[ludou]

Salut,

waï, un déterrage de 11 ans ! Class 😀

jautissier a écrit :
Concernant la cigarette et l’utopie de vouloir les faire arrêté ( on parle de sécurité etc, je préfère qu’il fume devant moi qu’a des km).

même traitement pour les relations sexuelles ?

[gogogadget]

Bonjour,

Tu pourrais expliquer en quoi “l’alcool…je ne suis pas contre” ?? Et ta conception sur ce que ceci viendrait faire dans une colo ?
J’avoue que ça m’interpelle…
Du coup, j’ai un peu peur de ce que tu proposes dans tes veillées prévention. Tu peux nous décrire brièvement ce qu’il s’y dit ou fait ?

[Julien]

Salut,

Pour ma part je rejoins des posts plus bas,
au début du séjour je fais un point avec les jeunes en le rappelant les lois et les rêgles qu’on a mis en place pour les respecter (impliquant sanction). Du coup je demande à ceux qui ont ramené alcool ou drogue de venir me voir. Je garde l’alcool et leur rend en fin de séjour et je vais jeter avec eux la drogue dans les toilettes.
Concernant la cigarette et l’utopie de vouloir les faire arrêté ( on parle de sécurité etc, je préfère qu’il fume devant moi qu’a des km). De ce fait j’organise avec l’équipe encadrante des espaces et des temps aménagé ou cela ne met pas en péril le fonctionnement du séjour ( en temps informelle et seulement si assez d’animateurs sont présent sur le camps)
La drogue juste interdite.
L’alcool est pour l’instant toujours interdite, après je ne suis pas contre.. encore une fois je préfère encadrer qu’il le fasse dans mon dos. Le hic c’est comment le mettre en place sans inciter… Gros questionnement.

Je met en place souvent une veillée prévention. Ce que je propose commence à s’essoufler.. Auriez vous des idées?

[idir]

[Import]

Pour ceux qui laisserai passer ce genre de substance en colo,laisser moi vous dire que avec moi,ça passe pas.Faut savoir rester dans le cadre de la loi,et de la règlementation.A vous ensuite de comprendre les risques que vous encourez (je n’ai plus les peines de prison en tête,dommage) 😕

[Import]

Drogues.gouv

Histoire d’ouvrir ses yeux à la réalité, pour ne pas les fermer quand il sera trop tard.

[RANCHON]

Non on ne peut pas nier que la reglementation est parfois un peu vague… Mais ICI dans ce TOPIC je suis d’accord avec toi Matim… 😡

[Import]

Matim a écrit :
😡
Grrrrrr ..
Arretons les délires svp !
Faut arreter de dire n’importe quoi !!!
NON la reglementation n’est pas vague !
NON un directeur ne sera JAMAIS obligé d’assumer les “frais d’éducation” du enfant conçu en colo..!
Il faut une bonne fois pour toute couper court aux fantasmes et delires qui trainent depuis des années dans les colos et clsh.

maxime

Enfin quelqu’un de censé à ce niveau là…Heureusement que la réglementation n’ai pas vague,sinon v’la les problèmes que rencontrerai les directeurs/drirectrices et animateurs/animatrices en colo ou CLSH

Intevention très honorable Matim :thx:

[Matim]

La réglementation semble vague en effet à ce qujet…

par conséquent, s’il y a une grosse de déclarée et que l’on prouve que ça s’est passé dans ton centre… bon courage au directeur qui peut être contraint à assumer les frais d’éducation de l’enfant (cas extrême mais qui peut se produire)

😡
Grrrrrr ..
Arretons les délires svp !
Faut arreter de dire n’importe quoi !!!
NON la reglementation n’est pas vague !
NON un directeur ne sera JAMAIS obligé d’assumer les “frais d’éducation” du enfant conçu en colo..!
Il faut une bonne fois pour toute couper court aux fantasmes et delires qui trainent depuis des années dans les colos et clsh.
Tu te proposes d’aller jetter un oeil dans tes classeurs CRIDOC.. ben je te le conseille fortement oui.
Désolé si je suis un peu réac et en colère mais j’ai du mal là..

maxime

[seb29]

La réglementation semble vague en effet à ce qujet…
le tabac est interdit pour les moins de 16 ans….
la drogue est strictement interdite en France…

N’oubliez pas que nul n’est sensé ignorer la loi!!!!

maintenant le reste semble être vague…
ce qui est sur c’est que tu seras responsable des jeunes… par conséquent, s’il y a une grosse de déclarée et que l’on prouve que ça s’est passé dans ton centre… bon courage au directeur qui peut être contraint à assumer les frais d’éducation de l’enfant (cas extrême mais qui peut se produire)
bien sur si cela était interdit, ça retir un peu de responsabilité…

si quelqu’un veux des renseignements plus poussés qu’il me fasse signe, j’irai faire un tour dans mes classeurs cridoc…. :cass:

[Import]

Wildcat a écrit :
Voilà ce que moi, globalement je mets en place pour ces questions de drogue, sexe, alcool et clopes :

1. On a des camps avec des ados qui sont déjà des vrais fumeurs. Une utopie de vouloir les faire arrêter… Plutôt que de les voir aller se cacher dans les chiottes (et mettre le feu, attirer les copains par ce que l’interdit, c’est tentant, etc.), j’organise un coin dehors, libre d’accès en dehors des temps d’activités et repas. Pour les anims (et pour moi…), c’est pareil. Après on essaye de faire attention que les non-fumeurs ne deviennent pas fumeurs. Et là, je demande (et je le fais moi-même) aux anims un effort pour adopter une attitude cohérente face à la clope. On connaît le rôle-modèle de l’anim., et je ne veux pas que les gamins non-fumeurs voient leurs anims passer tout leur temps au coin fumeur.

