Très bien!
Goodbye!
Je rajouterai que la pollution des forums n’est pas chasse fermée d’Albatros…
les modos ont une vie, les modos ne passent pas leurs nuits a arbitrer les querelles virtuelles
Ca y est, mon coup de gueule albatrossophobe est passé, ça va mieux ! ouf ! 🙂
Nous allons tenter de relancer tant bien que mal ce débat. Je trouve qu’il est terriblement pessimiste, en particulier le point de vue de Korczligny. 🙁
J’ai mis, en pièce jointe, quelques extraits de mon projet pédagogique pour l’été prochain. Ce projet n’a pas la prétention d’être innovant mais le droit de ne rien faire y est clairement exposé. Il y a aussi le principe du repas échelonné si cher à certains sur ce forum. 🙂
Pour moi, le droit de ne rien faire a toujours fait partie des mes préoccupations. Dans mon projet, il y aussi un thème, des activités sportives, des activités “de consommation” … ça ne me paraît pas incompatible. :non:
Le thème sert de fil conducteur et sert à fédérer les enfants autour d’un centre d’intérêt commun, c’est tout. 😳
Dans ce système, je n’ai encore jamais vu d’enfant qui ne participait pas du tout aux activités. Les enfants viennent en colo pour être en vacances, mais aussi pour pratiquer des activités sportives qu’ils ne connaissent pas, qu’ils ne pratiquent pas tout au long de l’année. Ils sont libres d’y participer ou de ne pas y participer. 😛
Mais bien sûr, je ne nie pas le fait qu’il y ait une tendance “consumériste” des CVL. Cette tendance prend de plus en plus d’importance, le SV est de plus en plus considéré comme un produit. (cf. le débat sur Telligo) 🙁
Ne t’inquiète pas Al-Batros, dans ce système les enfants sont parfaitement surveillés. :tresfache:
Effectivement, encore un sujet pollué par Albatros, on se demande ce que font les modérateurs.
Les débats juridique et logomachique sont clos, revenons au sujet initial.
Je n’aurais jamais l’insolence de dire de telles chose, car cela revient à priver un débat d’une dimension. Qui te rends si hardi pour exiger cela.
Non mais tu es bête ou tu fais exprès ? 😕 😮
Je me demande qui de nous est les plus insolent ? 😕 Je laisse les lecteurs de ce forum juger. :tresfache:
Je ne vais pas te redonner le sujet initial, tu le connais, je l’ai déjà fait. Je ne vais pas essayer de faire comprendre quelque chose à quelqu’un qui ne veut pas le comprendre. :non:
Mais.. Tu n’a pas remarqué que ce débat juridique n’intéressait que toi ? Tu n’as pas remarqué que plus personne sur ce forum ne lisait tes délires logomachiques ? Moi quand je lis une discussion, je passe sur tes messages, et j’arrive très bien à comprendre le fil de la discussion. Tes messages ne sont que du verbiage inutile et prétentieux. :tresfache: :ins: :ins:
Pour le reste, je ne répondrai pas aux remarques, sinon, comme dit la Crevette, on va encore avoir 10 pages de textes imbuvables. 😀
Salut à toi, Roke85,
C’est quand même assez triste que des professionnelles du secteur en soient là. Heureusement qu’il y a encotre beaucoup de personne qui éclairent leurs reflexions à la lumière d’une reflexion éducative cherchant l’interêt de l’enfant.
Tu dis “cherchant l’intérêt de l’enfant”. Tu parle de chercheurs qui cherchent, on en trouvent beaucoup.
Moi, je veux trouver l’intérêt de l’enfant. Je veux donc des chercheurs qui trouvent et ça on en cherche.
Si on cherche à se couvrir et se recouvrir pour être sûr que tout va bien se passer dans la dimension contractuelle et juridique, je crois que l’on risque à terme d’en oublier l’intérêt de l’enfant. Non, je ne dis pas que nous pouvons nous permettre de manipuler lois et engagements, mais je crois qu’il faut être capable de ne pas limiter nos reflexions aux contextes juridique et contractuel.
Il ne faut aucun extrême, ni le tout juridicocontractuel, ni l’opposé. (La point de vue de Roke)
Al
Et oui, c’est là qu’est mon problème. Vous ratiocinez sur la vision que vous zavez du SV, cad la représentation de la réalité: le réel.
Moi, je ramène tout à la réalité qui a des dimensions contratuelles, juridiques …
Le réel, j’m’en br… .
