[Images]

Moi j’ai plutôt vu des gens formés à des trucs (objectifs, projets, cases à remplir…) en oubliant le rapport à l’autre.

Je me suis mal exprimé. Je te rejoins sur les exemples que tu donnes. Mais tu seras certainement d’accord avec moi que ce que la plupart des animateurs cherchent ce sont des réponses toutes faites, comment réagir à tel comportement, comment agir dans telle circonstance, d’où le sentiment de ne plus avoir des animateurs mais des techniciens dépassé dès que la “machine” en face se dérègle.

Je ne jette pas uniquement la pierre aux stagiaires. Je déplore une dérive qui consiste à vouloir des réponses toutes prêtes sans vouloir se poser la moindre question. Je déplore que ces gens oublient (comme tu le dit) qu’ils ont en face d’eux des humains qui ne sont pas là pour se plier à leurs quatre désirs de socialisation, pédagogie, etc..

Oui certains jeunes ne sont pas capable de chambouler tous ce fonctionnement acquis de leur scolarité et ne sont pas -encore- capable de réfléchir par eux mêmes à leur action et cela arrange certainement nombres de directeurs qui y voient l’occasion de ne pas trop changer leurs habitudes et de formater l’animateur comme il le souhaite à grand coup de projet pédagogique, d’actions pédagogiques, de projet d’animation, de projet d’activité.

Sur notre structure, une autre animatrice recrutée il y a quelques mois à la quarantaine (décidément on a une équipe de vieux) et n’avais pas le BAFA, pourtant elle travaille avec des enfants en club puis en cantine depuis un certain nombre d’année. Pour elle passer le BAFA n’a été qu’une simple formalité au point parfois de reprendre les formateurs.

C’est bien gentil de vouloir a tout prix donner sa chance à tout le monde mais on oublie peut être un peu trop que certains qui ne veulent pas se creuser la tête, qui attendent que tous leur tombe cuit dans le bec n’ont tout simplement pas leur place auprès d’enfants.
Certes nous avons tous commencé sans expérience mais personnellement je n’ai jamais attendu personne pour me construire mes propres hypothèse, faire des tests, chambouler les idées reçus et pourtant lorsque j’ai commencé, j’étais encore au lycée et je n’ai passé le bafa que plus tard.

Je pense que c’est aussi aux équipes déjà en place de savoir repérer les gens qui peuvent faire de bons animateurs, des gens qui savent se poser des questions, des gens qui ont envie d’apprendre. Il est évident que c’est en baignant dans une ambiance de travail ou les collègues lisent, ce documentent, réfléchissent que ceux qui VEULENT évoluer le feront.

[anthony]

Quand je parle “d’enseignements donnés”, je ne veux pas dire “des activités pré-fabriquées prêtes à l’emploi”. Derrière l’enseignement on peut parler de “techniques d’apprentissage”, de “forum de discussion”… Et je te rejoins donc complètement quand tu parles de partage de connaissances. Et c’est en cela que je parle d’enseignement (de la célèbre formule “éducation de tous, pour tous et par tous…).

Nous sommes donc d’accord sur les techniques d’enseignement nécessaires à l’animation.

Concernant le topic, nous ne sommes pas (complètement) hors sujet car nous parlons du désir de formation des animateurs/directeurs exprimé dans la lettre ouverte par les “intellectuels” et de la pertinence de ce désir. 😛

[crevette76]

Images a écrit :
il y a cette idée reçu dans notre branche que le rapport à l’autre s’enseigne

on devient grave hors sujet je crois, mais j’sais pas où t’as vu ça ???

Moi j’ai plutôt vu des gens formés à des trucs (objectifs, projets, cases à remplir…) en oubliant le rapport à l’autre.
Ici même des gens qui ne parlent pas de leur public quand ils viennent chercher de l’aide, qui pensent objectif en terme d’acquisition de point, de diplôme ou de “remerciement” du chef en oubliant que l’objectif premier concerne peut-être leur public.
Sur le terrain une anim pro “ados” en vv formée BPJEPS qui avait peur des parents et esquivait tout contact avec eux ; un surveillant de piscine diplômé qui engueule les vacanciers cools autour de la piscine pour quelquechose dont ils ne sont en plus aucunement responsables ; un animateur formé et expérimenté qui me fait un regard affolé quand il voit que parmi les mômes de mon groupe se sont “infiltrés” deux mamans avec des “trop petits pour avoir le droit” ; etc, etc…
M’étonnerait que le relationnel soit “enseigné” ; si c’était le cas on pourrait déceler des failles bien sur, mais d’une autre teneur.

