Salut à toi, LeCelte,
Je ne cherche pas à troller.
Il y a des choses qui me font réagir avec éxubérance, comme la qualification des morts atroces d’enfants de “faits divers”, de détails de l’histoire de l’humanité.
C’était à cause de ça, mon atteinte du point de Godwin.
Et maintenant pour essayer de faire avancer le débat:
Je ne sais pas si on cherche à faire avancer le débat où si on cherche à convaincre l’autre.
On est dans un domaine où chacun choisit.
J’ai choisi de privilégier l’aspect animation = service rendu aux familles et aux minôts.
On m’accuse de me prostituer pour les familles.
C’est pas le truc qu’il faut faire pour calmer le jeu, mes semble t’il.
J’approuvre pleinement l’idée d’Education Populaire à condition quelle soit propre.
J’ai rencontré des spécimens du genre humain qui la salissent.
La question de l’éducation par la famille est intéressante si on la compare avec l’éducation populaire.
Excellent.
-Question des compétences:
Il n’y a pas de prérequis autre qu’un homme et une femme pour avoir un enfant.
On doit avoir passer des sélections pour encadrer des enfants.
Attention, des anims qui ont fait tagada dzim dzim boum boum pouet pouet pendant dix jours ne peuvent peut être pas se targuer d’avoir une compétence hors du commun.
-Question des responsabilités:
La famillle sera rarement inquiéter en cas de négligence dans l’éducation de l’enfant.
On doit constemment répondre de nos responsabilités, en terme de rapport, de projet, d’inspection,…) pour justifier nos démarches et vérifier que l’on ne peut aller à la faute.
Je crois qu’il faudrait que tu approfondisses la question.
En partant de ce simple constat on est en droit de se poser la question:
” Pourquoi des personnes sans qualifications aucune peuvent éduquer les enfants, alors qu’il existe des personnes qualifié pour cela?”
Vraiment qualifiées?
Je me rapprocherais d’Albatros en disant:
“Mais est ce que l’éducation de la famille n’est pas déja une éducation du peuple?”
Tu t’éloigne de moi, là!
Je continuerais en affirmant qu’être éducateur ne s’apprend pas forcément avec des cours. J’ai parfois remercié des parents pour avoir des enfants comme il me les avaient confiés. Ces parents n’avais pas de qualification mais avais remarquablement éduqué leur enfant.
Mais je crois que je me suis égaré…
Merci pour ta contribution. Tu n’as pas traité les parents de …. (cui cui cui cui ….)
Al Batros
Et maintenant pour essayer de faire avancer le débat:
La question de l’éducation par la famille est intéressante si on la compare avec l’éducation populaire.
-Question des compétences:
Il n’y a pas de prérequis autre qu’un homme et une femme pour avoir un enfant.
On doit avoir passer des sélections pour encadrer des enfants.
-Question des responsabilités:
La famillle sera rarement inquiéter en cas de négligence dans l’éducation de l’enfant.
On doit constemment répondre de nos responsabilités, en terme de rapport, de projet, d’inspection,…) pour justifier nos démarches et vérifier que l’on ne peut aller à la faute.
En partant de ce simple constat on est en droit de se poser la question:
” Pourquoi des personnes sans qualifications aucune peuvent éduquer les enfants, alors qu’il existe des personnes qualifié pour cela?”
Je me rapprocherais d’Albatros en disant:
“Mais est ce que l’éducation de la famille n’est pas déja une éducation du peuple?”
Je continuerais en affirmant qu’être éducateur ne s’apprend pas forcément avec des cours. J’ai parfois remercié des parents pour avoir des enfants comme il me les avaient confiés. Ces parents n’avais pas de qualification mais avais remarquablement éduqué leur enfant.
