Et d’un regard de l’intérieur, entièrement en accord avec ce portrait.
A un point que tu n’imagines même pas.
Cette “animation auprès d’enfants”, n’est plus qu’une immense aberration, plus violente du point de vue social que tout secteur réputé agressif (CF le livre noir de l’animation socioculturelle), comme la restauration rapide, les boulots d’été notamment dans la restauration, les petits îlots de tertiaires repliés sur eux-mêmes ou des petits chefs peuvent sans contrainte mettre à jours leurs plus bas instincts.
Ce qui s’explique assez facilement : mais pourquoi diable aller passer une semaine au contact de jeunes gens sans être payés ? (même si évidemment il existe encore de vrais militants, issus de ce qu’il reste de l’éducation populaire, qui ont une richesse à apporter, des idées politiques vis à vis de leurs actions, mais ils commencent à se faire vieux tous ces gens…)
Dans une situation de pouvoir absolu proche de la situation d’une secte : Et vas y pour ceux qui le reste de l’année sont des pauvres êtres que tous ignorent et qui là peuvent enfin exister, et vas-y pour ceux qui dans la vraie vie ont énormément de mal en entrer en contact avec ceux de l’autre sexe, et qui viennent faire leur marché hétéro ou homo (cet été j’encadre une colo : ça te dit ?) et de ceux encore plus dangereux qui prennent un plaisir sadique à “retourner les têtes” pour prendre l’expression d’un de ces jeunes stagiaires bien remué par sa semaine Bafa… Ca pourrait ressembler à une exagération grossière : c’est la réalité des Bafa. Plus la boîte est grosse, plus elle vend de Bafa; plus elle a besoin de “formateurs” : plus on va avoir … dont on sait pertimament qu’ils sont secoués et dangereux mais dont on a besoin vis à vis du nombre de séjours vendus dans le beau catalogue.
Avec des rassemblements de formateurs pour le moins hallucinants, où …se cooptent pour “travailler” ensemble sur “leurs” Bafa, et les autres qui se rassemblent pour fuir ces gens-là, des prises de paroles hallucinantes quand … ne font qu’ouvir la bouche. A en avoir des frissons dans le dos ! en songeant que des jeunes vont se retrouver entre leurs mains !!!!
Tout cela dans une seule et même fédé…
Certes, pour être juste, depuis cette époque, il y a eu un nettoyage. Et celui qui a nettoyé d’ailleurs a ensuite été firé parce qu’il s’est retrouvé à ne plus avoir assez de formateurs vis à vis des stages vendus…
L’image la plus proche de tout ça, c’est un vieux film français… parce que ces rassemblements c’est la cour des miracles…
tu ajoutes quelques “super animateurs” qui viennent juste de finir leur Bafa et à qui on propose d’encadrer des Bafa !!!! (si-si ! Ca paraît aberrant mais c’est là encore une réalité !!! On propose à ces tout nouveaux “diplomés” sans expérience de devenir formateurs !!!! Avec toujours le même discours qu’on ressort par exemple pour justifier d’engager des jeunes couillons de 19 ans pour encadrer des séjours de 15-17 ans !!!!) !!!!!!
Et je pourrais aussi parler des claé, ici sur Toulouse par exemple. Mais ça serait noircir le tableau…
Mon expérience en matière de travel marketing ,voir site de mon association, me laisse à penser que le secteur des séjours de vacances pour mineurs est mal géré.
A mon sens il pourrait bien mieux faire que ce qu’il fait mais pour cela il est impératif qu’il change de méthode, or rien ne l’incite jusqu’à présent .
Il s’agit d’un secteur protégé, qui vit depuis des décennies sur ses rentes – subventions, marchés captifs, formations- et bien évidemment le CEE. Ce qui lui permet grâce à cette dérogation au droit du travail de disposer d’une main d’œuvre taillable et corvéable à merci, rémunéré « à la chinoise ».
Là où ses dirigeants sont très forts c’est qu’à travers leurs réseaux de formateurs ils pratiquent depuis des années un lavage de cerveau du type « sectairo-dogmatique » qui fait que nombre d’animateurs n’ont pas la capacité d’analyse pour comprendre leurs exploitations.
