Bonsoir.
A la demande générale, voici quelques pistes psycho-clinique pour comprendre la jeune femme de 20 ans : ou “le complexe du prince charmant”.
La jeune fille de vingt ans, en dehors de coups de téléphone aux copines, de sorties en boîte et de “putain, il est pourri ce bahut, je vais me tirer”, est forcément subjuguée par le bourriquot sur lequel ses ovocytes ont posé des arrhes.
Ce qu’ignore la jeune donzelle, c’est que le prince charmant , avant d’avoir un cheval blanc, des dents qui éblouissent et des attentions très galentes, a surtout une paire de couilles.
Perde de vue cette réalité, c’est forcément accumuler de grosses désillutions (pleure pas ma chérie, tu retrouveras une autre paire de… heu un autre prince charmant)
Ce qu’il est primordial de savoir concernant le prince charmant : sa bite fait office de GPS, de confident, de pôle Nord et de pôle Sud (puisque son existance tourne autour de sa bite) de doudou, et surtout de cerveau secondaire.
Ceci bien ancré, on peut ensuite mettre à se prince charmant des cheveux blonds, une grosse voiture, etc…