Salut à toi, XXYYZZ,
Un directeur consciencieux doit verifier que l’assurance est bien à jour, ainsi que le rapport de la commission de sécurité pour les établissements du 1er groupe ( les 4 premières catégories). Pour les autres, déclaration sur l’honneur, ce qui devrait être assez fréquents lorsque l’on connaît la limite de la 5ème catégorie pour les lieux sans hégergement. Du moins pour les plus de 6 ans.
Pour moi, un directeur qui est limité à vérifier que l’organisateur a bien fait son travail, est à la merci de son organisateur chéri.
“Est ce que t’as acheté des carambars pour le grand jeu de l’am?”
“Est ce que le car de la piscine est réservé?”
…
“Est ce que je peux aller pisser?”
Ce ne sont pas des questions de dirlo, ça.
Al
Avé Al-Batros
Bien sur que c’est à l’organisateur de contacter la compagnie d’assurance et de vérifierla validité du rapport de la commission de sécurité.
Mais je pense , et je le dis à tous les stagiaires, qu’un directeur consciencieux doit verifier que l’assurance est bien à jour, ainsi que le rapport de la commission de sécurité pour les établissements du 1er groupe ( les 4 premières catégories). Pour les autres, déclaration sur l’honneur, ce qui devrait être assez fréquents lorsque l’on connaît la limite de la 5ème catégorie pour les lieux sans hégergement. Du moins pour les plus de 6 ans.
Il peut ausssi y avoir des cas particuliers. Un exemple parmi d’autres.
un de mes collègues directeur désirait organiser une veillé astronomie un soir. Il a demandé à l’oeuvre d’entendre l’assurance plus tard, pour ce soir la. Ce que l’oeuvre a accepté.
salut à toi, Rain Man,
Au sujet des préocupations d’Al-Batros, je pense que c’est aussi au directeur de vérifier, avant, les points évoqués dans le message précédent : :assurance en RC, rapport de la commission de sécurité, déclaration effectuée aupres de la DDJS etc
Pour l’assurance RC, c’est l’organisateur, le dirlo, il subit.
Pour le rapport de la commission de sécurité c’est, pareil.
Lire:
A Locaux accueillant les mineurs de six ans ou plus
Les dispositions relatives à la déclaration de 1ère ouverture n’ayant pas été reprises dans la loi du 17-07-01, la procédure antérieure n’est plus applicable en l’état. La charge de la preuve de la conformité des locaux relève alors de l’organisateur de l’accueil.
Deux cas de figure se présentent:
– lorsque la visite de la commission relative à la sécurité contre l’incendie et les risques de panique dans les ERP est exigée par la réglementation, il est demandé à l’organisateur de fournir une copie du procès-verbal de la dernière visite de la commission de sécurité compétente (voir ci-dessous tableau de périodicité des visites);
– lorsque cette visite n’est pas obligatoire, principalement pour les petits établissements (type R, 5ème catégorie), les organisateurs fourniront une déclaration sur l’honneur que les bâtiments accueillant les mineurs sont conformes aux exigences de cette même réglementation.
(Instruction 03-020JS)
Pour la déclaration préalable, c’est l’O. La suivante, j’aime bien la remplir. Sur 20 fois, je l’ai fait qu’une fois ou 2.
Moi, j’aimerais qu’on supprime les organisateurs.
Al
Morbac a écrit:
Ben non ce n’est un problème que si le dirlo est une grosse faignasse.
Dans le cas contraire il aura écrit un PP/PE/PS/PF (il peut l’appeler comme il veut on s’en tamponne le coquillard avec une pelle à charbon) dans lequel il définit la mise en œuvre du PE.
Comme l’organisateur est censé le valider il ne peut plus nier avoir connaissance du fonctionnement choisi par le dirlo.
Oui Morbac, tu as raison. C’est au directeur d’écrire (avec son équipe ou une partie) son Projet péda en tenant comple du PE.
Personnellement je choisissais 2 ou 3 objectifs éducatifs du PE, avec mon adjoint ou quelques anims confirmés, ensuite avec la majorité de l’équipe nous écrivions notre PP. Comme tu le dis, ce projet était, bien sur, ensuite présenté à l’organisateur du séjour. Cet organisateur ne peut pas nier de l’avoir vu.
Une information que j’ai eu en décembre 2007. J’ai assisté à une rencontre avec l’un des directeurs du ministère de la JS de l’époque.
Ce directeur a indiqué, que pour le PE, une feuille recto verso suffissait. Il a même précisé qu’il avait donné des consignes aux inspecteurs.
