[solleana]

Bourricot a écrit:
Je transmettrai la chanson à l’auteur de la définition.

…

L’amour parfois se flétrit et s’endort
Mais de ces cendres peut renaître encore
Un bonheur oublié, qu’il tenait tant à lui donner
Sur sa guitare il a composé
Une chanson où il lui disait
Son espoir de la retrouver
Et cette histoire à tous il a chantée

Dites-lui que je l’aime
Mais que je dois partir
Un jour je reviendrais
Et ce jour je pourrais encore l’aimer

Depuis ce jour la chance lui sourit
De part le monde chacun l’applaudit
Mais dans sa vie plus rien ne comptait
Car c’est toujours à elle qu’il pensait
Roulant trop vite vers elle dans la nuit
Dans un tournant le destin le surprit
Et quand à l’aube on le retrouva
Jusqu’au dernier mot à tous il murmura

Dites-lui que je l’aime
Cachez-lui que je souffre
Ce soir je tarderais
Mais dés que je pourrais… je reviendrais…

Aujourd’hui elle est seule
Mais elle ne peut l’oublier
Car sa voix est toujours là
Et par ce disque toujours il lui dira

Dites-lui que je l’aime
Mais que je dois partir
Un jour je reviendrais
Et ce jour je pourrais
Encore l’aimer

Franck mickael

[Simon]

Je transmettrai la chanson à l’auteur de la définition.

Etonnant que l’égalité des chances, terme récent soit si vite repris et défendu par tous les organisateurs et directeurs sans être requestionné…

[solleana]

C’est elle qui remplit les squares
Les promenades les salons de thé
C’est elle qui raconte l’histoire
Quand elle ne l’a pas inventée
C’est la Parlote, la Parlote
C’est elle qui sort toutes les nuits
Et ne s’apaise qu’au petit jour
Pour s’éveiller après l’amour
Entre deux amants éblouis
La Parlote, la Parlote
C’est là qu’on dit qu’on a dit oui
C’est là qu’on dit qu’on a dit non
C’est le support de l’assurance
Et le premier apéritif de France
La Parlote, la Parlote
La Parlote, la Parlote

Marchant sur la pointe des lèvres
Moitié fakir et moitié vandale
D’un faussaire elle fait un orfèvre
D’un fifrelin elle fait un scandale
La Parlote, la Parlote
C’est elle qui attire la candeur
Dans les filets d’une promenade
Mais c’est par elle que l’amour en fleur
Souvent se meurt dans les salades
La Parlote, la Parlote
Par elle j’ai changé le monde
J’ai même fait battre tambour
Pour charger une Pompadour
Pas même belle pas même blonde
La Parlote, la Parlote
La Parlote, la Parlote

C’est au bistrot qu’elle rend ses sentences
Et nous rassure en nous assurant
Que ceux qu’on aime n’ont pas eu de chance
Que ceux qu’on n’aime pas en ont tellement
La Parlote, la Parlote
Si c’est elle qui sèche les yeux
Et si c’est elle qui sèche les pleurs
C’est elle qui dessèche les vieux
C’est elle qui dessèche les coeurs
La Parlote, la Parlote
C’est elle qui vraiment s’installe
Quand on n’a plus rien à se dire
C’est l’épitaphe c’est la pierre tombale
Des amours qu’on a laissé mourir
La Parlote, la Parlote,
La Parlote, la Parlote

Jacques Brel

[Simon]

Trouvé dans le Dictionnaire Collectif de La Langue de Bois et des concepts opérationnels.

ÉGALITE DES CHANCES

Après avoir éliminé Robespierre, la réaction thermidorienne de 1795 met fin à la révolution et à l’idéal d’une société dans laquelle l’égalité serait réalisée. Mais comment consacrer le retour de l’inégalité, de l’argent, de l’aristocratie, de la fortune, de la propriété sans que le peuple ne reprenne les armes ? Comment abandonner l’égalité sans que cela ne se voie ? En l’appelant : « l’égalité des chances ». L’égalité des chances est le mot qui veut dire « Inégalités». Tels le lapin et la tortue, nous sommes donc « égaux » sur la ligne de départ. Nous avons virtuellement les mêmes « chances ».