2. Le shit, je le pose en interdit dès le début du centre (et je dis que c’est une cause de renvoi), car c’est la loi. J’explique aux ados qu’on fonctionne dans un cadre légal où détention de cannabis est interdit. Je laisse la porte ouverte aux débats, car on peut trouver une loi inadaptée, mais j’explique que pour protéger tout le monde, on se doit de fonctionner dans le cadre légal. Après, si des jeunes fument durant le séjour, je traite au cas par cas. Surtout je demande aux anims de ne pas fermer les yeux. On jette le shit et on voit ce qu’on fait avec le gamin selon les conditions.

3. Les relations sexuelles. L’adolescence, c’est l’âge des découvertes, certes… Maintenant, mon point de vue est assez clair là-dessus : le centre de vacances n’est pas lieu pour commencer sa vie sexuelle. Je crois qu’à cet âge là, l’acte sexuel est un moment important (même quand ce n’est plus la première fois). Je crois que c’est un âge où il faut prendre son temps et donc avoir du temps, avoir de l’intimité, et surtout en avoir envie. J’ai donc un disours dissuasif sur le plan des relations sexuelles en séjour. En plus, l’expérience m’a montrée que ce discours dissuasif était aussi un prétexte que pouvait utiliser les filles qui subissaient de la pression pour coucher alors qu’elles ne voulaient pas. Car c’est toujours plus facile de dire : “c’est interdit et je veux pas d’emmerdes”, plutôt que de dire : “Je veux pas parce que j’ai pas envie”, “Je veux pas parce que j’ai peur”, “je ne veux pas parce que tu ne plaît pas assez”. Après, je ne veux pas que ce soit un sujet tabou non plus.

Je te rejoins sur les points cité au dessus.C’est aussi ma façon de faire,et je reste assez ouvert sur le sujet.Je pense que ce ne sont plus des enfants mais des ados (en vois de devenir par la suite de jeunes adultes.

4. L’alcool (bière/cidre), je l’autorise en quantité minime, dans des conditions particulières, avec des ados que j’ai appris à connaître (donc pas le 2ème jour du centre). Je ne l’annonce jamais en début de séjour.

Par contre sur la citation du dessus,je suis contre.
Oki c’est des ados,mais je pense pas non plus que les alcools comme le cidre ou la bière ayent leur place dans un séjour d’ados.C’est un sujet qui reviens toujours dans les endroits où j’ai bosser lors des séjours d’ados!Moi j’ai pas trop d’avis,c’est avec l’équipe que l’on décide!Après je serai d’accord de définir une quantité (moi je fonctionne à pas plus de deux verres dans la soirée).Mais attention à ne pas les insités à boire pour boire… :non:

[Wildcat]

Voilà ce que moi, globalement je mets en place pour ces questions de drogue, sexe, alcool et clopes :

1. On a des camps avec des ados qui sont déjà des vrais fumeurs. Une utopie de vouloir les faire arrêter… Plutôt que de les voir aller se cacher dans les chiottes (et mettre le feu, attirer les copains par ce que l’interdit, c’est tentant, etc.), j’organise un coin dehors, libre d’accès en dehors des temps d’activités et repas. Pour les anims (et pour moi…), c’est pareil. Après on essaye de faire attention que les non-fumeurs ne deviennent pas fumeurs. Et là, je demande (et je le fais moi-même) aux anims un effort pour adopter une attitude cohérente face à la clope. On connaît le rôle-modèle de l’anim., et je ne veux pas que les gamins non-fumeurs voient leurs anims passer tout leur temps au coin fumeur.

2. Le shit, je le pose en interdit dès le début du centre (et je dis que c’est une cause de renvoi), car c’est la loi. J’explique aux ados qu’on fonctionne dans un cadre légal où détention de cannabis est interdit. Je laisse la porte ouverte aux débats, car on peut trouver une loi inadaptée, mais j’explique que pour protéger tout le monde, on se doit de fonctionner dans le cadre légal. Après, si des jeunes fument durant le séjour, je traite au cas par cas. Surtout je demande aux anims de ne pas fermer les yeux. On jette le shit et on voit ce qu’on fait avec le gamin selon les conditions.

