[Al-Batros]

BlandineP

En fait, sauf erreur de ma part, il est désormais possible, dans le cas de baignades aménagées et surveillées uniquement (par des BEESAN, BNSSA, etc., extérieurs à l’ACM), et sous réserve d’un accord préalable entre le directeur et la ou les personnes qui encadrent la baignade, de laisser se baigner un groupe de 8 jeunes de 12 ans et plus sans la présence sur les lieux d’un animateur membre de l’équipe pédagogique.

Il me semble (et Al me reprendra si ce n’est pas le cas) que c’est de ce dont il parlait quand il disait de laisser le groupe de jeunes de plus de 12 ans se baigner “en autonomie” pendant qu’on utilise plus d’anims pour les petits. Ils sont quand même dans un lieu surveillé, mais ne sont pas sous la surveillance directe de l’un de leurs animateurs.

J’sais pas si je suis super claire…

“Lorsque la baignade se déroule dans une piscine surveillée, pour des groupes constitués d’au plus 8 mineurs âgés de 12 ans et plus et sous réserve d’un accord préalable entre l’encadrant et le directeur de l’accueil, la baignade peut être organisée hors de la présence sur place d’un animateur membre de l’équipe pédagogique permanente.”(extrait du texte du 25 avril)

Sur ce coup là, t’as été super limpide. C’est Crevette76 qui est pas claire, j’allègue la fiche 1.1 et elle me conteste avec la fiche 1.2.

Il est vrai que je causais d’une autonomie relative puisque la sécurité repose sur l’encadrant extérieur à l’ACM avec qui on a conclu un accord préalable.

Al

[BlandineP]

crevette76 a écrit :
Donc soit j’ai mal compris ce que tu proposais plus haut, soit c’est hors cadre légal : texte de 1981 ou tout frais, je ne vois pas ce qui permettrait de laisser des mômes de 12 ans et plus se baigner en autonomie pendant qu’on utilise plus d’anims pour les petits ?

J’me goure où ?

En fait, sauf erreur de ma part, il est désormais possible, dans le cas de baignades aménagées et surveillées uniquement (par des BEESAN, BNSSA, etc., extérieurs à l’ACM), et sous réserve d’un accord préalable entre le directeur et la ou les personnes qui encadrent la baignade, de laisser se baigner un groupe de 8 jeunes de 12 ans et plus sans la présence sur les lieux d’un animateur membre de l’équipe pédagogique.

Il me semble (et Al me reprendra si ce n’est pas le cas) que c’est de ce dont il parlait quand il disait de laisser le groupe de jeunes de plus de 12 ans se baigner “en autonomie” pendant qu’on utilise plus d’anims pour les petits. Ils sont quand même dans un lieu surveillé, mais ne sont pas sous la surveillance directe de l’un de leurs animateurs.

J’sais pas si je suis super claire…

“Lorsque la baignade se déroule dans une piscine surveillée, pour des groupes constitués d’au plus 8 mineurs âgés de 12 ans et plus et sous réserve d’un accord préalable entre l’encadrant et le directeur de l’accueil, la baignade peut être organisée hors de la présence sur place d’un animateur membre de l’équipe pédagogique permanente.”(extrait du texte du 25 avril)

Quant à BlandineP, je te précise que, D de P, c’est Délégation de Pouvoir, c’est une procédure par laquelle le délégant opère le transfèrement d’un P de D (Pouvoir de Décision) à un délégué. Le Délégué aura la RP (Responsabilté Pénale) correspondante en kadecouille.

Ah merci, c’est plus clair avec l’explication du sigle effectivement ! 😀

[crevette76]

crevette76 a écrit :
Donc la proposition “autonomie” ne vaut que dans piscine surveillée par MNS pour maxi 8 mômes de 12ans ou plus et avec l’accord du MNS.

Si y’a piscine sur l’ACM, c’est SB ou mieux + anim(s) même pour les 12ans et plus.
À moins d’avoir le luxe d’un MNS sur place… ce qui m’étonnerait quand on a pas le luxe d’avoir un ou deux anims confort.

la fiche dit :
FICHE N° 2.2

Famille d’activités

Baignade.

Type d’activités

Activité de baignade exclusive de toute activité aquatique faisant appel à des matériels spécifiques (palmes, masque, tuba, etc.) se déroulant en dehors des piscines ou baignades aménagées.