Ainsi manipulés ils n’ont pas conscience que les sacrifices qui leur sont demandés n’ont pas pour finalité l’accessibilité aux loisirs pour tous ,mais d’alimenter une minorité d’apparatchiks démagos qui se sont spécialisés dans le lobbying politique pour conserver leurs privilèges.
alexis Selinger
Cet aiguillage sur la “professionalisation” est d’ailleurs l’une des esquives récurentes des “pro CEE-enculage en masse des jeunes”. Parce qu’ils basent leur discours sur la différentiation animateur professionnel -animateur provisoire qui n’a absolument aucun sens. Qui n’existe que dans la bouche de ceux qui voudraient nous faire croire que d’enculer des jeunes travailleurs peu au courant du code du travail c’est quelque chose de bien, c’et de l’engagement, c’est du social !!!!
Et comme déjà dit, je me contrefous du débat. Ce qui m’intéresse, c’est la première ligne du forum qui permet de dire et redire : LE CEE est une arnaque. Alors à moins d’aimer se faire endoffer, refusez-le
Le CEE est une arnaque !
Et sur le “contreproductif”, je viens d’avoir un petit exemple que ce n’est pas le cas… Et ça offre un public possiblement bien plus large que sur par exemple les bafa, où il faut refaire à chaque fois le même processus, et où ça se limite à une 20 taine de jeunes à chaque fois. Même si c’est du 100°/° . C’est trop laborieux pour être porteur.
Sinon c’est qui le gars dont tu parles ????????
De même que Morbac, je ne défend pas une professionnalisation des salariés occasionnels, ce serait même absurde par son antynomie.
Pour préciser, je revendique pour ma part, même si ça fait longtemps que je ne suis plus concerné par le CEE, un salaire journée égal au minimum à 8 fois le taux horaire (soit un tiers d’une journée, c’est raisonnable) mais aussi la réintégration de droits communs comme le repos quotidien et hebdomadaire ou aussi le recours devant les prud’hommes. Enfin, la fin de ce contrat spécifique et l’engagement en CDD avec clauses spécifiques.
En parallèle, il faut revenir au bénévolat pur et dur, ce qui laissera le choix aux personnes désirant de s’engager si gracieusement bah de la faire mais en âme et conscience (je donne, je ne gagne rien).
Cela mettrait fin à cette absurdité qui contraint tout le monde à une précarité sans nom indigne et inacceptable.
gentianen a écrit :
Aller sors de ce corps olivier B, on t’a reconnu.
???
Tu peux développer?
Je crois qu’il y a effectivement confusion.
Contrairement à Alexis, je n’ai (et moilapa et Frij non plus me semble t’il) pas défendu une professionnalisation de l’animation mais plutôt une revalorisation des salaires pour aller vers un salaire décent.
Contrairement à Fg je crois que la valeur des intervenant tient également à la rémunération. en tout cas elle permet de retenir les gens compétents qui ont également besoin de crouter.
Je ne suis pas forcément favorable à un salaire horaire lié au SMIC mais plutôt à un salaire journalier équivalent. Cela serait déjà un grand pas. Quant à savoir qui doit prendre en charge, il me semble bien que ce soit le rôle de l’Etat et des collectivités (à vue de pif une décision comme celle là devrait coûter le prix d’un ou deux sous marins nucléaires, ou les défraiments de quelques centaines d’élus)
Fg les pompiers volontaire sont défrayés largement plus que les animateurs et pourtant il s’agit d’engagement citoyen.
Je comprendrais jamais cet état d’esprit qui, plutôt qu’un nivellement vers le haut, espère un nivellement vers le bas. Ce n’est pas parce qu’il y a des bénévoles (la rengaine sur l’engagement, désolé, mais dans l’état actuel des choses, c’est presque du domaine du bénévolat que de faire de l’animation… Sans compter qu’il existe des animateurs qui ont aussi un engagement associatif parallèle) qu’il faut estimer que ceux qui sont payés (à coups de lance-pierre) le sont de manière trop élevée…
L’engagement, c’est très bien, mais à un moment donné, il est aussi normal qu’un animateur ayant une haute conception de sa fonction (et qui n’est pas là que pour accompagner les gamins à la piscine et rentrer chez lui à 17h31, dès que le dernier enfant est parti de l’ACM…) soit payé de manière décente.
moilapa a écrit :
Il ne s’agit pas de professionaliser les gens. Il s’agit juste de les payer pour le travail effectué.
Et bien si, c’est de sa que parle ces 10 derniers posts.
