vu crevette !!!
et j’adhère !
…comme d’hab personne n’a relevé ma part du bestiaux, z’avez jusque ce soir minuit pour vous rattraper, sinon l’année prochaine j’arête ^^
C’était évidemment un pois(s)on d’avril.
Merci à Badibulle pour les agréments fleuris, Lapin pour les encouragements et Ludou pour le soutien technique.
Que de cloches à Pâques ?!
n’empêche ça pourrait etre un début de solution pour lutter contre la médiocrité et enfin annoncer la fin de la toute puissance de ces “annihilateur” !
😀
pas mal celle de cette année…..
Images a écrit :
c’est un peu comme le projet de loi visant à remanier une partie de la langue au sein des ACM dans le cadre de la laïcité : en effet il ne faudra plus dire je vais “à la” piscine ou “à la” cantine à cause de la ressemblance avec “Allah” et qui peut donc être pris pour du prosélytisme. à la place on pourra dire “je vais me baigner” ou “nous allons dans la cantine”.
De même, on ne devra plus dire à un enfant “je te crois”, en raison de l’aspect trop christianisant de l’expression.
Et interdiction aussi d’utiliser des expressions comme “qui parle dans mon dos ?”, qui fait bien trop référence à une kippa portée sur l’arrière du crâne.
c’est un peu comme le projet de loi visant à remanier une partie de la langue au sein des ACM dans le cadre de la laïcité : en effet il ne faudra plus dire je vais “à la” piscine ou “à la” cantine à cause de la ressemblance avec “Allah” et qui peut donc être pris pour du prosélytisme. à la place on pourra dire “je vais me baigner” ou “nous allons dans la cantine”.
Help les modos
Mon message a été publié 4 fois, vous pourriez en supprimer 3 merci bcp
Hello,
Ca va dans le même sens que cette dépêche de l’ AFP
Un bracelet de flexi securite pour les enseignants .
On met enfin les NTIC au service de l’éducation …. On est sauvés des props diffamatoires qu’on peut entendre ça et là et les enfants seront mieux traités ! Pourvu que ça se généralise vite….
“Paris (AFP). 01/04/2013 Le ministre de lÉducation nationale M. Vincent Peillon, bien que démissionnaire selon la rumeur, lancera lexpérimentation du bracelet de flexi-sécurité dans les deux académies de Rennes et de Limoges à la rentrée 2014.
Le dispositif permettra de « mieux connaître et de mieux évaluer » les tâches et les besoins des enseignants ainsi que « de fonder une notation au mérite, moderne et plus performante et daccroître la responsabilité des chefs détablissement. » Il devrait être mis en place dans les collèges dans un premier temps pour ensuite être diffusé par étapes dans le reste des établissements.
À laide dun système de localisation par satellite (GPS) et grâce à un émetteur miniaturisé logé dans le bracelet électronique porté par lenseignant, le système a pour but de prendre en compte les évolutions du métier de professeur. En effet, des rapports récents comme ceux des commissions Pochard ou Attali, mettent laccent sur larchaïsme des pratiques dans lÉducation nationale, fondées sur des statuts et des obligations de service désuets qui datent des années 1950.
M. Philippe Meirieu, professeur de sciences de léducation, estime que « cette innovation va renforcer lautonomie des enseignants et faciliter le travail en équipe. » M. Luc Chatel, ancien ministre, reconnait « quil sagit dun vrai pas en avant, la France enseignante entre enfin dans le Troisième millénaire » mais souligne « quil avait envisagé cette mesure quand il était aux affaires, mais la technique nétait pas encore au point. »
Du côté du SNES, principal syndicat du secondaire, Mme Bernadette Groison admet que « ceci va dans le bon sens » mais regrette « le manque de concertation du ministère » et insiste sur la question des moyens : « Comment va-t-on pouvoir financer léquipement de tous les établissements ? »
Le SGEN-CFDT, quant à lui, déplore que « cette mesure ne soit pas généralisée dès 2014, le ministère ratant là une occasion de revaloriser rapidement le travail et limage des enseignants. » Le SNALC, classé généralement à droite, sembler traîner les pieds et estime que « la négociation est nécessaire. »
La FCPE représentée par M. Jean-Jacques Hazan, accueille la mesure avec enthousiasme car elle « permettra enfin de contrôler les enseignants et rassurera les parents, en particulier sur le temps de travail des enseignants. »
Selon M. Peillon, lopération sera assurée grâce aux économies réalisées sur les postes denseignants excédentaires et grâce au partenariat avec de grandes entreprises comme Bouygues Telecom et Lagardère qui ont fait connaître leur accord pour participer à ce projet innovant. ”
Et en plus on fait collaborer des grandes entreprises à un projet éducatif, si c’est pas beau !
Hello,
Ca va dans le même sens que cette dépêche de l’ AFP
Un bracelet de flexi securite pour les enseignants .
On met enfin les NTIC au service de l’éducation …. On est sauvés des props diffamatoires qu’on peut entendre ça et là et les enfants seront mieux traités ! Pourvu que ça se généralise vite….
