longues vacances 🙂 tu dois être bien bronzée et reposée 😛
Ne nous oublie pas 🙂
je suis pour l’instant en vacances mais dès que je rentre je mets un bout de mon méoire en ligne le sommaire et l’introduction par exemple
Merci Morgane d’être revenue sur ce travail 🙂
Peut-on en voir un bout ? Le sommaire ?
oulala
deux ans après revenir sur un mémoire!
quelle longue quête il a été!
il a été très dur pour moi de le rédiger parceque les gens ont eu très peu d’expériences sur ce sujet la
c’est vrai voyons quelle idée de faire de l’éducation à l’environnement avec ce type de public
ils ne comprennent pas n’ont aucun pouvoir d’action enfin la plaie quoi
mais je me suis accrochée
à force de mail de coups de téléphone et de déplacements sur le terrain, j’ai réussi à convaincre un nombre suffisant de personnes de m’aider à avancer
après au vu de mes talents d’écrivain je n’ai pu faire un grand mémoire mais j’ai fait un mémoire qui répondait à mes attentes
j’ai compris a quelle point la jungle de l’éducation à l’environnement est compliquée et celle des maternelles aussi alors imaginez les deux mélées
l’éducation à l’enviornnment est appuyée par des politiques qui n’ont qu’à faire de leur propre nombril
les maternels sont quand à eux souvent imposés plus que choisis par les différents acteurs du monde scolaire et périscolaire
mais je crois sincèrement que la clé de notre planète résuide dans ces générations la, ne dit on pas qu’une deuxième langue s’apprend mieux avant 6 ans alors pourquoi n’en serait il pas pareil de nouveaux réflexe respectueux de notre planète!
Des news de ce mémoire morgane ?
voila
toujours les même questions et plus qu’un mois pour finir d’achever le mémoire.
J’ai pu rencontrer quelques personnes concernées par mon sujet de mémoire mais elles sont quand même concentrées dans une zone géographique assez restreinte.
Don j’aurais avoir des témoignages de personnes situées partout en France.
En vous remerciant d’avance
vla je persiste et je signe dans ce post à M-3 mois avant le rendu du mémoire, je cherche toujours des témoignages même si j’ai pu aller en recontrer sur le terrain cela se cantonne à une zone géographique assez restreinte c’est pour cela que j’aimerais le témoignage d’animateurs de différentes régions de france et de différentes structures.
Mes questions restent les même avec cependant quelques précisions :
– l’approche catastrophiste est elle légitime auprès de ce public?
– l’intervenant extèrieur se substitue t il ou est il complémentaire dans ses interventions?
– l’enfant doit il être le médiateur à la maison?
vla et puis aussi toutes les questions que je me suis déjà posée plus bas sur
– les capacités d’un maternel?
– ce que disent vos projets et au fait êtes vous au courant de ce que dit jeunesse et sport en matière d’éducation à l’environnement?
– ce que vous faites réellement?
– si vous ne faites pas d’EEDD purquoi?
– quels sont les freins?
vla encore merci à tous
vla un petit post
pour vous redemander de répondre à les questions siouplé
merci beaucoup
je voulais rajouter que se qu’a écrit frypjep est très interressant. je suis ok avec lui.
Avec un public mater, je pense que pour les sensibilisés c’est plus par des petites pratiques quotidiennes et des réalisation concrètes (qui leur parle) que des théories, des projets trop vaste!…!!
A bientot
Quelle polémique!!! J’hallucine. Une nénette vous demande de décrire votre expérience dans une structure accueillant des maternelles et si dans votre projet péda, est inclu l’aspect environnemental (pr etre plus claire ” si il y a une sensibilisation de l’enfant à l’écologie). Apres comment, elle mène sont projet c’est son soucis!!! Du moins c’est pas sa question!!!!
Pour ma part, je travaille dans un CLSH maternelle. Je suis animatrice permanente, donc je fais du post scolaire aussi.
La semaine je m’occupe d’enfant de trois ans et le mercredi et pendant les vacances des 3- 4 ans.
Comme je suis arrivée tard, je n’ai pas définis les thèmes de l’année. Nous travaillons sur différent thème tout le long de l’année. En Décembre, c’étais les fables de la Fontaines, pendant les vacances de février le carnaval de paris, en ce moment sur l’agriculture (puisqu’il y a le salon de l’agriculture). Voila quelques exemples et comme tu peux voir, les thèmes ont été choisi par rapport à l’actualité.
