[crevette76]

Salut mielpops,

alors tu en es où ?
qu’as-tu mis en place ?
comment ça se passe ?
raconte ! 🙂

[mielpops]

merci pour votre aide =)
j’ai choisis miel pops parce que j’aime bien tout simplement =) merci bcp en tout cas je vais essayer de faire de mon mieux !

[moilapa]

Sinon sur ses idées reçus sur les enfants, qu’ils seraient égocentriques, vivraient dans leur bulle, que leur univers serait irrationnel, fantasmagorique, que leurs jeux seraient irrationnels…
.. on oublie qu’il est sous-entendu : par rapport à l’adulte (faisant ainsi de l’adulte un étalon !)
Que l’enfant serait plus égocentrique que ne l’est l’adulte.
Toutes ces “fiches prémachées Bafa” se basent sur une comparaison à l’adulte (quand on dit que l’enfant est égo centré, on veut dire plus égo centré qu’un adulte, qu’un enfant plus âgé…)

Et plus on étudie l’enfance, plus on se rend compte que ces “différences” entre enfants et adultes ne sont pas aussi abyssales que l’on croyait.
Sur la naîveté des croyances, sur l’amoralité, l’immaturité…

Voilà pourquoi toutes ces affirmations sur l’enfant ont beaucoup moins de portée.

S’agissant d’égo-centrime de l’enfant : on peut remarquer si l’on travaille par exemple auprès de maternelles, que c’est bien plus complexe que cela. Que certaines amitiés sont bien réeelles, que la prise en compte de l’autre est réelle chez ces “petits. Et non pas que cet intérêt pour l’autre n’a pour but réellement que de satisfaire ses propres plaisirs. Ou en tout cas pas plus que l’adulte quand il va vers une personne.

[moilapa]

Juste pour la posteuse première si des fois elle réapparaissait : une idée pour tes petits :

Sur le claé mater’ (ouvert façon clsh les mercredis) où j’étais il y a pas longtemps encore, j’ai eu les “petits” tout un après-midi…

Pour accueillir au compte gouttes les enfants au fur et à mesure qu’ils se réveillent (enfin) (çe sont mes collègues qui se tapent les siestes; et d’habitude tout ce qui concerne ces petits martiens, moi j’ai les “grands” et quelques moyens) dans la salle de “psychomotricité” (ce sont les petits qui m’ont appris ce nom compliqué), j’avais fait un tas avec tous les tapis : des énormes bien mous, façon tapis pour le saut en hauteur, d’autres façon tatamis de judo, d’autres en mousse… un tas tout en vrac qui m’arrivait quand même pratiquement au cou. “Petite montagne” que j’ai recouverte de mon parachute (pas le genre de machin coloré qu’on achète dans les “boutiques pour animation and co” mais un vrai : et pas un pour les humains, mais pour les véhicules : soit un morceau de tissus gigantesque)
Ils me connaissaient pratiquement pas, et ça faisait des années que je n’avais pas animer en école maternelle avec ces 3 ans bien spécifiques. Et je n’en gardais pas forcément de méga souvenirs, puisque pour moi ces gamins étaient des martiens (en gros, ils comprenent que dalle et on peut pas faire grand chose avec eux)

Sauf que entre temps, durant ces années où je ne m’étais pas collé à des groupes de “petits” en mater, où l’enfant de 3 ans a énormément évolué intellectuellement, cognitivement, dans ses capacités motrices, sa compréhension, la complexité du rapport aux autres… ou juste je suis devenu meilleur en tant qu’animateur…

Ce que je pensais qui ne durerait que le temps que tous se réveillent a durer pour les premiers réveillés (et derniers partis) près de 3 heures. Soit jusqu’à 18H. Dans une même salle. Escalade, poursuite, mort après être tombé en roulant de tout en haut, grotte creuser dans la montagne de tapis, cache-cache avec le monstre qui court autour du tapis, “balançage de bidule en mousse sous les chatons orphelins réfugiers sous les tapis, le tapis qui devient une voiture quand on est allongé desssus et que le monsieur nous sert d’attelage (plus vite ! plus vite !) et qu’on tamponne le mur de tapis et qu’on se retrouve ensevelis dessus, et qu’on est re-mort, et que après si on marche sur les tapis bleus ça fait sortir le loup qui était caché derrière le trempoling, même qu’on voit ses chausssettes…

Je n’ai pas totalement accés la compréhension de la vision qu’on les enfants de leur monde, de ce qui les entoure ; du temps passé. De la façon dont cet enchaînement d’aventures est ressenti. De la façon dont ils appréhendent le monde : par exemple, ce parachute, je me suis rendu compte que nombre d’enfants ne réussissaient à en sortir seuls, à trouver seul “la sortie” !!! Ce qui donne un peu une idée de la différence de cetteperception du monde que peuvent avoir ces enfants et que j’ai en tant qu’adulte. Et de la difficulté de comprendre tout ce qu’il se passe durant ces jeux. Mais je sais au moins ça : ils se sont amusés. Et ça me suffit.

