Pour mieux comprendre une personne, il convient de se pencher sur son enfance.
Prenons par exemple cette classe de primaire dans les années 90 :
– Raoul ? Tu veux faire quoi quand tu seras grand ?
– Policier, maîtresse.
– Bien (Attitudes d’influences : Ordre, interprétation, support, jugement de valeur ou de vérité) Et toi Amanda ?
– Maîtresse !
– Bien. Et toi Emma ?
– Boulangère pour chien.
– Bien. Et toi Antoine ?
– Pompier.
– Bien. Et toi, Chebs ?
– Quand je serai grand j’aurai une grosse bite et je sauterai sur tout ce qui bouge.
Hélas, 3 fois hélas, en ce domaine, comme avec les boules du loto, il n’y en a pas pour tout le monde, même si on y croit dure comme fer.
Le petit Chebs, enfant précose, a commencé a parlé à 5 ans. Son premier mot fut “foufoune” avant rapidemment sa première phrase : “les femmes sont toutes des connes”.
La suite dans “psycho mag” de ce mois.
Sinon, Muse, le martinet, ça te tente ? Les fessées ?
Sinon, j’ai bien vérifié (et tout le monde peut le faire) Dés que le lionceau pointe le bout de queue, …
Y’aurait-il anguille sous roche ?
article 6 : Si t’as de recul sur ta petite personne, n’entre pas dans le nawak.