Voila en quoi ces formations n’ont pas de sens : les stagiaires y viennent pour avoir des réponses toutes prêtes à des questions pratiques

Et que leur donnent les formateurs ?
Un peu facile de jeter la pierre aux “stagiaires”, non ?

Un jeune tout frais sorti du système scolaire et vivant dans la société actuelle a rarement un recul assez solide pour chambouler le fonctionnement auquel il a été habitué et dans lequel il baigne depuis si longtemps…
J’me demande bien qui pourrait prétendre faire partie de ceux qui sont censés l’aider à prendre ce recul… 🙄

[Images]

Les diplômes ne sont pas forcément un formatage du moment que l’on a un esprit critique assez développé

même pas besoin de contre argumenter puisque tu écris dans la foulée

et que l’on est prêt à recevoir les enseignements donnés.

En dehors des quelques aspects réglementaire qui asphyxient l’animation (entre autre) il y a cette idée reçu dans notre branche que le rapport à l’autre s’enseigne comme dans ces écoles qui forment des animateurs à avoir de bonnes relations avec le client (cf. une émission de la série “Tellement vraie”).

Ta vision de la formation (dans l’animation en tout cas) est déjà erronée puisqu’il ne s’agit en aucun cas d’enseigner mais de partager des connaissances et de réfléchir ensemble à sa place sur le terrain.
Voila en quoi ces formations n’ont pas de sens : les stagiaires y viennent pour avoir des réponses toutes prêtes à des questions pratiques (encore une fois consulte tous les sujet de recherche à l’aide sur ce forum).

J’en ai fait les frais il n’y a pas longtemps en voulant mettre en place un forum de rencontre et d’échange avec d’autres animateurs sur la communauté de commune ou je travaille. Nous ne fûmes que quatre : ma collègue, une assistante maternelle, une directrice de centre, et moi même… Devant cet échec j’ai cherché à savoir pourquoi les animateurs ne s’étaient pas déplacé et la réponse fut : on va pas perdre du temps à réfléchir sur notre métier, nous on veut savoir comment faire une activité pâte à sel ou comment gérer un conflit entre enfants…

Voila encore une fois la logique de l’animation (à quelques rares exemples)

[anthony]

C’est vrai que j’ai un peu foncé dans des généralités. et qu’il est facile de faire des généralités dans les deux sens. Mais du coup on ne peut pas être aussi catégorique dans un sens ou dans l’autre.

On ne peut pas parler de “diplôme à la con” ou de jeunes complètement incompétents. Tout comme le senior n’est pas forcément imperméable à la notion de grands jeux ou de projets. Il y a des efforts à faire des deux côtés.

Les diplômes ne sont pas forcément un formatage du moment que l’on a un esprit critique assez développé et que l’on est prêt à recevoir les enseignements donnés.

[Images]

Mais de là à dire qu’elle est plus compétente qu’un jeune qui a eu son BAFA, je trouve que cela va un peu loin.

Elle ne raisonne pas d’après des objectif pédagogique, elle est à mille lieue de la logique de projet, la seule chose qui lui importe c’est d’être avec les enfants ici et maintenant et de construire avec eux, de les écouter, de leur parler de tous ce que la vie à pu lui apporter, combien de jeunes sont capable de ça une fois formater par le BAFA ou tout autre diplôme de l’animation ?

Mais le jeune formé est en possession de compétences, de connaissances et de techniques d’animation que ne possède pas le non diplômé!

Je te laisse parcouris les nombreux sujet “Help” et autre “cherche activité” pour voir cette fameuse compétence… Tous ce que les jeunes possèdent à la sortie de ces diplome c’est une vision formaté de l’animation qu’il faut ensuite déconstruire et ça bien peu en sont capable pour la simple et bonne raison que ce processus est destructeur pour la personne (quel bonheur de nager dans le sens commun).