Dans notre projet, il y a pas d’ouverture à l’écologie à proprement parlé. Maintenant c’est à nous de leur dire et de les sensibilisé à des petits gestes qui permettent de respecter la nature. Comme pas jeter les papiers par terre.
Notre planning pour chaque thème sont fait à l’avance. Nous devons faire chaque matin, une activité découverte sur le thème et une activité physique sur le thème. L’après midi c’est soit sur le thème ou hors thème.
Par rapport à la tranche d’age :
Les enfants agés de trois ans : ce que j’ai pu observer dans plusieurs expériences distinctes. c’est que ces petits bout sont moins automne dans des quartiers favorisés que des quartiers défavorisés (c’est plus en général). Apres, il ne faut pas généraliser, tout dépend de l’éducation et de la patience des parents à laisser faire.
Les miens par exemples, j’en ai qui essaye de se débrouiller et d’autre pas du tout!!! Et ce qui est éttonant c’est que de ma classe à celle de ma collègue (meme age), ils sont bcp plus débrouillard (certain surtout). On le voit à la cantine ou sur des animations. Les miens sont bébés pr la plupart!!!
Pendant les vacances, j’ai des enfants agés de 3 à 4 ans. Et je trouve que juste une année, ca fait bcp de différence entre eux.
Parfois avec mes collègues, on a du mal à attirer l’attention et l’intéret autant par les 3ans ques les 4 ans. Et c’est embettant car on n’a l’impression d’avoir raté un truc ds l’activité.
Pour ma part, ce que je trouve difficil avec les petits, c’est que comme ils sont dans la phase de la socialisation, l’automnomie, l’apprentissage. Il faut tjrs répéter les meme règles, mettre tout les jours le meme cadre la meme organisation. Et c’est comme ca qu’ils se repèrents…. Il faut bcp de patience et rester calme.
Ils se tapent bcp entre eux. Donc il faut gronder et expliquer les choses.
Ce qui est pas facil avec ce public aussi, c’est quand on tente mettre un cadre avec des règles dans la structure et que celle ci n’est pas respecter par les parents. Parfois ca peut poser pblème.
Travailler avec des mater, c’est un métier a part entière, une sorte de vocations. Il faut etre armée de patience et etre tres disponible.
Bon voila, je suis tres bavarde et j’espère que j’ai répondu a ton msg.
Si tu as d’autre questions envoie moi les. j’y répondrais avec plaisir.
A bientot!!!
merci beaucoup pour cette participation
hiii 😛
et aussi pour le lien vers le site des cemea
Pas la peine de passer ses soirées à se rejetter la patate chaude. Si vous ne voulez pas répondre aux questions, lâchez l’affaire. Stop à l’ingérence. Elle fait son boulot comme elle l’entend. A quoi sert de remettre en cause systématiquement les propos des autres. Jusqu’à présent je vois rien de constructif. Des mots, des mots mais finalement du vide ouais. Histoire de s’occuper un peu quand on se fait chier chez soi, on va taper un peu sur l’internaute à Planet’anim. Je ne vois rien d’illégitime dans le sujet de départ de Morganne, s’il ne vous plaît pas, passez à autre chose. Être obtus à ce point est plus ridicule qu’autre chose. Une démarche intellignete aurait été de s’approprier la demande telle qu’elle et non vouloir à tout prix la détourner et dire son mot sur tout. A croire qu’il y aurait une bonne parole et le reste de la merde…
Et je reprends à mon compte :
Qu’est ce qu’un maternel est capable de faire selon vous?
On est toujours tenté de dire que les mater(3-6 ans) savent faire beaucoup de chose. C’est une période où les apprentissages sont nombreux entre la découverte de l’environnement, les premiers apprentissages scolaires et l’apprentissage de la vie en collectivité ainsi qu’une première découverte de soi. Pour s’approprier et intégrer tout cet ensemble, nul doute que le mater est capable de beaucoup. Après je reste persuadé qu’à cet âge là de fortes différences existent dans la progression de ces apprentissages et qu’indubitablement, des enfants seront capables de beaucoup moins que d’autres. Ca demande du coup à ce que les activités puissent être suffisament équilibrées et adaptées à chaque enfant. Une situation qui s’analyse groupe par groupe.
