Cependant il reste quelques vieux chnocks, dinosaures, vieux cons, vieux gateux ( comme vous voulez) pour ne pas baisser les bras.
Je ne suis pas certain que ce ne soient pas ceux là qui aient justement précipité l’éducation populaire au fond du gouffre… Toute la génération des soixante-huitards, devenus les lèche botte des années mitterrand, qui se sont gavés de pognon et d’illusions réformistes, ceux là, on peut les montrer du doigt et ils sont légion chez les Francas, Léo Lagrange, …
Pour qu’un changement puisse exister il faut nécessairement retrouver une certaine radicalité, une insolence, une audace que l’éducation populaire a eu à un moment donné. Or, ce courage ne passera pas par le Laser game et le Macdo, le paintabll et les colos star ac’. On peut prendre le problème dans n’importe quel sens mais tant qu’on reste dans les cadres de la société capitaliste et de ses références abrutissantes on n’ira pas loin…
Faut lire la ligne suivant.
Peut-être n’ai-je pas été assez clair.
Et certes, c’est aux membres, aux acteurs, de prendre en main le désir ET la volonté de changer le fonctionnement
Le fonctionnement pourri a été construit par les générations précédentes… Indirectement par les acteurs actuels, entretenu par eux actuellement en tous cas. Mais le principe de “résistance au changement”, tu connais ?
Si les acteur-trice-s avaient la réelle envie de changer ce fonctionnement qui les piège eux-mêmes, nous n’en parlerions pas. Ce n’est pas le cas… le confort abrutissant de la routine, …
Oui, chacun a sa part de responsabilité, comme toujours. Je ne cherche pas à déresponsabiliser les anim’, au contraire.
Tant qu’on laissera une hiérarchie décider à la place des gens de terrains, on subira toujours cette merde…
Salut à toi, Libertaire,
Ce n’est pas en changeant les gens aux commandes qu’on réglèra le problème. C’est bien le fonctionnement qui est pourri. Le pouvoir est maudit.
J’hallucine, là.
Qui a décidé comment était le fonctionnement?
Si celui-ci est pourri, n’est ce pas parce que ce qui l’ont mis en place sont pourris?
Al
“Aaah l’éducation populaire, monsieur, ils n’en ont pas voulu…”
Pour ceux qui ont un peu de temps (2h30).
Dans “Conférences gesticulées” > “le film”
C’est un spectacle de Franck Lepage qui présente une autre histoire de la France démocratique, culturelle, sociale, éducative, politique, civique, citoyenne, décentralisée, partenariale, associative, européenne et mondialisée, bref… une autre histoire du capitalisme.
Un philosophe aujourd’hui oublié, Herbert Marcuse, nous mettait en garde : nous ne pourrions bientôt plus critiquer efficacement le capitalisme, parce que nous n’aurions bientôt plus de mots pour le désigner négativement. 30 ans plus tard, le capitalisme s’appelle développement, la domination s’appelle partenariat, l’exploitation s’appelle gestion des ressources humaines et l’aliénation s’appelle projet. Des mots qui ne permettent plus de penser la réalité mais simplement de nous y adapter en l’approuvant à l’infini. Des «concepts opérationnels» qui nous font désirer le nouvel esprit du capitalisme même quand nous pensons naïvement le combattre… Georges Orwell ne s’était pas trompé de date; nous avons failli avoir en 1984 un «ministère de l’intelligence». Assignés à la positivité, désormais, comme le prévoyait Guy Debord : « Tout ce qui est bon apparaît, tout ce qui apparaît est bon. »
Pour ceux qui ont moins de temps, visionner juste la partie 7 et 8 (en cliquant sur le bouton “eject” du lecteur vous pouvez accéder à la liste).
Al-Batros a écrit:
Salut à toi, Jetty,J’abandonne ce milieu professionnel pourri jusqu’à la moelle.
Les institutions perdurent ou périclites selon les personnes qu’elles suscitent pour les servir. (C’est pas de moi, ça. De qui … ???)
Ce ne sont pas les institution qui sont pourris, mais les personnes qui les servent.
Al
Ce n’est pas en changeant les gens aux commandes qu’on réglèra le problème. C’est bien le fonctionnement qui est pourri. Le pouvoir est maudit.