Et pour finir, c’est peut être un point négligeable mais être diplômé cela permet d’être légitime aux yeux des familles..

En 10 ans on a du me poser la question 2 fois je crois… De plus, les parents sont loins d’être aussi cons qu’on se plait à le croire, eux aussi bossent et tirent très souvent le même constat sur la relation entre le diplôme et la compétence.

Sinon jéjé on ne vit peut-être pas dans le même monde : des gens “trop” diplômés dans le milieu j’en ai jamais croisé moi sur le terrain ; pourtant j’ai bossé avec un bon nombre de personnes mine de rien.

Non je ne pense pas non plus que les “sur-diplomé” soient légions dans l’animation et ce n’est pas ce que je voulais dire.

[crevette76]

C’est pas parce que je n’ai PAS le bafa que je ne sais forcément pas monter un grand jeu ou gérer 20 mômes en camping…

Ce n’est pas parce que je n’ai PAS de formation en cuisine (pas même un BEP ou même une formation de trois jours) que je ne sais forcément pas faire de la pâte feuilletée maison et du tatin de cabécou…

Peut-être que la cinquantenaire sans bafa elle est capable d’avoir des hobbys, de se cultiver, de s’auto former… comme certaines autres personnes de tout age.
Et peut-être qu’avoir “décroché” le bafa ne garantit absolument pas que le titulaire saura être force de proposition d’animation ou simplement avoir un contact humain avec les mômes.

Les généralités, on peut les éviter dans les deux sens 🙄

Sinon jéjé on ne vit peut-être pas dans le même monde : des gens “trop” diplômés dans le milieu j’en ai jamais croisé moi sur le terrain ; pourtant j’ai bossé avec un bon nombre de personnes mine de rien.

[anthony]

Plusieurs choses m’interpellent…

les diplômes priment sur la compétence et la valeur de l’engagement, ou les passionnés laissent leur place à des techniciens qui apportent au final une vision intellectuelle mais sans âmes…

Je suis d’accord que dans certaines circonstances et pour certaines personnes, les diplômes peuvent prévaloir sur les compétences et l’engagement. Mais ce n’est, heureusement, pas toujours le cas! Et le fait de suivre une formation longue comme le BPJEPS implique justement d’être beaucoup plus engagé dans l’animation que ne le demande une formation courte comme le BAFA! De plus, ils est nécessaire de se former pour se tenir au courant des nouvelles visions, des nouvelles recherches et des nouvelles techniques pour être performant, efficace dans son métier.

on vient de recruter une dame de 55 ans qui n’a pas le BAFA…

Là aussi cela m’interpelle. C’est très bien d’avoir recruté un “senior” qui n’est pas diplômé. Mais de là à dire qu’elle est plus compétente qu’un jeune qui a eu son BAFA, je trouve que cela va un peu loin. Certes, le BAFA est parfois donné facilement. Mais le jeune formé est en possession de compétences, de connaissances et de techniques d’animation que ne possède pas le non diplômé! Ce n’est pas parce que je sais faire cuire des oeufs au plat que je vais aller ouvrir un restaurant! Ce n’est pas parce que je sais dévisser le siphon de mon évier que je vais m’installer en tant que plombier!
En plus, le jeune (ou le vieux!) qui a passé le BAFA aura effectué un stage où il est censé avoir un suivi afin de corriger ses éventuelles erreurs, pour parfaire son expérience.

Ensuite la formation permet de mettre en lumière certains points de réglementation qui sont indispensables de nos jours dû à la procédurisation des familles. (Oui, j’ai inventé un mot.)

Et pour finir, c’est peut être un point négligeable mais être diplômé cela permet d’être légitime aux yeux des familles…

[Images]

Non, cette lettre n’est pas une utopie mais malheureusement la triste réalité du secteur de l’animation aujourd’hui : un secteur ou évolue de plus en plus de savant, de théoriciens, de technicien…
Le signataire de cette lettre ne cherchent ils pas en fin de compte à faire comprendre que leur place était dans les comités de recherches de la réforme ? un petit problème d’égaux de la part de ces “chercheurs” vexés de ne pas avoir été consultés à mon avis…

Je suis ensuite d’accord sur les notes se rapportant aux diplômes. Mais j’ai envie de dire… Qui paiera les diplômes? Les collectivités? Les animateurs/animatrices?