Mais je crois que je me suis égaré…
Petite apparté sémantique pour ceux qui ne connaissent pas, (ce qui était mon cas:-) ): le point Godwin ( pour un article complet:Loi de Godwin wikipedia)
extrait de wikipedia:
”
En 1990, Mike Godwin énonça la règle empirique suivante : « Plus une discussion sur Usenet dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison avec les nazis ou avec Hitler s’approche de un », citation originale : « As a Usenet discussion grows longer, the probability of a comparison involving Nazis or Hitler approaches 1. »
”
Il y a une notion qui m’a paru intéressante celle du “TROLL“.
extrait de Wikipedia encore une fois:
“On ne parle de troll que lorsqu’on pense avoir décelé une volonté de polémiquer allant au-delà de la volonté d’avancer dans une discussion.”
Est ce que albatros en est arriver là?
Je finirais en disant: “Don’t feed the Troll”_”Ne nourrissez pas le Troll” et laissez les messages sans intéret et sans argumentation avec le seul intérêt qu’on doit leur porter: AUCUN
Sur ce, je clos ce post qui essaye de remettre un sujet qui pose une bonne question intéressante.
:thx:
le point Goldwin a été largement dépassé au point de perdre de vue le point de vu critique du sujet : domage.
Salut à toi, Jongloman,
Ah !!!!
Et bien me voilà rassuré, ça fait plaisir de voir un sujet avec autant de bon sens, de modestie, de réalité, … dans les interventions des utilisateurs.
Je te remercie pour ton dithyrambisme grégaire.
Ca me aussi fait plaisir, je t’assure.
Bien à toi
Salut à toi, très cher Vassrohm,
Cher Al Batros,
Ne te sens pas obligé d’apporter une contribution inutile et sans argument à tous les sujets!
Me voilà profondément, vraiment profondément consterné.
Quand je corrobore mes allégations pas des exemples, on me reproche de décrier des “faits divers”.
J’exècre cette expression quand elle s’applique à des morts dramatiques d’enfants au point d’atteindre le point Goldwin.
Et quand je suis dogmatigue, je suis aussi voué aux Gémonies.
Je me battrais, dusse je y perdre mes plumes*.
Al Batros
* Touches du clavier.
Cher Al Batros,
Ne te sens pas obligé d’apporter une contribution inutile et sans argument à tous les sujets!
jongloman a écrit:
En espérant que le débat prenne une vraie ampleur …
Ah !!!!
Et bien me voilà rassuré, ça fait plaisir de voir un sujet avec autant de bon sens, de modestie, de réalité, … dans les interventions des utilisateurs.
Si vous voulez on peut parler d’autonomie dans ce sujet et de la famille dans celui sur l’autonomie …
salut à toi, Vassrohm,
Pourtant la critique de la famille mérite d’être réactualisée car c’est bien au vue des carences de la famille que se sont développées notamment toutes les structures d’éducation collective.
Bref, critiquer la famille devrait reste d’actualité dans l’éducation populaire!
C’est bien dit, n’importe quel imbécile, crétin, idiot, raciste, sexiste … peut procréer et se livrer sur sa progéniture à des expériences atroces.
Dès sa naissance, il l’infantilise, lui inocule ses croyances, l’empoisonne avec son éducation, l’endoctrinine avec ses convictions, le détraque avec ses frustrations, l’abrutit avec sa morale. Il n’y a plus d’enfants, c’est une espèce en voie de disparitions, il n’y a plus que des jeunes au regard éteint.
Il faut arracher l’enfant dès sa naissance au milieu familial bactéricide, et le confier à des mouvements d’éducation populaire chargés de ne rien lui apprendre du tout. Le hasard et la nécessité lui apporteront l’expérience nécessaire à son épanouissement.
Al Batros
a famille est la première source d’éducation. Bonne ou mauvaise c’est une affaire de parents
De quelle éducation parles tu? De dressage ou d’éducation? La famille est d’abord le premier lieu de la soumission à l’autorité parentale (bien que cela ait évolué notamment grace à la critique forte des années 68), le premier lieu des stéréotypes de genre comme je l’ai dit, on ne peut pas appeler ça de l’éducation si?
Pour moi le premier lieu d’éducation est l’école car elle permet d’aborder de façon critique le monde ce que ne fait absolument pas la famille!
Ce n’est pas une affaire de bons ou mauvais parents car il est trop facile de stigmatiser certains et encenser les bons!
