Merci a tous d’avoir répondu, le problème n’est pas qu’il ne veullent pas faire l’activité, après tout ont leur imposent bien assez de choses durant les périodes scolaire, le problème est qu’il se met en danger ( Le centre donne directement dans la rue ) ! L’enfant en qestion est revenu aujourd’hui et tout c’est bien passé, après une discussion avec lui, car la matinée c’etait bien passée avec lui, il m’a dit que c’étais les educateus qui lui avaient dit de bien se tenir, sous peine de rien faire de ses vacances
Moi personellement je ne force pas les enfants a faire les activités, mais j’essayais de l’integrer puisque le seul contact qu’il a réelement avec le centre, c’est les animateurs car avec les autres enfants sa ne passent pas bien ( violences et insultes aux moindre conflits) .. donc on essayer de l’integrer
PS: Aujourd’hui on a eu aussi un enfant d’un meme foyer qui a essayer de s’échaper, je lui est donc expliquer que c’etait dangereux … et je lui est demander pourquoi il voulais s’enfuir, ca réponse je cite ” Je ne veux pas retourner au foyer ”
Bonne soirée 🙂
Moilapa tu dis je cite
Ecrire c’est pas toujours facile, lire les autres non plus… Moins l’écrit est maîtrisé, plus il est difficile d’être sûr d’avoir compris l’auteur… Et plus on peut interpréter :
Je crois que cela correspond parfaitement à la réponse que tu me fais. Outre la petite provocation liée au foot auquel je ne vais plus essayer de répondre je l’ai déja fait à de nombreuses reprises je vais reprendre sur le débat.
Quand je dis essayer de mettre des distances, c’est selon moi éviter que l’enfant soit toujours avec toi comme cela peut parfois arriver pour justement favoriser la possibilité d’une relation avec les autres et son intégration en gros arriver à ce que tu appelles l’entre-enfant si je ne me trompe pas.
Après bien sur, ne soyons pas stupide il est évident qu’un enfant qui fugue pour reprendre l’exemple cherche de l’attention des adultes et à se faire remarquer (pourquoi pas par les autres enfants d’ailleurs). Alors oui là il faut être présent et à l’écoute de l’enfant.
Où je te suis parfaitement, c’est au niveau des activités. Dans ma colo de juillet, on avait deux gamins qui refusaient les activités et préféraient jouer dans les bois aux alentours avant le plus souvent après une demi heure solliciter cette activités donc effectivement il faut laisser faire et leur laisser le choix ce qui est dur à faire comprendre à beaucoup de monde.
Donc voila le fait de mettre des distances dans le sens où je l’ai expliqué ici selon moi correspond juste à essayer de l’intégrer tout en bien sur gardant du temps avec lui car c’est sa demande et qu’après tout y répondre est dans la mesure de nos possibilités notre but.
Et bien sur que ces gamins ont besoin de plus de temps, plus d’attention et je peux te dire que je le fais. Je reprendrai bien un exemple mais comme c’est au sein de mon club je ne m’y risquerai plus.
Voila comme quoi effectivement des explications par écrit des fois sont difficiles à comprendre. Je ne dis pas être dans le vrai c’est ma conception qui apparemment ne semble pas être si éloignée de la tienne finalement.
Je viens de voir quelque chose de plus car tu écris beaucoup et j’ai eu du mal à tout voir du premier coup. Quand tu parles de l’enfant chouchouter tu illustres en fait bien ce que j’essaye d’exprimer. On a tous bien sur plus d’affinité avec tel ou tel enfant il faut arrêter de dire lors des formations un truc qui me scie: tous les enfants sont pareils et vous devez vous occuper de tous de la même façon. Ainsi, oui il peut y avoir des enfants avec plus d’affection mais quand je dis qu’il faut mettre des distances avec ceux là c’est effectivement faire attention à ne pas passer à côté du groupe qui aura peut être aussi des demandes à cause d’un seul enfant.
moilapa a écrit :
Il faut créer ces temps où la rencontre peut avoir lieu, où rien ne l’empêche (le fait de devoir finir le cendrier en pâte à sel, le fait d’être près pour le bus… ou tout autre inutilité réelle) : juste la posibilité : la grande majorité des enfants profiteront de ce temps pour échapper enfin aux adultes,
juste en passant, cette évidente évidence ne l’est pas forcément pour tout le monde malheureusement.
