contrat de travail

  • Ce sujet contient 75 réponses, 13 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par rouzier, le il y a 11 années et 2 mois.
16 sujets de 61 à 76 (sur un total de 76)
  • Auteur
    Messages
  • #52517
    Al-Batros
      @al-batros

      Guytou

      Et en quoi elles ne correspondent pas assez à leurs attentes? De quelles activités on parle? De celles qui sont prévues par l’organisateur, ou de celles proposées par les animateurs sur le terrain?

      Je parle des activités relationnelles dans la mixité.
      Dans ma dernière colo, c’est apparu très souvent. Les jeunes réclamaient plus d’activités mixtes. (Autant les mouflets que les mouflettes.)

      Et voilà, c’est la faute aux anims …

      Non, non, soyons sérieux, tu déformes mes propos pour leur faire dire l’inverse.

      J’ai eu peur.

      Je verrais d’ailleurs plutôt le fait que l’organisateur ne soit pas sur le terrain comme une chance : on peut faire ce qu’on veut sur le terrain, sans avoir à se conformer à l’avis de personnes qui elles, n’ont pour certaines jamais été sur le terrain.
      Ce que tu dis est très juste, les responsabilités des directeurs ou animateurs ne sont pas forcément celles pour lesquelles ils croient signer ou compatibles avec leur “paye”.

      L’organisateur sur le terrain, ça me gêne pas. Pour, moi, le souci est que c’est lui qui contracte avec les familles, donc, c’est lui qui doit décider ce qu’on fait, pourquoi, avec quoi et pour qui et …
      Quant au qui, avec qui, quand, comment, où, combien de fois, combien de temps, etc., c’est à lui de décider qui décide. En pas sombre, la D de P (Voir doc de Lapin) doit être transparente et annoncée.
      Et, c’est pas le cas, on laisse le dirlo s’engager, alors que ce n’est pas à lui de le faire. Ex, on lave le linge ou non, si on dégrade du linge, qui paye? On gére les sous des gosses ou non, si y’a perte, qui paye?

      Quant à la compatibilité salaire-responsabilités, je t’arrête tout de suite. (Voir doc de Lapin sur “L’impunité du personnel pédagogique”), ce n’est pas sur ce terrain que les dirlos ou anims ont à craindre. S’ils bossent correct, y’a pas de risque. Le problème, c’est quand le dirlo ou l’anim agit mal parce qu’il a mal été mené par l’organisateur.

      Al

      #52520
      Guytou
        @guytou

        Al-Batros a écrit :
        Je ne sais pas pour Moilapa, mais pour moi, ces activités ne correspondent pas assez à leurs attentes.

        Et en quoi elles ne correspondent pas assez à leurs attentes ? De quelles activités on parle ? De celles qui sont prévues par l’organisateur, ou de celles proposées par les animateurs sur le terrain ?

        Al-Batros a écrit :
        Et voilà, c’est la faute aux anims …

        Non, non, soyons sérieux, tu déformes mes propos pour leur faire dire l’inverse.

        Al-Batros a écrit :
        Les organisateurs veulent des anims imaginatifs, qui devront gérer l’organisation matérielle et de faits personnels des enfants toute la journée et préparer des activités toute la nuit.
        Ben, à la limite, si les anims étaient d’accord, ça serait bon.
        Mais, c’est là que j’en viens au sujet de notre débat, tout ça n’est pas explicite lors de l’embauche et sur le contrat de travail. Combien de monos, combien de dirlos, sont partis joyeux pour des colos lointaines, croyant que ce serait de la grosse balle, …, et sur place, big désenchantement.

        En effet, la mission impartie indiquée sur les cee est très évasive et sur place, c’est l’esclavage. L’employeur demande un oeuf pour avoir un boeuf. Alors, l’anim, il fait quoi?

        La relation de travail entre l’organisateur et l’anim gagnera à devenir sereine, c’est à dire, quand l’anim saura avant de signer son cee ce qu’il aura à faire et aura en contrepartie de son travail (Salaires et avantages extra-salariaux (Bouffe, hébergement, blanchissement de son linge, frais de déplacement, …)), les choses iront mieux.

