Je vais être un peu brouillon parce que je n’aurais pas forcément le temps de relier et réordonner mon post (suis pas chez moi) : je m’en excuse par avance
Engagement comprend “une contre partie” : dans le cas des animations, par exemple l’obligation de l’enfant à aller jusqu’au bout, quelque soit l’ennui que lui procure l’animateur et son animation bidon, peut être bien vendue, mais au final une merde de plus sur l’édifice.
Ce qui n’a déjà aucun sens de demander à l’enfant “d’aller au bout”…
Rappelons-nous que l’on parle de loisirs, de temps libre : celui par exemple de “ne rien faire”, d’essayer, de faire des choix, ou pas….
Ces loisirs de l’enfants sont trop souvent le loisirs des adultes, expérimentateurs, qui ont sous la main un public parfait : captif et soumis. pieds et points liés par leurs parents.
Comment pourrait-on adulte imaginer que dans nos loisirs quelqu’un “audessus de nous” nous oblige par exemple à regarder un film jusqu’au bout, même si c’est le dernier des navets ?
Comment accepterions-nous quelqu’un qui nous obligerait à finir d’écouter une musique “puisqu’on a commencé” !!!
Quel sens donnerait-on à cette règle “d’aller au bout” quand on est dans un plaisir partager avec des amis autour d’un jeu ou de je ne sais quoi : on le fait juste pour ce plaisir que procure le jeu, le fait de le partager avec des amis…. Pas d’obligation propre à la situation de jeu, si ce n’est les règles de jeu : il ne peut s’agir d’obligation : on est par choix (sinon ce n’est plus un loisir : c’est un sport, un cours de piano ou ce que l’on veut (ce qui n’empêche pas que cela puisse devenir plus tard un loisir, mais à ce moment-là cela ne l’est pas : un cours de guitare où l’enfant n’a pas choisi d’aller, ne peut en partir, ce n’est pas du loisirs : c’est tout ce qu’on veut : la suite de l’école, la réponse aux désirs des parents… en accueil enfants, c’est la même chose : le centre de loisirs, la colo… tout ça n’est pas de l’ordre du loisir au moment où l’enfant ne choisit pas, ne peut s’en soustraire (pour son bien et autres “légitimités” que dégainent si facilement les animateurs pour cacher leur misère professionelle)
Voilà ce que sont en partie les loisirs : “l’anti-travail”, le temps “pour soi”, pour sa vie sociale, pour son bien être, l’enrichissement de sa culture personnelle… des choses qui viennent de soi et qui ne peuvent être imposées.
toutes les “règles” que les animateurs imposent aux enfants s’agissant de ce temps de loisirs n’ont pas de sens : à ne pas confondre avec celles du vivre ensemble, du respect des autres, qui ne sont pas propres à la situation d’animation : elles sont vraies en toute situation. Je parle de toutes les autres règles sans fondement, toutes les “obligations”, les “passages obligés” dont finallement on se passe très bien, quand on est dans un rapport d’intelligence avec ces enfants.
– Pourquoi les CP ne pourraient venir sur mon atelier ?
– Bin parce que c’est un atelier pour les CM2. Mettre les
grands et les petits, ce n’est pas respecter le rythme des….
– Ah bon ? T’es plus à même que l’enfant à savoir ce qui peut être “son rythme”, son envie plutôt de participer au sein d’un groupe à quelque chose, d’y faire sa place, d’en partir si effectivement il y est malmené ou juste pas respecté, écouté, compris ?
Et si moi je suis capable de mettre en place un atelier où chaque enfant, quelque soit son âge, “s’y retrouvera” ??? Est-ce qu’alors ça ne poserait pas plutôt la question (encore une fois) de tes limites d’animateur ?
De cette organisation qui te semble “immuable” ?
Les règles qui ont lieu d’être, c’est celle du vivre ensemble, cette “socialisation” qui au contraire de l’éducation ne vont pas que dans un sens, qui est un temps de partage, et non un temps de gavage “pour leur bien”, “pour leur avenir”.
Ce sont les mêmes que celle dans la rue, dans un groupe où qu’il soit : celle du “savoir vivre”, de ces règles communes qui permettent que des indiviuadlités puissent cotoyer d’autres individus : ces acceptations minimums communes qui fondent la communauté.