Lieu de déroulement de la pratique

Tout lieu de baignade ne présentant aucun risque identifiable.

Public concerné

Tous les mineurs.

Taux d’encadrement

Outre la présence de l’encadrant, responsable de la baignade, est requise la présence d’un animateur, membre de l’équipe pédagogique permanente de l’accueil :
― dans l’eau, pour cinq mineurs si les enfants ont moins de six ans ;
― pour huit mineurs si les enfants ont six ans et plus.

Qualifications requises pour encadrer

Peut encadrer, toute personne majeure membre de l’équipe pédagogique permanente de l’accueil répondant aux conditions de qualifications prévues à l’article A. 322-8 du code du sport ou titulaire soit :
― d’une qualification délivrée dans la discipline concernée par une fédération sportive titulaire de l’agrément prévu à l’article L. 131-8 du code du sport ;
― de la qualification surveillance de baignade du brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur (ou de toute qualification reconnue équivalente par le ministre chargé de la jeunesse et le ministre chargé des sports) ;
― du brevet de surveillant de baignade délivré par la Fédération française de sauvetage et de secourisme ;
― du brevet de surveillance aquatique délivré par la Polynésie française.
Peut encadrer une baignade de mineurs de plus de 14 ans toute personne majeure, membre de l’équipe pédagogique permanente de l’accueil.

Conditions d’organisation de la pratique

Compte tenu des risques encourus, la baignade ne peut être proposée que dans le cadre d’une activité organisée.
Elle est placée sous l’autorité du directeur de l’accueil qui désigne un membre de l’équipe pédagogique permanente de l’accueil comme encadrant chargé de son organisation et de sa surveillance.
L’encadrant doit reconnaître préalablement le lieu de bain et en matérialiser la zone :
― par des bouées reliées par un filin pour les baignades accueillant des mineurs de moins de douze ans ;
― par des balises pour des baignades réservées à des mineurs de douze ans et plus.
Le nombre de mineurs présents dans l’eau est fonction des spécificités de la baignade sans pouvoir excéder :
― 20 si les mineurs sont âgés de moins de six ans ;
― 40 si les mineurs sont âgés de six ans et plus.
annexe à l’arrêté du 25 avril 2012

Donc soit j’ai mal compris ce que tu proposais plus haut, soit c’est hors cadre légal : texte de 1981 ou tout frais, je ne vois pas ce qui permettrait de laisser des mômes de 12 ans et plus se baigner en autonomie pendant qu’on utilise plus d’anims pour les petits ?

J’me goure où ?

[Al-Batros]

crevette76

Passer du coq à l’âne pour filer du son à Hortense… ne serait-ce une maniêre d’esquiver que peut-être on n’avait pas bon sur sa copie au paragraphe autonomie et éventuellement encadrant quand on se prend pour un oiseau qui vole haut ?

…

Et il me semble qu’avant on pouvait se passer de SB avec les grands… mais je défaille peut-être.

c’était pour les plus de 14ans, si l’ACM n’accueillait pas de plus jeunes et ça ne permettait toujours pas une autonomie mais juste une surveillance par anim non SB…

Ma copie au paragraphe “autonomie” est très bonne puisque l’autonomie est une prérogative qu’on accorde aux jeunes pour décider eux mêmes ce qu’ils font de leur vie. C’est du contractuel, comme l’explique le doc de Lapin, c’est pas dans les textes dont il faudra peut être que tu revoie ta copie quant à leur validité.

Selon: http://www.legifrance.gouv.fr/Droit-francais/Guide-de-legistique/III.-Redaction-des-textes/3.8.-Entree-en-vigueur/3.8.3.-Abrogations

Les textes législatifs et réglementaires restent applicables tant qu’ils n’ont pas été abrogés, même s’ils sont tombés en désuétude, c’est-à-dire sont restés inappliqués pendant une longue période, et même en cas d’usage contraire, à moins que des textes nouveaux ne procèdent explicitement à leur abrogation ou ne soient jugés incompatibles avec eux.

Donc, ton arrêté de 1981, à mon humble avis, …

Al

Quant à BlandineP, je te précise que, D de P, c’est Délégation de Pouvoir, c’est une procédure par laquelle le délégant opère le transfèrement d’un P de D (Pouvoir de Décision) à un délégué. Le Délégué aura la RP (Responsabilté Pénale) correspondante en kadecouille.