        Al

        Absolument d’accord avec tout ça.
        Quand je dis que les colos sont ce qu’on en fait (animateurs, directeurs, organisateurs et… ENFANTS), c’est pas pour dire que tout est de la faute des animateurs ou d’untel.
        Je verrais d’ailleurs plutôt le fait que l’organisateur ne soit pas sur le terrain comme une chance : on peut faire ce qu’on veut sur le terrain, sans avoir à se conformer à l’avis de personnes qui elles, n’ont pour certaines jamais été sur le terrain.
        Ce que tu dis est très juste, les responsabilités des directeurs ou animateurs ne sont pas forcément celles pour lesquelles ils croient signer ou compatibles avec leur “paye”.

        Mais j’en reviens toujours au même point, quand j’entends (et ça semble faire consensus depuis le temps que je lis ce forum) que les colos c’est de la débilité, ça m’interpelle. Et encore une fois, j’ai envie de comprendre pourquoi ça l’est dans votre logique.

        En se plaçant du point de vue de l’enfant et pas des adultes. Car c’est bien pour l’enfant/l’ado que ces séjours existent. C’est donc leur point de vue et les bienfaits éventuels sur eux qui sont prioritaires dans la réflexion du bien-fondé de ces séjours.
        Et le seul argument que j’ai vu pour l’instant, c’est que les activités n’étaient pas adaptées pour les jeunes.

        Sur quoi on se base ?

        1/ Des éternels loup-garous et compagnie ? Oui, ça manque d’imagination. Mais il n’y a pas que ce manque cruel d’originalité dans tous les séjours (et il y a au moins le même en centre de loisirs ou en périsco). Sans compter que même si c’est pas original, ça peut se tenir si c’est une demande des enfants (après, à quel degré la demande des enfants est orientée par les limites qu’ils prêtent/connaissent de l’animateur qu’ils ont en face d’eux, ça c’est autre chose).

        2/ Des activités “de conso” proposées, type équitation et compagnie. Mais là, c’est un des rares points sur lesquels les organisateurs font preuve de transparence en disant que telle activité sera proposée, l’enfant/le jeune fait alors le choix de s’y inscrire (souvent avec ses parents effectivement) en connaissance de cause. Pour le coup, c’est un des rares points d’honnêteté des organisateurs (parce qu’il est dans leur intérêt de l’être à ce niveau : c’est vendeur).
        Et si l’activité proposée est à chier ? Alors, personne n’y ira. Sauf les enfants qui aiment ça. Et la poignée d’enfants dont les parents sont assez c**s pour décider à leur place. Mais en bon philanthrope que je suis, je pars du principe que ce n’est qu’une minorité.

        Alors, en quoi le principe d’une colo est d’une débilité profonde ?

        #52521
        DIR-PTR
          @3-2

          Moilapa tu devrais relire mon post. Je réagissais sur le fait que Badibulle justifiait une méthode de gestion du personnel par les résultats qu’elle amène. A aucun moment, je ne remets en cause ces résultats (bien au contraire, mon exemple est on ne peut plus vrai, malheureusement), c’est bien le fait que l’on puisse valider une méthode que l’on réprouve au vu de ses résultats qui m’interroge.

          #52522
          Al-Batros
            @al-batros

            Guytou

            Je parlais du principe, que les enfants s’éloignent un certain temps du cocon familial avec d’autres pairs en se voyant proposer des activités (qui peuvent être encadrées par des gens ayant un brevet, ayant des compétences dans cette activité [les moniteurs], ou par des gens qui n’en ont pas nécessairement mais qui assureront un certain suivi et une régulation dans la dynamique de groupe [les animateurs])).

            Sur ça, pourquoi les colos sont-elles d’une débilité profonde?

            Je ne sais pas pour Moilapa, mais pour moi, ces activités ne correspondent pas assez à leurs attentes.

            Parce que les économies des organisateurs, même si ça m’écorche la gueule de le dire, l’animateur pourra toujours chercher à les compenser en faisant preuve d’imagination. La colo, comme les VV ou les campings, ne seraient-elles pas finalement ce qu’on en fait?

