situla a écrit :
heu… ya pas besoin de lime pour la mousse, tu dégrossis au cutter et aprés tout aux ciseaux
Merci! J’ai du mal à m’imaginer travailler cette matière.
heu… ya pas besoin de lime pour la mousse, tu dégrossis au cutter et aprés tout aux ciseaux
Je vais aller voir le fameux fil! Je pense que pendant les vacances on va aller se balader dans les bois avec les petits du coup, avoir une petite réserve de champipis magiques peut-être sympa pour mettre un peu de magie dans la découverte!
Tu sculptes avec quoi ciseaux et cutter? Ou tu prends aussi une lime?
oui, j’ai peint simplement aprés sculpture
c’était pour un jeu pour les petits
j’avais utilisé aussi la pyramide bois dont je parle dans le fil claé
situla a écrit :
sur la piste des schtroumpfs….
Aaaaaaah j’adore! Tu les as fais en mousse avec de l’acrylique?
sur la piste des schtroumpfs….
Bonjour EPIj,
j’aimerais le programme pour m’inspirer.
Toute nouvelle sur ce forum, je ne trouve pas comment envoyer un MP désolée.
EPIj a écrit :
J’ai fait une colo où on demandait chaque jour aux jeunes ce qu’ils voulaient faire… et on n’a rien fait pendant 15 jours… Nul…
Ben n’auriez-vous pas confondu cette fois là laisser le choix au public et ne jamais rien lui proposer ? 🙄
Ouhlala, c’est un peu parti en vrille cette discussion, non ?
Bon, moi, j’ai pris les idées Schtroumpfs, ça me plait bien.
Pour répondre (très rapidement, je ferai pas de tartines) aux autres débats (je vous avoue que j’ai zappé des passages, ça me paraissait fastidieux et pas toujours très constructif), nous on essaie que les “projets globaux” et thèmes viennent au maximum des jeunes (facile, on fonctionne en mode scoutisme et on les voit tous les 15 jours) mais après, bien sur qu’on propose des activités venant “d’adultes” ! Mais si on colle aux attentes des jeunes (du mieux qu’on peut et en faisant des débriefs après), pour autant, ils sont aussi en attente qu’on leur propose des activités auxquelles ils ne penseraient pas forcément, qui ne viendraient pas forcément d’eux. C’est là tout le rôle de l’animateur, non ? Proposer des activités qui vont plaire par leur originalité et permettre à des jeunes de faire des choses qu’ils ne feraient pas d’eux-même.
J’ai fait une colo où on demandait chaque jour aux jeunes ce qu’ils voulaient faire… et on n’a rien fait pendant 15 jours… Nul…
Mais laissons là ce débat. Pour en revenir aux Schtroumpfs, comme on part samedi, on a une bonne partie de nos activités prêtes, un planning complet, etc. Donc si ça vous intéresse, demandez les par message privé, je ne peux pas laisser trainer ça ici, on a des jeunes qui pourraient tomber dessus par hasard…
Bonnes animations à vous.
Pierre
Ok pour les explications sur ce que sont ces “ateliers autonomes”… juste : y’a t-il toujours un “modèle” ? Ne peut-il y avoir une table avec du matériel ? Une armoire de matériel qui appartient aux enfants et dans laquelle ils peuvent se servir quand ils le souhaitent ? (outils, matériaux….)
Si je comprends bien…Tu arrives donc à proposer une activité en plus que des petits groupes d’enfants font ce qu’ils veulent à côté, ce qui est leur liberté évidemment. Mais alors comment fais-tu pour gérer tout ça?
Gérer quoi ? Si telle personne a envie de faire “ce qu’elle a quelque part dans la tête”, il est probable qu’elle n’est pas besoin de moi… et si c’est le cas, bin, je la guide; C’est tout.
Et les autres ? Bin, ils font “leurs bidules”… c’est tout.
La répose de “comment o gère” un grand groupe et différentes activités dans ce groupe, c’est de ne pas vouloir gérer : ne pas penser l’animateur comme central. C’est aussi bête que ça : les ges sont venus pour fabriquer telle ou telle chose… je peux passer d’un groupe à un autre… ou pas, partir, faire pour moi, faire avec avec d’autres, jouer dans la cabane en constrution à deux pas des tables…
Si tu penses “gérer” vis à vis d’une “discipline”, il n’est pas ici question de discipline ou autre : les ges sont là parce qu’ils ont envie d’être là, avec leur petit projet en tête, le matériel à dispo, mes capacités éventullement à dispo. C’est tout.
