Salut, Personne,
Al-Batros a écrit: La seule issue, c’est l’accordance de l’enfant. La seule …
Alors, on peut arriver à cette accordance par: Rappel du cadre, exposition des conséquences, régulation de conflits, groupes de paroles, ajustement du cadre et notion du négociable non négociable …
Ce ne sont que des moyens d’arriver à cette accordance, si on n’a pas cette dernière, il faut faire autre chose.
Ca ne fait pas plaisir, mais, il faut se résigner.
L’enfant dégage.
Al one alone
matw25
solutions pour que le jeune s’intègre au séjour tout en essayant de modifier son comportement via diverses alternatives (rappel du cadre, exposition des conséquences, régulation de conflits, groupes de paroles, ajustement du cadre et notion du négociable non négociable …)
le fait de mettre en place les démarches possibles pour essayer d’arriver au résultat
Alors, tu arrêtes de jouer, tu es KO, j’ai échec au matw25?
Tu rejettes la sagesse d’Anamunda?
Si l’enfant ne veut pas, tu pourras mettre en place ce que tu voudras, ça échouera et les autres enfants en feront les frais.
La seule issue, c’est l’accordance de l’enfant. La seule …
Je suis désolé. Les illusions, c’est comme les dents, ça fait mal quand on les perd et quand on est vieux, on en a plus bcp. Tu dois être bien jeune!
A bientôt, dans une nouvelle partie.
Al the old guy
matw25
Ben bien entendu tu as avant d’accepter le séjour vérifier que tu étais en accord en amont avec le PE et le PP du séjour et donc que les objectifs que tu souhaites voir s’appliquer sont plausibles selon ces documents … .
Ah m…, j’avais oublié que les PE et PP sont des docs clairs, précis, …
Et non, j’ai lu que les autorités CS constataient souvent que les PE et PP avaient souvent un caractère formel ou obligatoire. Ce n’est pas faux.
Sur le dispositif disciplinaire à mettre en place, je n’ai jamais rien lu.
J’adore quand tu joues sur les mots comme cela Al ça nous fait grandement avancer … .
Des fois on est au bord du gouffre, alors, il vaut mieux ne pas avancer …
Trouver sa place au sein du collectif au sein du groupe en respectant les autres et le cadre imposé …
Comme l’a dit Lady Anamunda, si l’enfant ne veux pas, …
Ben non on impose pas une obligation de résultat mais le fait de mettre en place les démarches possibles pour essayer d’arriver au résultat tu vérifieras tes bouquins mais ça doit être la définition de l’obligation de moyens…
Si l’enfant ne veux pas, tu fais quoi?
Donc pour toi virer un gamin de 9 ans c’est une victoire ouah j’adore merci de ce grand moment.
Pas une victoire, mais un mal nécessaire pouvant déboucher sur une victoire.
Je l’ai vécu de l’intérieur cette éviction du groupe, il y a 40 ans, j’avais 10 ans, ça a été un déclic pour moi et pour les autres.
Après, si le gamin subit le départ en colo, sa réflexion sur les évictions sera pas forcément celle que tu dis et au contraire l’éviction sera sa victoire et dans ce cas là on peut réfléchir à des trucs à mettre en place selon ces éléments là …
Si l’enfant veut quitter la colo, c’est autre chose.
Al
Al-Batros a écrit :
matw25Cela dépend ce que tu mets derrière les objectifs d’un séjour pour un jeune.
Qui fixe ces objectifs? Toi? Moi, j’en reste au célèbre R226-25: Le PE est mis en oeuvre dans les conditions qu’il définit.
C’est l’O qui est en contrat avec les parents. (Merci à Lapin de l’avoir rappelé)
Moi, j’ai un contrat de boulot dont la caractéristique principale est ma subordination à l’employeur dont le corollaire premier est mon impunité civile quasi totale. (Lapin, là, tu as été sublime!)Y’a des trucs que j’aimerais mettre. Mais, le pourrais-je?
Ben bien entendu tu as avant d’accepter le séjour vérifier que tu étais en accord en amont avec le PE et le PP du séjour et donc que les objectifs que tu souhaites voir s’appliquer sont plausibles selon ces documents … .
“Sa place”, donc celle qu’il a choisie. Il a choisi une place de fouteur de m…, s’il l’a occupée, il s’est épanoui en foutant la m…, il a trouvé SA place, tu as atteint TON objectif, tu as REUSSI, …
Et, tu me causes d’échec?
Je ne comprend pas
J’adore quand tu joues sur les mots comme cela Al ça nous fait grandement avancer … . Trouver sa place au sein du collectif au sein du groupe en respectant les autres et le cadre imposé …
L’objectif de l’équipe que j’ose appelé éducative va être de trouver des solutions pour que le jeune s’intègre au séjour tout en essayant de modifier son comportement via diverses alternatives (rappel du cadre, exposition des conséquences, régulation de conflits, groupes de paroles, ajustement du cadre et notion du négociable non négociable …) ce qui laisse des actions à mettre en place.
Dis-donc! T’es pas en train imposer un résultat à des pôvres anims qui ont une nobligation de moyens?.[/quote]
Ben non on impose pas une obligation de résultat mais le fait de mettre en place les démarches possibles pour essayer d’arriver au résultat tu vérifieras tes bouquins mais ça doit être la définition de l’obligation de moyens…
Bien entendu, ces actions auront comme limite la mise en péril de l’intégrité physique et/ou morale d’un individu du groupe (adulte comme enfant). Si on juge que le comportement d’un jeune met en péril de façon certaine un de ces deux aspects, la mesure d’éviction pourra être prononcée à l’encontre du jeune la difficulté étant de repérer cette situation.