C’est quand même assez triste que des professionnelles du secteur en soient là. Heureusement qu’il y a encotre beaucoup de personne qui éclairent leurs reflexions à la lumière d’une reflexion éducative cherchant l’interêt de l’enfant. Si on cherche à se couvrir ets e recouvrir pour être sûre que tout va bien se passer dans la dumension contractuelle et juridique, je crois que l’on risque à terme d’en oublier l’intérêt de l’enfant. Non, je ne dis pas que nous pouvons nous permettre de manipuler lois et engagements, mais je crois qu’il faut être capable de ne pas limiter nos reflexions aux contextes juridique et contractuel.
Salut à toi, Lau,
Le débat initial, c’est : “quelle vision avons nous du CV ?
Et oui, c’est là qu’est mon problème. Vous ratiocinez sur la vision que vous zavez du SV, cad la représentation de la réalité: le réel.
Moi, je ramène tout à la réalité qui a des dimensions contratuelles, juridiques …
Le réel, j’m’en br… .
Est-ce un lieu où on consomme des activités à tout prix sans avoir aucun autre choix ? Ou est-ce un lieu de vacances où les enfants peuvent faire ce qu’ils veulent sans subir les contraintes écrasantes d’un planning d’activités cadré par des horaires rigoureux ?
J’sens un truc, là. Le zorganisateur préfèrerait que les enfants ne fassent rien, comme ça, il rentre plein de thunes de frais d’inscription et et il n’en sort pas une. Pour ça, il essaie de convaincre les zanims qu’les minôts préfèrent ta seconde solution.
Seulement, avec moi, ça ne marche pas. Le zorganisateur m’endormira pas, moi.
Toi tu t’égares une fois de plus vers des considérations juridiques ou logomachiques qui n’ont pas beaucoup d’intérêt.
Bin oui, j’cause de ce qu’je connais, pour pô dire d’conneries.
L’enfant est sans surveillance? ==> Si on met en place des moyens pour surveiller les enfants, alors les enfants ne sont plus sans surveillance. Il est tout à fait envisageable de mettre en place un fonctionnement ou on laisse les enfants en autonomie sans qu’il soit à l’abandon.
Là, j’t’arrête de suite. Si le zentil zorganisateur t’a pas refilé assez d’anims, tu pourras pô.
Pour gratter d’la thune, les zorganisateurs ont la technique, now. Juste l’encadrement suffisant administrativement pour qu’il ne risque rien et le maximum supérieur de jour de repos non payés. Exemple: 22 jours de SV, ça donne 4 jours de repos et 18 jours à payer. Le dirlo s’démerde avec.
Alors, quand tu me dis: “Si on met en place les moyens.”, tu me fais marrer grave. On ne peut pas mettre en place les moyens qu’on a pas. S’pas?
Les enfants ont de grande capacités d’imagination et peuvent jouer par eux même. Si on laisse les enfants ne rien faire c’est qu’on considère qu’ils sont en vacances et que c’est leur droit de ne rien faire tout comme toi, quand tu es en vacances, tu aimes peut être fuir les contraintes de la vie quotidienne, tu aimes peut être qu’on te foute la paix…. eh bien les enfants en vacances, c’est pareil non ?
Pour sûr, qu’ils ont aussi une grande capacité à poser des actes dommageables. Si l’organisateur est chez AGF, on peut laisser faire?
C’est pas nous qui payeront la casse. S’pas?
On a:
Cour de Cassation Chambre criminelle Audience publique du 29 octobre 2002
Cohabitation – Enfant séjournant dans un centre de vacances.
La cohabitation de l’enfant avec ses parents, visée par l’article 1384, alinéa 4, du Code civil, résulte de la résidence habituelle de l’enfant au domicile de ses parents ou de l’un d’eux. Le fait que l’enfant soit confié à un centre de vacances ne fait pas cesser la cohabitation de l’enfant avec sa mère.
Seule la preuve d’un cas de force majeure ou d’une faute de la victime peut exonérer la mère de la responsabilité de plein droit encourue du fait des dommages causés par son enfant mineur habitant avec elle.
Les parents vont-ils se les SFR, ou ils iront ils chez Itineris.
Les débats juridique et logomachique sont clos, revenons au sujet initial.
Je n’aurais jamais l’insolence de dire de telles chose, car cela revient à priver un débat d’une dimension. Qui te rends si hardi pour exiger cela.
Al the jurist
J’aimerais que Lau m’explique où est le débat pédagogique.