Nous étions une cinquantaine de personne ( formateur BAFA, BAFD, organisateur de colos, directeur, personnel de la DDJS…)
Cela est -il toujoursd’actualité ? Je n’en sais rien.
Au sujet des préocupations d’Al-Batros, je pense que c’est aussi au directeur de vérifier, avant, les points évoqués dans le message précédent : :assurance en RC, rapport de la commission de sécurité, déclaration effectuée aupres de la DDJS etc
Salut à toi, Morbac,
Ben non ce n’est un problème que si le dirlo est une grosse faignasse.
Dans le cas contraire il aura écrit un PP/PE/PS/PF (il peut l’appeler comme il veut on s’en tamponne le coquillard avec une pelle à charbon) dans lequel il définit la mise en œuvre du PE.
Comme l’organisateur est censé le valider il ne peut plus nier avoir connaissance du fonctionnement choisi par le dirlo.
Ton emportement me laisse penser que t’es à court d’argument.
La validation dont tu causes, elle est officielle? Sinon, comment tu établiras sa réalité.
Ma principale préoccupation est de savoir qui va payer s’il y a de la casse. Alors, si l’organisateur n’a pas la paire de c… qu’il faut, le PE sera bidon. Je ne suis pas sûr de pouvoir tout contrôler, y compris le contrat assurance RC, les procédures en cas d’urgence et en cas de sinistre et le reste.
Si tout va bien, ça va, mais je part pas avec la croyance naïve et l’espérance béate que ça va être le cas.
Al-Batros a écrit:
Les projets éducatifs sont souvent si évasifs qu’on peut quasiment y lire ce que l’on veut… c’est à la fois un problème et une solution.
Pour moi, c’est un problème. Le directeur est contraint de choisir sans avoir de critères pour être sûr d’avoir fait le bon choix. L’organisateur se réserve ainsi la possibilité de pouvoir engueuler le dirlo. L’organisteur en demandant rien, il peut toujours dire qu’il ne voulais pas ça.
Al
Ben non ce n’est un problème que si le dirlo est une grosse faignasse.
Dans le cas contraire il aura écrit un PP/PE/PS/PF (il peut l’appeler comme il veut on s’en tamponne le coquillard avec une pelle à charbon) dans lequel il définit la mise en œuvre du PE.
Comme l’organisateur est censé le valider il ne peut plus nier avoir connaissance du fonctionnement choisi par le dirlo.
Edit: désole je n’avais pas vu la dernière page et l’intervention de matim
Salut à toi, Fg63,
Je me suis trompé en effet, je vérifie mes posts pourtant.
Al
Al-Batros a écrit:
HACCP = Hazard Analysis Critical Control Point = Analyse des dangers – points critiques pour leur maîtriseJ’ai pas dit que c’était une norme.
Heu, tu as quand même écrit ça :
Al-Batros a écrit:
Et puis, les normes HACCP, ça peut pas être suivis de façon absolue, sinon, il faudrait que les aliments arrivent à 63°C dans l’estomac des marmots.
—–
– Soit tu écris trop vite,
– Soit tu abuses des hyperboles et autres effets de manche linguistiques en total contradiction avec ton exigence affichée de vérité,
– Soit tu es de mauvaise foi.
Salut à toi, Fg63,
Tu contournes un peu vite ton approximation sur HACCP (norme ou méthode ?).
Qu’en est-il de ta soif de vérité et de ta rigueur grammaticale et “vocabulariale” ?
HACCP = Hazard Analysis Critical Control Point = Analyse des dangers – points critiques pour leur maîtrise
J’ai pas dit que c’était une norme.
On ne peut pas annuler tous les risques de tiac.
Al
Al-Batros a écrit:
Salut à toi, Fg63,Et dans cette méthode il est pas dit qu’on doit manger les aliments à 63°C, mais qu’ils doivent être servis à cette température (en gros)… Y’a rien qui dit que c’est dangereux de souffler sur sa purée pour la faire refroidir avant de l’engouffrer, et donc y’a rien à mettre en place pour limiter ce risque.
C’était une hyperbole.
Souffler dans la purée, meuh non, on y fait un petit jolcan pour y mettre du vus dedans. J’ai vu ça à la téloche, les mômes sont aux anges.
Al
Tu contournes un peu vite ton approximation sur HACCP (norme ou méthode ?).
Qu’en est-il de ta soif de vérité et de ta rigueur grammaticale et “vocabulariale” ?
