Le summum s’agissant de démonstration
pour mes écrits : un thème “futur” (soit
“ce qui n’est pas encore”, soit juste tout) et
l’incapacité de “l’animateur”…
Face au vide, face à lui.
Face à la pensée, à l’imagination, au
sentier légèrement buissonnier…
Lea : A quel moment tu t’es posé la question
de ce que pourrait être un enfant de 3 ans ?
De ce qu’il pourrait attendre de ce lieu
de rencontre, où il va rencontrer ces Autres
proches et différents à la fois ?
Parler d’imaginaire, parler d’inventer,
penser un thème comme “le futur”…
c’est donner de la confiture aux cochons,
c’est donner de la créamousse aux animateurs…
Peut être qu’au fond cela n’a pas d’importance,
que de seulement vouloir faire remarquer à un
animateur ce qu’il peut y avoir de non-sens,
de totale absence de prise en compte de l’enfant,
la durée de vie d’un animateur approchant celle
d’un personnage secondaire dans Walking
Dead…
après lui non pas le déluge, mais un autre teubé…