Que constatez vous réellement sur le terrain du point de vue de leurs capacité?
Je suis toujours surpris des grandes différences qui peuvent exister entre les enfants de cet âge là(au même âge). La différence de sociabilité, de concentration, du langage, etc…
Je constate pour les fois où j’ai travaillé avec un tel public que si bien quelque chose rassemble bien généralement assez bien tous les maters, c’est la faculté de l’imagination. C’est d’ailleurs un domaine sur lequel on travaille beaucoup à cet âge là autant sur des temps d’activité et même des temps informels. C’est aussi des enfants qui s’identifient fortement à l’adulte. Je reste sceptique face aux comportements des animateurs qui infantilisent à l’extrême ce public persuadés justement que absolument tout doit être adapté jusqu’aux mots choisis, le ton de la voix, le comportement. Une pédagogie qui détourne celle de Montessori à l’absurde.
Mais je te joindrai un petit texte sur cette notion de “capable” fort sympathique et amusant qui pourrait résumer le problème. Un texte qu’on peut critiquer aussi. (edit : je ne le trouve pas sur le net, je ferais donc un scan quand je pourrais)
Que disent les projets de vos structures?
Je pense que les projets mettent en avant prioritairement la sécurité affective. Et c’est tout à fait compréhensible. Pour beaucoup d’enfants de cet âge, d’autant plus s’il s’agit d’une colo, il s’agit de premières expériences de séparation avec la famille. Et c’est autant une source d’angoisse pour l’enfant que pour les parents. L’enfant arrive dans un nouveau lieu, avec de nouveaux enfants, de nouveaux adultes, etc… Il est donc primordial que cette expérience soit le mieux vécue possible. Les projets essaient aussi d’instituer un cadre favorisant l’autonomie où l’enfant peut donc se risquer à la prise d’initiative. Le projet est donc en équilibre entre le besoin de sécurité et le besoin d’autonomie.
Que faites vous réellement sur le terrain?
La mise en oeuvre est evidemment toujours plus difficile que la projection. Et ceci parce que sur le terrain nous sommes confrontés à des éléments concrets et nous faisons face à de l’humain avec lequel rien n’est prévisible finalement. Je pense qu’on tente du mieux évidemment de tendre vers l’idéal du projet pensé en amont. Ce parcours est semé ou peut être semé d’obstacles. Mais si le séjour est préparé suffisament, les difficultés sont beaucoup moindres. Ainsi, la division du grand groupe en petits groupes avec un animateur référent, privilégier l’accompagnement individuel sur les temps de vie quotidienne sont déjà des éléments qui instaurent un climat favorable à la confiance et l’identification. Puis cette organisation accompagnée de celle de l’espace avec l’aménagement de véritables repères avec des coins permanents que l’enfant peut s’approprier. Enfin, on veille à une régularité dans l’organisation du temps du séjour, etc…
De même, je peux mettre à disposition un texte(cf annexe II) traitant de l’accueil des maternels. C’est toujours un challenge, comme avec tous les publics à l’exception qu’ici la présence de l’animateur est la plus forte et joue beaucoup sur le développement de l’enfant.
Si vous faite des actions d’éducation à l’environnement, comment le faites vous avec quels outils?
Nous traitons de petite enfance, donc pas d’un maigre sujet. Je vais peut être étonner, mais je ne pense pas qu’il soit forcément pertinent qu’un animateur s’il n’a pas de connaissances suffisantes sur le sujet se tienne à mener des activités d’éducation à l’environnement. Toutefois, au delà d’une éducation, je pense qu’on peut sensibiliser et ceci autant sur les temps d’activités que les autres temps de la vie collective. Si l’on explique vraiment pourquoi nous posons des interdits qui nous paraissent à nous adultes évidents(papiers par terre, lumières dans les bâtiments, nourriture, ballades en pleine nature, etc…), l’enfant le comprend très bien.
Quelles approches?
Pour des enfants citadins qui sont immergés en pleine campagne, la tâche est sans doute beaucoup plus aisée, parce que justement on peut jouer sur cette contradiction ville / campagne.