Nulle part on ne parle de “motivation” : même quand il s’agit de se plier à ces quelques règles, il ne s’agit pas de motivation : mais du minimum qui permet le vivre ensemble. Ce n’est pas pour les autres qu’on apprend à les respecter, mais avant tout pour soi : parce que sinon, d’animal social, nous devenons proscrit, seul.
Et vivre ensemble, cela ne me semble pas demander de “la motivation” : nous sommes animaux sociaux : nous avons besoin (à quelque malades mentaux prêt) de cette vie sociale : nous avons animalement envie de ce vivre ensemble.
Et ces accueils d’enfants, ce n’est que ça : du vivre ensemble.
Et l’enfant notamment apprend ce à quoi il se résigne à renoncer (notamment ses pulsions) pour que soi possible ce vivre ensemble, et tout ce qu’il a à gagner de ce vivre ensemble : sinon il s’en exclut (provisoirement) : un enfant qui a tapé un autre enfant va perdre les bénéfices du vivre ensemble : il va se retrouver par exemple seul sur un banc durant la récréation non pas parce que l’adulte en a décidé ainsi, mais parce que l’enfant s’est lui même exclus du groupe.
S’agissant de ce renoncement à ces pulsions : mettre en place des épreuves d’affrontement , du sport… sur ces accueuils, c’est alors en contradiction avec un premier message de refoulement de ces pulsions : d’un côté l’adulte qu’il ne faut pas taper sur l’autre, à un autre moment c’est l’adulte qui nous encourage à marcher sur l’autre, à le vaincre… Ce qui brouille le message, rend difficile pour l’enfant la compréhension de ces messages (et pour cause !) D’où là aussi sans aucun doute des violences pour résultat, parce que l’enfant est en difficulté, a du mal à saisir ce que l’on attend de lui pour ce “vivre ensemble”.
crevette76 a écrit :
ça doit être mon soir sans neurones de la semaine parce que ton explication m’embrouille…si tu as la patience, peux-tu éclaircir (ou alors peut-être que demain en relisant j’pigerais du premier coup ‘va savoir…) :
> plutôt dac avec ce que dit solleana
> pas pigé si tes deux tirets sont en opposition ou vont dans le même sens
> pas pigé si les “leur(s)” se rapportent aux enfants ou aux anims dans ta phraseEDIT : ah ben oui, je viens de RE tenter avec les guillemets, j’crois que j’pige un peu je crois que c’est ton “préparées, proposées” qui m’a enduite d’erreur 🙄
Ben… le plus drôle, c’est que dans ce que tu dé-cris, j’y vois ces deux processus différents. 😀
> ceux qui sont contraints à faire pate à sel parce que y’avait plus de place à la piscine et que mince il restait 4 places là et pas de place “ailleurs” (ou pire, ceux sur lesquels l’anim met la pression parce qu’il FAUT qu’ils s’amusent parce que c’est dans le slogan de l’asso (argument réellement employé par un anim que j’ai vu de mes yeux))
Ça, c’est de l’engagement dans une activité d’animateur (à mon sens). Par l’inscription, par la fabulation, la sensibilisation… ce sont des moyens d’engager les enfants dans une activité. Qui plus est, quand ils se sont inscrits, quand ils ont commencé, les enfants doivent tenir leur engagement et finir.
> OU ceux qui sont en train de faire un truc qu’ils ont réellement choisi (pour des raisons qui les regardent, parfois y’en a ils choisissent d’être avec leur pote ou avec leur anim préféré, c’est un critère), voire ceux qui sont en train de créer leur truc ?
Ça, c’est de l’implication. On est plus tellement sur du “choix” mais sur de la décision personnelle des enfants sur leurs activités. Ils décident de ce qu’ils font (plus ou moins collectivement).
C’est plus clair ? 😀
On pourrait aller plus loin en disant que la motivation – notion large est abstraite – peut se comprendre par ces deux processus qui trouvent deux origines différentes.
Et, pour conséquence deux postures différentes des animateurs. Certains qui sont forces de proposition et décident des activités et d’autres qui aménagent et mettent à disposition une multplicité de possibilités parmi lesquelles les enfants décideront.
Plus qu’une centration sur l’activité, le deuxième s’intéresse à comment aider, faciliter les relations des enfants pour qu’ils puissent vivre leur loisir ensemble.
Autrement dit, on peut se foutre complétement du planning d’activités.
cette crainte est infondée et n’a aucune logique.
Ce n’est pas forcément parce qu’on ouvre aux projets d’enfants et au choix ouvert que ça va devenir le boxon !