“Paris (AFP). 01/04/2013 Le ministre de lÉducation nationale M. Vincent Peillon, bien que démissionnaire selon la rumeur, lancera lexpérimentation du bracelet de flexi-sécurité dans les deux académies de Rennes et de Limoges à la rentrée 2014.
Le dispositif permettra de « mieux connaître et de mieux évaluer » les tâches et les besoins des enseignants ainsi que « de fonder une notation au mérite, moderne et plus performante et daccroître la responsabilité des chefs détablissement. » Il devrait être mis en place dans les collèges dans un premier temps pour ensuite être diffusé par étapes dans le reste des établissements.
À laide dun système de localisation par satellite (GPS) et grâce à un émetteur miniaturisé logé dans le bracelet électronique porté par lenseignant, le système a pour but de prendre en compte les évolutions du métier de professeur. En effet, des rapports récents comme ceux des commissions Pochard ou Attali, mettent laccent sur larchaïsme des pratiques dans lÉducation nationale, fondées sur des statuts et des obligations de service désuets qui datent des années 1950.
M. Philippe Meirieu, professeur de sciences de léducation, estime que « cette innovation va renforcer lautonomie des enseignants et faciliter le travail en équipe. » M. Luc Chatel, ancien ministre, reconnait « quil sagit dun vrai pas en avant, la France enseignante entre enfin dans le Troisième millénaire » mais souligne « quil avait envisagé cette mesure quand il était aux affaires, mais la technique nétait pas encore au point. »
Du côté du SNES, principal syndicat du secondaire, Mme Bernadette Groison admet que « ceci va dans le bon sens » mais regrette « le manque de concertation du ministère » et insiste sur la question des moyens : « Comment va-t-on pouvoir financer léquipement de tous les établissements ? »
Le SGEN-CFDT, quant à lui, déplore que « cette mesure ne soit pas généralisée dès 2014, le ministère ratant là une occasion de revaloriser rapidement le travail et limage des enseignants. » Le SNALC, classé généralement à droite, sembler traîner les pieds et estime que « la négociation est nécessaire. »
La FCPE représentée par M. Jean-Jacques Hazan, accueille la mesure avec enthousiasme car elle « permettra enfin de contrôler les enseignants et rassurera les parents, en particulier sur le temps de travail des enseignants. »
Selon M. Peillon, lopération sera assurée grâce aux économies réalisées sur les postes denseignants excédentaires et grâce au partenariat avec de grandes entreprises comme Bouygues Telecom et Lagardère qui ont fait connaître leur accord pour participer à ce projet innovant. ”
Et en plus on fait collaborer des grandes entreprises à un projet éducatif, si c’est pas beau !
Hello,
Ca va dans le même sens que cette dépêche de l’ AFP
Un bracelet de flexi securite pour les enseignants .
On met enfin les NTIC au service de l’éducation …. On est sauvés des props diffamatoires qu’on peut entendre ça et là et les enfants seront mieux traités ! Pourvu que ça se généralise vite….
“Paris (AFP). 01/04/2013 Le ministre de lÉducation nationale M. Vincent Peillon, bien que démissionnaire selon la rumeur, lancera lexpérimentation du bracelet de flexi-sécurité dans les deux académies de Rennes et de Limoges à la rentrée 2014.
Le dispositif permettra de « mieux connaître et de mieux évaluer » les tâches et les besoins des enseignants ainsi que « de fonder une notation au mérite, moderne et plus performante et daccroître la responsabilité des chefs détablissement. » Il devrait être mis en place dans les collèges dans un premier temps pour ensuite être diffusé par étapes dans le reste des établissements.
À laide dun système de localisation par satellite (GPS) et grâce à un émetteur miniaturisé logé dans le bracelet électronique porté par lenseignant, le système a pour but de prendre en compte les évolutions du métier de professeur. En effet, des rapports récents comme ceux des commissions Pochard ou Attali, mettent laccent sur larchaïsme des pratiques dans lÉducation nationale, fondées sur des statuts et des obligations de service désuets qui datent des années 1950.
M. Philippe Meirieu, professeur de sciences de léducation, estime que « cette innovation va renforcer lautonomie des enseignants et faciliter le travail en équipe. » M. Luc Chatel, ancien ministre, reconnait « quil sagit dun vrai pas en avant, la France enseignante entre enfin dans le Troisième millénaire » mais souligne « quil avait envisagé cette mesure quand il était aux affaires, mais la technique nétait pas encore au point. »
Du côté du SNES, principal syndicat du secondaire, Mme Bernadette Groison admet que « ceci va dans le bon sens » mais regrette « le manque de concertation du ministère » et insiste sur la question des moyens : « Comment va-t-on pouvoir financer léquipement de tous les établissements ? »
Le SGEN-CFDT, quant à lui, déplore que « cette mesure ne soit pas généralisée dès 2014, le ministère ratant là une occasion de revaloriser rapidement le travail et limage des enseignants. » Le SNALC, classé généralement à droite, sembler traîner les pieds et estime que « la négociation est nécessaire. »
La FCPE représentée par M. Jean-Jacques Hazan, accueille la mesure avec enthousiasme car elle « permettra enfin de contrôler les enseignants et rassurera les parents, en particulier sur le temps de travail des enseignants. »
Selon M. Peillon, lopération sera assurée grâce aux économies réalisées sur les postes denseignants excédentaires et grâce au partenariat avec de grandes entreprises comme Bouygues Telecom et Lagardère qui ont fait connaître leur accord pour participer à ce projet innovant. ”
Et en plus on fait collaborer des grandes entreprises à un projet éducatif, si c’est pas beau !