Je les ai rendu aux parents un petit peu excités (façon le chat de Gaston Lagaffe, ce en quoi les rythmes machins, la courbe d’intensité bidule, cette fois là, il en a pas été forcément question) , en sueur, avec leur goûter intact dans leurs petits sacs… et surtout tous très embêtés de voir survenir un à un leur parent en plein milieu de leur jeu !!!
Et des parents qui arrivent un peu speed, de peur d’arriver en retard, (après les embouteillages dans Toulouse) de ne pas laisser trop longtemps leur enfant “à la garderie”, qui finallement attendent un peu, assis, que leur petite chose en finisse avec telle ou telle aventure. Rassurés d’une certaine façon de voir que leur arrivée ne rendait pas plus anthousiaste que ça ce soir-là.

Il n’y avait rien de préparer.
Mais autant dire que les petits, les rares occasions où ils me croisèrent par la suite, ils me reparlaient de cet après-midi avec la montagne. (leur maîtresse aussi, elle savait apparemment tout de ces aventures, du crocrodile, du monsieur rigolo…) Et de quand c’est qu’on refait la montagne, monsieur ? (tiens, j’ai du oublier de leur dire comment je m’appelais)

Et donc je finis par répondre à ta question : que peut -on faire avec des enfants de cet âge ?
Tout. Tout ce que l’on est capable de leur faire faire, tout ce que l’on est capable de comprendre, tout ce que l’on voudra bien comprendre de leur monde, de leurs attentes.
Juste en s’amusant, à leur hauteur.

Ces tapis, ils étaient certainement là depuis des années. Mais personne n’en avait fait une montagne.
Voilà de mon point de vue ce que devrait être l’animation avec les “maternelles”.

Aucun planning, aucune contrainte productive.

[ludou]

Pour aller dans le sens de ton dernier post, Solleana, et pour creuser un peu plus, j’aimerais souligner que quand je dis que l’imaginaire est une représentation du monde qui entoure l’enfant (ou l’adulte), c’est aussi (et surtout) une manière de palper son propre fonctionnement psychique (inconscient et tout ce que cela comporte). Et c’est là que le langage symbolique prend tout son sens. Mettre des images, des personnages, des situations sur des fonctions psychiques est fondamental dans le processus complexe de la construction psychologique. D’où mon grand intérêt pour les contes qui utilisent eux aussi ce langage symbolique (tout comme la mythologie par exemple).

Je vais peut-être un peu vite, mais c’est pour continuer d’argumenter en faveur d’un imaginaire qui ne soit pas une fuite de la réalité…

[solleana]

Effectivement le mot délire était mal choisi, je l’utilisais dans le sens d’une imagination pouvant apparaître comme délirante de la part de l’adulte… Cependant il me semble qu’il y a tout de même au sein du jeu un jeu entre le subjectif et l’objectif comme disait Winnicott, autrement dit aussi entre un espèce d’état hallucinatoire et des éléments de la réalité, des éléments qu’on peut appréhender réellement. Il n’hallucine donc pas totalement, il ne “délire” pas réellement parce que ces éléments hallucinatoires sont en jeu avec le réel véritable, il est dans cette aire intermédiaire ou transitionnelle dont là encore parle Winnicott.
De fait, un gosse totalement dans l’imaginaire ou l’hallucinatoire est incapable de jouer, il “habite” un monde où il lui est impossible de se retrouver dans cette aire intermédiaire, cette aire lui est interdite d’accès parce qu’il est incapable de “jouer” avec l’imaginaire et le réel , il n’est que dans l’imaginaire. De fait, il ne joue pas, il hallucine purement et simplement.

Par exemple parmi ces idées reçues sur cette pensée de l’enfant : – Elle serait magique ! – Elle serait égocentrique ! – elle serait nâïve. – Elle serait irrationnelle.