Salut à toi, Fg63,
Et dans cette méthode il est pas dit qu’on doit manger les aliments à 63°C, mais qu’ils doivent être servis à cette température (en gros)… Y’a rien qui dit que c’est dangereux de souffler sur sa purée pour la faire refroidir avant de l’engouffrer, et donc y’a rien à mettre en place pour limiter ce risque.
C’était une hyperbole.
Souffler dans la purée, meuh non, on y fait un petit jolcan pour y mettre du vus dedans. J’ai vu ça à la téloche, les mômes sont aux anges.
Al
Al-Batros a écrit:
Et puis, les normes HACCP, ça peut pas être suivis de façon absolue, sinon, il faudrait que les aliments arrivent à 63°C dans l’estomac des marmots.Al
Sauf que HACCP c’est pas une norme, c’est une méthode…
Et dans cette méthode il est pas dit qu’on doit manger les aliments à 63°C, mais qu’ils doivent être servis à cette température (en gros)… Y’a rien qui dit que c’est dangereux de souffler sur sa purée pour la faire refroidir avant de l’engouffrer, et donc y’a rien à mettre en place pour limiter ce risque.
Salut à toi, Matim,
Ça peut être un problème si le PP n’est pas suffisamment clair et surtout s’il n’est pas en adéquation avec les objectifs éducatifs. Dans le cas contraire je vois mal un organisateur se réveiller en plein séjours pour démolir un PP (ce qui laisserait a supposer qu’il n’en a même pas pris connaissance au préalable !!)
A travers ma propre expérience j’ai pu me rendre compte que plus les objectifs pédagogiques et les critères d’évaluations sont précis, moins il y a de risque de faire du hors piste (ou même de se voir reprocher d’avoir fait du hors piste).
Dans la pratique il n’y a pas beaucoup d’organisateurs qui agissent de la sorte car dans ce cas ils avouent leur ignorance du PP en amont du séjours, ce qui reste très rare.
En tant que directeur, si mon organisateur ne lit pas mon PP et n’en discute pas avec moi je inquiéterai, c’est certain.
Je vais p’t être me mettre à faire pareil. Faut pas s’emmerder, après tout.
Al
Salut à toi, Crevette76,
– il pourra toujours dire qu’il ne voulait pas ça… pourra-t-il le prouver ?
Cévré, il pourra pas forcément le prouver. Seulement, ça fait d’la relation professionelle délétère. Moi, j’aime pô ça.
– ça me permet quand même de proposer des activités cuisine aux enfants.
Moi, la cuisine, je laisse faire. Les anims ne feront pas plus de c… que les cuistots.
Et puis, les normes HACCP, ça peut pas être suivis de façon absolue, sinon, il faudrait que les aliments arrivent à 63°C dans l’estomac des marmots.
Al
Al-Batros a écrit:
Pour moi, c’est un problème. Le directeur est contraint de choisir sans avoir de critères pour être sûr d’avoir fait le bon choix. L’organisateur se réserve ainsi la possibilité de pouvoir engueuler le dirlo. L’organisteur en demandant rien, il peut toujours dire qu’il ne voulais pas ça.
Al
Bjr.
Ça peut être un problème si le PP n’est pas suffisamment clair et surtout s’il n’est pas en adéquation avec les objectifs éducatifs. Dans le cas contraire je vois mal un organisateur se réveiller en plein séjours pour démolir un PP (ce qui laisserait a supposer qu’il n’en a même pas pris connaissance au préalable !!)
A travers ma propre expérience j’ai pu me rendre compte que plus les objectifs pédagogiques et les critères d’évaluations sont précis, moins il y a de risque de faire du hors piste (ou même de se voir reprocher d’avoir fait du hors piste).
Dans la pratique il n’y a pas beaucoup d’organisateurs qui agissent de la sorte car dans ce cas ils avouent leur ignorance du PP en amont du séjours, ce qui reste très rare.
En tant que directeur, si mon organisateur ne lit pas mon PP et n’en discute pas avec moi je inquiéterai, c’est certain.
:coucoub:
Al-Batros a écrit:
Les projets éducatifs sont souvent si évasifs qu’on peut quasiment y lire ce que l’on veut… c’est à la fois un problème et une solution.
Pour moi, c’est un problème. Le directeur est contraint de choisir sans avoir de critères pour être sûr d’avoir fait le bon choix. L’organisateur se réserve ainsi la possibilité de pouvoir engueuler le dirlo. L’organisteur en demandant rien, il peut toujours dire qu’il ne voulais pas ça.
Certes, mais
– il pourra toujours dire qu’il ne voulait pas ça… pourra-t-il le prouver ?