Et certes, c’est aux membres, aux acteurs, de prendre en main le désir ET la volonté de changer le fonctionnement.
Histoire d’être autonome et responsable comme on est censé l’apprendre aux enfants… alors que les anim’ ne sont meme pas considérer comme tel (idem dans le reste du monde du travail hein).
Trop facile de dire ça comme disait Moilapa.
Après, reste à savoir si chacun cautionne en se complaisant patauger dans la @#!!!… .. .
Dans mon ALAE, j’ai essayé de changé les choses. J’aurai pu faire mieux, certes, je suis tout de même capable de me remettre en question et de trouver là où j’ai fais défaut.
Mais quand les problèmes sont si nombreux et surtout si importants, ce n’est pas un animateur, ni même une équipe d’animation qui peut changer les choses. Ce n’est pas à son échelle que les décisions sont prises malheureusement. Son pouvoir est donc très limité. Il ne faut pas se leurrer.
Et quand les animateur-trice-s se soudent pour lutter et contraindre les hiérarchies de débloquer certains moyen, l’équipe est disloqué en muttant les anim’ à plusieurs autres endroits…
Bref, après des courriers, des réunions, des analyses, une solidarité très relative dans l’équipe routinière… j’ai finalement décidé de fuir et de chercher moins pire ailleurs…
moilapa a écrit:
Mais dans ces cas-là, je me dis que si la machine déraille, c’est avant tout ma faute.
Très égo-centré comme remarque. C’est bien d’avoir une grande idée de ses capacités
Ben dis donc 😮 T’as le chic pour transformer une phrase en ce que tu veux entendre… C’est ridicule, tu sais bien qu’il s’agit exactement de l’inverse… Ce n’est pas de “l’égo-centré”, c’est juste du respect pour mes collègues.
Je dis juste, que en tant que responsable d’équipes, je serai grotesque de dire que tout le monde est nul sauf moi. Le monde de l’animation est ce que l’on en fait… Faut arrêter de dire que c’est la faute des autres…
(C’est souvent ce que je ressens en lisant les discussions sur le forum : “Aidez-moi…Toute mon équipe est nulle. Je suis le seul surdoué…”. C’est dommage…)
Cela n’enlève rien au constat général de Jetty sur la lassitude qui peut intervenir à bien des moments dans ce domaine d’activité si mal reconnu.
Et je reconnais tout à fait le courage de Jetty d’avouer sa lassitude et d’oser changer de voie. Tout le monde n’en est pas capable. Il faut parfois savoir se renouveler, pour les autres et pour soi.
Bonne journée.
Avé à tous
Certes l’éducation populaire est en danger. Elle est en régression. Ele est en train d’être mis à mal par les forces économiques et financières, les enjeux du sport de haut niveau, la socièté de consommation, le populisme de certains élus, l’égoïsme de groupes particuliers, la malhonnêteté d’autres etc.
Cependant il reste quelques vieux chnocks, dinosaures, vieux cons, vieux gateux ( comme vous voulez) pour ne pas baisser les bras. Je comprends, bien sur, ceux qui plaquent tout et qui en ont marre. A force de prendre des coups …
Je pense que chacun à son niveau, a d’abord un gros travail d’information à faire. Le grand public connaît mal l’éducation populaire. Essayons de les informer.
Ensuite évitons de heurter de front ceux qui priviligie la consommation pure . Soyons plus rusé. Je suis assez de l’avis de Pounky lorsqu’elle dit qu’elle utilise les activités de consommation comme un tremplin pour autres choses.
Essayons d’aller plus loin que l’activité elle même. Voyons ce que l’on peut en tirer.
Nous non plus ne soyons pas extrémistes.
Oui je sais cela n’est pas facile,je ne propose rien d’innovant, mais si tout le monde baisse les bras, où allons nous ?
Mais croyez moi , il reste encore du monde qui applique nos principes.
