Most American homes are equipped with a coffee maker and most American days are equipped with the coffee maker part of the day. Most of us take it for granted without stopping to appreciate the wonderful satisfaction that comes with true communion with the coffee and its maker and the part it plays in our overall wellbeing . Now is as good a time as any to stop and smell the coffee.
Morning is a great time for coffee. Plan your day on a morning cup of coffee.
Our mornings are difficult at best, especially during the work week. The unwinding, after dinner part of the day is so far off and the previous day’s unwinding part was often so good that we let it go on a bit later than is good for us. That’s what makes morning a necessary component of the coffee maker part of the day. How anyone can go through the day’s preparation for self and family without resorting to the coffee and its maker is beyond me.
Show me a dissatisfied, frustrated commuter and I’ll show you someone holding a store-bought cup of coffee. As annoying as these people are, try to work up a little sympathy for the poor soul who has groomed, dressed, prepared, traveled to a coffee shop, stood in line (with grumpy people), juggled a hot cup with a newspaper and work papers or whatever, and is now forced to behold the more satisfied people who drank home brewed coffee that surround him.
It’s so much easier to allow the aroma of a brewing cup to accompany the grooming and preparation of the day, to allow the sounds of family to blend with the soothing sounds of coffee dripping into the pot, to allow a few decadent minutes of sitting and sipping before starting off. That’s the way the morning goes when it’s included in the coffee maker part of the day.
Evening time can be a time to enjoy coffee. Many people forget how relaxing a cup of coffee can be. Coffee is more than a morning drink.
And what about the benefits derived from making one’s homecoming an element of the coffee maker part of the day? It’s the empowering part of a frustratingly powerless day at work. You can select exactly the kind of coffee to put into the maker along with the amount. Contrast this with making do with the coffee pot in the break room where the consensus brand of coffee has either run out again or has been sitting for hours scorching on the heating pad. And you pick your own cup instead of using the cheap, disposable one provided by the coffee fund or the dollar store mug you chose to bring to the office because it isn’t nice enough for anyone to steal. And best of all, you and your coffee and your cup settle into whatever chair in the house you feel like using.
It could be the one in front of the TV or the one in the kitchen full of family or the quiet one next to the window in the bedroom. Power is the gift you get from the evening coffee maker part of the day.
Fill in the joys of the coffee maker part of weekends and holidays and remember to enjoy.
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Pour le port du casque, il me semble que la contrainte est quand même minime.
Pour le reste… Etre devant ou derrière, chaque situations a ses avantages et ses dangers, je pense que cela dépend en outre de la situation : type de piste, degré de pente, météo, etc…
L’important est quand même d’avoir toujours les mineurs à portée de vue pour être prêt à réagir en cas d’accident (ou même, simplement, en cas de difficultés).
Le casque est juste recommandé? Il n’est pas devenu obligatoire sur les séjours de vacances depuis 2 ou 3 ans?
Salut,
Ce sujet m’interpelle vu ce qui a pu être dit et vu aussi mon expérience dans l’animation mais surtout en tant que pisteur-secouriste (donc autant dire que les blessés, accidents et avalanches je connais un minimum ^^).
Pour le casque, il est recommandé et surtout très utile non pas pour des chutes que l’on pourrait faire mais surtout pour les collisions, c’est là où le casque en colo devient indispensable car on peut prévoir tout ce que l’on veut, sur les pistes on est pas seul avec notre groupe et donc un de nos gamins peut se faire rentrer dedans sans que l’on puisse rien y faire.
Quand la tête tape on est bien content que le gamin ait eu un casque.
Pour le DVA, tant que l’on reste sur les pistes il est complètement inutile, les pistes ne sont pas ouvertes tant qu’un risque d’avalanche traversant une piste est possible (c’est pour ça qu’on peut voir des gazex (entre autre) au-dessus de certaines pistes). Surtout que pour utiliser un DVA il faut de l’entrainement, avoir un DVA en étant seul à l’avoir ou si les autres personnes ne sont pas entrainées ça ne sert à rien, tout ça sans compter le coup qu’il représente. Donc le DVA c’est très bien, mais seulement si tu vas en hors-piste (et encore si celui-ci n’est pas sécurisé).
DIR-PTR a écrit :
Et bien non, je ne systématise toujours pas le port du casque et l’acceptation volontaire de contraintes dans la pratique des activités ne me fait toujours pas rire.
Quand il s’agit de cette pratique (le ski) ce raisonnement faussement rebelle est purement inconscient.
