vélo qui me séparait du terrain ou de l’église en ruine D’Eaunes pour retrouver mes copains et casser des vitraux d’une autre époque, aujourd’hui les parents attendent autre chose.
Ils ne pourraient accepter que l’entraineur ait laissé partir leur petit parce qu’il avait envie de partir ou parce ce connard d’adulte m’avais parlé d’une façon qui ne m’avait pas vraiment plut.
Il s’agit dans ce cas d’une situation où il y a “passation de responsabilité”, “passassion (vous retiendrez l’orthographe de votre choix) de garde”.
Un centre de loisirs, une colo, un claé le matin ou le soir (j’enlève le midi)… ce sont bien des garderies. Quoi que vous en dites, vous faites de la garderie. Même si ça vous fait mal au cul.
Et tous ces discours “supérieurs” sur des “animations occupationnelles” qu’il ne faudrait pas confondre avec des animations riches en sens… C’est du flan au vu de la réalité ACM.
Peu importe les objectifs plus ou moins aussi cons que vous.
Ce qui importe dans ce temps et ce lieu partagé, c’est ce qui se passe entre ces individus. Réellement.
Ce qui importe, c’est qu’il existe ces temps et ce lieu où les gens se rencontrent.
Le reste, c’est du flanc (je dis “flanc” parce qu’aujourd’hui j’ai décidé de pas être grossier avec les abrutis)