Je terminerai par une citation de Marcel Pagnol dans Topaze :” Je vais continuer, ( à faire mon travail avec une grande conscience proféssionnelle) si je reste le seul, ils me feront peut être une pension, on ne sait jamais .” 😆 :content:
:jesors:
moilapa a écrit:
C’est un cercle vicieux qui peu à peu modèle une image nouvelle de “l’animateur”. Celle d’un employé sans capacité de révolte, capacité à la prise de décision même la plus banale, soumis et résigné, sans idée, sans création, sans imagination, qui passe son temps “d’animation” en claé assis sur un banc à suçoter son téléphone portable…
Avé Moilapa
C’est ce que tu évoques dans le sujet(tres intêressant) que tu as lancé. Faut-il prendre un animateur dangeureux ? Excuse moi si je modifie un peu ta phrase ,mais ça veut dire ça.
les grands idéaux qui l’ont attiré ( l’animateur) dans telle ou telle structure, type Léo Lagrange, Franca, UFCV… où il est confronté à un total irrespect de sa personne, comme dans n’importe quelle entreprise où l’individu n’a aucune valeur
Je l’ai appris à mes dépens en 1994.
Suite message suivant.
Mais dans ces cas-là, je me dis que si la machine déraille, c’est avant tout ma faute.
Très égo-centré comme remarque. C’est bien d’avoir une grande idée de ses capacités, mais je crains qu’une personne ne puisse quoi que ce soit vis à vis de ce constat général de l’animation fait par Jetty (et que je partage évidemment) Parce que ce constat va bien au delà. Il est le constat de cette société (voir discutions parallèles sur le forum) du chacun pour soi, du fric et de d’absence totale de conscience.
C’est d’ailleurs un constat visiblement de plus en plus partagé, si l’on s’en tient aux témoignages sur le forum, surtout depuis quelques temps. J’ai tendance à remarquer sur le terrain que ce sont ceux qui ont le plus de valeur (valeur humaine et valeur en tant qu’animateur) qui partent vers d’autres univers du travail… restent alors les plus démunis (au point de vue de la culture, de l’intellec’, de la simple capacité à l’interrogation si ce n’est à la révolte)
C’est un cercle vicieux qui peu à peu modèle une image nouvelle de “l’animateur”. Celle d’un employé sans capacité de révolte, capacité à la prise de décision même la plus banale, soumis et résigné, sans idée, sans création, sans imagination, qui passe son temps “d’animation” en claé assis sur un banc à suçoter son téléphone portable…
Le constat de Jetty, je crois que c’est tout bêtement la réalité du terrain, telle que la vit une majorité d’animateurs.
L’animation est un monde violent, où le travailleur ne trouve pas sur le terrain, dans les rapports entre personnes et ce managment agresif qui y est loi, les grands idéaux qui l’ont attiré dans telle ou telle structure, type Léo Lagrange, Franca, UFCV… où il est confronté à un total irrespect de sa personne, comme dans n’importe quelle entreprise où l’individu n’a aucune valeur car totalement interchangeable : Mais dans ces cas-là, je me dis que si la machine déraille, c’est avant tout ma faute
et pas armé pour changer quoi que ce soit à son environnement.
Salut la Foule,
L’Education Populaire continuera de péricliter tant qu’il sera dit aux marmots: “Grace à l’Education Populaire et par le truchement des ACM, tu es l’égal des adultes. Mais dans le dialogue seulement, parce que dans le détail, le dirlo continuera de décider seul des risques que tu prendras en faisant les activités que tu feras, l’économe décidera seul du PQ le moins cher pour t’essuyer après tes défécations, les animateurs continueront de obliger à marcher pieds nus dans les bâtiments alors qu’eux garderont leurs bottes de ville pleines de microbes et de boue, …
En clair, tu seras l’acteur de tes loisirs.”
Al the Vicious
Salut à toi, Jetty,
J’abandonne ce milieu professionnel pourri jusqu’à la moelle.
Les institutions perdurent ou périclites selon les personnes qu’elles suscitent pour les servir. (C’est pas de moi, ça. De qui … ???)
Ce ne sont pas les institution qui sont pourris, mais les personnes qui les servent.
Quand je causais d’OP et D’OV, je me suis fait albasophobié par Ludius et Crevette76 et …
Si tu reprend le flambeau, je crains que …
Al
Re Ggamer,
Oui moi aussi j’avais ce type de discours….là ce n’est plus un petit coup de découragement.
