lalalalalalalalalalalala!
tsoin tsoin!
Et ben ça tombe bien tout ça, j’ai acheté un nouvel autoradio aujourd’hui ! 😀
Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C’est pour les vivants
Un peu d’enfer,
Le Connemara.
Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C’est le décor
Du Connemara.
Au printemps suivant,
Le ciel irlandais
Etait en paix.
Maureen a plongé
Nue dans un lac
Du Connemara.
Sean Kelly s’est dit :
“Je suis catholique.
Maureen aussi.”
L’église en granit
De Limerick,
Maureen a dit “oui”.
De Tiperrary
Bally-Connelly
Et de Galway,
Ils sont arrivés
Dans le comté
Du Connemara.
Y avait les Connor,
Les O’Conolly,
Les Flaherty
Du Ring of Kerry
Et de quoi boire
Trois jours et deux nuits.
Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix du silence.
Là-bas, au Connemara,
On dit que la vie
C’est une folie
Et que la folie,
Ça se danse.
Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C’est pour les vivants
Un peu d’enfer,
Le Connemara.
Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C’est le décor
Du Connemara.
On y vit encore
Au temps des Gaels
Et de Cromwell,
Au rythme des pluies
Et du soleil,
Au pas des chevaux.
On y croit encore
Aux monstres des lacs
Qu’on voit nager
Certains soirs d’été
Et replonger
Pour l’éternité.
On y voit encore
Des hommes d’ailleurs
Venus chercher
Le repos de l’âme
Et pour le cœur,
Un goût de meilleur.
L’on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,
Où les Irlandais
Feront la paix
Autour de la croix.
Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix de la guerre.
Là-bas, au Connemara,
On n’accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d’Angleterre…
Bien sur vous ne pourriez comprendre
Ce que cette âme était pour moi
Un parterre de fleurs d’oranges
Allongé la tout contre moi
Ce fut par une nuit blanche
Passant par là, passant par là
Je pleurais sans me faire entendre
Pour quelque amour d’autrefois
Si le bonheur vous laisse en berne
Il peut venir du coin d’un bois
Et prendre du destin les rênes
Ecoutez moi, écoutez moi
Moi j’voudrais juste qu’on m’apprivoise
Qu’on m’apprivoise,
Moi j’voudrais juste qu’on m’apprivoise
Qu’on m’apprivoise,
Sans me juger, sans me blesser
Sans me chasser, sans me garder…
Je la vis comme on lit un poème
Elle se coucha non loin de moi
Plus de larmes, plus de rengaines
Elle était là , elle me fit roi
Dès lors chaque jour, chaque heure
A petits pas, à petits pas
Elle vint faire oublier les haines
Et le chagrin, le désarroi
REFRAIN
Je la pris un jour dans mes bras
Ses petits yeux posés sur moi
Firent d’elle la plus belle
Tu m’apprivoises, me voilà
Mais comme le vent se lève
Un jour de-ci, un jour de-là
Des heures d’attentes vaines
Me firent craindre le trépas
REFRAIN
Bien sur vous pourriez comprendre
Si mon bonheur pas à pas
Vous frôlait le corps et le coeur
Cette petite âme si chère à moi
Si le bonheur vous laisse en berne
Il peut venir du coin d’un bois
Et prendre du destin les rênes
Ecoutez-moi, écoutez-moi
Non dit non mais non mais dit donc,
dit moi le donc, ce non-dit là.
Ce nom d’ici dit le moi donc
Non dit non mais non mais dit donc,
N’attendons pas d’être plus là,
pour me racconter tout cela.
Depuis jamais qu’on se le dit,
les années passent sans merci.
Si l’on se frôle c’est déjà ça,
chacun son rôle, pas plus que ça.
R/
On s’est menti autant de fois,
que l’on se disait tout cela,
Tous les matins et les midis
et toute la semaine aussi.
C’est ridicule mais c’est comme ça,
si l’on recule on voit tout ça.
On voit s’éteindre dans le ciel,
les étoiles et les arc-en-ciels.
On verra bien, tu me disais,
ce que cela fera après,
dans le lit de tous les non-dits
sommeille tous nos paradis.
R/
Pris on s’dira c’qu’on voulait pas
se dire mal où ça fait là.
tu sais les enfants, c’est comme ça
dira pas dira, dira pas
mais quand dira ça fera là
mal à mon estomac
N’attendons pas d’être plus là,
pour me raconter tout cela.
N’attendons pas d’être plus ici
pour me raconter tout ceci.
Ceci cela s’envolera,
et vite s’oubliera.