Peut on dans la famille avoir accès à l’art, à la culture et même encore mieux à la socialisation, à la négociation des règles de la vie collective, à la critique?
Il ne s’agit bien évidemment pas d’arracher les enfants à leurs familles mais de faire profiter au maximum des espaces ou des lieux d’éducation collective. Je ne dis pas que le clsh ou le cv est le seul lieu d’éducation collective ou d’accès à l’autorisation mais la rue pourrait en être un, d’ailleurs quand 3 gosses ne viennent pas au clsh pour préférer faire une balade tous les 3 en vélos, ils sont certainement autant auteurs qu’en cv ou clsh!
Pour info, la famille contemporaine est une des façon de vivre en famille car il y a bien d’autres sociétés où les enfants sont élevés par une collectivité ce qui n’est que très rarement le cas dans nos société contemporaines.
L’éducation populaire n’a pas pour vocation de critiquer la famille ce doit être un espace complémentaire de développement et d’épanouissement de la personne.
Encore faut il qu’on s’épanouisse au sein de la famille et cela reste à prouver!
Les Acteurs de l’Education populaire (allez, n’ayons pas peur des mots) sont les coupables de ce qu’elle est devenue
Ca on est bien d’accord!
si les organismes qui s’y réfèrent ne sont ils pas pour la majorité tombés dans du consomméring d’activités de séjours et non des porteurs de sens et de valeurs qui ne dépassent pas l’écriture de leurs projets éducatifs ?
Encore faut il prouver qu’il y a des centres qui échappent à cela, pour ma part je n’en ai jamais vu! Il s’agit d’une tendance lourde qui s’applique à tous les centres bien qu’il se passe au sein de certains des choses très intéressantes!
La famille est la première source d’éducation. Bonne ou mauvaise c’est une affaire de parents.
L’éducation populaire n’a pas pour vocation de critiquer la famille ce doit être un espace complémentaire de développement et d’épanouissement de la personne.
Pour moi, la question est plutôt de savoir si les organismes qui s’y réfèrent ne sont ils pas pour la majorité tombés dans du consomméring d’activités de séjours et non des porteurs de sens et de valeurs qui ne dépassent pas l’écriture de leurs projets éducatifs ? 😡
Comment dire ???
OUI tout simplement …
En espérant que le débat prenne une vraie ampleur …
Et je redis ce que j’ai déjà dis : Les Acteurs de l’Education populaire (allez, n’ayons pas peur des mots) sont les coupables de ce qu’elle est devenue (ce que décrit Vass)
Au sein de l’éducation populaire la critique de la famille s’est largement évaporée au profit du sacro-saint partenariat avec la famille, au profit des rapports pacifiés entre la famille et l’association, au nom surtout de la nécessité de ne pas perdre son potentiel de client que sont devenues les familles.
Pourtant la critique de la famille mérite d’être réactualisée car c’est bien au vue des carences de la famille que se sont développées notamment toutes les structures d’éducation collective.
Il faut tout de même rappeler que la famille représente non pas le meilleur lieu d’épanouissement des enfants mais souvent et surtout la reproduction des inégalités, des stéréotypes, des préjugés. En effet, c’est au sein de la famille que se développent fondamentalement les stéréotypes de genre (tu seras une jolie petite fille et un garçon sportif) d’où la nécessité d’avoir des animateurs éclairés et conscients de ces phénomènes, c’est au sein de la famille que se développent les jugements racistes mais aussi la soumission à l’autorité, la fascination pour les stars et la sous culture de masse ainsi que l’aliénation à la société de consommation. Or les cvl qui auparavant étaient des lieux d’opposition ferme à ces phénomène se sont transformés en partenaires adorés des familles. Ayant reniés leurs convictions en matière culturelle et proposant des séjours Harry Poter ou des thèmes bisounours, les familles ne voient plus l’intérêt de confier leurs enfants dans les cvl ou leur seul intérêt réside dans la perpétuation de l’éducation familiale et non dans sa rupture ou dans son émancipation.
Bref, critiquer la famille devrait reste d’actualité dans l’éducation populaire!