Moilapa met le doigt sur ce qui n’est jamais (ou presque) abordé dans les belles sessions de “formation à l’animation”.
Certains sujets du forum portant sur la labellisation des ACM, les remplissage de planning cadrés et qui doivent être respectés a la lettre sous peine de plainte, la consommation d’activités “vendues au client” … bref, toutes ces idées vont a l’encontre de cette simple postulat que l’entre-enfants, est le b.a-ba de toute construction ultérieure.
Mais la comprehension de cet entre-enfants ne se fait pas dans les livres… elle se vit.
**
Oui…
Ecrire c’est pas toujours facile, lire les autres non plus… Moins l’écrit est maîtrisé, plus il est difficile d’être sûr d’avoir compris l’auteur… Et plus on peut interpréter :
il ne veux jamais faire les activités (Donc on ne le force pas, mais on essaye quand même de l’integrer dans ce qu’on fait ), il s’échape du centre de loisirs …
Cause à effet ? Faudrait-il en penser que les activités étaient si mauvaises que l’enfant s’est enfuit ?
Bon, là, je plaisante.
Mais par exemple, sur l’intervention à l’Ouest de notre fooballeur Mat : En réponse à ce récit d’un enfant qui fait des fugues, il propose “…de tout de suite essayer de mettre des distances…” !!!!
M’est avis que c’est d’abord le gamin qui a eu cette idée de “mettre des distances…”
Evidemment que dans pareille situation, c’est peut être pas la meilleur idée que “d’essayer de mettre des distances” avec un gamin qui essait de s’échapper du centre de loisirs, de ses anim’, qui sans aucun doute appelle là à l’aide.
(où encore le titre choisi par Lau : “Enfant qui se met à l’écart” !!!! Ah oui !! Et c’est même un grand écart !!!!)
La question ne me semble pas de “mettre des distances” ou pas mais de créer un échange autre avec cet enfant, non pas forcément fait de “c’est un gamin attachant” et tout ce que l’on peut entendre derrière cette expression (s’agissant d’un gamin qui fait de fugues et a donc visiblement un tout autre regard sur ce rapport aux adultes-anim’ que celui des adultes) , mais plus d’écoute.
Ce “mettre des distances avec les enfants” si utilisé (par moi le premier) en animation socio-culturelle, est peut-être pas ce qu’il faudrait dire.
Par exemple s’agissant d’animateur “un peu trop dans un rapport affectif” avec un ou des enfants, au point que cela gêne le fonctionnement du groupe, peut gêner l’évolution de l’enfant “chouchouter”, il ne s’agit pas de “mettre des distances”. Pour ces enfant, il faut rester disponible, présent, à l’écoute quand ils en ont besoin. Etre toujours présent ! Et pas distant. Ou plus distant.
Pas “mettre des distances”, mais mettre en place des rapports plus “qualitatifs”.
Et s’agissant du fonctionnement, de la façon de penser l’animation : non pas “mettre plus de distance” mais être moins présent (adultes) sur l’ensemble d’une journée, d’une semaine, aménager des temps qui permettent aux enfants de se retrouver entre eux, de vivre s’être entre-enfants de faire l’expérience de la difficulté de la démocratie. Des adultes moins omniprésents, omniscients, pour permettre cette fameuse Autonomie que l’on ne retrouve nulle part dans l’animation socio-culturelle, permettre aux enfants d’essayer de s’organiser.
Ca ne vaut pas dire “mettre des distances”, il doit toujours y avoir cette proximité possible POUR les enfants.
Donc pas “mettre une distance” mais “‘être moins obligatoirement nécessaire, à chaque instant.
pas une question de distance mais de temps. Et donc de possible.
Des adultes qui travaillent à leur disparition, ne vont pas “mettre des distances” : l’enfant qui a besoin de l’adulte dans ce système d’autonomie, doit au contraire pouvoir avoir plus de facilité à ça, à trouver cette écoute quand il en a besoin, justement parce que l’adulte n’est pas obligé de mener toute la journée, tout organiser… avoir la tête dans le guidon… c’est ça qui ne permet pas d’écouter les enfants (qui fuguent ? ). Et pas seulement les lacunes des animateurs dont je parle dans le post au dessus.