Là encore, c’est un bon exemple qui prouve que le législateur doit malheureusement en arriver à “imposer” certaines pratiques sécuritaires car il y en a toujours qui se rebiffent au nom de principes douteux et difficilement défendables…
Voilà ce qui se passe quand on se contente de “le casque est conseillé”….
Quel argument peut on sérieusement avancer, quand on connait un minium cette pratique, pour ne pas systématiser le port du casque ??
**
Heu, 7 accidents liés à des avalanches sur piste, tu m’excuseras mais rapporté au nombre de journée/skieur, on est quand même plutôt pas trop mal là… 🙄
le reste par MP…
Salut dir-ptr, juste (j’dois être dans ma période blonde) peux-tu développer un tout petit peu cette phrase que je ne pige pas complètement ?
DIR-PTR a écrit :
(…) et l’acceptation volontaire de contraintes dans la pratique des activités ne me fait toujours pas rire.
merci.
Matim a écrit :
C’est dommage de ne pas lire avant de poster..
…Toi tu te focalises sur la responsabilité en cas d’avalanche sur piste, moi je te parle d’augmenter les chances de retrouver une personne prise sous la neige quel que soit l’endroit où ça se passe (on s’en fout que ce soit sur ou hors piste !).
On a pas la même notion des priorités..
Le post auquel je répondais (#20) se terminait ainsi :
Là encore si tout ces moyens sont mis en œuvre, il sera difficile de trouver une responsabilité du coté de l’équipe ou de l’organisateur en cas d’accident (qui reste important dans cette pratique).
Te souviens-tu de qui a écrit ceci ? Es-tu sûr que c’est moi qui me focalise sur la responsabilité ? Pour l’ARVA, je n’insisterai pas.
Les gens comme toi sont les mêmes qui rigolaient il y a15 ans quand on parlait du casque sur les pistes… et heureusement le bon sens l’emporte toujours et aujourd’hui le casque fait partie naturellement de l’équipement de base.
Et bien non, je ne systématise toujours pas le port du casque et l’acceptation volontaire de contraintes dans la pratique des activités ne me fait toujours pas rire.
Les avalanches sont responsables de 2 morts depuis 2000 sur les pistes, donc c’est de l’ordre du très rare.
Le nombre de morts est faible oui mais le nombre d’accidents lu,i ne l’est pas: au moins 7 accidents d’avalanches SUR PISTE selon ces propres tableaux exhaustifs.
Comparer un nombre d’avalanches et un nombre de morts n’est pas pareil …
Si il y a si peu de mort c’est justement, peut être, grâce a cette sécurité et a ces moyens de recherche qui sont performants.
Encore une fois moi j’ai entendu un discours de prévention et pas d’obligation.
Chacun évalue et prend ensuite les risque qu’il désire.. pour lui et pour les autres, mais à ce moment là on parlede responsabilité.
**
La sécurité c’est justement prévoir l’imprévu.. et l’exceptionnel. En montagne “l’exceptionnel” est toujours meurtrier.
Des cas d’avalanche sur piste ou même en zone habitable ne sont pas si rares que ça…
Les avalanches sont responsables de 2 morts depuis 2000 sur les pistes, donc c’est de l’ordre du très rare.
ludou a écrit :
trop drôle l’histoire de l’ARVA (DVA pour être précis, ARVA étant une marque).
Ils sont comiques chez JS. Un DVA par personne, ça va relancer l’économie française remarque…
Mea cula sur le nom, c’est effectivement le syteme RECCO et non ARVA dont il etait question dans la discussion.
Dans tous les cas il s’agit de simples conseils d’une personne et pas d’obligation généralisée !
Ceci dit le prix reste modeste pour un tel équipement.
je rappelle que les pistes de ski sont sécurisées, et les accidents de coulées ou avalanches sur pistes balisées et sécurisées sont exceptionnels
La sécurité c’est justement prévoir l’imprévu.. et l’exceptionnel.
En montagne “l’exceptionnel” est toujours meurtrier. Des cas d’avalanche sur piste ou même en zone habitable ne sont pas si rares que ça…
Pour l’histoire de devant/derrière, la dernière solution me paraît plus appropriée (et c’est celle que j’adopte) : si un gamin se blesse ou tombe, on risque :
– de mettre du temps à se rendre compte qu’il n’est pas là
– de mettre beaucoup beaucoup de temps à remonter la piste (dangereux en plus si on est sous une rupture de pente sans visibilité) pour voir ce qu’il a…
C’est ton point de vue, il n’est pas le même que celui de mes interlocuteurs, et il a déjà été débattu sur les fils fournis par Crevette76.
