amie de la poésie bonsoir
J’ai pas encore mes règles non ….lol
muse59 a écrit:
Coraline merci tu viens de m’apprendre une chose sur mon groupe préféree…..ironie biensur,ca je le savais merci bref je vais pas me justifier a chaque fois …si ? moi je pense pas je l’ai dit une fois c’est bon je pense!!!
t as tes regles ou t es juste de bone humeur?
Coraline merci tu viens de m’apprendre une chose sur mon groupe préféree…..ironie biensur,ca je le savais merci bref je vais pas me justifier a chaque fois …si ? moi je pense pas je l’ai dit une fois c’est bon je pense!!
Poètomane moé ca me va alors
Bon courage popov !!!
la vache, solleea tu viens de retrouver brice avant sa période surf !!!
(oui ok, c’est nase, je m’autoflagelle et je vais faire une lessive)
Ouh ouh !!!
J’arrive à votre rescousse les gars !!!
On quitte le Nawak une semaine et ça devient n’apporte quoi à tel point qu’on comprend plus rien … Ya des blagues sur les marques de pâtes, des vizirs qui veulent devenir calife à la place du calife, on parle d’animaux, … Le bordel quoi !!!
Bon aller … je m’attaque au 30 pages qui me manquent … A dans 2 heures …
poètomane?
et Muse tu crois qu’ils ont choisis leur nom de groupe comment???
Crevette je t’ai dejà dit que mon pseudo ne venait pas de tous tes poètes etc….
puisque muse est pétomane, je comprend maintenant pourquoi les poètes préfèrent ne pas être inspirés…
Bon que ce soit bien clair …..
En tant que nordiste je ne suis ni alcolo, ni une tantouse et tous ce que vous croyez…
Alors proute ca suffit les préjugées de proute sur les nordistes hein
Bon euh pavot non je ne suis pas déçu des mecs mon mien est très bien 😉 et puis bah nan jsui pas guines ze vais pas me mettre avec toi je vais me méfier mtn de toi si tu veux de moua hein euh bon ………..
C koi cette photo de ma chatte explik a tata
oui pardon j’avais oublié que tu étais du nord
t’es pas déçue des mecs toi !!
Si moilapa se met aux mecs, je me mets mets aux filles… à moins qu’on se mettent ensemble.
Dis muse t’as pas une photo à me prêter que je mette en avatar… pas ton chien stp Ni ta chatte. (ça t’apprendra à me dire que je suis frigide lol)
Euh les ch’ti ne sont pas des tantouses d’abord ralalalala
Ben non c’est des alcoolos ils peuvent pas tout faire…
Pavot c’est inquiétant que tu trouve que presque tout les mecs sont des tantouses …..lol
Euh les ch’ti ne sont pas des tantouses d’abord ralalalala
et aussi ceux donbnt la rue à un nom de philos^phes! celà c’est les pires!
oué, comme la plus part des mecs dans ce bas monde… des Tantouses !
Surtout les bretons les normands, les picards, les chti, et les parigots !
Hooooo y a tantouse aussi …………
tu veux dire qu’en itinérant il vaut mieux aussi avoir un homo et un mouchard ?
ps : tata ccil est donc un mec, c’est bien c’que je disais !!!
TANTE, subst. fém.
A. − [Lien de parenté]
1. Sœur du père ou de la mère. Synon. (lang. enf.) tantine (infra dér.), tata1. Nous ne faisons aucune différence entre des oncles et tantes maternels ou paternels, ainsi qu’entre des cousins parallèles ou croisés. Pour les Australiens, ces discriminations sont d’importance vitale (Lowie, Anthropol. cult., trad. par E. Métraux, 1936, p. 298). Après la mort de sa mère on l’avait laissé repartir pour Paris (…) tante Aline, la sœur de sa mère, avait demandé qu’on lui confiât Juliette (Triolet, Prem. accroc, 1945, p. 10).
2. P. ext.
a) Épouse du frère du père ou de la mère, c’est-à-dire de l’oncle. Ce naïf comte de Château-Mailly, ou madame Malassis, cette veuve intéressante qui aspire à être sa tante par alliance (Ponson du Terr., Rocambole, t. 2, 1859, p. 327).
b) Arrière-grand-tante (v. arrière- III A 2). Grand-tante*. Tante à la mode de Bretagne. V. mode1 I B 2 a.
B. − [Appellation]
1. [Appellation de la tante, de la tante par alliance, de la grand-tante, de l’arrière-grand-tante, de la tante à la mode de Bretagne] Ma bonne tante; ma chère tante; pauvre, petite tante. Mon cousin Henry − le fils d’une des sœurs de grand’mère, « la tante Eugénie », qui habite dans la maison de ma cousine Alice à côté de nous (Gyp, Souv. pte fille, 1927, p. 64). Je dirai un mot de celle que j’appelai ma tante Marie et qui était la cousine germaine de mon grand-père paternel (Billy, Introïbo, 1939, p. 27).
2. P. ext. [Titre que l’on donne à une femme plus âgée que l’on s’interdit, par respect, d’appeler par son prénom et, en raison de liens d’affection ou par fantaisie, d’appeler madame] Il questionnait à voix basse: − Vous êtes de la famille? − Les enfants m’appelaient tante, répondit-elle sans cesser de compter ses points de tricot. Mais je ne suis pas parente (…). C’est moi qui suis venue quand Marthe était en couches. C’est chez moi aussi qu’elle laissait la petite lorsqu’elle faisait ses courses (Simenon, Vac. Maigret, 1948, p. 128):
Vous êtes le contraire de la duchesse d’Esclignac, vous!… Elle, elle veut que j’ l’appelle « ma Tante » et elle est pas ma tante… Vous, vous êtes mon oncle, et vous voulez pas que j’ vous appelle mon oncle…
Gyp, Souv. pte fille, 1928, p. 259.