Les gens viennent, repartent quand ils ont fini, ou restet, d’autres arrivent deux heures plus tard et prennent le train en route : il n’y a pas un système d’inscription, une durée donnée, une fin générale…
Le problème dans tout ce que tu proposes, c’est que les accueils de loisirs fonctionnent ainsi, c’est à dire avec des thèmes et des temps d’animation proposé par les anim’s..
Bin, déjà ce n’est pas le cas de tous les accueils de loisirs : cela doit faire au moins une décenie que je n’ai pas bossé das des accueils qui fonctionnent par thème… pour ce qui est des propositions d’anim’, c’est une autre longue question…
Sinon alors; pour répondre à ta demande initiale :
construire des maisons de sroumfs grandeur nature :
je séparerais la question en deux : les murs de la maisons faciles à fabriquer, et le toit (lui qui est un peu plus complexe il me semble)
Pour les murs, tu as toutes sortes de possibilités : du simple carton de meubles que l’on plie pour qu’il “tourne” puisque maisons rondes, et renforcé par des liteaux de bois plantés dans la terre (à la masse) , en passant par du tissus qui s’enroulmet autour d’un “squelette” de liteaux bien plantés dans la terre, blanc, das lequel on découpe et peint les fenêtres (façon les maisons d’enfants en tissus qui se vendent dans le commerce) etc, etc… je vois plein d’autres matériaux possibles.
Le toit (et c’est notamment à cause de lui qu’il faut renforcer de liteaux les murs) :
Ce que j’aurais si on m’avait demandé de gérer ce proejt, et en faisant des toits les plus proches des dessins de Peyo :
3 couches de polystirène extrudés (plaques les plus épassies possibles) collées les unes sur les autres. Puis dégrossiage à la grosse scie. Puis cutter, puis papier de verre : en fait, ce qu’il se fait en décors de thèâtre, de films…
Peinture acrylique.
i plus ni moins que les petits champignons que l’on a fait sur le post “grimoire…” à la taille d’une maison de stroumpf pour enfants…
Ce qui demande un peu de connaissances de ces matières…
Cette grotte était assez grande pour que les enfants entrent dedans… (la mousse que pour vos toits, sinon vous allez y passer des heures et des heuires)
Sinon, le bon vieux grillage et le papier à mâché, bien bien plus long… Avec ce que l’on a sous la main pour donner la forme ronde du dessus du toit (genre une grosse boule d’équilibre de cirque…)
‘vaut mieux avoir des gants là, et des jours devant soi pour les différentes couches, des équipes qui se relaient…
Après, le problème, c’est que pour d’autres matériaux, on va faire dans “du lourd” et il faut alors envisager différemment les murs…
Sinon, si vous arrivez à donner vortre forme au grillage : plutôt que le fastidieux papier ma^ché, coller directemnt sur le grillage (colle néoprène…) du tissus : en pensant bien votre patron de tissus, vous pourrez obtenir une forme jolie… (tissus type synthétique, qui se travaille bien à la la néoprène)
si j’avais déjà été sur site, je t’aurais fait un modèle grandeur nature avec des mômes, parce que l’idée me plaît bien… pour te donner une idée de ce que ça peut donner…
Sinon, autre solution (mais ‘faut que t’habite à côté d’une usine comme moi) : le plastazote et autres matières “semi rigides” (très cher, d’où ‘lintérêt de connaître une usine pour récup’) …
Voici dans un tout autre genre ce que j’avais fait pour des mômes :
Les ateliers autonomes sont des petites activités manuelles que les enfants ont proposé lors des temps calmes. A la suite de leur propositions, on construit un modèle de base, on met à disposition tout le matos + les explications en image pour qu’ils puissent réaliser ce qu’ils ont souhaitaient faire.
Sinon, ils peuvent très bien faire ce qu’ils souhaitent de leur côté.
Pour moi, un thème permet d’amener l’imaginaire d’un enfant auquel il n’avait pas forcément pensé, à découvrir, apprendre et fabriquer de nouvelles choses…
Si je comprends bien…Tu arrives donc à proposer une activité en plus que des petits groupes d’enfants font ce qu’ils veulent à côté, ce qui est leur liberté évidemment. Mais alors comment fais-tu pour gérer tout ça?