D’accord sur le prêt à penser que l’on fournit en formation BAFA maintenant pas d’accord sur tout. Magique, irrationnelle, naïve, ça je suis bien d’accord que cela est faux…
Par exemple sur le caractère égocentrique, peut-être que l’adjectif est mal choisi mais il y a dans le fonctionnement psychique de l’enfant une large dépendance au principe de plaisir. Alors effectivement ce principe de plaisir n’est peut-être pas de l’égocentrisme, sûrement pas d’ailleurs, mais je ne suis pas d’accord si l’on entend que l’enfant n’est pas égocentrique dans un sens où l’enfant n’est pas soumis au principe de plaisir…

[ludou]

Sinon : Evidemment pas d’accord avec Ludou :
L’imaginaire (…) (est) la seule et unique manière d’appréhender le monde qui nous entoure et de construire les représentations qui vont nous permettre d’agir ensuite sur cet environnement.

tu as peut-être raison. En effet, il y a aussi Mister Thomas Gradgrind, l’extraordinaire bonhomme créé par Dickens dans Hard Times : ” les faits, rien que les faits”

Mais là encore, je ne suis pas convaincu qu’il ne s’agisse pas d’un imaginaire. Un imaginaire relativement stérile et probablement assez morose, mais c’est tout de même l’image qu’il se fait du monde (ou qu’il veut se faire). C’est d’ailleurs assez fin comme roman, et tellement drôle et triste à la fois…

Si tu me permets de nuancer ma première phrase, je dirais plutôt que l’imaginaire est la première manière d’appréhender le monde, la plus immédiate, instinctive.

[moilapa]

Les enfants qui sont en plein imaginaires sont incapables de jouer…
Pourrais-tu développer cette idée ?

Sinon : Evidemment pas d’accord avec Ludou :
L’imaginaire (…) (est) la seule et unique manière d’appréhender le monde qui nous entoure et de construire les représentations qui vont nous permettre d’agir ensuite sur cet environnement.

[ludou]

bien sûr que l’imaginaire n’est pas un “délire”, j’espère que ce n’est pas ce que tu penses Solleana 😆

l’imagination, comme tu le dis Moilapa, ce n’est absolument pas une fuite, mais au contraire la seule et unique manière d’appréhender le monde qui nous entoure et de construire les représentations qui vont nous permettre d’agir ensuite sur cet environnement.

Evidemment qu’il revêt un caractère (et donc un langage) symbolique, et là par contre, nous sommes loin, mais alors très loin d’en comprendre tous les sens…

[solleana]

mais de prendre en compte que cet imaginaire qui peut paraître “incohérent” (du point de vue adulte) ne l’est pas. Et qu’un enfant “ne se réfugie pas” dans l’imaginaire, comme on peut l’entendre fréquemment (sauf situation d’un enfant en danger d’une façon ou d’une autre) L’imaginaire n’est pas un refuge. Ce n’est pas une fuite dans un monde irééel.

Bien sûr, Winnicot avait montré déjà cela à propos du jeu où l’enfant à travers celui-ci va se situer dans des espaces transitionnels et où dans le jeu il va prendre des éléments de la réalité et les travailler, les tordre, les transcender dans une situation ayant du sens pour lui. Les enfants qui sont en plein imaginaires sont incapables de jouer…

[moilapa]

Pas en désaccord avec moi sur les deux idées, visiblement…
Puisqu’on dit la même chose au moins sur l’un.

Sur cette attention chez les enfants de cet âge :

Oui ; effectivement. Et j’ai déjà défendu cette idée sur le forum, à travers par exemple l’exemple tout con de la télé : vous voulez pas avoir des mômes de cet âge dans les pattes : vous les collez devant un film et ils seront scotchés facilement plus d’une heure (ce que faisaient les maîtresses du dernier claé où je suis allé jouer, plutôt que la froide récréation de 10 h)
Donc cette idée, que l’on peut entendre sur les formations Bafa notamment, est trop simplisiste.

