ludou a écrit:
Bonjour,je pense aussi que cet enfant, s’il représentait un danger pour les autres ou pour lui-même aurait dû être entouré de mesures particulières (anim supplémentaire par exemple). Cela se fait régulièrement, ça ne doit pas coûter si cher…
Durant le séjour, vous n’avez pas cherché à contacter son médecin traitant ou tout autre intervenant autre que la famille d’accueil (type assistant social, psy, etc…)?
Sais-tu si un bilan sera fait après le séjour avec la famille qui accueil cet enfant?
En tout cas, bravo pour ton positionnement. C’est important d’affirmer ses idées, surtout en séjour. Malheureusement ce n’est pas toujours entendu et discuté… 🙁
Ben je ne sais pas puisque je n ai pas fini le séjour avec lui car c était un recrutement par session truc nul selon moi mais c est pas le sujet. Donc pour le bilan ca m étonnerait très fortement
Ensuite pour consultation du médecin psy ou autre non car c est moi qui avait pris cet enfant en grippe selon eux et donc c était 100% de ma faute selon eux .
En gros ils avaient rien envie de faire et comme ils étaient pas d accord je dois être sur la liste noire de l association car j ai osé m opposer à ma direction c est bien dommage car autrement le séjour était super mais bon cette directrice n a jamais un anim identique d une année sur l autre mais aucune remise en question de l assoc bizarre lol
Bonjour,
je pense aussi que cet enfant, s’il représentait un danger pour les autres ou pour lui-même aurait dû être entouré de mesures particulières (anim supplémentaire par exemple). Cela se fait régulièrement, ça ne doit pas coûter si cher…
Durant le séjour, vous n’avez pas cherché à contacter son médecin traitant ou tout autre intervenant autre que la famille d’accueil (type assistant social, psy, etc…)?
Sais-tu si un bilan sera fait après le séjour avec la famille qui accueil cet enfant?
En tout cas, bravo pour ton positionnement. C’est important d’affirmer ses idées, surtout en séjour. Malheureusement ce n’est pas toujours entendu et discuté… 🙁
Bien sur tu as tout a fait raison un animateur en plus ca ne coute pas quoi mais bon après comme ca a été dit la rentabilité l emporte vite et c est bien dommage sinon j adore ta petite phrase ne dites pas à ma mère que je travaille dans l’animation, elle me croit pianiste dans un bordel” je la mets de côté 😀
wazili a écrit:
Bonjour matw25,je comprends très bien ton appréhension et je m’évertue que ce soit sur les séjours ou les formations à faire entendre combien il est important de connaitre les limites de notre fonction.
Le “job”occasionnel, peu reconnu et sous payé connait des dérives de + en + importantes et on se retrouve à gérer des situations pour lesquelles nous ne sommes pas formés.
Alors, l’Angélisme, le volontariat, l’affectif, tout celà est bien joli mais contribue à ce que les pouvoirs publics ne prennent pas leurs responsabilités au risque de faire + de dégats qu’autre chose.Je crois sans éxagérer, que la rentabilité prime sur l’éducatif et le pédagogique…un anim. ou un directeur (Bafa, Bafd) ça coûte pas cher.
Pour reprendre le titre d’un bouquin d’un publicitaire: “ne dites pas à ma mère que je travaille dans l’animation, elle me croit pianiste dans un bordel”
Cordialement.Wazili.
Bonjour matw25,
je comprends très bien ton appréhension et je m’évertue que ce soit sur les séjours ou les formations à faire entendre combien il est important de connaitre les limites de notre fonction.
Le “job”occasionnel, peu reconnu et sous payé connait des dérives de + en + importantes et on se retrouve à gérer des situations pour lesquelles nous ne sommes pas formés.
Alors, l’Angélisme, le volontariat, l’affectif, tout celà est bien joli mais contribue à ce que les pouvoirs publics ne prennent pas leurs responsabilités au risque de faire + de dégats qu’autre chose.
Je crois sans éxagérer, que la rentabilité prime sur l’éducatif et le pédagogique…un anim. ou un directeur (Bafa, Bafd) ça coûte pas cher.
Cordialement.