C’est marrant, j’en parlait justement avec un professeur d’Histoire détaché dans un mémorial de la déportation près de chez moi. Au sujet de la transmission de la mémoire (sujet d’un documentaire que je suis en train de tourner). Il me disait que le mémorial était une petite structure avec quelques salariés mais que de plus en plus, les centre mémoriaux devenaient de véritables entreprises où les diplômes priment sur la compétence et la valeur de l’engagement, ou les passionnés laissent leur place à des techniciens qui apportent au final une vision intellectuelle mais sans âmes… un peu ce qui se passe chez nous aujourd’hui…

Je ne renie pas les diplômes ni le fait de vouloir gagner sa vie avec sa passion mais encore faut il que la passion soit vivante et bien présente.

Le souci des diplômes BAFA et BAFD existe quand même (un peu). Ce sont des diplômes à formation courte pour des animateurs/animatrices/directeurs/directrices occasionnels.

Il semblerait donc cohérent que lorsque l’on devient professionnel on passe des diplômes un peu plus complets.

Cela ne remet cependant pas en cause la compétences des titulaires de BAFA ou BAFD!

Sur la structure ou je travaille, on vient de recruter une dame de 55 ans qui n’a pas le BAFA… on est coincé avec la put*** de réglementation de J&S au niveau des taux d’encadrement alors que cette dame (par ailleurs mère et grand mère) est 100 fois plus qualifiée qu’un gosse de 17 ans avec le bafa… voila où en est cette logique de diplome à la con.. on ne s’appuie pas sur une envie, un savoir faire, non, on s’appuie sur un diplôme (le bafa en l’occurence) sans valeur et distribué à tour de bras sans le moindre discernement mais qui permet à un jeune qui n’a jamais vu d’enfant de sa vie d’encadrer un groupe alors qu’une respectable mère de famille, grand-mère, (qui bosse dans la cantine du village depuis X années) ne le peut pas.

Voila la logique de l’animation

[anthony]

Le souci des diplômes BAFA et BAFD existe quand même (un peu). Ce sont des diplômes à formation courte pour des animateurs/animatrices/directeurs/directrices occasionnels.

Il semblerait donc cohérent que lorsque l’on devient professionnel on passe des diplômes un peu plus complets.

Cela ne remet cependant pas en cause la compétences des titulaires de BAFA ou BAFD!!

[XXYYZZ]

Avé à tous
C’est vrai que cete lettre est un peu utopique, mais l’utopie peux être utile.
Je suis d’accord avec la majorité des éléments contenus dans cette lettre ouverte,
Par exemple laisser la possibilité à l’enfant de ne rien faire ou de discuter avec ses copains.
L’animateur est présent, il peux proposer, aider mais n’impose pas. Je rajouterai l’instalation de « coins » où l’enfant pourrait se rendre, presque quand il veut pour pratiquer l’activite de son choix. Exemples : coin lecture, coin peinture ( peinture libre bien sur), musique, histoire, bricolage , découpage collage, petite construction.

Je pense aussi qu’un accueil périscolaire n’est pas l’école; Vouloir, à touts prix des objectifs éducatifs, imposés par l’adulte est une dérive de l’animation.

Oui aussi à ce passage:
“L’animation socioculturelle a pour vocation de permettre à chaque enfant d’être auteur de son temps, de lui donner les outils pour être acteur de sa cité, ou de sa commune, et de développer son individualité et sa personnalité.”
Je rajouterais tout de m^me, permettre aussi à l’enfant de s’ amuser.

Par contre je suis plus « partagé » sur les diplômes. Je ne suis pas certain que demander des diplomes plus élevés va augmenter la qualité de ses accueils. Un diplôme ne fait pas forcément un bon animateur ou un bon coordinateur. je connais des BAFD plus compétant que des BPJEPS ou même des DEJEPS. La réflexion, l’esprit critique,la volonté, l’expérience sont pour beaucoup dans la qualité d’un animateur.