Le problème dans tout ce que tu proposes, c’est que les accueils de loisirs fonctionnent ainsi, c’est à dire avec des thèmes et des temps d’animation proposé par les anim’s..On ne peut pas faire une grande course d’orientation pendant que d’autres enfants jouent seuls, et sans surveillance..L’effectif (d’anim) ne nous laisse pas le choix malheureusement. J’avoue qu’avec tout ce que tu me dis, tu me fais remettre en question. Mais pour le moment je n’ai aucun point de comparaison de mode de fonctionnement, je n’ai travaillé que dans un seul accueil de loisirs et je n’ai qu’un an d’expérience derrière moi alors j’ai appris à fonctionner uniquement ainsi pour le moment! Je ne demande qu’à apprendre d’autres modes de fonctionnement..
Les ateliers autonomes sont choisis par les enfants.
Mais en quoi sont-ils autonomes ? Je n’ai toujours pas saisi… Il y a déjà un cadre pré construit par l’adulte où l’enfant à quelle liberté , Peut-il par exemple détourner le “super grand jeu” amouresuement mis e place par les adultes pour en faire tout autre chose ? Comme de jouer à se bagarrer “avec des épées” avec les plots du super parcours ?
Ou faire des “avions” de papier avec les feuilles préparées pourtant pour “le coin coloriage” ?
et surtout en partir quand bon lui semble ?
La très grande majorité du temps, les enfants sont enjoués de participer aux activité qu’on leur propose!
Et quand ce n’est pas le cas ?
sinon : de quel “étalonnage” dispose ces enfants pour pouvoir penser qu’ils ont eu leur mot à dire ici, que leur “libre arbitre” a été pris en compte , quel point de comparaison ? Que leur petite personne a été respectée en tant que personne ?
Qui dit que ces enfants sont enjoués ? A partir de quoi ?
De plus il y a temps mis en place appelé “temps pour soi” où se sont les enfants qui sont acteurs de leurs activités (se sont les enfants qui proposent et mettent leurs activités en place). Il y a un temps pour tout!
Quel est la proportion de ce temps dans l’ensemble de la journée ?
De quels moyens disposent ces enfants pour mettre en place “leurs acitvités” ? quelles sont ces activités ?
Pourquoi dis-tu “qu’il faut un temps pour tout” ? Qu’y a t-il d’autre ? Pourquoi ? Pour qui ?
Quel est la réelle liberté dont dispose ces enfants vis à vis du maladive besoin interventionniste des adultes ? ont-ils la possibilité d’échapper à leur regard ?
Comment fais-tu pour mettre des thèmes en place?
quel en est le sens ? Qu’apporte t-il aux enfants ? (et non aux animateurs) durant leur temps de loisirs ?
Qu’est-ce qui pourrait faire que je puisse avoir besoin de mettre en place des thèmes ??? Quelle curieuse idée…
Cela me semble tout autant absurde que si on me demandait comment je fais pour écrire un projet, quand je n’ai pas besoin d’essayer d’écrire ce qui va peut être advenir…
Que proposes-tu toi pour valoriser les choix des enfants?
Et si l’on laissait les enfants “valoriser” eux-mêmes ce qu’ils ont envie de faire : en leur laissant un espace, un temps, qui leurs appartiennent réellement, où ils peuvent décider que maitenant on fait un trou, maintenant on arrête, et on joue à faire de la gadoue puis on joue à clouer des bouts de poids, ensuite on jette des cailloux dans l’eau…
Les enfants ont-ils besoin de nous pour ça ?
Si ils ont besoin de moi pour construire une cabane, bin ce sont eux qui viendront me voir. Mais si je peux tout faire pour qu’ils ne demandent pas mon aide, je le ferai.
là où je bosse cet été, il n’y a pas d’animations enfants prévues, mais des animations ouvertes à tous, que l’on soit enfant et adulte. Avec comme première “règle” indispensable pour qu’il y ait sens :Faire en sorte que rien n’oblige à y aller
et là on est dans un cadre différent : c’est moi qui propose quelque chose… Ce qui n’est possible qu’à la condition que les enfants ne puissent n’avoir rien à secouer de ce que je propose…
Sur l’atelier lui-même, en tant qu’anim’ je dois pouvoir permettre que des choses totalement différentes se fassent. Que certains puissent travailler le bois quand d’autres font je ne sais quoi d’autres. Sans rapport avec l’ateleir construction de Petshop que j’ai proposé moi parce que j’en avais envie… Que si des mômes de 6 ans se réunissent et décident d’aller vadrouiller pour jouer ensemble je ne sais où, alors “c’est gagné” : il n’y aura rien “au dessus”…
Qui mieux que ces enfants savent ce dont ils ont envie durant LEURS loisirs ??? à quoi ils ont envie de jouer , Ce qu’ils ont envie de faire loin des adultes ?