Dans cette idée d’autonomie, l’enfant a besoin de savoir justement que l’adulte sera présent si besoin, donc encore une fois pas de nécessité de “mettre une distance”
Un enfant a besoin d’écoute, voir de tendresse ? (par exemple ce gamin) Alors bien sûr que l’anim’ doit être là pour donner cette tendresse !!!!! Si l’adulte en est capable, et si ce besoin n’est pas de lui.
Tendresse dont l’enfant a besoin pour dieu sait quelle raison, parce qu’il est malheureux en ce moment, parce qu’au foyer les éduc eux aussi la tête dans le guidon ont tellement de choses à gérer que l’enfant ne va pas forcément trouver cette écoute, ce que l’on attend d’une “famille traditonnelle”…
Il ne ‘s’agit pas de “mettre des distances” entre l’adulte (équilibré mentalement, sein, et un minimum intelligent s’agissant de rapport humains, de compréhension des rapports entre les individus) et l’enfant. Il s’agit de savoir se situer par rapport à cet enfant, ses demandes, à trouver la place juste vis à vis de cet enfant, de ce qu’est sa vie…
Il ne s’agit pas de “mettre des distances” mais de mettre à diposition des enfants des temps “en friche” où il ne se passe rien d’institutionnaliser”, des “terrains vagues”, des temps où les gens se rencontrent !!!! Echangent !!!! Si ils le souhaitent !!!!
Et pas imposer au nom d’une sacro-sainte vie en communauté l’effacement de l’individu ! Du rapport entre individus !!! Pas la peine ensuite de se demander pourquoi certains essaient de se tirer…
“Mettre des distances” mon cul !
Ces gamins de foyers, de familles en difficultés, ont besoin de plus d’amour, comme tu le dit Mat ? Eh bien on leur offre plus d’amour ! Qu’est-ce qu’il y a de si compliqué à comprendre ????
Plus d’écoute, de temps partagé pour ceux qui le souhaite.
Il faut créer ces temps où la rencontre peut avoir lieu, où rien ne l’empêche (le fait de devoir finir le cendrier en pâte à sel, le fait d’être près pour le bus… ou tout autre inutilité réelle) : juste la posibilité : la grande majorité des enfants profiteront de ce temps pour échapper enfin aux adultes, même si au début cela sera inconfortable à certains trop gaver à cette omniprésence, et se tourneront vers les autres enfants. Et puis y’en a d’autres qui iront vers les adultes… plutôt que de se barrer du centre, en espérant trouver dehors un improbable autre qui les écoute. Et qui aura peut être d’autres idées derrière la tête.
Salut Moilapa :coucou:
En effet, je n’ai pas compris que l’enfant a été renvoyé. :pen:
Mais en relisant le message, c’est vrai que je me pose la question. 😕
Ca me semble un peu léger comme motif de renvoi. 😮
Plutôt d’accord avec ce qui a été dit par Lau. Pour avoir souvent bossé et bossant dans mon club avec des enfants issus de foyer, effectivement ceux ci vont chercher effectivement à s’attacher peut être plus que les autres car cela n’est bien sur pas une généralité. L’important est de tout de suite essayer de mettre des distances en lui expliquant bien sur après tu ne peux pas faire grand chose.
Le fait qu’il ait du mal à s’intégrer avec les autres est dur à expliquer ou te donner des conseils car là encore on a pas l’enfant en face. Il peut y avoir plusieurs explications à cela allant de la timidité à des problèmes relationnels avec les enfants du foyer d’où viendrait cette attitude donc pour moi se rapprocher des éducateurs sur ce sujet est selon moi judicieux.
Pour le fait qu’il s’enfuit, là il s’agit d’un problème de sécurité sur lequel il faut insister et ne pas lâcher lui expliquant qu’il faut qu’il arrête en prenant le temps de lui expliquer pourquoi.
Enfin, comme l’ a très bien dit Lau, il est important pour ces enfants de viser leurs épanouissements et non l’activité à tout prix .
Voila pour ces conseils, n’hésite pas à nous tenir au courant mais étant au plus près de l’enfant ça sera toi qui saura quoi le mieux faire et je pense que le maitre mot est PATIENCE.