J’abandonne ce milieu professionnel pourri jusqu’à la moelle.
Dire c’est ma faute, se remettre en question j’ai largement assez fait ggamer, crois moi.
Il faut aussi arriver un jour à quitter le monde merveilleux des bisounours et se rendre compte que certaines structures socio culturelles sont pourries jusqu’à la moelle…avant de toujours demander aux salariés de se remettere en question.
Le mal être au travail existe aussi dans nos structures professionnelles soit disant si sympathiques, ce n’est pazs que chez France Télécom.
Bonne chance à toi …
Bonjour Jetty,
Je comprends ton positionnement. Il est vrai qu’un petit découragement peut arriver de temps à autre…
Mais dans ces cas-là, je me dis que si la machine déraille, c’est avant tout ma faute.
Même si parfois je me dis que :
> Les bénévoles ne comprennent pas forcément le terrain…
> Les animateurs sont pas tout le temps au top…
> L’argent manque tout le temps…
> Etc…
… tout cela est sûrement ma faute :
> Je n’ai peut-être pas bien communiqué auprès des bénévoles…
> Je n’ai peut-être pas bien formé mes équipes…
> Je n’ai peut-être pas bien cherché tous les financements possibles…
> Etc…
Je crois que, dans l’éduc pop, on est acteur : s’il y a un grain de sable, c’est pas forcément l’autre : on est tous dans le même bain…
Alors, je me remets en boulot en me disant que je vais faire mieux pour faire remonter tout le monde dans la barque et la mener à bon port…
Oui, je sais, je suis d’humeur poétique ce soir… 😀
Bonne chance à toi…
J’acquiesce les dires de solleana.
L’Education Nationale, comme le reste est bradée, inefficace et même contre-productive.
1an et demi que je lutte en Acceuil de Loisirs Associé à l’Ecole, mais sans succès (bâtons dans les roues de la part de la hiérarchie, …) c’est trop dur à supporter.. je démissionne en espérant pouvoir encore trouver quelques endroits moins ‘trash’…
Jme vois pas travailler dans autre chose en plus…
Comme dit précédemment, il va falloir malheureusement arrêter de dire que le constat est trop général et qu’il reste quelques villages gaulois qui résistent à la logique dominante.
Que ce soit:
– dans l’éducation nationale où on recrute désormais des gens sans expérience, ni formation, ni concours pour enseigner à nos gosses, où on n’aide plus les élèves en difficulté, où les écoles se transforment en petites entreprises ou EPEP, où les facs deviennent autonomes et concurrentielles en éliminant diplômes et formations non rentables…
-dans l’hôpital public, où on manque de médecins, d’infirmières, de lits, où on ne rembourse plus décemment les patients, où on ne finance plus de recherches sur les maladies graves et rares…
-dans l’éducation populaire où on prend la sortie mac do comme tremplin pour éduquer, le laser game comme éveil à la culture…
Il s’agit d’une logique sociale globale qui nous mène vers un système barbare et anti-démocratique et je peine à croire que ce soient les scouts qui nous sortiront de l’impasse!
jetty a écrit:
ReA XXYYZZ: Désolée, je n’avais pas pu lire la fin de ton message.
L’éducation nationale c’est pas mieux ? Peut être
En tous les cas pour l’instant j’y vois plusieurs avantages:
1.T’es pas @#!!! au quotidien par une hierhachie de bénévoles qui y comprennent rien. Tu vois une fois tous les 2-3 ans un inspecteur qui finalement a peu de pouvoirs sur toi.
2.Ton public est là, pas besoin d’attrapper des mouches avec du vinaigre comme dirait Punky
3. Tu peux mener des projets un peu moins @#!!! @#!!! que de courrir au prochain parc d’attraction.Après c’est vrai j’ai “que” trente et un ans, il y a encore moyen de me faire virer de plusieurs assoc lol. Je pense que je ferais du volontariat en ACM mais plus d’animation pro fini fini fini. Dégoûtée
Mon expérience de l’éducation nationale, c’est aussi ça :
1/ T’es bien enquiquinée par les parents (pires que des bénévoles dans certains cas), les élus, et ta directrice d’école qui n’a pas besoin d’un pouvoir hiérarchique pour mettre la pression parfois.