Wazili.
Je suis assez d accord avec toi et je vais compléter par rapport à mon cas.
L enfant était inscrit pour trois semaines je l ai acceuilli moi même avec ses parents enfin famille d acceuil pour être exact. Ils ont très peu parlé j ai visité avec eux mais à aucun moment ils n ont jugé utile de me parler du handicap j ai eu l impression après qu en gros la famille d acceuil se prennait 3 semaines de vacances.
Ensuite ma directrice a comme tu dis fais du fric et surtout ne m a pas informé alors qu elle connaissait les risques évoquant la peur que je le prenne en grippe .
Je te rejoins totalement sur le fait que si tout serait mis en oeuvre effectivement cela serait enrichissant mais là le résultat c est un anim qui fait ce qu il peut j ai été plusieurs fois dépassé et non soutenu un enfant qui se retrouve isolé car les autres ont peur de lui et donc aucun reel épanouissement ce qui était pourtant le but initial.
Il faudrait donc un vrai effort de chacun pour que cela se passe bien mais comme tu l as dit ca c est chez casimir.
Public handicapé,
l’accueil du public handicapé est très encouragé dans notre pays…encouragé, médiatisé mais peu finalisé!
Je sais de quoi je parle, je suis père d’un enfant autiste (Asperger) et il y a des lacunes terribles de la part de nos institutions.
Après, les parents et pour certains enfants, les institutions spécialisées se doivent de bien évaluer les lieux d’intégration (ressources humaines, ressources matérielles…)
L’erreur, si je peux me permettre, mais aussi le piège +ou – volontaire est l’attente d’une réponse affective qui est un risque pour l’enfant et le ou les adultes, qui plus est, non formés pour comprendre,anticiper et gèrer les problèmes engendrés par les handicaps.
Après, il ne faut pas se voiler la face, beaucoup d’institutions spécialisées et de foyers socio éducatifs on de + en + le facheux réflexe d’envoyer des enfants en séjours vacances pour manque d’effectif (je viens encore de vivre cette situation cet été)
Aucune concertation avec les équipes pédagogiques et, là aussi, il ne faut pas se voiler la face, des “organisateurs” qui font du blé.
si on réfléchit, tout ce bisness n’est pas toujours bénéfique aux enfants et aux équipes péda.
Alors 1 anim de + , un véritable partenariat, une véritable reconnaissance de notre fonction, ,la prise de leurs responsabilités de la part des ministères concernés…mais là on est chez Casimir…Nous en terre de rentabilité.
Je pense que des audits comptables bien sentis chez certains organisateurs seraient assez édifiants.
Cordialement
Wazili.
Tu m’étonnes qu’ils devaient avoir les chocottes. J’ai déja eu un cas comme ça: On avait une gamine bizare qui avait visiblement un petit soucis d’autisme (leger mais quand meme bien présent)… le probleme c’est qu’il n’avait pas été d&claré par les parents. La gamine a commencé a parler aux fées dans son placart, mais le pire c’est qu’elle a voulu essayer de voler avec elles (par la fenetre bien entendu).
Les autres enfants de la chambre étaient terrifiés (apres un petit speach d’un autre anim et de moi, ça allait un peu mieux).
Par contre, l’animatrice qui s’occupait de la chambre n’a pas été tres futée car elle a utilisé les enfants de cette chambre comme agents d’information pour connaitre les moindres faits et gestes de l’autiste présumée. S’en est ensuite suivi une prise de tête entre nous…
Comme quoi, il faut faire gaffe avec ces enfants… Ils n’ont pas demandés a avoir ces problemes mentaux, mais ça peut conduire a des situations tres dures à gerer.
simfeu a écrit:
C’est clair que pour encadrer à la fois un gamin comme celui là, en plus des autres du groupe, ça devait etre coton et stressant. Ensuite, est ce que ses crises arrivaient souvent ou était-ce rare?
Non ces crises n étaient pas fréquentes. Il y a eu les 2 crises violentes que j ai décrite ci dessous et plusieurs crises où la il se mettait à hurler où à insulter les autres là aussi pour des choses peu importantes(par exemple l égarement de son bas de pyjama.