3. Pop., fam., vieilli. Ma tante. Mont-de-piété. Synon. pop. clou (v. ce mot B 4). Sa femme ne peut donner que six mille francs, et encore a-t-elle accroché chez ma tante pas mal de breloques (Ponson du Terr., Rocambole, t. 2, 1859, p. 305). Demander cela à Élysée, à ce grand bohême qui connaissait tous les monts-de-piété parisiens (…)! S’il connaissait le clou! s’il connaissait ma tante! (A. Daudet, Rois en exil, 1879, p. 214). V. oncle B 2 c ex. de Balzac.
C. − Argot
1. Homosexuel de sexe masculin; en partic., homosexuel passif. Synon. tantouse (infra dér.) arg., pop., tata1 (arg., pop.), tapette (arg., vulg.), homosexuel, pédéraste. Nous le trouvions toujours chez lui en compagnie d’un petit bonhomme à allures plus qu’efféminées qu’il appelait son neveu, mais qui était bien plutôt une espèce de « tante » dont il devait faire ses délices dans l’intimité (Léautaud, Amours, 1906, p. 263).
2. Individu lâche; dénonciateur, mouchard. Bon Dieu! quand on n’est pas un’ tante On va d’ l’avant (…) on cogn’ dans l’ tas (Bruant 1901, p. 290). Il se mit à râler soudain: « Lâchez-moi, espèce de brute. Est-ce que vous êtes une tante, vous aussi? » (Sartre, Nausée, 1938, p. 210).
− [Terme d’insulte et de mépris] Je vas t’essuyer, moi, si tu veux, avec une paire de claques… A-t-on jamais vu des tantes pareilles qui insultent l’ouvrier! (Zola, Assommoir, 1877, p. 739). [On me tirait dessus] trois flingues au moins (…) Ils devaient pas me perdre de vue, les tantes (Simonin, Touchez pas au grisbi, 1953, p. 73).
‣ Empl. exclam. Pendant l’audience (…) il insulta la cour (…) appela (…) un assesseur: grosse tante (A. Humbert, Mon bagne, 1880, f. 94). Salop, maquereau, tante! Tu n’y couperas pas, cochon! (Verlaine, Œuvres posth., t. 1, Hist. comme ça, 1896, p. 380).
Prononc. et Orth.: [tɑ̃:t]. Homon. tente, formes de tenter. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. a) Ca 1200 « sœur du père ou de la mère » (Mort Garin, 20 ds T.-L.); b) 1690 « femme de l’oncle » (Fur.); c) 1694 tante, à la mode de Bretagne « cousine germaine du père ou de la mère » (Ac.); 1875 id. « parente éloignée » (Lar. 19e); 2. 1823 « le mont-de-piété; prêteur sur gages » (La Vie de garçon dans les hôtels garnis de la capitale, p. 7 ds Quem. DDL t. 22); 3. 1834 « pédéraste » (Esnault, [Comment. (IGLF 1938) de l’ouvrage de Musette, Cagayous phil. (1906)]: Chardon, surnommé la tante, fut assassiné par Lacenaire en décembre 1834). Altér. enf. de ante « sœur du père ou de la mère » (ca 1145, Wace, Conception Nostre Dame, éd. W. R. Ashford, 1224) att. jusqu’au xviie s., du lat. amita, même sens. Fréq. abs. littér.: 4 517. Fréq. rel. littér.: xixe s.: a) 4 200, b) 7 581; xxe s.: a) 9 018, b) 6 139.
DÉR. 1. Tantine, subst. fém., synon. enf. de tante supra A 1). Vous par exemple, tantine, qui haussez toujours l’épaule gauche: celle qui est la plus proche du cœur (H. Bazin, Lève-toi, 1952, p. 166). − [tɑ̃tin]. − 1re attest. 1898 (A. Daudet, Soutien de famille, p. 22 ds Pauli 1921, pp. 30-31); de tante, suff. -ine*. 2. Tantouse, tantouze, subst. fém., arg., vulg., injurieux. Homosexuel passif. Synon. pédéraste, tante (arg., supra C 1). Il était fils unique et, depuis hier, il était pédéraste (…) On dirait de lui: Ah! oui, la grande tantouse? Très bien, je sais qui c’est (Sartre, Mur, 1939, p. 183). Empl. adj. Oui, il s’appelle Léonard (…) un peu tantouse (Arnoux, Visite Mathus., 1961, p. 52). − [tɑ̃tu:z]. Rob.: tantouse; Pt Rob. 1980, Rob. 1985: tantouse ou tantouze. − 1re attest. 1900 (Nouguier, Notes manuscr. Dict. Delesalle, p. 279); de tante, suff. -ouse*.
pour l’itinérant vaut mieux penser “t’as ta tente?” que tata… parce que tatie sans tente = fun en re-descente
‘fin de toute façon là c’est papy…
j’viens de finir ma dernière animation avec des mômes avant un bon bout de temps…
ils m’ont laissé un bonbon…
j’dois être triste ou happy ?