3. Les relations sexuelles. L’adolescence, c’est l’âge des découvertes, certes… Maintenant, mon point de vue est assez clair là-dessus : le centre de vacances n’est pas lieu pour commencer sa vie sexuelle. Je crois qu’à cet âge là, l’acte sexuel est un moment important (même quand ce n’est plus la première fois). Je crois que c’est un âge où il faut prendre son temps et donc avoir du temps, avoir de l’intimité, et surtout en avoir envie. J’ai donc un disours dissuasif sur le plan des relations sexuelles en séjour. En plus, l’expérience m’a montrée que ce discours dissuasif était aussi un prétexte que pouvait utiliser les filles qui subissaient de la pression pour coucher alors qu’elles ne voulaient pas. Car c’est toujours plus facile de dire : “c’est interdit et je veux pas d’emmerdes”, plutôt que de dire : “Je veux pas parce que j’ai pas envie”, “Je veux pas parce que j’ai peur”, “je ne veux pas parce que tu ne plaît pas assez”. Après, je ne veux pas que ce soit un sujet tabou non plus.

4. L’alcool (bière/cidre), je l’autorise en quantité minime, dans des conditions particulières, avec des ados que j’ai appris à connaître (donc pas le 2ème jour du centre). Je ne l’annonce jamais en début de séjour.

Ce sont des questions sur lesquelles je continue à m’interroger, à discuter avec les collègues, avec les anims, avec les jeunes.
Je crois qu’il est important de protéger les jeunes face à des conduites à risques ou de pressions diverses exercées par les autres.

[Matim]

Dans ce genre de thématique le problème est qu’on se retrouve en sandwich entre :
D’une part LE CADRE légal . La loi, la reglementation, les directives etc …
Et d’autre part l’évolution, la réalité de terrain dans ce cadre. Les preventions, les aménagements, les compromis etc …

Les liens qui te sont donnés par saltimbanque te permettent d’avoir ce minimum qui est la CONNAISSANCE du cadre légal. Ensuite a chacun d’entre nous de nous positionner et d’élaborer nos projets péda et educatif en fonction de notre public et de nos methodes.
Sur un meme sujet, la clope par exemple, on aura peut etre pas le meme type de fonctionnement durant un sejours mais on aura la meme base légale : INTERDICTION, REGLEMENTATION , bref le cadre .

Alors justement sur ce cadre, les infos relatives à l’alcool c’est le code des debits de boissons et donc de la protection des mineurs .
Sur le tabac c’est la loi EVIN et la reglementation JetS plus restrictive
Sur la sexualité il faut reprendre le code pénal (majorité sexuelle, detournementde mineur, atteinte a la pudeur, viol, pornographie, débauche …) tout simplement car a part la mixité interdite a partir de 6 ans il n’y a rien de plus au niveau de JetS.
Sur la drogue c’est simplement la aussi le code pénal . (detention, usage, vente etc …)

Il existe un certain nombre de documents vulguarisés qui permettent une traduction du language juridique en mots “plus simples” … A disposition dans tous les bons centres d’information et de prevention (type CRIPS sur PARIS)
Salut

[Import]

pour la cigaret pas de reglementation. a part la loi sur l’inderdiction de vente au moins de 16 ans et l’interdiction de fumer dans les etablisement aceuilant des enfants.

la question est que fait ton pour les fumeurs de moins de 16 ans. acheter des cigaret pour eu serait t’il pas un infraction a la lois?

la majorite sexuelle est 16 ans mais ce qui nous degage pas de toutes responsabilité.
attention les relation anim’/ado car l’animateur a autorite sur le jeune est la sa peut dangeure. (il doit y avoir un dosier sur le site sur la sexualite et le jeune.

les drogue ne depande meme pas du resord du directeur car il sont interdite en france. un declaration doit etre faite.

[RANCHON]

Voici quelques liens d’autres Topics… :

– DIVERS
– Les Ados et la clope…
– Préservatif en camps d’Ado…
– La cigarette en camps d’Ado

Sinon au niveau des lois :

Je ne les ai pas sous les yeux je pourrais les rechercher si personne ne le fait avant moi…. mais

– 16 ans pour les alcools de 2ème catégorie (cidre, bière et vin), sinon 18 ans.
– Les salles réservées aux fumeurs ne sont accessibles qu’aux plus de 16 ans.
– La majorité sexuelle… ne peut en aucun cas être une porte ouverte…. A MEDITER…..

C’est quoi ta signature tirlibibi ??????
:coucou:

[tirlibibi]

oui moi aussi je veux des renseignements, meme si je sais que le dirlo va interdire l’alcool et la cigarette!

[idir]

Bonjour à tous,

Votre avis m’intérésse svp sur les themes TABAC DROGUES ALCOOL SEXE sur un sejour de vacances avec hebergement pour des 15-17 ans.

J’aimerais savoir svp ce que dis la loi sur ces sujets ( je trouve tres peu d’info) ; majorité sexuel ( garçon – filles) ??? consomation d’alcool pour des mineures 15-17 ans ??? y a t il des textes qui interdise les mineurs de fumer ??? bref….toutes les question que l’on peut se poser sur ces themes.

J’aimerais aussi connaitre votre expérience ( vécu) sur ces sujets : reaction – annecdote etc…

je vous remercie d’avance.
Idir. :thx:

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