            Et voilà, c’est la faute aux anims …

            Les organisateurs veulent des anims imaginatifs, qui devront gérer l’organisation matérielle et de faits personnels des enfants toute la journée et préparer des activités toute la nuit.
            Ben, à la limite, si les anims étaient d’accord, ça serait bon.
            Mais, c’est là que j’en viens au sujet de notre débat, tout ça n’est pas explicite lors de l’embauche et sur le contrat de travail. Combien de monos, combien de dirlos, sont partis joyeux pour des colos lointaines, croyant que ce serait de la grosse balle, …, et sur place, big désenchantement.

            En effet, la mission impartie indiquée sur les cee est très évasive et sur place, c’est l’esclavage. L’employeur demande un oeuf pour avoir un boeuf. Alors, l’anim, il fait quoi?

            La relation de travail entre l’organisateur et l’anim gagnera à devenir sereine, c’est à dire, quand l’anim saura avant de signer son cee ce qu’il aura à faire et aura en contrepartie de son travail (Salaires et avantages extra-salariaux (Bouffe, hébergement, blanchissement de son linge, frais de déplacement, …)), les choses iront mieux.

            Al

            #52527
            Guytou
              @guytou

              Al-Batros a écrit :
              C’est pas souvent que je suis d’accord avec Moilapa, voilà que ça arrive today.

              Les jeunes veulent des acm à caractère festif et on leur concocte des acm à caractère éducatif, à caractère culturel, …, caractère débile.

              On est souvent à cents lieux des PEs qui promettent l’épanouissement, la liberté, le bonheur, … des jeunes.
              Les jeunes veulent de la brioche et on leur fourgue des brocolis. Alors, …

              Et sur l’organisation matérielle (Voir doc de Lapin), l’organisateur cherche son intérêt de rentabilité, hébergement inadapté mais lowcost, menus établis en fonction des promos du fournisseurs et non des goûts des gosses, etc. pour les transports, les activités et les objets confiés.

              En pas sombre, l’acm est une “usine à débilités” qui doit être rentable pour l’organisateur. Quitte à faire des choses pas catholiques.
              Seulement, ça va peut être pas durer comme les impôts.
              Entre entre le fumeux décret de 60 et nos récents jours, les organisateurs ont joui d’une relative “impunité”. Et, ça commence à changer. Les parents s’associent des des assos et les contentieux ou judiciarisations défavorables aux organisateurs indélicats fleurissent.

              Alors, espérons que ces “usines à débilités” appartiendront bientôt au passé.

              Al

              Salut,
              je pensais bien qu’on irait sur ce terrain-là, mais ce n’est pas sur celui-là que je voulais aller. On le ait que les organisateurs la jouent à l’économie et ne considèrent pas l’enfant/le jeune comme l’élément central, l’élément central, on sait que c’est leur porte-monnaie. Mais ce n’est pas là que je souhaitais orienter le débat.

              Je parlais du principe, que les enfants s’éloignent un certain temps du cocon familial avec d’autres pairs en se voyant proposer des activités (qui peuvent être encadrées par des gens ayant un brevet, ayant des compétences dans cette activité [les moniteurs], ou par des gens qui n’en ont pas nécessairement mais qui assureront un certain suivi et une régulation dans la dynamique de groupe [les animateurs])).

              Sur ça, pourquoi les colos sont-elles d’une débilité profonde ?

              Parce que les économies des organisateurs, même si ça m’écorche la gueule de le dire, l’animateur pourra toujours chercher à les compenser en faisant preuve d’imagination. La colo, comme les VV ou les campings, ne seraient-elles pas finalement ce qu’on en fait ?

              Libre à chacun d’y mettre la part d’éducatif qu’il veut. C’est d’ailleurs le deuxième point inhérent à ton message, je trouve : Doit-on refuser de viser des apprentissages éducatifs (je dis viser car il y en aura toujours) dans les colos ? Et je parle bien des colos, pas des acm en règle générale, car Moilapa évoquait seulement les colos, et c’est ça qui m’intéresse le plus, en terme de principe, je fais une grande différence entre l’accueil de loisirs, la colo ou le périscolaire.