Par contre, dans le cas de ce que vivent les animateurs Bafa qui se retrouvent face à des 3-6 ans, la remarque de Mistral est juste : c’est d’ailleurs la solution pour ces animateurs. Que de savoir les accompagner dans une “suite d’aventures”, où l’on va de “rebondissement en rebondissement”. Y compris (et c’est souvent la difficulté pour l’animateur) sur la proposition d’enfants (surtout). Et là, pour une fois, je taperais pas sur ces cons d’animateurs : c’est quelque chose de difficile. Que d’accepter de renoncer à plein de “certitudes”. Que d’abandonner un statut rassurant. Que de savoir être à la hauteur de ces enfants de 4 ans, de savoir réellement les écouter, de comprendre ce qu’est cette “culture d’enfant”, de voir ce qu’il y a de si captivant dans une fourmi, ou de savoir ce qu’il y a de cacher, par exemple derrière ce qui n’est finallement pas trois pauvres malheureux arbustes derrière le portillon où qu’on a pas le droit d’aller (sauf avec David, appremment) mais une forêt avec plein d’aventures, où on a déterré les pierres magiques (mais non : vous êtes cons les mômes : ce ne sont pas pierres magiques : ce sont juste des billes chinoises que j’avais chez mois et dont je ne savais quoi faire) cette capacité à jongler avec les données, les faits…
La difficulté à comprendre une autre culture, ce qui pourrait paraître comme une autre vision du monde, un autre rapport à ce monde, aux autres, un autre système de pensée. Et qui en fait est bien plus cohérent que l’on ne pourrait le croire. Si éloigné que ça de la “pensée adulte” ?

C’est en ça que je dis que l’imaginaire est déjà là. Ce n’est pas l’animateur qui crée cet imaginaire. Il peut par exemple crée la situation qui va dire “Ok , les mômes : allez-y ! On est chez vous, dans votre “partie” : lâchez-vous côté dragon qui nous attend derrière le tobboggan ou sous le parachute. E amenez-moi avec vous !”
Il ne fait que permettre aux enfants de faire ce qu’ils auraient fait en son absence !!!
Certes, en tant qu’animateur génial, je vais construire de méga décors (qui vont me valoir ma méga paie) méga costumes, méga scénarii… mais ce monde existait sans moi, avec bien moins de “moyens techniques”, à partir de rien en apparence.

On peut dire à la rigueur que dans telle situation l’animateur amène les enfants dans un imaginaire, mais il ne le crée pas : cet imaginaire, c’est celui des enfants. Il les accompagne dans leur propre imaginaire. Et il n’est là aussi, qu’un invité.
Ce qui fait que l’on ne peut y faire n’inporte quoi. Ce qui fait que ce n’est pas l’adulte qui en dicte les règles.
Ce qui fait qu’il faut dépasser ce fonctionnement “j’ai l’idée d’une animation, je prépare mon matériel, j’accueille, les enfants, j’amène l’atelier à son terme, je range le matériel” qui n’a pas sens avec des enfants de cet âge.

Et je n’utiliserais pas ce mot de “délire” parce qu’il ne me semble pas convenir.

Sur cet imaginaire enfantin :
“L’imagination enfantine n’est plus vue comme une fuite dans un monde irréel, mais comme un moyen d’apprendre, de formuler des hypothèses et de créer”. (tirer d’un dossier sur les avancées récentes s’agissant des connaissances sur l’enfant)

Il ne s’agit pas, comme avec le jeu, d’avoir la tentation en tant que “pédagogue” de vouloir “rentabiliser” chaque “recoin de l’enfance”, en créant par exemple des “jeux pédagogiques “!!!!!! (mais quelle connerie !!!)ou dans le cas de l’imaginaire de prétendre y trouver matière à “enrichir l’enfant”, mais de prendre en compte que cet imaginaire qui peut paraître “incohérent” (du point de vue adulte) ne l’est pas. Et qu’un enfant “ne se réfugie pas” dans l’imaginaire, comme on peut l’entendre fréquemment (sauf situation d’un enfant en danger d’une façon ou d’une autre)

L’imaginaire n’est pas un refuge. Ce n’est pas une fuite dans un monde irééel.
Et il ne s’agit pas de fuir le réel. Il s’agit de le comprendre, de l’interpétrer !!!!

Ce “les enfants de mater’ ne peuvent rester longtemps concentrés sur quelque chose” est une idée reçue. Comme il y en a bien d’autres dans l’animation (et plus généralement dans ce que l’on croit de l’enfance)
On les trouve généralement sagement bien rangés dans des fiches toutes prêtes sur les Bafa, du genre “l’enfant de moins de 6 ans” : voilà la liste des conneries que vous devrez retenir.

Par exemple parmi ces idées reçues sur cette pensée de l’enfant :

– Elle serait magique !
– Elle serait égocentrique !
– elle serait nâïve.
– Elle serait irrationnelle.