Certes dans l’animation sociocuculturelle c’est une idée qui paraît farfelue à certains, mais dans d’autres domaines ça existe : les gens font une heure de travail et ils sont payés une heure. Si-si ; j’vous assure. On appelle ça un salaire, je crois.
Et dans d’autres secteurs encore on ne paye même pas les bénévoles. Sisi, je te jure sa s’appelle un engagement.
Et je crois même que tous le monde à le droit d’y postuler…
Cet argument est bidon. Comme les autres d’ailleurs (les pauvres petits nenfants qui vont pas aller en vacances… les pauvres petites associations AFAIREDUFRIC qui vont mourrir… et autres litanies à la con)
La seule litanie sur ce forum, je crois bien que c’est la tienne qui revient à tous bout de champs (d’ailleurs ton discours bidon dessert plutôt que soutient la cause que tu défends).
La professionalisation est un autre problème : celui de ces diplômes “pro” bidon qui n’ont d’autre but (là aussi) que de faire entrer du fric dans ces mêmes boîtes AFAIREDUFRIC. On est pas plus avancé quand on a dans les pattes un bpjeps qu’un Bafa ou qu’un “sans diplôme”.
Aller sors de ce corps olivier B, on t’a reconnu.
Il ne s’agit pas de professionaliser les gens. Il s’agit juste de les payer pour le travail effectué.
Certes dans l’animation sociocuculturelle c’est une idée qui paraît farfelue à certains, mais dans d’autres domaines ça existe : les gens font une heure de travail et ils sont payés une heure. Si-si ; j’vous assure. On appelle ça un salaire, je crois.
PS : Pour en revenir à la professionnalisation, que ferait donc ces fameux pros de l’animation en dehors des vacances scolaires ? Ils pointeraient aux chômage ?
Et ça, ça ne veut rien dire. Quelqu’un qui le temps d’un été veut juste faire un “boulot d’été” (pour payer son loyer…) , va être payé très certainement au smic. Le problème n’est pas de savoir si il veut se professionnaliser en vente de choucoux sur la plage et comment il va faire ça le reste de l’année.
Cet argument est bidon. Comme les autres d’ailleurs (les pauvres petits nenfants qui vont pas aller en vacances… les pauvres petites associations AFAIREDUFRIC qui vont mourrir… et autres litanies à la con)
La professionalisation est un autre problème : celui de ces diplômes “pro” bidon qui n’ont d’autre but (là aussi) que de faire entrer du fric dans ces mêmes boîtes AFAIREDUFRIC. On est pas plus avancé quand on a dans les pattes un bpjeps qu’un Bafa ou qu’un “sans diplôme”.
D’une part une partie de ce surcoût pourrait être financée par les bailleurs de fonds, collectivités locales / CE et une autre partie par les organisateurs eux mêmes.
Une participation de l’état serait clairement une bonne chose. Pour ce qui est d’une participation des organisateurs eux même, sa me parait clairement pas possible. En tous cas pas pour la plupart.
Comme cela se pratique dans le tourisme adulte commercial ou à vocation sociale ils pourraient réduire leurs ratios bénéficiaires et faire des économies d’échelle ce qui leur permettraient de demeurer concurrentiels.
Fameuse économies d’échelles dont tu ne veux jamais parler…
Les économies d’échelles pourrait eventuellement se faire au niveau des structures (bâtiments) elles mêmes qui actuellement sont majoritairement de taille réduite (50/150 enfants) et effectivement cela coute cher en entretien/personnel.
Maintenant je ne suis pas sur que d’entasser 1500 enfants enfants dans un village vacances soit la panacé.
En dehors de ces couts d’hébergement/restauration, il n’y a pas trop de solutions pour faire des économies “d’échelle” sur un colo.
Il reste bien les sièges sociaux qui cumulés peuvent représenter quelques choses mais pas vraiment de quoi obtenir de veritables économies.
Quant à ce que les séjours de vacances deviennent « élitistes » c’est un faux argument ils le sont déjà ,les vrais pauvres même aidés ne peuvent y accéder et ce malgré que les anims soient payés au lance pierre.
Encore une fois tu te trompe. Aujourd’hui il est bien plus facile pour une famille gagnant le smic ou 20% de plus que le smic de faire partir ses gamins en colonies que pour les autres grâce aux multiple aides dont elles bénéficient (caf, région, département, aide sociale etc…)
La difficulté est pour les famille aux revenus dit “moyens”, en gros ceux qui gagne un poil plus que le smic et qui eux n’ont droit à rien du tous.