En entrant à l’école, Bastien dont le père est banquier, et Mohammed, dont le père est chômeur ont donc les mêmes « chances ». Il est évident que si Bastien intègre une grande école et Mohammed ne dépasse pas la troisième professionnelle, ce n’est que le résultat de leur mérite propre. L’un n’a pas su, ou pas voulu utiliser les « chances » que l’on avait mises à sa disposition en égale proportion avec l’autre. Quand l’un et l’autre doivent raconter leurs vacances dans une rédaction, c’est un pur hasard si les parents de Bastien et le professeur possèdent la même culture, partagent les mêmes codes, les mêmes modes de vie, et aiment tous les deux les mêmes vacances : marcher dans le Cantal plutôt que de s’entasser au camping des flots bleus et de faire du baby foot au café de la plage. Ou encore de rester jouer au foot tout l’été sur la dalle de l’immeuble. Si la rédaction de Bastien (à qui sa maman a appris à reconnaître les chants d’oiseaux dans les forêt du Cantal) reçoit une meilleure note, c’est parce que Mohammed n’a pas voulu faire l’effort de raconter dans des termes joliment et littérairement tournés ses journées d’été occupées à traîner dans son hall d’escalier. Un tel sabotage de ses « chances », une telle mauvaise volonté, une telle paresse intellectuelle méritent une sanction. Un tel refus d’utiliser les « chances » que l’école républicaine a mises à sa disposition, mérite une mauvaise note.

Comme tous ces mots à dépolitiser les rapports sociaux, « l’égalité des chances « est une machine à nous faire croire que cette société offre à tous une égale opportunité et que nous sommes seuls responsables de notre situation. C’est le modèle Américain du « land of opportunity ». Il n’y a plus de patrons pour nous exploiter, seulement des individus qui ont voulu ou pas saisir leurs chances.

Transformé en loi, ce principe de l’égalité des chances légitime l’abjection des « grandes écoles » dans lesquelles se côtoie et se reproduit « l’élite républicaine » qui est essentiellement le refuge de la noblesse et de l’aristocratie reconstituées. Depuis la loi sur l’égalité des chances, un quota de pauvres et d’étrangers (pardon…de « minorités visibles ») est autorisé à rentrer dans ces écoles. Mais la question n’a jamais été de savoir combien y entraient, mais combien en sortaient. Au nom de l’égalité des chances, tout le monde rentre dans l’entonnoir de l’école, mais seulement 1% de fils d’ouvriers en sortent avec un diplôme universitaire quant la France dénombre 30% d’ouvriers en 2005 au sein de la population active. Jetons un voile pudique sur les 99 autres… Le problème de l’égalité n’est pas de rentrer mais de sortir égaux, pas de démarrer mais de finir égaux. C’est une toute autre tâche !

Traduction,

Pour aider les parents à exercer leur autorité parentale la loi sur l’égalité des chances institue un contrat de responsabilité parentale qui permet d’assigner des objectifs aux parents. S’il n’est pas respecté par la famille, les autorités compétentes pourront prononcer la suspension provisoire de certaines allocations. (texte officiel)

Pour punir les familles dont les enfants ne se soumettent pas à l’oppression et à la pauvreté, la loi pourra pénaliser financièrement les parents pour leur apprendre à faire respecter l’humilité de leur condition.

