Ce qui est pathétique, c’est de croire que le “mauvais esprit” a disparu et ne concerne plus personne, que les solutions proposées ne sont pas toujours à discuter, et d’accuser ça d’être périmé avec un pseudonyme qui l’est presque autant. Quel intérêt de faire du mauvais esprit vous-mêmes, à accuser le site d’être vide, si c’est pour le remplir avec des hors-sujets ? Aucun.
(hors sujet)
Le site est tellement vide qu’on en vient à déterrer une discussion vieille de 13 ans…
c’est pathétique…
Pour moi dans cette histoire il y a des chances pour qu’il y ait une éminence grise dans le groupe de jeunes d’une part, face à une équipe d’animation finalement assez faible au plan autorité en général – pas seulement la personne qui témoigne ici, jeune ou pas jeune animatrice. Donc deux choses : l’instauration et le maintien de l’autorité, et la manipulation d’une éminence grise (ou, si vous préférez, un-e petit-e malin-gne en scred).
1. L’instauration et le maintien de l’autorité. Pour le dire d’emblée pour moi l’autorité n’a rien à voir avec le politique (y compris le “micro-politique” dans des groupes de vacances) ni avec la reconnaissance d’autrui. Je pense toujours à l’origine du mot : latin auctoritas, qui donne en français auctor, l’auteur. Donc pour commencer l’autorité, c’est la qualité d’auteur. Et en l’occurrence, auteur de quoi ? … Auteur de soi, de ses démarches, pensées, comportements, actions, idées. Ça en surprendra peut-être plus d’un, mais pour moi, l’autorité est une forme de liberté personnelle. Il y a des gens qui sont peu savants et peu compétents qui ont de l’autorité ! Si vous ne me croyez pas lisez les recueils taoïstes, pour l’exemple : c’est une sagesse toute bête, à la portée du premier venu du moment qu’il arrête de chercher midi à quatorze heures, seulement pas simple de faire ce vide et suivre cette voie, on s’encombre tellement …
A partir de là en fait, faut pas se leurrer, l’autorité a quand même des effets, des conséquences, des influences (micro-)politiques ainsi qu’en termes de reconnaissance d’autrui. Seulement si on veut rester libre dans son autorité, on ne va pas commencer d’en faire de la (micro-)politique ni à jouir de notre gloriole. Déjà je peux témoigner que devant pareille démarche, non seulement les jeunes, mais bien des coéquipiers, sont déconcertés voire te prennent pour un je-ne-sais-quoi (“Au village sans prétention, j’ai mauvaise réputation …” – Brassens). Et ensuite seulement on peut parler d’instaurer et maintenir l’autorité par des règles de vie, avec ou sans contrat de vie ; et je parie même que les règles de base peuvent être acceptées sans avoir besoin de “les faire émerger du groupe” comme si un débat de fond était vraiment possible à propos du bon sens comme le respect : au fond on se ridiculise bien plus à le mettre à la discussion, surtout devant de jeunes personnes inexpérimentées et, pire, qui se la jouent comme c’est peut-être le cas dans l’affaire témoignée ici. Justement parlons-en :
2. La manipulation d’une éminence grise (ou, si vous préférez, un-e petit-e malin-gne en scred). Si tout le groupe était aussi rebelle à l’équipe, c’était très probablement aussi à cause d’un-e personne dans le lot qui n’a pas été repérée, identifiée, cernée, discernée, reconnue … et à laquelle se comparait égotiquement tou-te-s les autres membres du groupe. En gros c’était plus stylé et rentable de se rebeller sous son regard insinueux, que d’être dans le respect de bon sens, surtout que ce respect de bon sens passe pour l’arbitraire des décisions de l’équipe sous le coup de la manipulation insinueuse. C’est Grima Langue-de-Serpent mais pas soufflant de mauvais conseils à Theoden, mais à l’ensemble du groupe, et d’abord ses figures de leadership. Il y a quasiment toujours un homme de confiance derrière le rideau, à tout leadership, inutile d’être complotiste et parano c’est de bon sens : le leader a besoin d’amis et de conseils sur lesquels se reposer et pouvoir orienter sa réflexion, comme tout le monde ! sauf que forcément il attire les langues-de-serpent lui puisqu’il a plus de pouvoir : ça aussi c’est de bon sens. Les principaux motifs d’une soirée Cluédo c’est sexe, pouvoir et fric, parce que “c’est la vie les amis”, n’oublions pas d’être bêtes …
Donc en somme, vous n’avez pas trouvé la clef de voûte du groupe. La plupart du temps c’est quelqu’un qui a besoin de reconnaissance en fait, et on peut tout simplement s’en faire un allier en le responsabilisant/valorisant – c’est-à-dire en le mettant en pleine lumière : ça c’est (micro-)politique de groupe. Ce sera l’occasion pour lui de révéler à tous soit qu’au fond il n’y a pas à être si méchant, la preuve “il s’est laissé acheter”, et tout le monde se calme derrière lui … soit qu’il est clairement risible dans sa démarche, et qu’à cause de lui tout le groupe se rendait risible, parce qu’en effet il est risible et méprisable de ne pas appliquer le respect de bon sens, n’oublions toujours pas d’être bêtes.