Cher volatile, le débat initiale c’est : “quelle vision avons nous du CV ? Est-ce un lieu où on consomme des activités à tout prix sans avoir aucun autre choix ? Ou est-ce un lieu de vacances où les enfants peuvent faire ce qu’ils veulent sans subir les contraintes écrasantes d’un planning d’activités cadré par des horaires rigoureux ?” 😕
Toi tu t’égares une fois de plus vers des considérations juridiques ou logomachiques qui n’ont pas beaucoup d’intérêt. :tresfache:
Pour répondre à tes questions, (les seules que j’ai vraiment comprises) : 😮
L’enfant est sans surveillance? ==> Si on met en place des moyens pour surveiller les enfants, alors les enfants ne sont plus sans surveillance. Il est tout à fait envisageable de mettre en place un fonctionnement ou on laisse les enfants en autonomie sans qu’il soit à l’abandon.
Action éducative d’un enfant (à l’abandon?)? ==> Les enfants qui ne font rien ne sont pas à l’abandon :non:
Les enfants ont de grande capacités d’imagination et peuvent jouer par eux même. Si on laisse les enfants ne rien faire c’est qu’on considère qu’ils sont en vacances et que c’est leur droit de ne rien faire tout comme toi, quand tu es en vacances, tu aimes peut être fuir les contraintes de la vie quotidienne, tu aimes peut être qu’on te foute la paix…. eh bien les enfants en vacances, c’est pareil non ? 😕
Le débats juridiques et logomachiques sont clos, revenons au sujet initial. 😀
Salut la Foule,
Je pense avoir mal dit une chose dans mon précédent post.
Il ne faut pas lire:
“Est ce qu’un enfant en séjour de vacances a le droit de faire autre chose que ce font les autres?”
mais:
“Est ce qu’on a le droit de laisser, à un enfant en séjour de vacances, la possibilité de faire autre chose que ce font les autres?”
Parce que ce qui préoccuppe en premier le décideur, c’est ce qui va arriver à lui, à l’enfant c’est secondaire*. S’pas?
Al the Realist
* Tout cela me fait penser à un des 1ers “Tarzan” d’il y a très longtemps. L’équipe longeait une falaise sur un chemin étroit. Soudain, un porteur noir est tombé, le chef a immédiatement crié: “Qu’est ce qu’il transportait. Le gars qui venait de mourrir, ben …
Salut la Foule,
Un enfant qui fait le choix de ne rien faire, cela ne me gène aucunement.
Je crois que nous manquons de précision.
L’enfant ne fait pas le choix de ne rien faire, cad de laisser ses muscles et son cerveau inactifs.
J’aimerais que Lau m’explique où est le débat pédagogique.
Je suis sûr que la question cachée est:
“Est ce qu’un enfant en séjour de vacances a le droit de faire autre chose que ce font les autres?”
Et là, il apparait fatalement des problèmes:
– L’enfant est sans surveillance? (==> sécurité de l’enfant)
– Il utilise quelles choses? (Les siennes, celles de l’ACM (==> RC de l’organisateur du fait des choses dont il a la garde), celles des zanims (Idem))
– Action éducative d’un enfant (à l’abandon?)?
…
Al the Vicious
Un enfant qui fait le choix de ne rien faire, cela ne me gène aucunement. Peut être que l’activité proposé ne l’emballe pas (il faudra donc chercher à comprendre le pourquoi du comment), et pour certains jeunes qui viennent dans les ACM depuis tout petit, qui “mange” de l’accueil de loisirs” depuis tout petit (mercredi + vacances), il faut aussi les comprendres.
La proposition que je fais à ce genre d’enfant, c’est que si il veut pas participer, il en a entièrement le droit, il peut se poser dans un coin et lui me proposer ce qu’il veut faire en contrepartie.
Parfois on se retrouve avec un “je sais pas trop” et dans c’est cas là c’est à nous animateur de lui proposer d’autres choses qu’il pourra faire en autonomie.
Il y’a aussi la possibilité de regarder ce que font les autres et de venir participer à n’importe quel moment.
Il faut passer les barrières de la marchandisation de l’animation (parents payeur = activités obligatoire).
Mais cela est un autre débat situé dans un post en cours.
Lors de la dernière réunion de prépa que j’azi organisé pour le mois de Juillet, un animateur intervenu alors que jnous travaillions sur le projet péda “ne rien faire c’est quand même faire quelque chose”. Je précise quand même que pour bien le connaître, il ne sagissait pas d’une phras ebalancé comme ça, mais vraiment d’une volonté d’interroger cette question quelque peu je dirais philosophique.