Pour plus de détail, voir doc de Lapin à la rubrique Réglementation du site.

Al

[BlandineP]

Al-Batros a écrit :
Depuis que j’ai rencontré Sonia de Servance, Cyril de Val les Bains et plein d’autres organisateurs pacouls, je réalise ma tout impuissance face aux organisateur pacouls. A Servance, j’ai même fait intervenir le directeur départemental J&S, avec des résultas mitigés. A Vals, j’ai écrit au Maire un courrier percutant avec une formule de politesse de haut vol, sans beaucoup de résultat.
Même dans l’asso dans laquelle j’ai mis un pied, j’ai vu un cas où des parents ont dû actionner le ministre via des députés pour inquiéter l’organisateur pacoul.
C’est dire l’omnipuissance des organisateurs.

Change d’organisateur !

Au fait, Crevette, je ne dit pas DP, mais D de P.

Au risque de passer pour la dernière des abruties… Qu’est-ce que c’est ?

[Al-Batros]

Hanu, BlandineP, Crevette et Morbac

Hanu a écrit: “Non, tu peux très bien prendre la décision que tes animateurs aillent dans l’eau même si y a un arrêté qui dit qu’ils ont le droit de rester au bord l’orteil dans l’eau. Suffit juste d’être clair avant la signature du contrat. Un directeur peut avoir des exigences supplémentaires tant qu’il respecte la loi.

Al-Batros a écrit: S’il prévarique, le dirlo est impuissant.
BlandineP a répondu: Abdiquerais-tu face à ton organisateur?

Depuis que j’ai rencontré Sonia de Servance, Cyril de Val les Bains et plein d’autres organisateurs pacouls, je réalise ma tout impuissance face aux organisateur pacouls. A Servance, j’ai même fait intervenir le directeur départemental J&S, avec des résultas mitigés. A Vals, j’ai écrit au Maire un courrier percutant avec une formule de politesse de haut vol, sans beaucoup de résultat.
Même dans l’asso dans laquelle j’ai mis un pied, j’ai vu un cas où des parents ont dû actionner le ministre via des députés pour inquiéter l’organisateur pacoul.
C’est dire l’omnipuissance des organisateurs.

Morbac a écrit: Du moment qu’elle est employée par l’organisateur (sous quelque forme que ce soit, CDD, CEE…) elles est couverte par la RC de l’employeur, non ? Cette couverture n’est pas nominative mais fonctionnelle me semble t’il bien.

J’ai un doute sérieux sur la non nominativité des personnes assurées, les assureurs, eux, ils connaissent la réalité de Slem41, …

Au fait, Crevette, je ne dit pas DP, mais D de P. Il a été question, jadis, de l’implicité d’un telle procédure. J’ai une info, la Cour de Cass en son arrêt du 2 octobre 2001, Ch Crim, a décidé qu’un D de P peut être implicite dès lors qu’elle est conférée à un cadre dirigeant de l’entreprise.
Alors, un dirlo impuissant et asservi par un OV, peut il être considéré comme un cadre dirigeant de l’ACM qui est comme l’explique le doc de Lapin, une entreprise?

Au fait, l’arrêté d’avant l’élection de F Mitterand que tu nous cites, il est encore en vigueur?
4 mai 1981, ça fait une paye ça. A l’époque, je me faisais des slows sur la chanson: “Dream is my reality …” C’est aussi l’année où j’ai connu ma 1ère colo, pas en tant qu’anim mais en tant qu’invité par des colons. A l’époque, les colons partaient faire du stop seuls, ils allaient où ils voulaient. Y’a pas eu de Delta Charlie Delta.

Al

[Hanu]

Seulement, mes anims sont souvent comme mon Elodie de juillet 2011 à Aspres su Buëch, ils faut les forcer avec une force fortement forte. Avant, j’avais une base légale pour justifier ma demande. Maintenant, Elodie peut me sortir: “Depuis l’entrée en application de l’arrêté du 25-04-12, je peux rester sur le bassin, le petit orteil droit dans l’eau. Alors, vatefèrefoutre, salepiaf!”
Et moi, je devrai partir, les ailes en berne.

Non, tu peux très bien prendre la décision que tes animateurs aillent dans l’eau même si y a un arrêté qui dit qu’ils ont le droit de rester au bord l’orteil dans l’eau. Suffit juste d’être clair avant la signature du contrat. Un directeur peut avoir des exigences supplémentaires tant qu’il respecte la loi.