Après comme tu le dis c était surtout stressant car je redoutais souvent qu il fasse une crise et de plus ca devenait plus dur du fait qu il se trouvait isolé par les autres du dortoir car les autres m ont confié en larmes en avoir peur et c est également ce qui a motivé ma demande d exclusion sans suite …
C’est clair que pour encadrer à la fois un gamin comme celui là, en plus des autres du groupe, ça devait etre coton et stressant. Ensuite, est ce que ses crises arrivaient souvent ou était-ce rare?
Sinon, pour l’animateur en plus, tu verra que c’est tres confortable d’avoir un animateur qui s’occupe uniquement de l’enfant est super parce que de une, il t’aide dans l’activité (parce qu’il va quand même etre présent avec le reste du groupe, donc un meilleur encadrement), et tu as quelqu’un sur qui compter en cas de probleme.
De toute manière, ce n’est pas totalement un hasard si les accidents arrivent souvent en tout début ou en toute fin de séjour.
Au vu de vos messages je me rends compte qu effectivement si on aurait voulu acceuillir au mieux cet enfant il aurait fallu un animateur détaché pour lui car même si j ai essayé de lui donner le plus d attention possible je devais en avoir pour les 8 autres enfants dont j étais le référent.
Ensuite pour la non information notre directrice possédait les infos le dimanche(le jeune arrivait le lundi) mais elle a dit qu il n y avait pas de cas importants (j ose pas imaginer les cas importants alors) donc on en a parlé que les lundis même si les premiers jours se sont bien passés.
Effectivement, ce comportement est dangereux pour le groupe.
Mais comme l’a dit Zewdiwang, c’est a l’entourage de s’adapter. Cependant, les autres enfants ne peuvent pas forcément savoir que prendre le dernier morceau de pain sera l’élément qui mettra le feu aux poudres. C’est ce qui rend la situation tres instable. Je pense qu’une attention particulirere est nécéssaire (logique si on veut pas avoir des problemes).
Un animateur réservé pour cet enfant aurait été un gros avantage tout en facilitant l’intégration (si c’est possible) de l’enfant et la sécurité en vie quotidienne.
J’ai fait plusieurs colonies de vacances dans un centre qui accueillait un voir deux enfants autistes. Des comportements similaires, bien que moins extremes ont été observés.
Notre centre avait engagé un animateur pour s’occuper de l’enfant autiste (un anim par enfant handicapé).
Je pense que l’idée de l’exclusion est un peu excessive. Cependant, ça mérite réflexion (ce que tu as visiblement fait)… la sanction, quand a elle n’aurait pas été efficace.
De plus, t’opposer à l’équipe de direction dans ce cas là est justifié, car le directeur n’est pas forcément présent à tous les moments, contrairement à l’animateur qui voit l’enfant évoluer (ses réactions, son caractère, …).
Le coup de la non information, ben je pense qu’il faut savoir travailler dans l’inconnu, même si, bien sûr, c’est mieux d’etre prévenu pour pouvoir réagir de façon plus adaptée (lors de mes colos de vacances, je n’ai la liste des handicaps et des problemes de santé de mes gosses que lors de la réunion, le soir même. Nous ne sommes pas prévenus à l’avance).
Trop coûteux? Le prix de revient d’un jour de vacances en séjour adapté est à mon avis laaaaaargement au dessus du prix de revient en séjour non spécialisé.
Et l’argent qui permet de payer un séjour adapté existe, pourquoi ne serait-il pas transposable sur un séjour non spécialisé?
Sur le côté systématique d’un élément déclencheur, je n’en sais rien du tout je ne connais pas grand chose à tout ça.
Ça peut exister et parfois il est possible de les connaitre.
De toute façon si on ne les connait pas, le minimum est d’informer les animateurs sur le type de crise qu’on risque de rencontrer, et de dire à ces animateurs qu’une crise peut arriver spontanément, et qu’il faut être vigilant.