Permet moi de faire plus confiance à des professionnels de la montagne qui encadrent au quotidien des groupes et des enfants et qui ont une expérience qui leur permet d’avoir un discours légitime et cohérent.
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ça dépend du groupe… 😉
ludou a écrit :
Pour l’histoire de devant/derrière, la dernière solution me paraît plus appropriée (et c’est celle que j’adopte) : si un gamin se blesse ou tombe, on risque :– de mettre du temps à se rendre compte qu’il n’est pas là
– de mettre beaucoup beaucoup de temps à remonter la piste (dangereux en plus si on est sous une rupture de pente sans visibilité) pour voir ce qu’il a…
abordé ici dans l’article concernant la pratique du ski en ACM
abordé ici sur une discussion du forum partant du VTT
et probablement sur un/des autre/s fil/s
Le mieux c’est quand même d’être deux anims…
Matim a écrit :.
De plus un moyen de communication pour appeler les secours et un système type ARVA sont fortement recommandés.
trop drôle l’histoire de l’ARVA (DVA pour être précis, ARVA étant une marque).
Ils sont comiques chez JS. Un DVA par personne, ça va relancer l’économie française remarque…
(je rappelle que les pistes de ski sont sécurisées, et les accidents de coulées ou avalanches sur pistes balisées et sécurisées sont exceptionnels).
Pour le RECCO, si la station n’est pas équipée, l’hélico du PGHM l’est en général…
Pour l’histoire de devant/derrière, la dernière solution me paraît plus appropriée (et c’est celle que j’adopte) : si un gamin se blesse ou tombe, on risque :
– de mettre du temps à se rendre compte qu’il n’est pas là
– de mettre beaucoup beaucoup de temps à remonter la piste (dangereux en plus si on est sous une rupture de pente sans visibilité) pour voir ce qu’il a…
Je rejoins quand même ce que dit DIR-PTR, l’ARVA ne présente peu (aucun?) intérêt dans l’encadrement de ski en tant qu’animateur.
on s’en fout que ce soit sur ou hors piste
On n’a pas le droit de faire du hors piste avec les mineurs.
Comme il est dit dans la réglementation des ACM:
“La pratique du ski et des autres activités de glisse peut être organisée:
– sur des pistes balisées quand elle n’est pas encadrée par des titulaires d’un des diplômes professionnels. ”
Donc l’ARVA paraît assez inutile (contrairement au casque), et quant au système RECCO qui équipe beaucoup de vêtements ou chaussures, si la station n’est pas équipée pour, ça ne sert à rien (et présente de toute manière le même intérêt que l’ARVA).
La réponse a été claire : si il est seul l’animateur doit se mettre devant le groupe pour ouvrir la piste (choix de la trajectoire et anticipation des dangers)
Aucun règlement ne régit l’organisation de l’activité sur la piste, ce devoir de se mettre devant paraît un peu directif. Pour ma part je ne trouve pas que ce soit toujours la meilleure solution.
DIR-PTR a écrit :
Et un hélico ? Un ARVA est utile en cas d’avalanche. Si celle ci intervient sur une piste balisée et ouverte, la responsabilité de l’encadrement ne peut pas être recherchée. Compte-tenu de la différence de masse entre un enfant et un adulte, il y a de fortes chances pour que les corps soient dispersés. Qui porte l’ARVA et est retrouvé ? L’anim, le chouchou, le fils à papa… ?
Quand tu fais du canoë, tu emmènes un canot de sauvetage et une balise Argos ?
C’est dommage de ne pas lire avant de poster..
Il s’agit de CONSEILS de sécurité individuelle (que tu peux retrouver dans n’importe quelle station de skis d’ailleurs)
Toi tu te focalises sur la responsabilité en cas d’avalanche sur piste, moi je te parle d’augmenter les chances de retrouver une personne prise sous la neige quel que soit l’endroit où ça se passe (on s’en fout que ce soit sur ou hors piste !).
On a pas la même notion des priorités..
Tout un tas de systèmes existent et beaucoup de vêtements de skis sont équipés en série de ces détecteurs dans les manches ou dans le bas du pantalon ou de la combinaison.
Les gens comme toi sont les mêmes qui rigolaient il y a15 ans quand on parlait du casque sur les pistes… et heureusement le bon sens l’emporte toujours et aujourd’hui le casque fait partie naturellement de l’équipement de base.
Enfin, saches que la sécurité s’adapte à la pratique et aux risque encourus de l’activité: ainsi tu peux te rassurer et continuer à faire du canoë entre 2 rives sans avoir peur d’être un jour obligé de coller une balise sur ton casque (que tu ne portes peut être pas..)
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