Mais ce n’est pas nouveau que la classe “moyenne” en a pris un coup ces dernières années.
PS : Pour en revenir à la professionnalisation, que ferait donc ces fameux pros de l’animation en dehors des vacances scolaires ? Ils pointeraient aux chômage ?
Alexis,
je ne pense pas que parce que il existe d’ autre forme de vacances que les acm que l on ne doit pas préserver ce secteur et le rendre plus accessible… Les acm apportent une complémentarité aux autres systèmes de vacances et apportent d’ autres réponses… C est bien pour ça que malgre une baisse significative de frequentation des séjours lies en grande partie aux tarifs et aux manques d’ aides aux départs, mais aussi a une évolution de la société…, les sejours accueillent encore beaucoup d’ enfants et d’ ados et cette baisse constatee a tendance a se tasser…
Pour en revenir aux al, la remise en questions du régime dérogatoire aura moins d’ influence pour plusieurs raisons:
– les al fonctionne 5 jours par semaines
– les al fonctionnent en moyenne 10h par jour…
– les salaires sont déjà plus élèves
– les couts de fonctionnement sont moindres
– ils bénéficient de plus d’ apport financier des collectivités locales, et caf
En ce qui concerne les séjours de vacances le problème est bien autre…
Amplitude horaires plus importantes ( 24h), présence des enfants 7 jours sur 7 pdt une durée moyenne de 15 a 28jours…
Revenir au simple code du travail engendrerait un surcout plus que minim soit pour le même nombre d’ enfants 3 fois plus d’ adultes dans l équipe d’ encadrement… ( sans parler du problème de recrutement d’ un personnel qui restera occasionnel car tjrs pas professionalisable…)
répercuter les couts sur qui su ce n est les parents? A l heure actuelle 3 millions d’ enfants ne peuvent déjà pas partir a cause du coût et moins de 40% des participants bénéficient d’ aide ( caf, ce…)
d’ autre part quand tu parles de diminuer le ratio bénéficiaire… C est mal connaitre le monde associatif sur lequel repose les séjours de vacances… Qui dégage a peine de quoi entretenir les locaux et financer les mises aux normes et rémunérer les quelques permanents…
Remettre en cause le bien fondes du régime derogatoire c est aller vers le dépôt de bilan de nombreuses associations et ceux qui s en sortiront ne pourront jamais remplir ce vide… Et on verra apparaitre un secteur encore plus élitiste ou la la notion d’ éducation populaire ( au sens apolitique et globale de ce courant d’ idée) disparaitra, une baisse de qualité pour suppleer au coût ( va bien falloir trouver l argent…)… Je ne suis pas sûre que c est ce que tu vise non plus…
Je crois qu aborder une revalorisation des salaires du CEE, peut être y mettre un autre cadre d’ application afin de le réserver a une partie du secteur… Serait une démarche plus pragmatique dans un premier temps…
Envisager la suppression totale d’ un régime dérogatoire pour ce secteur bien particulier ne pourra être réaliste que lorsque l état et les collectivités accepteront ( ou en auront les moyens) de mettre la main a la poche… Et pas juste pour faire un suppoudrage…
Novi,
tu dis:”D’où te vient cette haine contre les séjours ? Il n’y a pourtant pas de tours operators, dans ce milieu ?”
le monde des colos a bien change… Il est devenu un véritable secteur marchand aussi bien dans le monde associatif que dans le monde societale… D’ ou le fait que des agences de voyages ont diversifie leurs activités et sont devenus organisateurs de séjours pour enfants et ados… Le monde des jolies colonies de vacances merci papa merci maman a bien évolue… Preuve en est les différents débats parfois passionnes sur ce forum…
Réponse xav43
Il ne s’agit pas de professionnaliser à outrance mais professionnaliser tout court.
Evidemment il est illusoire de penser professionnaliser du jour au lendemain les 200.000 animateurs. la dette abyssale de l’Etat et les difficultés financières des collectivités locales ne le permettraient pas.
Par contre il est possible de le faire par étape en commençant par une partie du secteur celui des séjours de vacances dont l’utilité publique, notion qui permet de contourner la directives européenne sur les services, est moindre que celles des AL.