Hello,
Ca va dans le même sens que cette dépêche de l’ AFP
Un bracelet de flexi securite pour les enseignants .
On met enfin les NTIC au service de l’éducation …. On est sauvés des props diffamatoires qu’on peut entendre ça et là et les enfants seront mieux traités ! Pourvu que ça se généralise vite….
“Paris (AFP). 01/04/2013 Le ministre de lÉducation nationale M. Vincent Peillon, bien que démissionnaire selon la rumeur, lancera lexpérimentation du bracelet de flexi-sécurité dans les deux académies de Rennes et de Limoges à la rentrée 2014.
Le dispositif permettra de « mieux connaître et de mieux évaluer » les tâches et les besoins des enseignants ainsi que « de fonder une notation au mérite, moderne et plus performante et daccroître la responsabilité des chefs détablissement. » Il devrait être mis en place dans les collèges dans un premier temps pour ensuite être diffusé par étapes dans le reste des établissements.
À laide dun système de localisation par satellite (GPS) et grâce à un émetteur miniaturisé logé dans le bracelet électronique porté par lenseignant, le système a pour but de prendre en compte les évolutions du métier de professeur. En effet, des rapports récents comme ceux des commissions Pochard ou Attali, mettent laccent sur larchaïsme des pratiques dans lÉducation nationale, fondées sur des statuts et des obligations de service désuets qui datent des années 1950.
M. Philippe Meirieu, professeur de sciences de léducation, estime que « cette innovation va renforcer lautonomie des enseignants et faciliter le travail en équipe. » M. Luc Chatel, ancien ministre, reconnait « quil sagit dun vrai pas en avant, la France enseignante entre enfin dans le Troisième millénaire » mais souligne « quil avait envisagé cette mesure quand il était aux affaires, mais la technique nétait pas encore au point. »
Du côté du SNES, principal syndicat du secondaire, Mme Bernadette Groison admet que « ceci va dans le bon sens » mais regrette « le manque de concertation du ministère » et insiste sur la question des moyens : « Comment va-t-on pouvoir financer léquipement de tous les établissements ? »
Le SGEN-CFDT, quant à lui, déplore que « cette mesure ne soit pas généralisée dès 2014, le ministère ratant là une occasion de revaloriser rapidement le travail et limage des enseignants. » Le SNALC, classé généralement à droite, sembler traîner les pieds et estime que « la négociation est nécessaire. »
La FCPE représentée par M. Jean-Jacques Hazan, accueille la mesure avec enthousiasme car elle « permettra enfin de contrôler les enseignants et rassurera les parents, en particulier sur le temps de travail des enseignants. »
Selon M. Peillon, lopération sera assurée grâce aux économies réalisées sur les postes denseignants excédentaires et grâce au partenariat avec de grandes entreprises comme Bouygues Telecom et Lagardère qui ont fait connaître leur accord pour participer à ce projet innovant. ”
Et en plus on fait collaborer des grandes entreprises à un projet éducatif, si c’est pas beau !
Les parents vont enfin savoir ce que font leurs enfants, serrés comme des sardines dans les locaux exigües de la garderie, et pressés comme des citrons par leurs animateurs dignes de vraies moules.
😉
La mayonnaise prendra-t-elle ?
J’irai manifester avec le collectif de parents contre cette résolution devant le bureau du maire Jean PANGA. M. Colin Julienne est président de ce collectif, “Pour L’Autosurveillance, Contre cette Organisation Nazillonne”.
Une conférence de presse est prévue dans la semaine.
Ces pauvres petits devront redoubler de vigilance et d’astuce si ils veulent esquiver le poisson au menu …
Avec un seul son de cloches, difficile de se faire un avis…. il y a visiblement une équipe en grande détresse qui ne parvient pas a identifier un problème et qui n’est pas capable d’apporter un climat de confiance au sein de l’accueil.
Plus largement le fais d’avoir des caméras ne me gêne pas trop (mon activité n’y est sans doute pas etrangère), en effet si ce genre de pratique peut sans doute éviter que les anims fassent de la merde avec les enfants puisqu’ils seront surveillés… ou alors ils ne feront plus rien mais ça c’est visiblement déjà le cas. Cette vision extérieure fait peur aux adultes de ces ACM car ils ne sont plus tout puissant dans leur petit monde et doivent rendre des comptes.
Vos réactions suite à la publication de l’article “Une commune se met à la vidéosurveillance en ACM”.