Bon courage à toi
C’est quelque chose d’étonnant que l’écriture, ce que qui est dit, ce que l’on en comprend, ce que l’on peut lire entre les lignes…
A partir du même post, j’ai compris tout autre chose de Lau : ici le problème d’un anim’ qui se pose des questions sur un enfant qui a été “renvoyé” d’une structure parce que les problèmes le concernant allaient au delà des possibilités et compétences de cette accueil…
Notamment le fait pas banal qu’il fugue…
Alors si je n’ai pas compris autre chose que ce dont il s’agit ici, et d’abord sur ce que dit Lau :
– Le fait qu’un enfant refuse des activités en ACM pour ma part est signe d’équilibre mental. C’est plutôt une réaction saine vis à vis du vide qu’est l’animation en général. Et je ne crois pas que cela soit une situation qui demande un animateur. Y’a pas besoin d”1 animateur pour 1 enfant juste parce que tel atelier ne l’intéresse pas. Le problème étant les animateurs !
Si tu gères ton atelier pâte à sel ou coloriage au milieu du parc du centre, où est le problème que les enfants, à raison, préfèrent aller vagabonder autour de la cabane ou jouer au sable…
Ca serait même le contraire : ces enfants autonomes demandent moins d’animateur, puisqu’ils n’ont pas besoin d’animateur !
A la rigueur de surveillants, qui sont là pour faire en sorte que dans cet entre-enfants bénéfique l’un ne soit pas victime des autres.
Ce qui pourrait être inquiétant, c’est un enfant qui refuse le contact des autres enfants…
De mon point de vue, notamment animateur Claé, où il est encore possible aux enfants de refuser les merdes que proposent les animateurs, jouant entre eux dans leur cour de récréation, c’est une très bonne chose. Cet entre-enfants ayant une richesse sans commune mesure avec les niaiseries que pondent les animateurs.
Reste à savoir : tu nous dis quel est son rapport avec les adultes-anim’, mais rien de ses rapports avec les enfants… par exemple dans les situations où vous fichez la paix aux gosses, et qu’ils se retrouvent entre eux… mais… Avez-vous pensé une organisation d’ailleurs qui permette cela ? Ou était-on dans une situation où les enfants n’avaient d’autre choix que d’avoir affaire aux adultes ? Un enfant qui ne souhaite pas avoir affaire à ses adultes, pouvait-il jouer avec d’autres enfants sans avoir sur le dos ces adultes ?
A part que cet enfant est “hyper-attachant” et “agréable”, que peux-tu nous dire de lui ? Qu’as-tu appris de lui durant cette rencontre, non pas l’enfant vis à vis de toi, de ton point de vue (gamin “attachant”), mais de ce qu’est ce gamin, sa personnalité, son rapport aux autres enfants, ses attentes d’un tel accueil : qu’est-ce qu’il t’a dit attendre du centre ? Lui as-tu posé cette simple question ?
Je suis d’accord par contre quand tu dis que tu as vécu la situation comme un échec, car de mon point de vue, si l’on se base sur ce que tu racontes,ce qui forcément parcellaire, incomplet, il y a effectivement échec. Echec à faire une place à cet enfant. Parce que la situation que tu d’écris, notammant l’absence de violence, un enfant “agréable”… me ferait pencher plus pour une difficulté de l’équipe pédagogique que pour une situation bloquée où l’exclusion est la seule réponse envisageable (danger immédiat pour l’enfant, les autres…)
D’où alors le questionnement sur la réalité de “cette fugue”, la réalité de la volonté de l’enfant :
Sur le claé où j’étais l’année dernière, un gamin a fait “une fugue” : dans un moment de colère, il est allé jusqu’au bout du portail de l’espace d’herbes qui entoure l’école. Où il a attendu que quelqu’un vienne débloquer la situation, où il a bien montré son désaccord, et où, pour ne pas perdre la face, il fallait une intervention extérieure pour son retour. Pas anodin, nécessitant une écoute, mais pas non plus une volonté, cette fois là en tout cas (d’où la nécessité d’écoute) d’aller au delà et de se retrouver seul dans Toulouse. Donc quelque chose comme un appel à l’aide. Auquel on a répondu plus ou moins habillement. avec nos moyens, vis à vis d’une situation nous dépassant.
Dans ce cas-là, ni exclusion, ni même l’annonce à la maman des faits. Mais décryptage à notre niveau de la situation.