Alors que ces derniers prennent en charge à l’année 3,5 millions d’enfants ce qui génère un bénéfice tangible à l’ensemble de la collectivité, les ACM ne concernent qu’une activité programmée sur 1 semaine ou 2 durant les vacances scolaires dont l’utilité publique est discutable
D’autres solutions de vacances existent et elles sont du reste largement utilisées par les parents.
La thèse des organisateurs associatifs et commerciaux selon laquelle une telle augmentation renchérirait le prix des séjours et interdirait leurs accès à de nombreux enfants est discutable.
Rien n’oblige que les charges salariales soient intégralement répercutées sur les parents.
D’une part une partie de ce surcoût pourrait être financée par les bailleurs de fonds, collectivités locales / CE et une autre partie par les organisateurs eux mêmes.
Comme cela se pratique dans le tourisme adulte commercial ou à vocation sociale ils pourraient réduire leurs ratios bénéficiaires et faire des économies d’échelle ce qui leur permettraient de demeurer concurrentiels.
Ceux qui ne sauraient s’adapter effectivement déposeront leurs bilans, ce qui aura pour effet bénéfique d’assainir un marché où l’offre est pléthorique alors que depuis 10 ans il y a baisse régulière de fréquentation.
En tout état de cause ces défaillances n’auraient pas de réelles répercutions sur les animateurs objet du débat.
Leurs recrutement n’est pas lié au nombre d’organisateurs associatifs ou commerciaux qui exercent sur le marché mais à ceux des enfants et ados à encadrer.
Quant à ce que les séjours de vacances deviennent « élitistes » c’est un faux argument ils le sont déjà ,les vrais pauvres même aidés ne peuvent y accéder et ce malgré que les anims soient payés au lance pierre.
alexis Selinger
sosvoyages a écrit :
(…)Indépendamment de l’action syndicale ces relais sont tout trouvés, ce sont les parents à qui il est facilement possible de leur faire prendre conscience de la nécessité de professionnaliser l’animation dite bénévole dans l’intérêt bien compris de leurs enfants.
Pour mémoire ces parents qui confient leurs progénitures aux organisateurs d’ACM représentent de 8 à 9 millions de citoyens et par conséquent 8 à 9 millions d’électeurs.
alexis Selinger
Je trouve que ton projet contribuerait plus certainement à supprimer purement et simplement les colos !! Là je ne vois pas où les enfants / parents / familles tireraient un intérêt ?!
D’où te vient cette haine contre les séjours ? Il n’y a pourtant pas de tours operators, dans ce milieu ?
Avé grand modérateur
Je faisais juste remarquer à novi que lire un post jusqu’au bout avait un intérêt.
Sa remarque par contre n’a aucun intérêt à moins qu’il soit illettré.
Mode modérateur
Avé Gentianen et novi
Excusez moi, mais le dernier message de chacun d’entre vous n’a absolument aucun intérêt pour le fil concerné.
Merci d’éviter les attaques personnelles qui n’apportent rien au débat.
Essaye d’écrire en Français, ça sera pas mal …
Lit les phrases jusqu’au bout, sa sera pas mal…
slt
j’y avais pas pensé : le jour où le temps plein passe à 5heures hébdo dans l’animation de colos, je change tout de suite de métier !!! Je me verrai bien finir ma carrière dans ce domaine…
T’es 1 vrai animateur !! Merci de m’avoir fait rêver avant le dodo
Pour ce qui est du CEE sosvoyage, celui ci existe depuis bien plus de 4 ans. Bon avant c’était l’annexe 2 mais c’était exactement la même chose.
Maintenant il y a un nom sur le contrat voila tout.
En tous cas, je ne vois pas trop comment on pourrait professionnaliser un secteur comme les colonies sachant qu’il n’y a que quelques semaines de vacances par an.
Que feraient donc ces “pros” le reste du temps ?
Et si on réduit la durée des vacances, est ce que ce ne serait pas encore pire ?
Comme pour les pompiers, si il n’y a pas eu “professionnalisation” dans ce secteur particulier c’est peut être aussi parce qu’il n’y a pas la possibilité d’en vivre à titre “professionnel”.
Il n’y a pas assez d’incendie dans les petits villages ni d’accidents comme il n’y a pas assez de vacances scolaires.
Maintenant changer certaines choses comme les salaires, c’est possible mais on n’aura jamais des pros dans ce secteur sauf à passer de la semaine de 35h00 à la semaine de 5h00 et d’annualiser tous sa.