              #52530
              Al-Batros
                @al-batros

                Guytou

                Je suis intéressé de savoir sur quels éléments du principe des colos (puisqu’on est bien d’accord, tu ne cibles pas une colo en particulier, mais bien le principe) tu te bases pour les considérer comme des “usines à débilités”.
                Donc, uniquement en se basant sur le jeune, en quoi les colos sont des usines à débilités, Moilapa ?

                C’est pas souvent que je suis d’accord avec Moilapa, voilà que ça arrive today.

                Les jeunes veulent des acm à caractère festif et on leur concocte des acm à caractère éducatif, à caractère culturel, …, caractère débile.

                On est souvent à cents lieux des PEs qui promettent l’épanouissement, la liberté, le bonheur, … des jeunes.
                Les jeunes veulent de la brioche et on leur fourgue des brocolis. Alors, …

                Et sur l’organisation matérielle (Voir doc de Lapin), l’organisateur cherche son intérêt de rentabilité, hébergement inadapté mais lowcost, menus établis en fonction des promos du fournisseurs et non des goûts des gosses, etc. pour les transports, les activités et les objets confiés.

                En pas sombre, l’acm est une “usine à débilités” qui doit être rentable pour l’organisateur. Quitte à faire des choses pas catholiques.
                Seulement, ça va peut être pas durer comme les impôts.
                Entre entre le fumeux décret de 60 et nos récents jours, les organisateurs ont joui d’une relative “impunité”. Et, ça commence à changer. Les parents s’associent des des assos et les contentieux ou judiciarisations défavorables aux organisateurs indélicats fleurissent.

                Alors, espérons que ces “usines à débilités” appartiendront bientôt au passé.

                Al

                #52532
                Guytou
                  @guytou

                  moilapa a écrit :
                  Et surtout cette arogance de croire faire autre chose que de la merde dans ces usines à débilités que sont les colos et autres modes de gardes d’enfants et d’ados.

                  Salut Moilapa,
                  Je suis intéressé de savoir sur quels éléments du principe des colos (puisqu’on est bien d’accord, tu ne cibles pas une colo en particulier, mais bien le principe) tu te bases pour les considérer comme des “usines à débilités”.

                  Concernant le salaire (et la considération) des animateurs en colo, je suis bien d’accord pour dire qu’il s’agit d’un système abusif. Mais c’est sur le principe, au-delà de tout le fonctionnement administratif dont les enfants/jeunes ne se préoccupent absolument pas. Donc, uniquement en se basant sur le jeune, en quoi les colos sont des usines à débilités, Moilapa ?

                  #52534
                  moilapa
                    @moilapa

                    Dir-PTR : que ce type d’animation ne soit pas ta tasse de thé, ok. Mais il s’agit bien d’animation.
                    Peut être de l’animation de merde… mais de l’animation de merde, tu vas dans n’importe quel centre de loisirs ou colo de France et tu en ramasseras par pelletés. C’est même devenu la norme.

                    Si l’on me demandait de comparer qualitativement l’un et l’autre, je serais bien embêté pour dire où la prime à la bêtise, la nullité culturelle, l’exarcerbation de ce qu’il peut y avoir de plus bas chez chacun, sont les plus à la fête.

                    et sans même se déplacer : il n’y a qu’à lire les tripotés d’animateurs qui viennent s’échouer ici pour demander de l’aide sur des projets tous plus cons les uns que les autres.
                    Ce qui est mis en place dans l’ensemble de l’animation sociocul est aussi minable que ce qu’il peut se faire dans ces boîtes à beauf’. La violence en moins pour les enfants s’agissant du Club Med…
                    Et surtout cette arogance de croire faire autre chose que de la merde dans ces usines à débilités que sont les colos et autres modes de gardes d’enfants et d’ados.