Et oui, si on a des jeunes qui ne veulent rien faire, pourquoi pas . Par contre, attention, s’ils ne souhaitent rien faire parce que rien de ce qu’il leur est proposé les interesse et que leurs propositions ne sonyt pas prises en compte, pour des 12 – 14 par exemple, (ds un CLSH), ils vont venir 1 jour, peut-être 2, mais aprés, vous^^etes grillés.
Bref, je crois que ne rien faire, c’est quand même faire quelque chose. Des gamins qui ne “veulent rien faire” ne restent en général pas à regarder un mur dsans bouger. Ils demandent un temps informel qu’il est à mon sens important de leur laisser prendre…
Avé Anamunda
1) Simplement au niveau des offices religieux.
Les parents notent des voeux sur la fiche d’inscription et les enfants sont d’un avis contraire. Chaque fois j’ai privilégié les voeux des enfants, apres les avoir avertis des désirs de leurs parents. Ceci dans un sens ou un autre. Je n’ai jamais eu de remontrances de qui que se soit. J’ai eu de la chance peut être ?
2) Un autre cas : des parents jugeant, sans doute leur fille “fragile ” m’ont demandé de placer leur enfant avec des plus petits qu’elle. L’enfant n’ a pas voulu et je l’ai laisser avec ceux de son âge.
3) Troisième cas: plus sérieux : Un jeune de 12 ans a voulu gouter un petit morceau de boeuf, alors que les parents avaient noté qu’il ne devait pas en manger pour raison religieuse.
Apres lui avoir expliqué le désir de ses parents je lui ait,tout de même permis de gouter un petit morceau.
Bien sur il y avait un plat équivalent pour remplacer le beuf. Il l’a mangé aussi.
4) Enfin je n’ai heureusement pas eu à agir, mais lors de la réunion de parents j’ai expliquéà des témoins de Jéhovah, qu’en cas d’urgence vitale, je demanderai au chirurgien de pratiquer tout de même une transfusion sanguine sur leur enfant.
Fort heureusement cela ne s’est pas produit.
Allez bye on s’éloigne un peu du sujet, mais tu fais partie des modératrices donc…
bah non raconte pour ma part tu m as mis l eau a la bouche
Lau a écrit:
Voilà, le débat juridique est clos, revenons au débat pédagogique qui est si passionnant. 🙂
OK Lau, mais il me semble que c’est évident. Au nom de quoi peut on obliger un enfant à participer à une activité qu’il ne veut pas faire ?
Même pour les intervenants extérieurs ,on ne prends pas tout le groupe, non?
Quant au planning, je rejoins entièrement la personne qui ne mettait que quelques éléments incontournables; par exemple les sorties en bus dans les ALSH. Les enfants sont tres souvent demandeurs d’ailleurs.
Je suis peut être naïf, à mon âge c’est grave, mais je ne vois pas l’intêret d’obliger un enfant à participer à une activité s’il ne veut pas.
Allez je fais un effort; on peut, un peu insister, mais pas trop.
Quelquefois je suis même aller plus loin sur le choix de l’enfant. Mais la je vais me faire incendier.
Allez bye bye
Salut à toi, Al-Batros :coucou:
Une fois encore, tu te trompes de débat ! Ici, il s’agit d’un débat pédagogique pas d’un débat juridique. :non:
Tu vas encore accuser les autres d’albatrossophobie alors que c’est toi qui fait fausse route ! 😆
De plus, il me semble que si on précise clairement aux parents les termes du contrat à l’avance, il n’y a pas d’ambiguité. Si on précise dans le contrat que les enfants pourront ne rien faire, les parents le sauront et pourront signer ou refuser de signer en toute connaissance de cause. 😀
Voilà, le débat juridique est clos, revenons au débat pédagogique qui est si passionnant. 🙂
Fry peux tu nous donner le nom de cet organisateur et décrire davantage ses pratiques… cela donnera du grain à moudre pour certains!
Salut la Foule,
“As-t-on le droit de ne rien faire en centre de vacances?”
Je suis tout hallucinant de lire cette question.
Est ce que les gosses font payer à leurs vieux 750 euros 2 semaines pour rien br… ?
Les djeuns veulent du PPPPPP. S’pas?
Al the realist
*Palpitant Pas Pareil Pour un Prix Petit
-La chute en kayak
– La via ferrata
– Sauter du haut d’une falaise ou d’un pont
Et ça parce que, ça va leur procurer des sensations.
On n’a pas à être frustré parce qu’on a raté ça. La vie ne s’en retourne pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.
Toujours le problème des pourris qui sont comme ceux qui, parce qu’ils n’ont jamais b…, n’ont pas assez b… ou ne b… plus, veulent que plus personne ne b… .