[Al-Batros]

Calou71 & BlandineP

Moi non plus, je ne comprends pas l’avantage… En revanche, j’y vois un inconvénient possible : si les anims restent sur le bord, il y a des chances pour qu’ils bavardent entre eux sans veiller au bon déroulement de la baignade. Et dans ce cas-là, qu’ils soient là ou pas, c’est un peu du pareil au même.
Alors que quand ils sont avec les enfants dans l’eau, ils jouent avec eux. Pourquoi veut-on les laisser au bord?

Tout à fait d’accord avec toi!
D’où ma question à Al en tout début de topic, lui qui semble soucieux au plus haut point de l’aspect sécurité. Un effet du 22/12/2012???

Je ne veux pas les laisser au bord, je voudrais plutôt qu’ils soient dans l’eau avec les gosses.
Seulement, mes anims sont souvent comme mon Elodie de juillet 2011 à Aspres sur Buëch, ils faut les forcer avec une force fortement forte. Avant, j’avais une base légale pour justifier ma demande. Maintenant, Elodie peut me sortir: “Depuis l’entrée en application de l’arrêté du 25-04-12, je peux rester sur le bassin, le petit orteil droit dans l’eau. Alors, vatefèrefoutre, salepiaf!”
Et moi, je devrai partir, les ailes en berne.

Al

Morbac

En tant que bénévole, présente sur la FC, elle n’est pas assurée ? Il me semblait pourtant bien que ce n’est que si elle intervient à titre accessoire sans être sur cette FC qu’il faut alors l’assurer spécialement.

Tu touches au bon endroit.

Si on ajoute un préposé à la liste des préposés assurés, ça augmente les risques de l’assureur d’avoir un truc à payer. Donc, la cotisation ira dans le même sens me semble t’il.
D’où, je subodore l’existence d’une procédure officielle auprès de l’assureur.
Sinon, l’organisateur assure 3 anims sur la FC initiale, paie une petite cotisation et puis en rajoute 7 et ça, sans sucre ajouté! Ca, ça serait un peu édulcoré, non?

Al

[Al-Batros]

A virer

[Calou71]

BlandineP a écrit :

Moi non plus, je ne comprends pas l’avantage… En revanche, j’y vois un inconvénient possible : si les anims restent sur le bord, il y a des chances pour qu’ils bavardent entre eux sans veiller au bon déroulement de la baignade. Et dans ce cas-là, qu’ils soient là ou pas, c’est un peu du pareil au même.
Alors que quand ils sont avec les enfants dans l’eau, ils jouent avec eux. 🙂 Pourquoi veut-on les laisser au bord ?

Tout à fait d’accord avec toi !

D’où ma question à Al en tout début de topic, lui qui semble soucieux au plus haut point de l’aspect sécurité. Un effet du 22/12/2012???

[BlandineP]

Al-Batros a écrit :
S’il prévarique, le dirloest impuissant.

Abdiquerais-tu face à ton organisateur ? 😀

Moi, Je vérifie et, ça, c’est à moi de le faire.

C’est tout à ton honneur. Moi aussi je vérifie. Seulement, j’étais en train de dire que, parfois, ce n’est pas possible de le vérifier avant le séjour (il arrive, notamment l’été, que les BEESAN/BNSSA/etc., soient des saisonniers et arrivent début juillet en même temps que les enfants). Dans un cas comme celui-ci, tu vérifies l’efficacité et l’efficience de la surveillance quand tu arrives. Il n’est donc pas possible de faire des “promesses” aux parents avant le séjour sans leur mentir ou les balader (et donc le contrat que tu prônais ne serait pas légitime dans un tel cas).

L’encadrant n’est pas forcément de l’ACM. Il devra être là. S’il ne correspond pas à ce que l’organisateur a prévu, mes jeunes joueront au criquet au lieu d’aller se noyer.

L’encadrant n’est forcément pas de l’ACM dans le cas d’une baignade aménagée et surveillée. Cela dit, il est possible qu’un SB (ou plus), qui fasse partie de l’équipe pédagogique, complète la surveillance déjà mise en place (en veillant sur son groupe à lui). Mais bon, on a parfois du mal à trouver des anims, alors les SB…

par crevette76 sur 29/12/2012 17:03:44
Sinon sérieux, vu que le SB est pas dans l’eau, quel avantage ça donne de pas être obligé de mettre les anims à la flotte ?