[Lapin]

Bonjour,

1. Pourquoi parler d’égalité des chances et pas simplement d’égalité ?

Tout d’abord, parce que l’égalité des chances est un axe plus précis que celui de l’égalité. L’égalité des chances est une des déclinaisons concrètes de la notion d’égalité.
Par exemple, l’égalité (telle qu’elle est énoncée dans les déclarations de l’ONU) renvoie de fait à la justice, alors qu’elle ne sera pas traitée dans mon cas (ou indirectement).
Ensuite, pour deux raisons que j’évoquais dans le premier post : l’égalité des chances est une notion actuelle et politique ; elle concerne l’éducation populaire et les colos.
Enfin, parce que la chance est bien présente : nous devrions tous – idéalement – avoir les mêmes chance de rentrer à l’université, trouver un emploi, etc.

2. Qu’est-ce que j’appelle « inégalités criantes » ?
Les inégalités de fait illustrées par Al-Batros.
Elles sont « criantes » car fortement visibles et ressenties par tous. Les enfants et les anims savent très bien que Jean-Claude n’a justement « aucune chance » avec les filles et que le petit Louis ne peut jamais dire tout ce qu’il veut, qu’il « n’a pas eut la chance » de s’exprimer la dernière fois…

3. Quelles réponses ?
Il me semble que sur n’importe quelle colo l’équipe vieille sur ces inégalités et fait son possible pour les gommer, ou les rendre moins difficile. Pas besoin d’un axe égalité des chances pur ça, j’en conviens.
Il me semble, que dans le cas de Jean-Claude, un anim ferait preuve d’écoute et serait soit rassurant, soit dédramatisant, soit… (voir la célèbre bâche dans Nos Jours Heureux pour rire un coup !). Il me semble que dans le cas du petit Louis, un anim serait vigilent à ses signes qui indiquent qu’il veut prendre la parole, obtiendrait pour lui le silence, l’encouragerait…

J’aimerais juste en faire un peu plus. On n’est pas dieu, on ne peut gommer les inégalités du monde, j’en conviens. Mais il y’a sûrement à faire…

Par exemple, mettre en valeur l’égalité des chances : la respecter au maximum, défendre une valeur humaniste, l’illustrer, montrer son importance, etc.
Par exemple, interroger l’égalité des chances : monter ses liens avec “le renforcement de la responsabilité individuelle et quelque part un désengagement de l’Etat” et “la discrimination positive” (frytjip post #28), illustrer et critiquer ces idées, etc.
Et évidement, beaucoup d’autres choses…

[Simon]

Reste à savoir par ce que tu appelles “inégalités criantes”…

Une question reste et qui finalement résume mon intervvention sur le double sens de la notion de l’égalité des chances : pourquoi n’utilise t-on plus le terme égalité?
Qu’entend-on par chances?

[Lapin]

Bonjour,

Quelle euphorie quand j’ai vu 4 pages sur le sujet !
… J’ai été ensuite un peu déçu de la présence du débat Al-Batros et frytjip sur le pourquoi l’animation. Pourtant, comme l’a dit frytjip : “Les sujets dérivent toujours dans un forum”, et celui-ci ne m’appartient nullement.
Merci Ludius et Yves-Marie d’avoir tenté de revenir au sujet initial.
Jongloman, je crois qu’il y’a eut un large débat sur les rôles Education Populaire et parents sur L’autonomie ? Pour quoi faire ?? et sur Critique de la famille, très récemment. Les propos d’Al-Batros y sont expliqués, discutés, critiqués… Toi-même y as pris part.

Je crois que mon vocabulaire était mal choisi. Comme a pu l’expliquer saltimbanque ou frytjip, l’égalité des chances ne peut être un thème :

frytjip a écrit:
L’égalité des chances est donc une finalité à l’action sociale, elle n’est pas un moyen d’action et encore moins un thème. C’est là qu’il faut faire attention à ne pas inverser les termes. L’égalité des chances est sous-jacente à toute action sociale (culturelle, éducative, sportive…etc.)

J’aurais du utiliser “axe transversal” ou “prise de conscience”, ou… pour exprimer ce que les posts de saltimbanque (#3), de frytjip (#6) rappellent : si j’ai bien compris, l’égalité concrète en droits n’est pas une réalité aujourd’hui, mais un point à atteindre, une finalité. L’action des séjours de vacances s’inscrit dans cette logique : vers l’égalité des chances. La colo est ici un moyen parmis d’autres.