Il suffit de penser son organisation, le cadre existe, seulement plutôt que d’être posé pour le confort de travail de l’encadrant en priorité, il est posé pour la prise en compte de l’enfant et des possibilités qu’on veut lui offrir en priorité (et une fois cette histoire d’égo gérée, et parfois cette peur panique du planning vide ou du “mais on ne va rien faire ? mais y’a pas de thème ?? mais j’vais devoir animer pour de vrai ??? de l’animateur lambda un peu trop formaté par un système de cases pré remplies pré machées, voir de jeu imposé par le dirlo gérée elle aussi on voit qu’en fait ça apporte AUSSI un confort de travail en réalité).
Pis franchement, quels mômes risquent le plus de mettre le boxon ?
> ceux qui sont contraints à faire pate à sel parce que y’avait plus de place à la piscine et que mince il restait 4 places là et pas de place “ailleurs” (ou pire, ceux sur lesquels l’anim met la pression parce qu’il FAUT qu’ils s’amusent parce que c’est dans le slogan de l’asso (argument réellement employé par un anim que j’ai vu de mes yeux))
> OU ceux qui sont en train de faire un truc qu’ils ont réellement choisi (pour des raisons qui les regardent, parfois y’en a ils choisissent d’être avec leur pote ou avec leur anim préféré, c’est un critère), voire ceux qui sont en train de créer leur truc ?
y’a pas à réfléchir 107 ans pour trouver la réponse…
Et si vous n’êtes pas convaincus, vivez le juste une fois et on en reparle… 🙄
on est tout à fait d’accord. Hélas, beaucoup ne digère pas ce coup à l’égo et en ce qui concerne les responsable d’ACM, il y a aussi la question et la crainte de ce que l’observateur lambada va penser de son accueil qui pourrait ressembler de prime abord à un joyeux bordel où tous les enfants ne sont pas bien assis autour d’une table à colorier sans dépasser… ^^
L’effectif de participation à une animation n’est plus vraiment pour moi le critère phare de l’évaluation de sa réussite…
Une de mes plus belles réussites d’ailleurs pour l’anecdote c’est un projet d’enfant que j’ai épaulé… pour UN môme.
Tout ça n’est (encore une fois) qu’une histoire d’égo…
OUI, la première fois que j’ai eu zéro volontaires pour ma proposition sur le coup ça m’a fait un peu mal, parce que ça a blessé mon égo… sauf qu’en vrai ce n’était pas une défaite, simplement les mômes avaient bien pigé le système et plutôt que d’être contraint (ou manipulés, mais ça revient au même) pour être une douzaine par groupe, ben ils avaient choisis en fonction de ce qu’ils voulaient vraiment faire, et entre l’atelier libre ouvert à leurs propositions et les propositions de mes collègues cette fois là, ben ils avaient trouvé mieux que mon truc.
Et moi j’ai basculé sur un groupe a gros effectif pour filer un coup de main logistique.
Une fois qu’on a digéré ça, on voit nous aussi – animateur encadrant force de proposition qui apprend à mettre son égo de côté pour s’adapter à ce que les enfants vivent – tout l’intérêt du fonctionnement… et on n’est pas forcément bridé dans le créatif puisque pour épauler du projet d’enfant, il va parfois falloir trouver des solutions “logistiques” à des trucs qu’on n’avait pas forcément anticipé ou déjà testé… donc -en tout cas pour des profils tels que le mien- une fois le ptit bobo à l’égo digéré (ça va très vite), gros trip, même (et surtout !) à contribuer à la réalisation de projets d’enfants plutôt qu’à juste voir “beaucoup de monde” reproduire purement et simplement le “truc” qu’on proposait…
Non ?
heureusement qu’on n’est pas tous comme ça crevette mais tu avoueras cependant qu’il subsiste chez une immense majorité d’entre nous (et je ne m’exclu pas de cette majorité) le sentiment qu’une animation est réussi parcequ’on a eu beaucoup de monde dessus (ce qui peut être un critère après tout). Pour avoir du monde, l faut donc se faire sa pub et motiver les enfants pour finalement faire du bien à son propre égo (encore une fois je ne parle pas pour tout le monde). ça me fait parfois un peu pensée à ces films où tout est dans la bande annonce…
Le besoin et l’envie c’est quand même sensiblement différent !