Sinon, s’agissant de “mettre en vie” une demande d’enfant : c’est plus une question de “traduction”. De savoir écouter ce qui est dit, tout le temps, par les enfants. Non pas dans le cadre moyen-ageux d’une “asemblée” où l’on doit prendre la parole… mais dans le vivre ensemble, potentiellement à chaque instant. Au fil des années, pour être au plus proche dans ce que l’on propose de ce qui peut être attendu. A commencer par ne pas proposer quelque chose que les enfants ont déjà pu faire avec d’autres animateurs. Des animations qui me sont propres, que j’ai inventées…
Ce qui veut dire qu’un animateur doit se former tout le temps, apprendre toujours plus de techniques, de savoirs faire, avoir un éventail le plus large possible, dans tous domaines possibles. connaître un maximum de matière par exemple s’agissant d’ateleirs manuels, s’agissant de spectacles, d’aventures etc etc…
Avec comme idée première : faire e sorte que le groupe d’enfants n’est pas besoin de moi…
Il y a un temps pour tout!
Un temps pour les enfants comme tu le dit ça je comprend mais je ne comprend l’utilité de l’autre temps ?
Comment fais-tu pour mettre des thèmes en place?
Là non plus je ne comprend pas ? il y aurais une nécessité absolue de mettre des thèmes en place ? pas moyen de faire autrement ?
On n’impose rien aux enfants. Cependant, on essaye au maximum de les inviter à faire les activités proposées (en misant beaucoup sur la sensibilisation). Mais, si un enfant ne souhaite pas faire l’activité, des activités autonomes sont mises en place qui ne sont pas forcément en lien avec le thème proposé (c’est à dire qui ne demande pas l’intervention d’animateurs hormis leur surveillance).
Pourquoi vouloir “insister” pour que l’enfant participe à l’activité de l’adulte en rapport avec le thème ? Pourquoi ne pas simplement proposer l’activité en rapport avec le thème et l’autre où l’enfant joue librement ?
Quelles possibilités ont les enfants qui ne veulent pas participer, comment cela ce passe-t-il ? quel est le rôle de l’adulte ?
Les ateliers autonomes sont choisis par les enfants. La très grande majorité du temps, les enfants sont enjoués de participer aux activité qu’on leur propose! De plus il y a temps mis en place appelé “temps pour soi” où se sont les enfants qui sont acteurs de leurs activités (se sont les enfants qui proposent et mettent leurs activités en place). Il y a un temps pour tout!
Que proposes-tu toi pour valoriser les choix des enfants? Comment fais-tu pour mettre des thèmes en place?
J’ai pas bien saisi ce concepte “d’autonomie” :
donc si votre thème ne lui plait pas il a la possibilité d’y échapper… mais pour aller dans une autre activité proposée par un adulte ! L’autonomie pour toi cela serait de choisir entre le A ou B des adultes ???? En quoi est-ce une autonomie ? En quoi il y aurait plus d’autonomie ici que pour ce même gamin qui a carrefour hésite entre les fraises tagadas de marque ou de Carrefour ?
Mais si l’enfant ne veut pas de cette autre activité , si ce qu’il veut, sur SES temps de loisirs (et qui n’appartiennet pas à l’adulte) , c’est de pouvoir jouer ? Par exemple avec son copain ? A t-il la possibilité de ne pas avoir affaire aux adultes producteurs ?
Bonjour!
Pour mon cas, notre accueil de loisirs privilégie l’autonomie des enfants. On n’impose rien aux enfants. Cependant, on essaye au maximum de les inviter à faire les activités proposées (en misant beaucoup sur la sensibilisation). Mais, si un enfant ne souhaite pas faire l’activité, des activités autonomes sont mises en place qui ne sont pas forcément en lien avec le thème proposé (c’est à dire qui ne demande pas l’intervention d’animateurs hormis leur surveillance). Ainsi, l’enfant reste libre de ses choix!