Bien.
Mon problème est : comment mettre en valeur et interroger cette égalité en droits sur la colo ?
En d’autres termes : si je ne peux agir sur les inégalités de faits (dans le cadre de la colo), si je ne peux supprimer les difficultés d’élocution du petit Louis et rendre J Claude beau comme Apollon (pour paraphraser Al-Batros), que puis-je faire, avec l’équipe, pour l’égalité ?
Ou encore : que répondre aux inégalités criantes sur la colo ?

Al-Batros a écrit:
il faut faire le maximum pour que les djeuns soient égaux (en droit, en fait, en considération …), mais c’est très difficile.
Je suggérais d’être plus humble dans les objectifs pour pouvoir les atteindre vraiment.

Aurais-tu des idées à me souffler, même si elles sont très difficiles ?
Concrètement ?

Et pour frytjip, si “le renforcement de la responsabilité individuelle et quelque part un désengagement de l’Etat” et “la discrimination positive” (post #28) y son lié, comment les aborder, les comprendre, et en faire quelque chose sur la colo ?

[Al-Batros]

Salut à toi, Solleea,

Pour finir albatros tes remarques sur lulu et moi ou tes conseils pour que je ne lise pas sont plutot inquietants.. te vois tu vraiment comme une victime??

Tu me prêtes une intention bien malsaine.

Je ne me vois pas comme une victime.

J’ai envie d’apporter des infos, ceux que ça intéresse prennent, les autres passe à un autre fil.
Comme j’ai dis, les étalages de confiture, ça permet de découvrir de nouveaux parfums.

Al Batros

[ccil]

bien, je conseille fortement a albatros et fry de lire ou relire la conjuration des imbeciles de jk toole
vos verbiages incessants, la masturbation intellectuelle que vous exhiber sur planetanim ne sont pas sans me rappeler les delires d ignatus anti heros hallucinant de ce roman
en gros et je suis desolee d en arriver la vous emmerdez le monde
a vous rouler dans la fange de vos discussions sans sens vous empecher les gens de prendre du plaisir a suivre et participer aux discussions

pour finir albatros tes remarques sur lulu et moi ou tes conseils pour que je ne lise pas sont plutot inquietants.. te vois tu vraiment comme une victime??

[Al-Batros]

Salut à toi, Frytjip,

Et je comprends pourquoi ce tel décalage d’appréciation des sujets entre toi et certains autres. Tu réfléchis l’animation comme une prestation de services : besoin – service. D’autres personnes ici réfléchissent à l’animation en tant que mission politique : l’éducation populaire, qui est un désir de transformation sociale. De fait, les deux existent et même coexistent.

Une coexistence pas pacifique.

le terme égalité est très polysémique.

C’est pour ça que je t’ai dit que “égalité” sans complément de nom était un effacement lexical privé de sens.

Bien à toi

[Simon]

Jamais le point Godwin n’a été atteint puisqu’il s’agit quand on est à court d’arguments de faire référence aux atrocités nazies. On en est donc encore loin !

Non pas qu’il y ait juste des directeurs, mais dans un débat de visu formalisé, une personne est toujours invitée à animer le débat, à savoir recentrer le débat quand c’est nécessaire, distribuer la parole, ouvrir de nouvelles questions…Une chose impossible à concevoir sur un forum Internet.

Et je comprends pourquoi ce tel décalage d’appréciation des sujets entre toi et certains autres. Tu réfléchis l’animation comme une prestation de services : besoin – service. D’autres personnes ici réfléchissent à l’animation en tant que mission politique : l’éducation populaire, qui est un désir de transformation sociale. De fait, les deux existent et même coexistent.

Une autre personne aurait pu répondre à ma question : “Fondamentalement, je fais de l’animation pour lutter contre l’exclusion, les inéaglités ou la discrimination”. A chacun son idéal.