Naïve : bin non. “Les enfants sont cruels, obscènes, menteurs et cyniques”.
Egocentriques : Les moins de six ans sont égocentriques !! On a tous lu ce genre de phrases dans des beaux projets pédagogiques, on a tous fait l’expérience sur le terrain que cela était bien bien plus complexe que cela.

lire : “A quoi pensent les enfants” Sciences Humaines octobre 2010″

Pour apprendre combien Piaget par exemple s’est planté sur nombre de ses analyses sur ses observations des enfants.
Pour voir toute l’étendue de nos propres idées reçues, toute l’étendue de ce que… l’on ne sait pas grand chose…

[solleana]

En désaccord avec les deux points:

– Ils peuvent parfois rester particulièrement longtemps sur une activité pour peu qu’ils s’y soient investis en tous points: corporel, imaginaire, affectif… Ils peuvent ainsi passer énormément de temps à jouer à “Papa-Maman” mais il faut pour cela ne pas avoir une définition trop restrictive de ce qu’est l’activité.

– L’imaginaire n’est pas à utiliser ou à créer, ils “délirent” nettement plus que ce que les anims ont à proposer en général du genre: imaginaire princesse, imaginaire pirate, imaginaire indien…
Chez eux, le pirate s’assoit au fond de la classe puis mange au restaurant avec un crocodile qu’on aurait dit une princesse qui avait un ventre rose parce que le bleu c’est la police qui voulait attraper les voleurs…

[moilapa]

A cet age là, l’attention est limitée, ils aiment la variété, ne pas rester sur une longue activité. Il faut pas le voir comme une restriction mais plutot comme un moyen de faire plein de choses avec eux, pour les emmener ailleurs, dans une nouvelle histoire à chaque fois.

En tout point d’accord avec cette observtion.

Et pas du tout ici :

A 4 ans l’imaginaire est a utiliser tout le temps.

Il ne s’agit pas “d’utiliser” l’imaginaire, d’en faire quelque chose de productif…

Il ne s’agit pas ‘d’utiliser” mais de prendre en compte. Prendre en compte de ce que l’imaginaire est déjà là dans cette confrontation à des enfants de 3, 5 ans…

[Sarah Dupont]

Bonjour,

Je t’invite à consulter le site planet anim pour glaner quelques idées d’activités a faire avec des enfants de maternelle, et à prendre connaissance du petit chapitre de connaissance de l’enfant, afin de mieux te rendre compte de leurs attentes et leurs besoins.

Je suis pas pour l’idée du systeme solaire : ils ont déjà du mal à se situer dans leur quartier, alors dans l’univers…
Par contre sur la même base, un pendule avec les visages des enfants faits avec differents materiaux, me semble dejà beaucoup plus sympa.

A 4 ans l’imaginaire est a utiliser tout le temps.

Une activité d’expression corporelle peut être finalement aussi simple qu’une comptine avec des gestes 😉

A cet age là, l’attention est limitée, ils aiment la variété, ne pas rester sur une longue activité. Il faut pas le voir comme une restriction mais plutot comme un moyen de faire plein de choses avec eux, pour les emmener ailleurs, dans une nouvelle histoire à chaque fois.

[moilapa]

Salut Mielpops

Je veux bien essayer de t’aider, mais :

1) j’aimerais bien savoir comment tu as choisi ce pseudo

2) que tu précises ”il faut avoir des idées d’activtiés d’expressions corporelles et d’activités manuelles”

Sinon, pour les chaises musicales, ton option sans chaise et avec cris d’animaux et autres me semble effectivement plus intéressante que “la version classique”.

[mielpops]

[mielpops]

bonjour
voila je vais commencer à travailler dans un centre de loisirs avec des enfants agés de 4 ans. il faut avoir des idées d’activtiés d’expressions corporelles et d’activités manuelles. j’ai bien des idées mais j’ai peur qu’ils soient trop petits pour les faire. ex : chaise musical
ou pour la rendre plus attractif modifier les régles en mettant de la musique et l’arreter en leur demandant de se transformer en animal ou autre…=)
Pour les activités manuelles, j’avais fais faire a des 6-12 ans, des chateaux fort avec des boites a chaussures et ils laissaient aller leur imagination, ou un système solaire avec des boules en polyester du fil et des baguettes de bois …
qu’en pensez vous ? est ce trop difficile pour cette tranche d’age ? que faut il mieux faire ?

Merci beaucoup

[Auteur]

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