Le poste de directeur je l’ai refusé il y a 2 ou 3 ans suite à un entretien beaucoup trop directif à mon gout où on m’a fait comprendre que le hierarchie avait une importance capital.
Dès mon arrivé, mis seul dans un bureau sans vous offrir un verre d’eau alors que vous venez de traverser la France pour répondre à un questionnaire, puis on vous fait attendre 20 minutes sans aucune explication (bonjours le respect) pour enfin vous recevoir face à un “jury” de trois personnes. Je ne me suis pas senti en entretien mais en intérrogatoire, genre la lampe dans les yeux durant 45 minutes / 1 heure…. mais la goute d’eau, car ce que je vivais jusqu’à là je m’en moqué un petit peu car je savais que sur le terrain ils ne seraient pas là, …. est…. suite à une histoire sur l’inventaire des enfants une phrase de trop est arrivé à mes oreilles… : “le directeur a toujours raison (face aux anim), c’est comme ici (donc dans le bureau) j’ai toujours raison…”
Face à ça je ne me suis pas retrouvé, je n’ai pas retrouvé mes valeurs de communication, mes valeurs humaines sur un CV… En effet j’estime que l’animateur n’a pas forcément raison ou tort au même titre que le directeur etou que tout autre hierarchie…
A vous de voir…. J’aurais pu me tromper sur le réalité des centres mais cet été là, j’ai travaillé avec Thomson et j’ai recruté avec un pur hazard une animatrice qui avait travaillé le mois précédent avec Air France et qui a ressenti exactement la même chose sur le séjours avec les enfants….
Sinon pour Thomson les directeurs recrutent leur équipe il ont un devoir de respecter un quotas de 20% d’enfants du CIE. En fin de recrutement si les 20% ne sont pas respectés ce n’est pas grave, j’ai tourné avec un centre avec seulment 10% d’enfants d’employés de Thomson/Thales. Ce quotas existe dans tous les gros CE (CCE Air France, CCE SNCF, CCAS (edf), CIE Thales, etc…)
, le il y a 15 années et 2 mois.
