Toujours de problĂšmes lorsque je veux utiliser la fonction copier coller. C’est moi ou le site ou mon ordi.
impossible de faire apparaitre le gras les sauts de ligne ne sont pas respectĂ©es et on ne peux modifier qu’une fois. :tresfache:
Merci pour l’article Michmuch. il pose de nombreuses bonnes questions et essaie d’apporter quelques rĂ©ponses. M^me si elles ne seront pasfacile Ă mettre en oeuvre. Mais c’est largement positif.
Je me permet quelques avis personnels sur certains aspects de l’article.<
;. Elles ont permis Ă des millions dâenfants de partir ensemble en vacances, de dĂ©couvrir la mer, la montagne, la neige mais surtout de nouveaux copains, la campagne, les grands jeux et les relations amoureuses.
;EntiĂšrement d’accord cela devrait ĂȘtre l’objectif majeur des colos. . ;Pas le seul bien sur..-Je rajouterais cependant l’apprentissage de la vie avec les autres&
;Malheureusement on est loin.;/;l’un des dĂ©fauts de s DDCS ou DDCSPP ou DDJSCS, c’est d’oublier que les enfants sont en vacances . Le ludique est souvent oubliĂ© ou rĂ©duit Ă la portion congrue. Certes il serait idiot d’oublier l’Ă©ducatif, mais il faut que les enfants s’Ă©clatent. Dans le ludique j’inclus ,bien sur, tous les aspects Ă©voquĂ©s dans l’extrait l’article juste au dessus
utilisent un modĂšle de pĂ©dagogie inchangĂ© depuis les annĂ©es 50 (pĂ©dagogie du choix, du projet, autoritĂ© dĂ©tenue exclusivement par lâadulte, grĂące Ă lâidĂ©e de cadre et dâĂ©ducation).
LĂ il y a tout de mĂȘme de plus en plus de directeurs qui prennent en compte les avis des enfants. Au sujet du projet je pense que cela peux ĂȘtre une aide, mais il ne faut pas en ĂȘtre esclave. Un projet peux se modifier
En qualitĂ© de dĂ©putĂ©s,t;travaillent cette question depuis dix ans, mais butent rĂ©guliĂšrement sur des ministres de la Jeunesse davantage attachĂ©s aux sports et Ă lâolympisme salvateur.;
;Avec les Jeux olympiques en France en 2024, j’ai peur que cela empire. Ou alors ?;
Mais bon, j’ai vu jouer “La grande illusion.
;Mais les colos sont-elles vraiment un produit comme les autres ?
Pour moi c’est carrĂ©ment ,NON. Les colos ne doivent pas ĂȘtre des produits comme les autres. Mais attention cela entraĂźne des consĂ©quences multiples, Au-delĂ du markĂ©ting cela concerne les rĂšglementations, les conditions de travail des animateurs et directeurs, quelques critĂšres sur les discriminations les objectifs financiers et Ă©ducatifs ;des organisateurs etc etc ,
comment peut-on lâĂȘtre lorsque les inscriptions ont lieu auprĂšs des mairies, CE ou organisateurs, alors que lâĂ©quipe dâorganisation nâa aucun ancrage sur le territoire.
Les personnes qui inscrivent les enfants n’ont, le plus souvent, assez peu d’information sur le dĂ©roulement, le fonctionnement , les activitĂ©s de la colo. C’est regrĂ©table.
;Dans ce contexte, les organisateurs implantĂ©s localement et aux valeurs fortes et identifiĂ©es se dĂ©veloppent, et on voit Ă©galement apparaĂźtre de petits opĂ©rateurs. Elles pourraient ĂȘtre vues comme le souffle dâune dynamique Ă©mergente dans le marchĂ© des colos mais celles-ci, relatives Ă de petites associations, se crĂ©ent plutĂŽt en rupture avec la dynamique marchande installĂ©e par les grands opĂ©rateurs et le ministĂšre.
t;Si ces petits opĂ©rateurs ne sont ni la panacĂ©e, ni lâunique moyen de sortir les colos de ce marasme, ils ont des choses Ă dire et mĂ©ritent nous semble-t-il dâĂȘtre entendus.
Oui bien sur. Mais comment ?
La DJEPVA et son ministre de tutelle) ont fait un choix politique fort : Celui de privilĂ©gier et servir les organisateurs commerçants devant les organisateurs penseurs de la mixitĂ© et tisseurs de liens. Pouvons-nous nous satisfaire dâun tel choix ? Nous pensons que (re)construire une sociĂ©tĂ© qui prend soin des ĂȘtres humains passe par la rencontre..
;Il est Ă©vident que la communication donc les rencontres devraient ĂȘtre un objectif fort dans les colos. ‘Mais franchement je vois trĂšs mal le gouvernement actuel agir dans ce sens. DâoĂč l’intĂ©rĂȘt de ce genre d’article ;«
Au titre de collectifs constituĂ©s dâĂȘtres humains, dans quelle mesure peut-on accepter de laisser de cĂŽtĂ© et travestir les principes qui guident notre action, uniquement pour la survie de lâentitĂ© en question ?
Vaste et bonne question. Pas facile d’y rĂ©pondre. Il faut redonner envie aux enfants de partir en colos. Pour cela valoriser les activitĂ©s , les nouvelles connaissances, dĂ©couvrir des choses nouvelles, laisser plus de libertĂ© et de choix aux enfants.
;Aussi, les colos sont un moyen de permettre Ă bon nombre de jeunes de sâengager et travailler au service des enfants, dans un contexte oĂč expĂ©rimenter la mixitĂ© et construire lâĂ©galitĂ© sont les reflets dâenjeux marquĂ©s.
Ne pas oublier que pour beaucoup d’animateurs c’est une Ă©tape de la vie, importante. Souvent le premier travail, le premier “salaire”, les premiĂšres responsabilitĂ©s.
Siv le BAFA n’est pas un diplĂŽme professionnel ,il est, pour beaucoup, un tremplin important dans l’optique d’emplois pĂ©rennes futurs
;Un grand nombre dâanimateurs, de directeurs, militants partagent notre rapport aux signaux que nous identifions depuis plus de deux ans. Seul un travail collectif permettra dâinflĂ©chir les actions des politiques publiques menĂ©es depuis plusieurs annĂ©es. Alors que diffĂ©rents acteurs du champ imaginent des solutions isolĂ©es et contextualisĂ©es, comment pouvons-nous agir ensemble pour Ă©chapper, et faire Ă©chapper les enfants, Ă un modĂšle de colos dont le sens passe au second plan ?
C’est Ă©videment toute la question. Ce travail collectif( pas facile) doit inclure , avant tout les personnes de terrain. Mais il sera difficile d’inflĂ©chir la position de ne dirigeants. A mon avis, il faut d’abord faire comprendre que les colos ne sont pas des produits comme les autres et qu’elles apportent des plus aux enfants de tout Ăąge. C’est Ă partir de cela que nous pourrons convaincre.
;