Non dit non mais non mais dit donc,
Non dit non mais non mais dit donc,
dit moi le donc ce non-dit là
dit moi le donc
ce nom d’ici dit le moi donc
dit le moi donc
Non dit non mais non mais dit donc
Quand je serais grande je serais voleuse
J’ai d’jà commencé c’est assez marrant
J’dois avoir le don et la main heureuse
Le doigté précis et l’oeil vigilant
Je m’suis bien juré de voler de tout
Voler pour voler pour l’amour du geste
Faire sa difficile c’est manquer de gout
On peut être douée et rester modeste
Faut pas croire pourtant que j’manque d’ambition
Je m’f’rai les palaces ,les soirées mondaines
A ceux qu’ont du fric tirer du pognon
C’est assez moral et ça paye ça paye
Je vol’rai des billes de la becadille
Des oui et des non pour le grand frisson
J’volrai des trucs des engins caducs
Des machins bizares et des oeuvres d’art
J’prendrai sans remort leur bagouses aux morts
Et bien entendu leur corde aux pendus
En volant le beurre et l’argent du beurre
Je ferai mon profit du bien mal aquis
La petite voleuse n’a qu’une loi
Ce qui est à toi est à moi
J’aurai un costume velour et satin
Noir comme la nuit faut rester discrète
Un loup sur le nez et des gants aux mains
Moitié Fantomas moitié Fantomette
Comme une référence pour les tirelets
les vide gousset et les monte en l’air
j’me vois assez bien traité comme une reine
secrète et rusé par la pègre entière
Mais toujours seule comme sont les vrais fauves
J’partagerais pas j’garderais le butin
Et je ne serais et tant pis pour les pauvres
Ni Robin des bois ni Arsène Lupin
J’volrais du fer blanc de l’or des diamants
Des bijoux des chaines le collier d’la reine
J’volrais surement l’orange du marchand
Pour porter bonheur à un raton-laveur
J’volrais encore le jour de ma mort
Tous les porte-feuilles d’la famille en deuil
En volant le beurre et l’argent du beurre
Je ferai mon profit du bien mal aquis
La petite voleuse n’a qu’une loi
Ce qui est à toi est à moi
Et si viens un jour où jme fais coincée
Devant l’tribunal je m’démontrais pas
Je n’ai que le gout messieurs les jurés
Du travail bien fait et d’l’artisanat
Que nous dit le monde si nous l’écoutons
La bourse ou la vie et les mains en l’air
Ainsi font font font les fonds de pension
Les marchands du temple et leurs actionnaires
Faut pas s’étonner que ca fasse des envieux
On n’a pas besoin d’tout cet étalage
A force de dire « moi aussi j’en veux »
On va tous finir dans le cambriolage
On volera des billes, des baisers aux filles
Des petits bonbons, des bombes à neutron
Passez à la caisse on prend que les espèces
Et à l’occasion quelques stock option
Qu’on soit voleur ou spéculateur
On met nos arnaques dans le même sac
En volant le beurre et l’argent du beurre
On fait son profit du bien mal aquis
La petite voleuse n’a qu’une loi
Ce qui est à toi est à moi
…
Ce qui est à moi est à moi
(Quand je serais grande je serais voleuse
J’ai d’jà commencé c’est assez marrant
J’dois avoir le don et la main heureuse
Le doigté précis et l’oeil vigilant)
Si j’ai du caractère
Un sacré tempérament
Qui ont valu à ma mère
Du souci et des tourments
C’est que j’ai dans les artères
Le tanin et les pigments
Qui font le sang de la terre
Comme la lave d’un volcan
Je suis la fille du vent
Qui traverse les montagnes
Je tourmente les passants
En faisant voler les pagnes
Je défie tous les courants
Toutes les stars de cocagne
Qui passent en rêvant
De platine et de champagne
Si j’ai du caractère
Un sacré tempérament
Qui ont valu à ma mère
Du souci et des tourments
C’est que je tiens de mon père
La passion et l’engouement
Qui font guincher les chaumières
Et s’enlacer les amants
Je suis la fille du vent
Qui traverse les montagnes
Pour violenter les passants
Les villes et les campagnes
Je me méfie des couvents
Et des dieux portant le pagne
Car je porte en mon sang
Toutes les plaies de l’Espagne
Si je suis entière
Et que je vais de l’avant
Sans écouter de mon père
Les avertissements
C’est que’ comme ma mère
J’ai reçu en naissant
La lueur de l’éclair
La force du vent
Moi qui suis sa fille
Je porte la folie
Des belles de Castille
Ou bien d’Andalousie
Je tiens de ma famille
Ce qu’aujourd’hui je suis
Je pointe mes banderilles
Face aux dangers de la vie
Car j’ai du tempérament
Ce foutu caractère
Qui font dire à mon père
Que je suis son cheveu blanc
Que je suis son cheveu blanc
Taille-moi les hanches à la hache
J’ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s’il-te-plaît
Croque moi les os, s’il le faut
C’est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes tout petits seins
S’insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges
C’est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m’embrasser pour me le couper…
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c’est du chocolat chaud…
Un jour je vais m’envoler
A travers le ciel à force de gonfler…
Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat…
Taille-moi les hanches à la hache
J’ai trop mangé de chocolat…
ayé g les places je vais voir olivia ruiz 🙂 🙂 🙂 🙂
je confirme, dur de chercher, de trouver, et des fois, grosse flemme…
c’est chiant, hyper chiant de chercher un taf !!
saltimbanque a écrit:
Oui c’est connu ça MathU…
Je sais bien mais ça m’amuse encore!
solleea a écrit:
moi j ai un scooooooooooooooooooop
…
Et donc c’était “ça” ton scoop ????
Woaw ! ça valait le coup d’attendre un peu 😀
j ai envie de faire pipi
D’accord….
alors il va falloir le prouver !!!
(niark niark niark !)
Ah?
Bon ben je suis encore plus désolé alors… 😀
Oui c’est connu ça MathU…
solleea a écrit:
je peux jouer aussi au dialogue de sourds?? :content:
Bien sûr !!!
petit mode d’emploi :
😀
Mathu : je te rappelle que je sais lire les contenus “invisibles”… 😳
AAAAAhhhhh d’accord!!!!!
Mais j’ai dit désolé…
Chebs t’as raison toutes des …