“créer le besoin” c’est le rôle des publicitaires dans les boites marketing ça… et perso c’est un peu tout à fait l’inverse de ce que j’espère un peu laisser entrevoir quand j’anime un groupe de mômes… même ici en vv…
Une activité ne crée en aucun cas un besoin chez l’enfant… au pire elle y répond, au mieux on parle pas des besoins de l’enfant…
Oui et non : dans un sens, Beaucoup d’ACM que j’ai fréquenté il fallait “donner envie” aux enfants de faire l’activité avec, en conséquence, la volonté de créer (donner) un besoin (envie) chez l’enfant. Autrement dit qu’il n’était pas spécialement intéressé au départ et que grace à un super coup de pub ou autre “illusion” de l’animateur qui a envie d’avoir le maximum d’enfant sur son activité (ça fait toujours du bien à l’ego). Je suis d’accord avec toi qu’on ne respecte dans ce cas, absolument pas les besoins des enfants ni leurs envies… Moilapa pourrait qualifier cela de dictature ou l’animateur détient toutes les clés de l’informations pour embobiner les gosses et je dois avouer que je suis plutôt d’accord.
Comme il a été dit, venir avec un ou plusieurs exemple de ce qui va être fait et exposé simplement à quoi ça sert permet aux enfants qui souhaitent faire l’activité de la faire tandis que les autres sont libre de jouer à autre chose. Peut être que seulement la moitié où moins sera intéressé. Et alors ? Le critère principale de réussite est il et doit il être le nombre de participants ou le fait d’avoir des enfants intéressés par l’activité proposée et de leur apporter quelques chose que ce soit en savoir faire ou savoir être ?
On ne motive pas un enfant (la motivation est personnelle), on met un enfant en situation d’avoir envie de…, ou de s’impliquer dans…
Pour parler de motivation, il faudrait savoir pourquoi l’enfant se trouve à devoir faire cette activité : a-t-il la liberté de venir? est-il contraint? a-t-il un intérêt secondaire à être là (par ex : être avec un copain)? etc…
Pour ma part je pense que non et que l’animation dois se suffire à elle même et n’as pas besoin de “fioriture” autour pour créer un besoin chez les enfants….
Une activité ne crée en aucun cas un besoin chez l’enfant… au pire elle y répond, au mieux on parle pas des besoins de l’enfant… 😉
ça doit être mon soir sans neurones de la semaine parce que ton explication m’embrouille…
si tu as la patience, peux-tu éclaircir (ou alors peut-être que demain en relisant j’pigerais du premier coup ‘va savoir…) :
> plutôt dac avec ce que dit solleana
> pas pigé si tes deux tirets sont en opposition ou vont dans le même sens
> pas pigé si les “leur(s)” se rapportent aux enfants ou aux anims dans ta phrase
EDIT : ah ben oui, je viens de RE tenter avec les guillemets, j’crois que j’pige un peu je crois que c’est ton “préparées, proposées” qui m’a enduite d’erreur 🙄
Si tu mets des guillemets à “motivation”, “engagement” et “implication”, ça devrait être mieux. 😀
(sinon… les processus d’engagement et d’implication (en psychologie sociale) sont deux processus différents parfois opposés. :titille:)
Shaaa, t’aurais pas oublié un mot ou deux dans ta phrase ?
Parce que là ça me rappelle une discussion vers 3′ :jesors:
(m’enfin j’ai quand même pas vraiment compris ta phrase)
Plus que motivation, je parlerai engagement ou implication. À une nuance près :
– une animateur cherche à engager (motiver ?) les enfants dans leurs activités (préparées, proposées).
– un animateur permet aux enfants de s’impliquer dans leur (temps de) loisir(s) voire jouer.
Une question de posture. Assez bien résumé par solleana. 😀
Bourricot, n’est-ce pas AVANT TOUT, une question de confiance ?
Du vécu que l’on a avec ces enfants dépendra l’écoute que nous accorderont ces enfants : si les enfants n’attendent de cet adulte que de l’ennui, de la merde (autrement appelé animation dans certains lieux) , que cet adulte n’a jamais su les surprendre, ou les écouter pour répondre à ce que peuvent être leurs attentes, alors effectivement l’animateur continuera à parler au vent quand les enfants partiront courir derrière le ballon.
Ne reste plus alors qu’à organiser un système d’inscription obligatoire pour protéger les animateurs de leur incurie, leurs incompétences. Et les protéger du libre arbitre des enfants : on y ajoute ensuite un planning d’activité”, on parque les enfants par âge, et on met en place des horaires immuables et des routines quotidiennes que l’on nommera “règlement intérieur”.