                    Sinon : l’intérêt de se poser la question de bosser ou pas pour le club Med, au delà de la question des heures effectuées non payées (ce qui donne déjà une bonne raison d’aller voir ailleurs) me semble être là surtout : c’est très mal payé !
                    On peut très facilement trouver un bien meilleur salaire en VV ou camping…

                    C’est d’ailleurs la période des forums des emplois saisonniers : soit, sur un même lieu, pour une ville (et ses environs) un regroupement de recruteurs. Notamment de campings pour des postes d’animateurs.

                    Payé au minimum au smic (un minimum de respect pour le travailleur) ce que vous ne trouverez pas en bossant en colo, par exemple.

                    #52538
                    louis
                      @a-v-e-i

                      Sur le papier, les GO ne sont pas tenus de travailler plus de 35 heures par semaine. Sur le papier…

                      #52903
                      DIR-PTR
                        @3-2

                        Oui, et d’ailleurs tout le monde s’accorde à reconnaître l’efficacité technique de l’armée française dans la recherche de renseignements en Algérie au début des années 60. Si cette guerre a été perdue, c’est pour des raisons politiques. Les “techniciens” qui en sont issus ont d’ailleurs pu exporter leur compétence dans différents conflits tout au long du 20ème.

                        Avant des réactions offusquées, je précise qu’il ne s’agit que d’une poursuite du raisonnement ci-dessus : au vu des résultats on peut justifier une pratique si déplaisante (doux euphémisme) soit-elle.

                        #52909
                        Badibulle
                          @badibulle

                          Arf…. le grand débat du club med….

                          et le toujours fameux “ce n’est pas de l’animation”….

                          Pour toi, c’en est pas.

                          Il ne faut pas nier qu’en général les spectacles sont de bonnes qualités, avec une bonne mise en scène.
                          Que pour un animateur c’est une bonne école, certes dures et mal payées, mais qui apprend beaucoup de choses et qui, pour ceux qui souhaitent aller vers l’animation (ouh !!!! j’ose dire ce mot !!) en hôtels-clubs, le fait d’être passer une ou deux saisons au club med ouvre pas mal de portes.

                          C’est comme Mc Do…. tant décrié….mais une école de management qui a fait ses preuves…

                          #52936
                          dir_cv
                            @dir_cv

                            écoute, franchement, je te déconseille de travailler dans cette société, qui est connue pour exploiter son personnel

                            (heures non payées et bénévolat)

                            et d’ailleurs ce n’est pas ce qu’on peut appeler ‘animation’

                            #53728
                            rouzier
                              @rouzier

                              Je ne sais pas puisque je cherche à savoir comment est le contrat du club med !!!

                              ex : le barman fait ses 35h derrière son bar. Il est payé en conséquence. Normalement il devrait s’arrêter là. Sauf qu’au club Med, il doit faire en plus les spectacles de soirées ainsi que les répétitions. Et ses heures là ne sont pas rémunérées me semble-t-il. Comment cela est il possible. Quelles sont les conditions de son contrat ?

                              Merci !!!

                              #55434
                              dir_cv
                                @dir_cv

                                est ce que cette partie est bénévole ??

                                #16791
                                rouzier
                                  @rouzier
                                  #55435
                                  rouzier
                                    @rouzier

                                    Bonjour,
                                    je souhaite savoir comment fait le Club Med, pour que legalement les employes (GO), participent aux repetitions et aux spectacles de soiree, en plus de leurs heures de travail (ex: barman, receptionniste,…).

                                    Etant donne que les heures faites lors des animations ne sont pas remunerees.

                                    Quel est le contrat exacte qui est signe pour etre couvert en cas de soucis physique par exemple ?

                                    Merci d’avance, amicalement, Kevin.

                                  16 sujets de 61 à 76 (sur un total de 76)
                                  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
                                  4
                                  0
                                  color
                                  https://archive.planetanim.fr/wp-content/themes/blake/
                                  https://archive.planetanim.fr/
                                  #febf42
                                  style1
                                  paged
                                  Chargement en cours
                                  #
                                  on
                                  none
                                  loading
                                  #
                                  Trier la galerie
                                  https://archive.planetanim.fr/wp-content/themes/blake/
                                  on
                                  yes
                                  yes
                                  off
                                  off
                                  off