Pour revenir au sujet initial qui est : Egalité des chances.

Jusqu’à maintenant, nous l’avons tous plus ou moins encensé cette égalité des chances mais on pourrait l’interpréter autrement et y voir quelque chose de moins reluisant : le terme égalité est très polysémique.

La notion d'”égalité des chances” se traduit politiquement en 2004 avec la loi du même nom, promulguée par le gouvernement Villepin. C’est cette fameuse loi qui prévoyait notamment l’apprentissage à 14 ans et le CPE.

L’égalité des chances revêt du coup une autre notion très chèrement défendue par les conservateurs qui est l’équité. Un terme préféré à l’égalité car cette dernière est considérée comme un “nivellement”(c’est là où vient d’ailleur l’idée d’égalitarisme)

Par équité et égalité des chances, c’est une autre conception qui voit le jour, une conception rattachée au mérite. Je m’explique, en considérant que nous donnons les mêmes chances à tout le monde on pense que forcément un individu s'”il veut, il peut”. C’est un renforcement de la responsabilité individuelle et quelque part un désengagement de l’Etat(=refus de l’assistance). Et le discours du candidat de l’UMP par exemple tient en toute ligne sur cette idée fondamentale. L’autre grande notion médiatique rattachée à cette idée d’équité, de mérite et d’égalité des chances est la discrimination positive.

Donc l’égalité ca s’interprète de diffrentes manières et à choisir entre égalité, équité ou égalité des chances, je préfère la première. En ne perdant pas de vu qu’il faut ensuite signifier ce que l’on met derrière.

[Al-Batros]

Salut à toi, ô vénérable Frytjip,

Aucune guéguerre dans ce topic.

Meuh bien sûr, juste du chamaillage bon enfant.

C’est le propre d’un débat contradictoire : les gens ne sont pas d’accord et utilisent donc différents niveaux d’arguments. Rien de condamnable.

Tant qu’on donne pas dans le Godwin, c’est bon.

Les sujets dérivent toujours dans un forum : la raison est simple, il n’y a pas d’animateur. Alors forcément, on pourrait créer un nouveau sujet pour parler d’Al-Batros. Mais on est sur Planet’anim, on parle d’animation pas d’Al-Batros. C’est la raison pour laquelle on ne lui consacrera pas un sujet, malgré que ca en attriste certains.

“Il n’y a pas d’anims” Tu veux dire qu’il n’y a que des directeurs?
Pourquoi un sujet sur moi, j’ai déjà tout dit! (Ce que vous avez le droit de savoir, la taille de mon …, ça ne vous regarde pas.)

Ce qui me motivait à travers mes questions, c’était de savoir si justement Al-Batros s’en posait. Bref, cher volatile, tu te demandais plus haut s’il n’y avait pas des choses plus réalisables que l’égalité des chances.

Non, mon très cher Frytjip, je disais: “Il faut faire le maximum, mais n’y a t’il pas d’autres choses plus réalisables?”*

Cad, il faut faire le maximum pour que les djeuns soient égaux (en droit, en fait, en considération …), mais c’est très difficile.
Je suggérais d’être plus humble dans les objectifs pour pouvoir les atteindre vraiment.

En creusant un peu plus, on apprend que tu es donc animateur, métier que tu considères comme supplétif au rôle des parents, par nécessité.

Je suis directeur depuis peu, j’ai fait 3 direction adjoint en SV enfants, directeur en AL maternel et directeur en SV enfants.

Et tu utilises un mot fort à mon avis loin d’être désintéressé : “se prostituer”.

J’ai repris ce terme d’un post de notre ami qui traite les parents de crétins, c’est tout.

Et c’est là que ca devient super intéressant, pourquoi l’animation est-elle nécessaire?
L’animation socioculturelle est en effet loin d’être une obligation.