Après, si vraiment ça ne marche pas, c’est que probablement un-e animateur-trice voire le-a directeur-trice est un-e connard-sse du même genre. Pour un anim le dirlo aura besoin du soutien des autres voire de le virer, mais si c’est le dirlo “je souhaite bonne chance” au reste de l’équipe, qu’elle n’oublie pas d’être bête voire de démissionner en prévenant JS.
A cette époque j’avais 21 ans le comportement est ressortis dés la premiere semaine du séjour qui en comptais 3
Je ne faisais pas partis de leur groupe la première semaine mais nous avons malgrés tout voulut leur donné une seconde chance.
Je tiens à préciser que ce n’était pas mon premier camp avec des ados et que jusqu’à lors je n’avais pas rencontré de problème de ce genre.
Le véritable problème c’est que confronté à ce même genre de public je pense que je ne saurais toujours pas réagir. J’avais vraiment l’impression d’avoir affaire à “des tête de bois” tout discours semblait vain ce n’est qu’après le renvoi de deux personne que les choses se sont améliorées mais je pense que les choses auraient pût être différentes avec une meilleurs méthodes
Au fait je par demain en colo dans les alpes donc si je ne répond pas ce n’est pas que vos réponse ne me conviendront pas c’est que je ne serai plus là
bonne colo à ceux qui partent
Est-ce que leur comportement est ressorti dès le premier jour où est-il venu plus tard ?
Est-ce que tu as repéré s’il y avait un ou des leadeurs dans ce groupe ?
t’avais quel age a l’epoque? et pendant combien de temps a dure ce sejour?
Bien je vais vous conter une expérience assez douloureuse qui m’a laisser un fort sentiment d’impuissance et d’incompétance .
Et même 1 an après je ne vois toujours pas comment y faire face . Voila vomment faite vous pour gérer un groupe d’ados 15-17 ans ingérable justement : le groupe en question refusait quasiment toutes regles de vie en communauté même celles qui senblaient allez de soi comme par exemple en camping il peut sembler normale de ne pas s’assoir sur les sanitaires en mettant les pieds dans le lavabo (ceci n’est qu’un exemple parmis d’autres)
j’ai tenté beaucoup de choses avec eux le dialogue l’explication des regles une analogie avec chez eux passer des contrats moraux rien n y a fait dés qu’on leur laissait la bride sur le coup ils y retournaient et lorsque le gérant les engueulait tout ce qu’ils trouvaient à répondre hormis l’insulter lorsqu’il c’étaient éloigné c’était de dire “chez moi je fait dix fois pire et on me dit rien” le fait d’arguer que ici on n’étais pas chez eux mais dans un lieux de vacances et de détente commun à de nombreux groupe n’a servis a rien
Donc comment réagir qu’est ce que j’ai oublié quel sont mes erreurs ?
Je vous remercis de m’aider à m’améliorer
désolé je suis orthographiquement restreint