Le coût de ces formations est effectivement un obstacle, mais on peux diminuer ce coût en tentant les dites formations en VAE, du moins pour les personnels qui ont déjà de l’expérience.

[anthony]

C’est vrai que cette lettre veut défendre de belles valeurs… Elle est pleine d’idéaux, je dirais même d’utopies.

Images en a souligné quelques unes. On pourrait continuer avec le

“Si l’animation socioculturelle n’est pas un suppléant de l’école, elle n’est pas non plus un mode de garde pour les parents.”

Concrètement, les ALSH et ALAE SONT des modes de garde pour les parents. Et c’est facile à vérifier. Il suffit de leur poser la question! Ou de leur demander quel est le programme de la journée… En effet, quand les parents mettent leurs enfants dans un endroit autre que pour de la garderie, ils savent ce que font les enfants (du sport, du théâtre, de la musique…)

Je suis ensuite d’accord sur les notes se rapportant aux diplômes. Mais j’ai envie de dire… Qui paiera les diplômes? Les collectivités? Les animateurs/animatrices?

Il y a cependant, de bonnes idées, globalement, dans cette lettre.

[michmuch]

Étrange lecture du texte, je ne suis pas sûr de bien comprendre tes objections…

[Images]

mouais.. pas convaincu par cette requête… d’autant plus qu’elle arrive surement très (trop) tard…

la possibilité pour les enfants de sortir de
la logique scolaire, hors du temps de l’école, est un enjeu social important

Lueur d’espoir… mais… quelques lignes plus loin….

Nous pensons que les animateurs et animatrices proposent des activités aux enfants parce que celles-ci sont l’occasion de
construire les citoyen.ne.s ou d’ouvrir les enfants à des réalités qui en feront des citoyen.e.s du monde

Voila qu’on remet les deux pieds dans la logique du socio-culcul…

Et ceci malgré leur (les animateurs) fonction socialisatrice et leur capacité à réinscrire des enfants
ballotés dans une logique d’insertion.

Ah bon ? depuis combien de temps n’ont ils pas mis les pieds dans un ACM ? Ou la fonction sociolisatrice quand tout les enfants ont le choix entre le PRV et le collier de nouille ? Ou est la fonction socialisatrice quand les enfants n’ont pas le droit de se construire une cabane dans la cour du centre ? ou est la fonction socialisatrice quand il faut à tout prix séparer ceux qui rigolent un peu trop ensemble histoire d’éviter qu’ils fassent des bêtises ?
Tout cela n’a aucun sens et est à mille lieue de la réalité qu’ils pensent défendre.

Cette réforme est l’opportunité pour repenser les activités périscolaires comme un espace différent de celui de l’école
permettant à celle-ci de ne pas occuper la seule place de socialisation légitime

Tient, on retrouve encore ce complexe d’infériorité face à l’école… cette jalousie qui anime bien des projets tendant à prouver qu’on est aussi bien que des instits…

tout comme les fonctions d’expertise, de recherche et d’organisation à des échelles plus
importantes seront assurées par des titulaire d’un niveau I (Master) ;

Désolé pour toutes celles et ceux qui n’ont pas un master ici : la place de la réflexion et de l’expertise est réservée… Je me demande si c’est pas le lion du 34 qui a écrit ça…

[Shaaa]

Fait.

[eugene]

Merci pour l’information et le lien j’espére qu’il y aura une réponse de la part de la ministre

[erenault]

Merci pour le lien.

C’est peut-être un peu tardif :roll:, notamment pour les collectivités qui se dirigent vers la modification dès septembre (c’est le cas de la ville dans laquelle je bosse).

espérons que cet appel soit entendu.

[michmuch]

[michmuch]

34 chercheurs du champ de l’animation vont envoyer une lettre ouverte à la ministre de la jeunesse et des sports et au ministre de l’éducation nationale afin d’alerter sur la situation des animateurs professionnels dans la réforme des rythmes scolaires. Il ne s’agit pas de s’opposer à cette réforme, mais de faire des propositions. Le texte est disponible ici.
Il est possible de soutenir le texte en signant la pétition de soutien en allant ici.
Il est aussi possible de se rendre sur le site du musée de la colo et d’envoyer un message à l’adresse : contact@lemuseedelacolo.fr

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