Moi non plus, je ne comprends pas l’avantage… En revanche, j’y vois un inconvénient possible : si les anims restent sur le bord, il y a des chances pour qu’ils bavardent entre eux sans veiller au bon déroulement de la baignade. Et dans ce cas-là, qu’ils soient là ou pas, c’est un peu du pareil au même.
Alors que quand ils sont avec les enfants dans l’eau, ils jouent avec eux. 🙂 Pourquoi veut-on les laisser au bord ?

Et il me semble qu’avant on pouvait se passer de SB avec les grands…

Oui, pour les jeunes de plus de 14 ans.
Edit : C’est toujours le cas d’ailleurs : “Peut encadrer une baignade de mineurs de plus de 14 ans toute personne majeure, membre de l’équipe pédagogique permanente de l’accueil.” (extrait du texte du 25 avril).

[crevette76]

Passer du coq à l’âne pour filer du son à Hortense… ne serait-ce une maniêre d’esquiver que peut-être on n’avait pas bon sur sa copie au paragraphe autonomie et éventuellement encadrant quand on se prend pour un oiseau qui vole haut ?

Sinon sérieux, vu que le SB est pas dans l’eau, quel avantage ça donne de pas être obligé de mettre les anims à la flotte ?

À part sortir du bassin un instant pour être avec un/des mômes sur le bord sans paranoïer (ce qui pouvait se faire avant relativement simplement même pour des flippés) ?

Et il me semble qu’avant on pouvait se passer de SB avec les grands… mais je défaille peut-être.

c’était pour les plus de 14ans, si l’ACM n’accueillait pas de plus jeunes et ça ne permettait toujours pas une autonomie mais juste une surveillance par anim non SB…

[Import]

Al-Batros a écrit :
Si, Jeanine est chargée de sortir les poubelles et de mettre du papier fesse là où c’est nécessaire, je doute que l’assurance va laisser passer un accident de travail à la piscine municipale le cas échéant.

Al

Toi tu fais l’âne pour avoir du son…

Il était bien évident, mais ça va mieux en le disant, que Jeannine, à partir du moment où elle est sur la fiche complémentaire, n’est pas agent de service mais animatrice…

Selon le guide du bénévolat, il faut bien ajouter Hortense à la liste des personnes assurées.

En tant que bénévole, présente sur la FC, elle n’est pas assurée ? Il me semblait pourtant bien que ce n’est que si elle intervient à titre accessoire sans être sur cette FC qu’il faut alors l’assurer spécialement.

[Al-Batros]

Morbac

Ben, il faut aussi que tata Jeanine soit couverte en RC par le contrat d’assurance dont cause les arts R227-27 à 30.

Du moment qu’elle est employée par l’organisateur (sous quelque forme que ce soit, CDD, CEE…) elles est couverte par la RC de l’employeur, non ? Cette couverture n’est pas nominative mais fonctionnelle me semble t’il bien.

Aie! Je pensais que Jeanine était comme Hortense, bénévole.

Selon le guide du bénévolat, il faut bien ajouter Hortense à la liste des personnes assurées.

Si, Jeanine est chargée de sortir les poubelles et de mettre du papier fesse là où c’est nécessaire, je doute que l’assurance va laisser passer un accident de travail à la piscine municipale le cas échéant.

Al

[Import]

crevette76 a écrit :
La réglementation concernant les piscines en hotel, vv ou camping est en effet la même que celle d’une piscine privée “familiale” concernant la surveillance. C’est à dire aucune obligation légale de surveiller.

Ceci ne dispense pas des obligations matérielles de sécurité (barrière à loquet sécu et/ou sustème d’alarme.
Et l’obligation de surveillance devient identique à celle d’une piscine municipale dès lors qu’on demande un droit d’entrée à la piscine aux usagers.

T’aurais pu le dire avant, cela m’eut évité de dire des conneries et d’être obligé de me rattraper ensuite…

Sinon :

Al-Batros a écrit :

Ton texte dit bien: “Outre la présence de l’encadrant, est requise la présence d’un animateur membre de l’équipe pédagogique permanente de l’accueil :
― dans l’eau, pour cinq mineurs si les enfants ont moins de six ans ;
― pour huit mineurs si les enfants ont six ans et plus.