Il se peut aussi pour X raison qu’on ne puisse pas prévoir qu’un enfant psychotique va devenir très violent et dangereux lors de ses crises. Peut-être que depuis qu’il est petit il vit dans sa famille et dans un centre spécialisé, et qu’il y est assez serein, qu’il n’a jamais fait de crise grave. Et là paf vous avez expérimenté ses premières crises violentes…
Dans tous les cas il faut décrire au directeur, ou à l’organisateur, ou à une quelconque personne impliquée dans le choix du séjour (parents?) précisément les faits vécus. Une tentative d’étranglement (donc d’assassinat) c’est quand même alarmant…
Mais j’ai aussi connu un gamin qui voulait en tuer un autre (étranglement), et le directeur s’est voilé la face derrière une prétendue incompétence des animateurs. Conclusion : Faut avoir beaucoup d’énergie dans ces moments là, en faisant un signalement, tu vas donner à tout le monde un gros travail pénible à faire. Personne n’a envie de signaler un enfant violent ou dangereux, personne n’a envie de s’en occuper, etc.
Et puis sur des séjours adaptés, il arrive qu’il y ait des morts accidentelles liées au handicap (en foyer aussi hein). Pour le peu que j’en sais, ce ne sont pas des meurtres, mais bon il y a des personnes qui donnent des coups à d’autres personnes ou à des animateurs, avec une force de dingue. C’est évident qu’il faut plus d’animateurs pour gérer ces cas-là.
Enfin sinon, comme épreuve du feu tu peux toujours partir comme animateur sur un séjour spécialisé. Par MP je peux te filer les coordonnées d’un organisateur digne de confiance. Ça peut ouvrir les yeux sur beaucoup de choses, apporter une expérience difficile mais formatrice. Quand tu ressors d’un tel séjour tu ne voies plus les valides de la même façon, les cas “difficiles” paraissent tranquilles… lol
Bon courage!
Je sais bien qu il n a pas choisi de naitre comme cela et je n en veux aucunement à l enfant mais je regrette comme tu l as dit le manque d info.
Ensuite pour les conditions dans lesquelles j ai travaillé ca allait encore ca t en dehors de ses crises il fallait juste beaucoup d attention et donc c était compliqué comme j avais les 8 autres du dortoir à surveiller mais pas insurmontable.
Merci pour vos messages qui m ont rassurés après avoir été lyché par ma direction .
***Baltazaar a ecrit”On lui donne des informations parce que c’est important pour la sécurité de l’enfant psychotique ainsi que des autres enfants.
Par exemple les crises ont des déclencheurs, dans certains cas, connaitre ces déclencheurs permet de les éviter, et donc de passer de meilleures vacances…”***
Absolument Baltazaar. Informer et s’informer (encore).
Mat25: Il s’agit de 1/pathologie 2/mentale
***Mat25 a écrit: “Au niveau du déclencheur j ai essayé de trouver j ai ressassé mais j ai pas compris. A table c était à cause de son voisin qui avait pris le dernier bout de pain(horrible) et dans la chambre parce qu’un de ces camarades lui a dit de faire son lit car on l attendait pour aller en activité.
Je pense donc qu il n y avait pas vraiment de déclencheur mais plus une réaction disproportionné a des soucis rencontrés au quotidien. “***
Mat25 pour ce qui est du déclencheur, c’est normal que tu ne comprennes pas et absolument surprenant que tu n’ai pas été informé. Il est donc difficile d’affirmer “qu’il n’y avait pas de déclencheur”. Peut etre que justement, certains types de soucis du quotidien declenchent des réactions disproportionnées.
La réaction est certes disproportionné pour des gens normaux. Mais ce n’est pas une personne “normale”. Son cerveau a une disfonctionnalité.
Cet enfant n’a pas demandé ni de naitre, ni d’avoir cette pathologie. Il est né comme ca. C’EST A SON ENTOURAGE qui a plus d’habilité DE S’ADAPTER a lui car son entourage a la capacité de le faire. LUI, N’A PAS CETTE CAPACITé.
Bref, tout ca pour te dire que c’est dans un environnement extremement difficile que tu as accepté de travailler.
Comprendre chaque pathologie, les elements déclencheurs est deja difficile pour les médecins qui le suivent, pour les familles qui l’entourent alors pour une personne exterieur tu imagines la difficulté.