A cet âge, généralement j’entends bien, ils ont une perception très immédiate de l’environnement. Ainsi ils n’ont pas la même faculté que nous à faire abstraction. Je reste donc persuadé qu’une approche qui consisterait à essayer de faire qu’ils percoivent la terre ou d’autres approches très scientifiques seraient tout aussi vaines qu’inutiles. Je pense que la meilleure éducation à cet âge là sur un tel sujet doit être concrète et que les gestes appris puissent justement être intériorisés et donc reproduits(éteindre la lumière, mettre les papiers à la poubelle etc…)
Si non pourquoi? Quels sont les freins?
Le frein qui peut se poser à de telles initiatives est la faible concentration de ce public, des locaux qui ne permettent pas forcément de travailler sur un tel thème. Mais justement avec un peu d’imagination…on ne peut rien se refuser.
En espérant que ca te convient,
je te souhaite bon courage pour ton mémoire.
A+
Annexe II :
Article extrait de Les Cahiers de l’Animation n°29
http://www.cemea.asso.fr/article.php3?id_article=2825
ce qui est nettement pas la même chose que ce que tu avais marqué toi tu ne trouves pas forcément de réponse, de connaissance à tes questions ce n’est pas une thèse qui est faite la mais un mémoire, il peut rester des interrogations!!!
donc voila enfin toute cette discussion ne me fait pas avancer dans mon mémoire
merci quand même
morgane16 a écrit:
lit la grille d’évaluation des mémoires de mérieu et tu verras qu’il n’y a pas une manière de faire un mémoire mais plusieurs et que ca dépend tout simplement de ce que tu veux lui donner comme aspect
http://www.meirieu.com/COURS/recherche1.pdf
Page 6, sur la démarche de recherche…
Un thème, une problématisation (qui découle d’études antérieures qui ont été menées), tu en tires des hypothèses et tu recueille des données…
Un bon bouquin : Manuel de recherches en sciences sociales, de Raymond Quivy et Luc Van Campenhoudt
– Question de départ
– Exploration
– Problématique
– Construction du modèle d’analyse
– Observation
– Analyse des informations
– Conclusion
je n’infirme ou je ne confirme rien dans mon mémoire je soulmève juste des questions:::
Dans ce cas là, ce n’est pas un mémoire… Un mémoire ca apporte des connaissances! Soulever juste des questions n’a pas d’intérêt!
hiiii eh je suis en formation universitaire pour ton information
et je confirme j’ai une problématique
après je peux répondre de la manière dont je veux à mon mémoire de manière philosophique
de manière didactique….
lit la grille d’évaluation des mémoires de mérieu et tu verras qu’il n’y a pas une manière de fairee un mémoire mais plusieurs et que ca dépend tout simplement de ce que tu veux lui donner comme aspect
je n’infirme ou je ne confirme rien dans mon mémoire je soulmève juste des questions:::
morgane16 a écrit:
pour info un mémoir n’obéit à aucune règle sauf à celles de son auteur
J’ai les poils qui se hérissent… Bien sûr que le mémoire obéit à certaines règles…
Un mémoire c’est :
– Une introduction
– Une revue de littérature, plus ou moins théorique… Tu prends des bouquins, des revues, tu regardes ce qui se dit sur l’animation et l’éducation à l’environnement, tu trouves des statistiques, tu fais le point de toutes les structures qui existent… et tu cites les auteurs etc.. Tu trouves des théories contradictoires, ou des domaines à approfondir, ce qui t’amène à:
– Une problématique… Sinon c’est pas un mémoire, c’est une étude!
– En découle une expérience ou une enquête, avec un protocole
– Des résultats d’expérience ou d’enquête
– Une intérprétation de ces résultats
– Une infirmation ou confirmation de l’hypothèse
– Une conclusion
Allez, j’arrête d’expliquer, je ne sais pas si c’est à Jeunesse et Sport qu’on vous apprend à faire des mémoires comme ça, ou si ca vient de toi, mais là je me dis que finallement les formations universitaires ca a quand meme du bon…!!!!