Sur le fait que le directeur ait choisi de ne plus acceuillir l’enfant : bin, là aussi, je n’ai que le peu que tu exprimes. J’arriverai à comprendre aisément qu’un directeur face à un enfant fugueur se pose la question de sa responsabilité. Mais je ne sais pas quelle est la situation réelle, la réalité de cette fugue, le degré de volonté de l’enfant à réellement s’enfuir ou à juste dire “coucou ! Je suis là ! Et j’aimerais bien que quelqu’un m’écoute un peu. Au lieu de m’imposer une stupide séance de pâte à sel ou de foofoot. ”
Parce que dans ce cas de figure-là, celui d’un appel à l’aide, la demande de l’enfant à avoir quelqu’un qui l’écoute, si on lui oppose ce “renvoi”, cette exclusion, ce refus de l’écouter, ça ne peut que laisser des traces…
Pour le peu d’expérience que j’ai avec des enfants qui ont vécu cette expérience de “mise au banc du reste du monde”, ça peut être vécu comme une violence extrème, une couche de plus de dévalorisation chez des enfants déjà pas mal malmenés.
Un échec pour vous ? Peut être donc. Notre métier, nos capacités en tant “que simples animateurs”, font que l’on peut aller d’échec en échec. Là où on est animateur, c’est que l’on apprend de ces échecs, que l’on se dit que “la prochaine fois peut être…” si on avait plutôt essayer de… avant d’aller voir ce directeur un peu “rapide en besogne”…”
sur le discours du directeur “On y peut rien ; on est pas éduque ; on a pas les moyens de gérer ce môme” et qui se base sur un autre “niveau” de réflexion, un autre point de vue tout aussi valable : ça aussi je l’entends et le comprends, toujours sans avoir eu affaire à ce môme et au niveau de difficulté de sa présence dans un accueil collectif…
Une volonté de se protéger tout à fait compréhensible… mais…
Mais une chose m’interpèle, sur ce côté ingérable, au delà des capacités d’anim’, c’est que tu ne parles pas de violence. D’aucune forme. Par exemple de ce gamin vis à vis des autres gamins, lui-même (en dehors du fait que selon la volonté de l’enfant, cette fugue peut être une violence)… Ce qui peut être l’une des raisons obligeant à en venir à cet extrèm qui est l’exclusion…
Dernière chose : un débat sur un forum c’est une chose, faire toujours les bons choix dans la réalité du métier complexe d’animateur, quand on a la tête dans le guidon, peu de possibilité de recul, est tout autre chose.
Salut Arnaud, :coucou:
J’ai modifié le titre de ton message pour plus de clarté. 🙂
L’enfant ne veut pas participer aux activités ? et alors ? Laisse-le tranquille, il est en vacances, pour moi ce n’est pas un problème. 🙁
En revanche, ce qui me semble plus préoccupant, c’est qu’il se mette à l’écart. 🙁
Il me semble, dans cette situation, qu’il faille favoriser l’épanouissement de cet enfant et ça ne passe pas forcément par sa participation aux activités. 🙁
Ca passe, plus sûrement, peut-être par l’instauration d’un climat relationnel de qualité. 🙁
Coucou à tous,
Je viens ici, parce que je suis dans une situation bizare, je suis animateur d’un groupe de 6-10 ans, avec une autre personne, cet été est arrivé un enfant hyper attachant, agréable quand il le veux, mais problème il neccesite au moins un animateur pour lui tout seul, parce que il ne veux jamais faire les activités (Donc on ne le force pas, mais on essaye quand même de l’integrer dans ce qu’on fait ), il s’échape du centre de loisirs … Au début on n’osais pas trop en parler a l’éduc ( Il est en foyer) directement, alors on est passer par le directeur qui est allez lui parler et lui a dit que pour le moment se n’etais pas possible, on ne pouvais pas se permettre de mettre un animateur pour lui tout seul et bla bla bla, avec l’autre animatrice on a un peu vécu ça comme comme un echec …
Notre directeur nous a dit que ce n’etais pas notre faute, on n’est pas educateurs, et que c’étais justement a eux de faire un travail pour que l’enfant puisse vivre en collectivité sans avoir tout le temps quelqu’un derierre lui
J’attend vos réactions !
🙂