Se poser la question de “la motivation des enfants”, c’est déjà faire le constat de ses limites en tant qu’animateur.
Tout enfant, tout être humain (à l’exception du légume dans son lit d’hôpital qui a mangé un platane) a le désir d’apprendre, de jouer, de vivre des situations en groupe, de s’évader, de s’exprimer, de dire sa rage, de découvrir, d’affronter, de comprendre…
Le problème n’est pas la motivation des enfants, mais celles des adultes : celle notamment à faire l’effort de comprendre ce qu’ils pourraient amener à ces enfants, et ce que pourraient attendre ces enfants dans telle situation.
Et quand il ne s’agit pas de motivation, c’est face à un problème de capacité que l’on se retrouve.
Discuter sur “comment motiver les enfants”, je trouve que c’est le constat le plus terrible que l’on puisse faire de l’animation. Bien plus que mes sempiternels messages sur ces “animateurs d’aujourd’hui”.
Et comme d’habitude, au lieu de se poser des questions sur soi, on va dire “que c’est l’autre qui”… C’est tellement plus facile.
Crevette76
Effectivement il faut peut-être rajouter des petit smileys, il ne faut surtout pas se méprendre devant mon ironie!
:jump2:
Moi je le comprends au sens du “un enfant ne sait pas tout” , “moi en tant qu’adulte je peux transmettre quelque chose” sauf que quand je propose une activité en en parlant ben en fait c’est tout sauf parlant……
Pendant que tu parles pour expliquer, un ballon passe et ça c’est plus intéressant qu’un adulte qui blablate.
Pour des activités manuelles, venir avec des objets déjà réalisés(appelés objets stimulants) vont convaincre bien davantage qu’un discours. (les enfants sont rodés aux discours creux…)Le must étant les objets qui ont une fonction(plus que simple déco), celui qui vole, flotte, roule….
Sur un jeu trad, c’est plus complexe, parce qu’il n’y a rien à montrer. (hormis les jeux de palets ou quille qui eux vont être investis rapidement) La réponse réside à jouer avec le petit effectif qui en a envie à la base. Et c’est en voyant voir leurs pairs JOUER (au sens noble du terme) que les autres vont avoir envie d’y participer. Après, ça c’est au début. A la longue, les enfants ont confiance dans tes propositions. Donc quand tu proposes un jeu, t’as un gros effectif dès le début.
Et aussi, à terme ils font sans toi…
matclesg, cadeau pour toi : la banque des smileys
parce que là t’as dû oublier d’en placer un ou deux pour qu’on sache que ton post est du quatrième degré… (j’espère :roll:)
très drôle…. j’ai des pog quelques part dans mon placard ça fonctionne aussi ? ^^
Pas faux solleana.
Après si il y a une strip-teaseuse qui se ramène chez moi, je veux bien bouffer du kant et du Nietzsche pendant une journée complète!!! :p
Jeje, si t as du budget, les bonbons c’est pas mal, car les gamins adorent ça. En général, la participation à l’activité est garantie.
Sinon ( toujours si tu as du budget) il y a les beyblades en récompense, pour les enfants qui se seront le mieux investi dans l’activité. ( remarque, les cartes pokémon ça marche encore bien et c’est un peu moins cher).
Sinon, si vraiment tu as pas de sous, ben tu dis aux enfants qui participent le plus qu’ils auront le droit de gouter en premier, ou alors un peu plus que les autres. Ou même sinon, que les 3 premiers dans ton classement devront être sujet aux petit soin des autres enfant pendant toute la journée d’après ( les autres devront par exemple obéir à tout leur désir dans la limite de l’acceptable bien sur , ça doit pas déborder sur des truc trash comme se mettre a plat vente devant eux ou autre).
J’espère que ça peut t’aider 😀
Cette question est une fausse question! On part du principe que l’on est dans un cadre où l’on veut faire adhérer les gosses à nos propositions… suffit juste de renverser la proposition et l’on verra qu’il n’y a pas besoin de motiver les mômes!
Exemple, chez toi quand tu as envie de lire y’a pas une strip teaseuse qui vient pour te motiver à lire ou pour te faire la lecture, t’as pas besoin de ça, tu lis parce que tu en as envie, cela ne peut être que la même chose pour les activités…