pour vous éclairer (autant avez vous besoin d’éclairements) voici mon plan pour vous faire comprendre dans quelle mesure ce dont j’ai besoin n’est pas exaustif
pour info un mémoir n’obéit à aucune règle sauf à celles de son auteur
I. Les cadres existants sur le terrain
A. l’école
1. les programmes
2. témoignages d’enseignantes
B. les loisirs
1. les centres de vacances
ce que disent les projets
ce que disent les animateurs
2. les CLSH
3. les crèches
4. les centres de découvertes
C. Avec les parents
témoignages de parents
D. mon analyse
II. Quelles possibilités de développement chez l’enfantde 3à 6 ans?
A. Point de vue théorique : l’apport des chercheurs
B. Point de vue des praticiens
C. Ma réflexion
III. Les pratiques concrètes
Etude de cas, descirptif des faits, lien avec une théorie/un type d’approche
IV. Mon analyse
vla je sais pas ce que ca peut repréciser vu que mes questions sont on ne peut plus claire et que je ne veux pas faire une étude statistique mais avoir quelques témoignages pour mon mémoire!!!
merci à tous
non mais si je dois faire des entretiens je suis pas rendu
faut que je fasse le tour de la france et que je rencontre toutes les structures c’est pas gagné je pense que je peux m’y mettre maintenant et espérer le finir avant 2036
Parceque j’aimerais au moins rencontrer une dizaine de CLSH, une dizaine de CVL, ….
je veux pas que les gens répondent comme je le souhaitent je veux qu’ils témoignent
hiii 😛
morgane16 a écrit:
mais je ne veux pas que les gens marquent autres je veux qu’il marque ce qu’ils pensent
Oui mais logiquement si ton questionnaire est bon, les 99,99% des gens cochent les cases avec les réponses, et une tres faible minorité ira cocher “autre”, car tu auras été exhaustive dans le listing des réponses…
De plus, la case “autre” est en général accompagnée de “décrivez” pour que la personne indique quelle est cette réponse “autre”…
et dans un questionnaire il n’y a pas forcément de réponses
Si, toute question appelle une réponse. Après, le tout est de savoir si on peut classer ces différentes réponses ou non… Le fait d’être trop large implique un nombre de réponses possibles trop importantes, et on ne peut donc pas faire une question à choix multiple. Mais si tu veux créer une question ouverte, libre à toi… Mais après tu ne peux pas traiter ca statistiquement, c’est beaucoup plus dur à traiter…. Pour les questions ouvertes, les témoignages, la meilleure facon de l’appréhender n’est pas l’ecrit… mais l’oral. Ca permet un retour entre toi et la personne qui témoigne, afin d’avoir un témoignage de qualité…
je fais ce questionnaire pour avoir des réponses pour mon mémoire
Oui ben ca on l’a bien compris… Mais un mémoire il y a une certaine méthodologie à respecter… Sinon il y a des biais et ton étude n’est pas valable… Et là, c’est ce qui risque de se passer si tu continues à t’enteter!
la base de mon mémoire se base sur des témoignages donc si je pren le mot tel quel je ne devrais même pas posé de question je devrais laisser les gens parler
Non, les témoignages, c’est pas ca… Jongloman t’a donné son témoignage, et ca ne te va pas… T as trouvé ca trop superficiel… Tu te rends bien compte qu’il faut approfondir certaines réponses qui te sont données… En une seule question très large, tu te doute bien que la personne ne répondra qu’à une partie… Je reviens à ce que j’ai dit il y a quelques jours, si tu veux quelques témoignages, donc du qualitatif plus que du quantitatif (parce que les témoiganges tu les récoltes pas par centaines comme les QCM), eh ben il faut faire des entretiens! Tu prends un dictaphone, tu vas voir la personne, tu lui poses la question, si c’est pas assez approfondi tu lui demande de préciser, tu reprends ses mots pour ne pas l’influencer… Et tu auras un témoignage qui correspondra à tes attentes… Là, avec ton questionnaire actuel, tu n’auras jamais personne qui répondra comme tu le souhaites… C’est tellement large qu’il faut diriger un peu les personnes, pour les emmener à la réponse souhaitée dans la forme, sans les influencer sur le fond…
Je t’ai dit ce que j’en pensais, après tu en fais ce que tu veux… Enfin je te souhaite bien du courage!
mais je ne veux pas que les gens marquent autres je veux qu’il marque ce qu’ils pensent
et dans un questionnaire il n’y a pas forcément de réponses
je fais ce questionnaire pour avoir des réponses pour mon mémoire
la base de mon mémoire se base sur des témoignages donc si je pren le mot tel quel je ne devrais même pas posé de question je devrais laisser les gens parler