Comment prenez vous en compte les enfants qui ne voudrait pas du thème imposé par les adultes ?
Merci pour vos réponses, ça va beaucoup nous aider!
Pour te répondre Pierre, comme autres activités on va proposer :
– Du body painting schtroumpf puis par la suite inventer une danse des schtroumpfs
– Des matchs d’im-schtroumpfs (matchs d’impro) + jouer des scènes de BD
– Course d’orientation à la recherche du chat de Gargamel
– Fabrication de son schtroumpf préféré en pâte fimo et feutrine + une fresqu’aux schtroumpfs (création de schtroumpfs à coller sur les vitres)
– un grand jeu autour de la schtroumpfette (pas encore défini)
– Des défis sportifs par le grand schtroumpf et des parcours de motricité du schtroumpf sportif pour les petits
Sur ta base en carton (fait un truc avec du carton épais) si vous voulez entrer dedans !
En cylindre ouvert pour passage (porte) et toit fermé.
Pour le dôme tu as le grillage de poule + papier peint ou papier journal avec de la colle à papier.
Il faut un long temps de séchage (24h/48h) donc le prévoir longtemps à l’avance pour peinture.
C’est dommage de ne s’arrêter qu’une semaine sur un thème qui pourrait être délirant bien plus longtemps.
Parce que les Schtroumpfs ont bcp a nous apprendre sur la vie en collectivité (moui… communauté plutôt…).
Et pî ils ont un orchestre, un cuistot,
Sinon déguisement hyper simple a faire :
– 1 pantalon blanc
– 1 tee shirt bleu
– 1 chapeau tissu avec ouate agrafé
– maquillage bleu sur les bras et le visage
– ne pas oublié le pompom.
J’essaye de coller une photo ce soir
Autres idées :
– Le Défi des Schtroumpfs (jeux de société)
– Faire une “Peste” contre Gargamelle
– Un prof Schtroumpf qui fait plein d’expérience farfelue
– Le Schtroumpf sportif et son reveil musculaire matinale, et sa séance de relaxation après le repas.
– le bricoleur,
– le cuisinier,
– le jardinier,
bref c’est bien vaste a explorer et bon fil conducteur pour différents projets d’animation mis en place par l’équipe (en collaboration avec les familles et les enfants ?)
Salut,
Je suis pas expert sur la construction de champignons mais en y réfléchissant un peu, moi je bidouillerais un bas assez costaud (avec des parpaings ou tout simplement des bancs, tables ou autres matériaux costauds) et au dessus je mettrai des chambres à air de tracteur : une grande (roue arrière) et dessus une petite (roue avant), ça te fait tout de suite tes arrondis et tu as juste à mettre un tissus ou un truc dessus. C’est un peu galère pour trouver le matos mais avec du carton, j’ai peur que ça ne tienne pas longtemps. Après si tu arrives à trouver un truc costaud en carton, tu peux peut être mettre un grand carton en “cornet” pour faire un toit pointu et après, tu poses sur la pointe un cerceau assez épais (genre une bouée) pour arrondir un peu et tu balances un tissus par dessus tout.
En fait, ce sujet m’intéresse aussi parce je prépare également un camp Schtroumpf. Je suis animateur dans une asso similaire à du scoutisme (l’EPIj) et on part camper fin juin sur ce thème avec des jeunes de 12 à 16 ans (et oui, ils vont encore accrocher à fond ! ;-). Notre fil rouge qu’on va déployer ce samedi (on voit les jeunes un samedi aprem sur deux) est que le grand Schtroumpf est malade et qu’il faut lui faire une soupe à la salsepareille pour le soigner. Malheureusement, Gargamel va voler la recette et détruire toute la salsepareille.
Notre camp va se décomposer en : 1. reprendre la recette. 2. Un genre de cluedo géant pour découvrir qu’un schtroumpf possède encore un petit plan de salsepareille (ou séchée etc).
Pour lancer ça, on commence avec un grand jeu (avec message de sensibilisation envoyé par courrier avant). Je te joins ça si ça t’intéresse.
Si ça te tente de continuer à échanger nos idées, ça me parait tout bénéf pour tout le monde ! 🙂
Schtroumpfement,
Pierre