L’encadrant n’est pas forcément de l’ACM. Il devra être là. S’il ne correspond pas à ce que l’organisateur a prévu, mes jeunes joueront au criquet au lieu d’aller se noyer.
Al

Au vu des derniers éléments et sauf erreur l’encadrant n’est FORCEMENT pas de l’ACM dans le cas 2.1 que tu cites et forcément de l’équipe dans le cas 2.2.

[crevette76]

La réglementation concernant les piscines en hotel, vv ou camping est en effet la même que celle d’une piscine privée “familiale” concernant la surveillance. C’est à dire aucune obligation légale de surveiller.

Ceci ne dispense pas des obligations matérielles de sécurité (barrière à loquet sécu et/ou sustème d’alarme.
Et l’obligation de surveillance devient identique à celle d’une piscine municipale dès lors qu’on demande un droit d’entrée à la piscine aux usagers.

Pour le membre de l’équipe permanente ‘vo.t se marrer les AL et périsco municipaux avec leurs vacataires 🙄

[Import]

Al-Batros a écrit :
Ben, il faut aussi que tata Jeanine soit couverte en RC par le contrat d’assurance dont cause les arts R227-27 à 30.

Du moment qu’elle est employée par l’organisateur (sous quelque forme que ce soit, CDD, CEE…) elles est couverte par la RC de l’employeur, non ? Cette couverture n’est pas nominative mais fonctionnelle me semble t’il bien.

Al-Batros a écrit :
Quant à ne la mettre sur la FC qu’un jour, je ne suis pas sûr que ça en fasse un membre permanent, mais …
Al

Tu as donc une définition précise de membre permanent ?

Sinon pour info MNS = BNMNS ou BEESAN ou BPJEPS AN, un BNSSA n’est qu’un assistant et ne peut donc pas surveiller seul les piscines ou baignades aménagées et surveillées

[Import]

(Morbac c’est parce qu’il faut lire “piscine ou baignade”(ensemble) amenagée et surveillée ; pas piscine ou baignade aménagée et surveillée.
Mais c’est foireux oui.)

En fait j’ai trouvé, il est pas si con que ça le législateur (en tout cas ici) :

Code de la Santé Publique (article D.1332-1)
« Une piscine est un établissement ou une partie d’établissement qui comporte un ou plusieurs bassins artificiels utilisés pour les activités de bain ou de natation. Les piscines thermales et les piscines de centres de réadaptation fonctionnelle, d’usage exclusivement médical, ne sont pas soumises aux dispositions de la présente section ».

Seront étudiées, dans les chapitres suivants, les principales conditions de surveillance, de sécurité et d’hygiène applicables
à ces établissements.

Il est à noter que cette réglementation en matière de surveillance ne s’applique qu’aux établissements ouverts au public, et qu’elle n’est pas applicable aux piscines à usage familial, ni aux piscines d’hôtel et de camping, sauf si ces dernières font l’objet d’une ouverture payante « tout public «. En revanche, les dispositions du Code de la Santé publique en matière d’hygiène
sont applicables aux piscines d’hôtel et de camping.

Ici

Du coup une piscine d’hôtel ou de camping rentre apparemment dans le cas 2.2

[Al-Batros]

Morbac

Concernant la notion de membre permanent de l’équipe mon interprétation est qu’elle correspond aux animateurs présents sur la fiche complémentaire même pour une journée (et donc tata Jeannine peut tout à fait en faire partie) par oppositions aux intervenants extérieurs.

Ben, il faut aussi que tata Jeanine soit couverte en RC par le contrat d’assurance dont cause les arts R227-27 à 30.

Quant à ne la mettre sur la FC qu’un jour, je ne suis pas sûr que ça en fasse un membre permanent, mais …

Al

[crevette76]

Ouh merci, ‘faut plus que j’en mange de cette tarte (pis elle donne un drôle de gout au picon).

Donc la proposition “autonomie” ne vaut que dans piscine surveillée par MNS pour maxi 8 mômes de 12ans ou plus et avec l’accord du MNS.

Si y’a piscine sur l’ACM, c’est SB ou mieux + anim(s) même pour les 12ans et plus.
À moins d’avoir le luxe d’un MNS sur place… ce qui m’étonnerait quand on a pas le luxe d’avoir un ou deux anims confort.

(Morbac c’est parce qu’il faut lire “piscine ou baignade”(ensemble) amenagée et surveillée ; pas piscine ou baignade aménagée et surveillée.
Mais c’est foireux oui.)

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