Autre expérience, autre son de cloche :
Au contraire de l’exemple de Barilla, et en prenant pour exemple les claé que je connais (sur Toulouse et sa région) même dans le cas d’une structure gérée par une assoc avec président, secrétaire et trésorier, le gros du travail “paperasse” va te revenir : gestion des inscriptions, des documents pour les parents, CAF, organismes de formation, bilan, gestion du budget (et feuilles de salaires pour certains directeurs, au sein même de Toulouse les cas différes)…
Cela tient beaucoup aux membres du bureau (des parents pas toujours au courant de la gestion de ce type de structure) et de leur implication dans l’assoc’.
Ajouté à ça, sur Toulouse, la politique de la mairie qui finance une bonne partie des Claé. Il faut donc présenter les comptes une fois par an à un responsable de la mairie…
Le plus lourd restant quand même sur un claé la gestion des anim’ : un tel qui ne vient pas sans prévenir, un qui est malade pour la semaine, celui qui devait ouvrir le Claé le matin bloqué dans les embouteillages et les parents qui attendent devant la porte, les remplacements pour le temps du matin, de midi, du soir,…
Les directeurs d’école n’interviennent en rien sur les Claé que je connais. Il y a juste des rencontres informelles et quelques réunions pour parler du projet d’école…
Autre gros travail de ce que je vois à Toulouse sur les Claé : le recrutement toute l’année. A cause du turn’over incessant.
Si tu vas à l’ANPE, tu vas voir des listes de demandes pour des postes en claé.
Mais tout ça dépend aussi de la taille de ton Claé.
Si tu veux des renseignements plus précis (je ne suis qu’animateur) ,je peux te mettre en contact avec des directeurs de Claé de Toulouse.