Ton message m a beaucoup interessé surtout en certains points.
Lorsque tu parles de recruter un anim supplémentaire je pense que c est une bonne idée mais trop couteux à mon avis et c est pour cela que les séjours adaptés existent. Après selon moi l accueil d un handicapé apporte beaucoup à un groupe mais ici il y avait risque.
pour les 9 cas sur 10 j en ai fait parti comme quoi j avais pris cet enfant en grippe (je sais pas comment ca s écrit désolé) et donc que j étais le coupable.
Apres nous avons été informé le lundi soir et non le dimanche avant la réunion ce que j ai trouvé regrétable même si au bout de 20 min j ai compris que cet enfant était handicapé mentalement mais de là à penser à des psychoses… .
Au niveau du déclencheur j ai essayé de trouver j ai ressassé mais j ai pas compris. A table c était à cause de son voisin qui avait pris le dernier bout de pain(horrible) et dans la chambre parce qu’un de ces camarades lui a dit de faire son lit car on l attendait pour aller en activité.
Je pense donc qu il n y avait pas vraiment de déclencheur mais plus une réaction disproportionné a des soucis rencontrés au quotidien.
Ce que j ai regretté c est que ma direction m ait désapprouvé mais si ca se passe comme ca dans 9 cas sur 10 il faudrait peut être que les mentalités évolues
Pour ne pas le renvoyer, la solution est de recruter un animateur supplémentaire spécialement pour s’occuper de lui. Sur des séjours adaptés accueillant uniquement des enfants handicapés, le taux d’encadrement peut être énorme (deux animateurs pour trois enfants, selon la dépendance).
Les organisateurs ou jeunesse et sports, c’est plutôt le genre à dire qu’il faut accepter le handicap, qu’il faut intégrer des enfants handicapés, qu’il faut être tolérant et patient, etc.
On est dans l’idéologie et la méconnaissance, tout ce qu’il faut pour des prises de tête monstrueuses et destructrices. Faut pas trop s’épuiser à résister ou tenir tête aux décideurs dans ces cas là. 9 fois sur 10 ils jugeront d’abord que si ça n’a pas marché c’est parce que l’animateur y met de la mauvaise foi.
En revanche tu peux leur glisser quelques bonnes idées, et puis même s’ils ne manifestent pas d’intérêt au départ, peut-être que quelques semaines ou mois plus tard, ils repenseront à ces idées en croyant qu’elles sont d’eux, et là ils seront plus enthousiastes.
Déjà franchement, que vous ayiez accueilli un psychotique qui prend des médicaments, c’est étrange qu’on ne vous ait rien dit sur sa psychose. On choisit parfois de laisser les animateurs découvrir la psychose. On pense ainsi qu’ils n’auront pas un regard de travers ou un mauvais comportement vis à vis du psychotique. Pour ma part, je pense le contraire, un animateur est un adulte sérieux (ou alors on sait qu’on recrute des cons mais c’est pas mon cas) et on peut faire confiance à un adulte sérieux. On lui donne des informations parce que c’est important pour la sécurité de l’enfant psychotique ainsi que des autres enfants.
Par exemple les crises ont des déclencheurs, dans certains cas, connaitre ces déclencheurs permet de les éviter, et donc de passer de meilleures vacances…
Non c était pour me rassurer car j ai été enguirlandé comme pas deux par ma direction quand j ai dit qu il faudrait le renvoyer comme quoi j étais contre cet enfant et j en passe beaucoup d autres. Après comme tu le dis cela ne me concerne plus . Merci de tes réponses que je dirais rassurante.
ouaih c’est un gros risque, vu le medoc je trouve ca bizar, bon en mm temps faut bien tenter de l intégrer le soucis c’est le resultat…en AL ca allait ?
bah tu sais c’est malheureux mais c’est plus ton role, c’est la dirlo qui devra assumer…en + t y bosses plus, voila faut savoir fermer la porte…aprés si vraiment ca te travaille au point de plus dormir (jen doute lol) tel a JS anonymement ou pas pour savoir le mieux a faire dans ce cas la…ou simplement a l organisateur…