2/ Le public est plus ou moins là… Ça dépend des classes et des écoles.
En maternelle par exemple c’est parfois très aléatoire (j’ai bossé dans une maternelle où on avait entre 3 et 5 élèves sur 90 le samedi !).
Y’a aussi certains publics très absentéistes, soit par habitude “communautaire”, soit en raison d’une certaine vision très délabrée de l’école.
3/ J’ai vu pas mal d’instits mener des projets du genre “financer une sortie à la plage, même pas pour y regarder les coquillages, juste dorer au soleil avec les enfants” ou encore “faire un joli cadre en pâte à sel avec les CE1 pour la fête des mères”…
——
Moi ce qui fait que je préfère l’animation à l’enseignement, c’est que je préfère travailler d’abord sur les “savoir être” et “savoir faire” plutôt que sur les “savoirs tout court”.
Je ne dénigre pas l’enseignement, on en a besoin, mais c’est pas là-dedans que moi je trouve ma place. 😉
Je suis d’accord avec cette vision (celle de Jetty) de ce qu’est aujourd’hui l’éducation populaire.
Et comme XXYYZZ, je crois aussi que c’est pire dans l’éducation nationale.
Mais ce qui a changé, ce n’est pas seulement l’éducation populaire qui serait un “îlot” dans une société, mais la société entière.
(vous inquiétez pas ; je vais pas redire ce que j’ai déjà dit mile fois sur l’éducation populaire et l’éducation nationale)
Je dirais juste que dans le cas de l’éducation nationale, cela toujours été ainsi.
Re ,
Ma vision de l’Educ pop tiens en peu de mots et n’est pas très académique:
“C’est sortir par la porte de la MJC un peu moins con que quand on y est entré”.
L’activité c’est un support pour amener la personne à être moins con.
Oui mes fonctions m’ont amené à encadrer des animateurs pro et volontaires au contact de différents publics enfants, jeunes, adultes, senbiors.
Ce que j’ai mis en place: des temps de formation sur ce qu’est l’Educ Pop, sur la méthodo de projets, des échanges avec d’autres centres “vertueux”, questionnement “c’est quoi être animateur? ” , des activités sans conso etc…
Après, quand l’animateur arrive en te disant que l’émission de télé réalité c’est trop bien et qu’il veut la mettre en place avec les gosses ben il y a plus de boulot qu’avec l’anim qui joue d’un instrumenent de musique ou qui fait du théâtre depuis quelques années et qui veut faire découvrir sa passion aux enfants ou aux jeunes.
Re
A XXYYZZ: Désolée, je n’avais pas pu lire la fin de ton message.
L’éducation nationale c’est pas mieux ? Peut être
En tous les cas pour l’instant j’y vois plusieurs avantages:
1.T’es pas @#!!! au quotidien par une hierhachie de bénévoles qui y comprennent rien. Tu vois une fois tous les 2-3 ans un inspecteur qui finalement a peu de pouvoirs sur toi.
2.Ton public est là, pas besoin d’attrapper des mouches avec du vinaigre comme dirait Punky
3. Tu peux mener des projets un peu moins @#!!! @#!!! que de courrir au prochain parc d’attraction.
Après c’est vrai j’ai “que” trente et un ans, il y a encore moyen de me faire virer de plusieurs assoc lol. Je pense que je ferais du volontariat en ACM mais plus d’animation pro fini fini fini. Dégoûtée
mais et toi Jetty, tu fais quoi concrètement, c’est quoi ta vision de l’éducation populaire?
C’est quoi pour toi la notion d’activité.
J’entends bien ce que tu dis, je partage partiellement ce constat avec toi, mais ça peut etre intéressant aussi d’échanger sur ce qu’on peut mettre en place pour aider les animateurs à sortir de cette vision consumériste des temps de loisirs.
D’après ce que tu présentes, tu semble occuper un poste de direction; une de tes fonctions est donc d’accompagner les anim (stagiaires ou non) dans leur parcours de formation. Concrètement que mets tu en place pour les amener à se positionner dans le champ de l’education populaire, à prendre conscience des différents enjeux