Une nécessité et non une obligation. Comme j’ai dit, les parents ont des besoins de garde d’enfant, cad de confier leurs enfants à des adultes.

Elle est impulsée par et reliée à l’action politique.
Alors c’est une profession qu’on a créé dans quel but?
Quelles perspectives? Et pour servir quel projet?

Je ne suis pas d’accord avec ce que tu dis, mais je me batrais pour que tu puisses le faire, Dusses je affronter l’impitoyable Solleea et la sépulturale Ludius dans un enfer maléfique.

Vous verrez très vite que ce questionnement est loin d’être éloigné avec le sujet initial.

Même, si on en est loin qu’importe. On a fait de grandes découvertes sur des sujets en en étudiant d’autres.

On pourrait donc continuer en demandant à toi Al-Batros, en quoi l’animateur est-il nécessaire?

Les parents ont des besoins de garde d’enfant et les enfants de loisirs, l’animateur me parait être celui qui va travailler pour combler ces besoins.

Bien à toi

Al Batros

* Tu vois ma très chère Ludius, si on ne fait pas comme je fais, notre propos sur lequel quelqu’un rebondit peut être tout transformé.

[Simon]

Aucune guéguerre dans ce topic.

C’est le propre d’un débat contradictoire : les gens ne sont pas d’accord et utilisent donc différents niveaux d’arguments. Rien de condamnable. Les sujets dérivent toujours dans un forum : la raison est simple, il n’y a pas d’animateur. Alors forcément, on pourrait créer un nouveau sujet pour parler d’Al-Batros. Mais on est sur Planet’anim, on parle d’animation pas d’Al-Batros. C’est la raison pour laquelle on ne lui consacrera pas un sujet, malgré que ca en attriste certains.

Ce qui me motivait à travers mes questions, c’était de savoir si justement Al-Batros s’en posait. Bref, cher volatile, tu te demandais plus haut s’il n’y avait pas des choses plus réalisables que l’égalité des chances. En creusant un peu plus, on apprend que tu es donc animateur, métier que tu considères comme supplétif au rôle des parents, par nécessité. Et tu utilises un mot fort à mon avis loin d’être désintéressé : “se prostituer”.

Et c’est là que ca devient super intéressant, pourquoi l’animation est-elle nécessaire? L’animation socioculturelle est en effet loin d’être une obligation. Elle est impulsée par et reliée à l’action politique. Alors c’est une profession qu’on a créé dans quel but? Quelles perspectives? Et pour servir quel projet?

Vous verrez très vite que ce questionnement est loin d’être éloigné avec le sujet initial.

On pourrait donc continuer en demandant à toi Al-Batros, en quoi l’animateur est-il nécessaire?

[Yves-Marie]

c’est dommage, l’égalité c’était bien comme sujet non?!

[Al-Batros]

Salut à toi, Ludius,

Je crois qu’on ne peut pas décrire les choses complexes avec des mots simples.

Simplicité et précision, ça ne va pas ensemble.

Ce que j’aime, c’est partager mes connaissances et ceux de ceux qui sont prêts à faire l’effort de comprendre.

Sur mon ordinateur, j’ai en permanence des dicos: français, anglais, espagnol …
Je cherche sans cesse.

Chacun fait ce qu’il veut, je suis à l’affût de toute connaissance et ce que j’affectionne en séjour de vacances, ce sont les petits EIP trésors de connaissances: l’été 2006, j’ai coyoyé un petit entomologue de 8 ans qui m’a parlé des mantes religieuses, des lucioles et des arachnides. (Il avait réussi à en dénicher.)

Chacun sa vie, chacun son chemin.

Je n’oblige personne à me lire.

Je suis comme ça, j’accepte les autres comme ils sont, mais chacun fait comme il veut.

Je me suis engagé moralement à ne pas déverser des mensonges, c’est tout.

Bien à toi.

Al Batros

[Ludivine]

Je ne t’ai pas demandé de ne pas répondre au sujet qui t’intéressent … Chacun a le droit de faire ce qu’il veut non ?