– ça me permet quand même de proposer des activités cuisine aux enfants.
Salut à toi, Crevette76,
Ben tiens !
Inventer un verbe pour tenter de démontrer que les autres ne peuvent pas te voir ça ne serait pas une tentative de manipulation comme tu reproches souvent aux gens de faire ?
Je ne pourrais jamais prouver que les autres ne peuvent pas me voir. Ca je m’en fous, je suis pas là pour être bien vu.
C’est la vérité que je veux.
On se rencontrera jamais, alors …
Je ne m’attaque pas à toi et j’ai un argument très simple : le “IL” c’est le Projet Educatif, tu le dis toi-même.
Je t’avais mal compris, je te présente mes excuses.
Les projets éducatifs sont souvent si évasifs qu’on peut quasiment y lire ce que l’on veut… c’est à la fois un problème et une solution.
Pour moi, c’est un problème. Le directeur est contraint de choisir sans avoir de critères pour être sûr d’avoir fait le bon choix. L’organisateur se réserve ainsi la possibilité de pouvoir engueuler le dirlo. L’organisteur en demandant rien, il peut toujours dire qu’il ne voulais pas ça.
Al
Al-Batros a écrit:
Salut à toi, Crevette76,n’empêche que moi IL m’a jamais interdit de faire cuisine…
Et bé, quand on a pas d’argument, on albatrosophobie comme on peut.
Al
Ben tiens !
Inventer un verbe pour tenter de démontrer que les autres ne peuvent pas te voir ça ne serait pas une tentative de manipulation comme tu reproches souvent aux gens de faire ? 🙄
Je ne m’attaque pas à toi et j’ai un argument très simple : le “IL” c’est le Projet Educatif, tu le dis toi-même.
Et mon argument est tout simple : jamais un Projet Educatif (rédigé par l’organisateur) ne m’a interdit de faire une activité cuisine avec des enfants sur un séjour. Ni d’autre consigne dudit organisateur.
Les projets éducatifs sont souvent si évasifs qu’on peut quasiment y lire ce que l’on veut… c’est à la fois un problème et une solution.
Salut à toi, XXYYZZ,
Ah la non plus je ne suis pas d’accord avec toi. Pour moi mes propos restent amicaux.
Ce n’est une question de relation amicale. C’est une question de recherche de la VERITE.
Qu’est ce que le législateur a voulu dire?
Quel argument décisif, la grammaire !
La grammaire, c’est bien pour parler du pépé, non?
La grand mère et l’orthographe ont été de nombreuses fois l’objet de grands débat à la Cour de Cass.
Si tu suivais les revirements du législateur, tu saurais qu’un “s”, ça suffit pour opérer un bouleversement radical dans un texte.
Exemples: “… LES règlements …” dans la loi 96-393 a été remplacé par “… LE règlement …” dans la loi 2000-647.
Le changement est énorme.
“La scolarisation obligatoire”, “l’instruction obligatoire” …, c’est très différent.
Quand la Cour de Cass a été sollicité pour qualifier une fellation forcée d’agression sexuelle et non de viol, ils n’ont pas causé chiffon.
Enfin libre à toi de considérer que le PE rédige le document concerné.
Le PE ne rédige pas, il définit comment est mis en oeuvre le PE. C’est pas pareil.
Moi je pense que c’est le directeur et son équipe qui écrit le PP et qui le conduit.
Je ne suis pas un penseur, moi. Je cherche la VERITE. Qui a l’OBLIGATION de l’écrire?
Quant à la conduite, ton texte à toi, que tu cites. Il dit que la formation BAFD PREPARE le stagiaire à conduire un projet pédagogique en référence au projet éducatif.
C’est “UN” et pas “LE” et c’est “EN REFERENCE AU PE”.
Dans cette formulation, rien n’indique que le PP en question soit écrit, puisque on ne parle que de conduite. (Je conduis ma tire et je ne l’ai pas monté moi même.)
Tout ça, c’est pas moi qui ai décidé, c’est le législateur.
Dans la phrase de l’article concerné, remplace le il par : le PE, puis dans la même phrase remplace le il par :la personne qui dirige le séjour.
Cela risque d’être amusant.
J’ai passé l’âge de jouer à ces jeux puérils.
Les problèmes des ACM et de l’Educ Pop, ce sont les personnes qui ne veulent pas suivre les changements des décideurs tout en haut.
Al
Salut à toi, Crevette76,
n’empêche que moi IL m’a jamais interdit de faire cuisine…
Et bé, quand on a pas d’argument, on albatrosophobie comme on peut.
Al