Ce que je voulais te dire, c’est que c’est inutile de parler avec des mots et des tournures que personne ne comprend. On n’est pas obligés de sortir Larousse et Robert pour comprendre ce que tu essaies de nous dire. Preuve en est, je n’ai encore rien compris à ce que tu viens de me dire. Je suis blonde, mais pourtant pas conne, enfin pas tout le temps.

Et en parlant comme ça, je dis et je répète que tu fermes la porte à certaines personnes, j’en suis quasiment certaine, qui aimeraient peut-être participer à la conversation, au sujet initial, mais qui ne le font pas car ne comprennent rien à ce qui se dit vraiment.

[Al-Batros]

Salut toi, Ludius,

Moi, je préfère les posts étalage de confiture, c’est impartial, sans atteinte personnelle et j’y découvre des parfum que je ne connais pas et je trouve de nouvelles saveurs à ceux que je connait déjà.

Les posts déverssements de vomis, ça pue et ça nous fait monter vers les points de Godwin. Ca met du monde en colère, en pas foncé.

Que les sujets soient repris, repris et repris encore, moi, je m’en balance.

Par contre, tu me demandes de faire de la contestation par métonymie, cad prendre la partie controversable du post et d’y rentrer dedans?
Ah non, c’est indécent ça.

Soit un post ne contient qu’une question et je ne réponds qu’à la question.
Mais s’il y en a une cascade, laquelle je choisirais?
Celle qui me permettra d’être le plus odieux possible?
C’est dégueu.

Pour moi, chacun répond comme il veut, si j’aimais pô, je ne lirais pas. Seulement, moi, j’aime tout le monde, alors je lis tout.

Bien à toi.

Al Batros

[Ludivine]

Le sujet initial était somme tout intéressant. Ce n’est pas le fait de polluer ou non le sujet, mais c’est le fait que vous vous polluez vous même que me dérange, et qui en dérange bon nombre je pense bien. On dirait que vous attendez la première occasion de sujet bien polémique pour vous faire une p’tite guéguerre ridicule et grotesque, enfin moi c’est comme ça que je le perçois.

Avec vos phrases de trois kilomètres, vos propos incompréhensibles et j’en passe, finalement vous n’aurez jamais l’avis sur le sujet d’autres personnes, vous vous fermez vous même des portes car le sujet tel qu’il prend tournure devient inintéressant.

Et puis Al-Batros stp, tu ne peux pas faire autrement que de décortiquer les posts de tout le mondepour y répondre ? C’est juste un avis perso, mais je trouve que c’est un peu ch**** pour la lecture…

[Al-Batros]

Salut à toi, Frytjip,

Bof tu peux interpréter tout ce que tu veux, c’est plutôt amusant ton numéro.

Si tu te marres, tant mieux.

Et puis tu as répondu à côté à mon Pourquoi. Par pourquoi j’entendais quelles finalités tu cherches à atteindre par ton action d’animation. En clair, quelles sont tes valeurs, tes grands principes à toi?

J’ai déjà tout dit.
Je me prostitue pour le bien des parents et des minôts et j’aime tapiner comme ça.

Car, par ta réponse tu as surtout répondu pour quoi fare(rencontrer des gens, fort bien) tu animais mais pas pourquoi(valeurs, principes).
Alors?
Et je n’attends pas la réponse que je veux, j’attends juste une réponse. Aucune intention belliqueuse dans ma démarche.

Mon principe est simple, les parents sont maîtres de l’éducation de leur minôts, je ne suis qu’un suppléant par nécessité.

Al Batros

PS: Désolé Solleea, tu n’es pas obligée de lire.

[ccil]

ben pour ne pas polluer albatros peut raconter sa vie a ceux que ca interresse mais nous on s en fiche…
on va quand meme pas creer un sujet “pour tout savoir sur albatros” ca devient dingue la….

[Auteur]

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