L’éviction même si elle sera bénéfique au groupe et au séjour en général restera selon moi un échec dans la tentative d’inclusion du jeune au sein du groupe car les démarches effectuées en ce sens auront échouées.
Ben, moi, je suis moins anacréontique. En l’virant, on lui montre que ce n’est lui qui fait la loi.
Après plusieurs évictions, p’t être il s’dira: “Si j’fais l’con, je dégage, alors, j’arrête.”
Et, là, c’est la victoire.Al
Donc pour toi virer un gamin de 9 ans c’est une victoire ouah j’adore merci de ce grand moment. Après, envoyer un message au groupe par l’éviction d’un enfant ne respectant pas le cadre de vie collective je suis potentiellement d’accord selon le contexte. Après, si le gamin subit le départ en colo, sa réflexion sur les évictions sera pas forcément celle que tu dis et au contraire l’éviction sera sa victoire et dans ce cas là on peut réfléchir à des trucs à mettre en place selon ces éléments là …
matw25
Cela dépend ce que tu mets derrière les objectifs d’un séjour pour un jeune.
Qui fixe ces objectifs? Toi? Moi, j’en reste au célèbre R226-25: Le PE est mis en oeuvre dans les conditions qu’il définit.
C’est l’O qui est en contrat avec les parents. (Merci à Lapin de l’avoir rappelé)
Moi, j’ai un contrat de boulot dont la caractéristique principale est ma subordination à l’employeur dont le corollaire premier est mon impunité civile quasi totale. (Lapin, là, tu as été sublime!)
Y’a des trucs que j’aimerais mettre. Mais, le pourrais-je?
Pour moi, l’objectif est que chaque jeune accueilli trouve sa place dans le séjour au sein d’un collectif et puisse s’épanouir avec les autres via des loisirs dont il pourra être demandeur pour passer un temps de vacances. Aucun comportement ne devra venir empêcher cela pour une partie (même infime du groupe).
“Sa place”, donc celle qu’il a choisie. Il a choisi une place de fouteur de m…, s’il l’a occupée, il s’est épanoui en foutant la m…, il a trouvé SA place, tu as atteint TON objectif, tu as REUSSI, …
Et, tu me causes d’échec?
Je ne comprend pas
Le séjour de vacances et le cadre de vie collective et normé que ce dernier impose dans 99% des cas est une contrainte pour bon nombre de jeunes et encore plus pour certains qui de part leur cadre de vie peuvent avoir du mal à s’y habituer et avoir un comportement débordant voir voilent comme on l’a dit.
L’étincelle du génie a jailli de la morne platitude du quotidien!
L’objectif de l’équipe que j’ose appelé éducative va être de trouver des solutions pour que le jeune s’intègre au séjour tout en essayant de modifier son comportement via diverses alternatives (rappel du cadre, exposition des conséquences, régulation de conflits, groupes de paroles, ajustement du cadre et notion du négociable non négociable …) ce qui laisse des actions à mettre en place.
Dis-donc! T’es pas en train imposer un résultat à des pôvres anims qui ont une nobligation de moyens?
Bien entendu, ces actions auront comme limite la mise en péril de l’intégrité physique et/ou morale d’un individu du groupe (adulte comme enfant). Si on juge que le comportement d’un jeune met en péril de façon certaine un de ces deux aspects, la mesure d’éviction pourra être prononcée à l’encontre du jeune la difficulté étant de repérer cette situation.
L’éviction même si elle sera bénéfique au groupe et au séjour en général restera selon moi un échec dans la tentative d’inclusion du jeune au sein du groupe car les démarches effectuées en ce sens auront échouées.
Ben, moi, je suis moins anacréontique. En l’virant, on lui montre que ce n’est lui qui fait la loi.
Après plusieurs évictions, p’t être il s’dira: “Si j’fais l’con, je dégage, alors, j’arrête.”
Et, là, c’est la victoire.
Al
Al,
Cela dépend ce que tu mets derrière les objectifs d’un séjour pour un jeune. Pour moi, l’objectif est que chaque jeune accueilli trouve sa place dans le séjour au sein d’un collectif et puisse s’épanouir avec les autres via des loisirs dont il pourra être demandeur pour passer un temps de vacances. Aucun comportement ne devra venir empêcher cela pour une partie (même infime du groupe).
Le séjour de vacances et le cadre de vie collective et normé que ce dernier impose dans 99% des cas est une contrainte pour bon nombre de jeunes et encore plus pour certains qui de part leur cadre de vie peuvent avoir du mal à s’y habituer et avoir un comportement débordant voir voilent comme on l’a dit.
L’objectif de l’équipe que j’ose appelé éducative va être de trouver des solutions pour que le jeune s’intègre au séjour tout en essayant de modifier son comportement via diverses alternatives (rappel du cadre, exposition des conséquences, régulation de conflits, groupes de paroles, ajustement du cadre et notion du négociable non négociable …) ce qui laisse des actions à mettre en place.
Bien entendu, ces actions auront comme limite la mise en péril de l’intégrité physique et/ou morale d’un individu du groupe (adulte comme enfant). Si on juge que le comportement d’un jeune met en péril de façon certaine un de ces deux aspects, la mesure d’éviction pourra être prononcée à l’encontre du jeune la difficulté étant de repérer cette situation.
L’éviction même si elle sera bénéfique au groupe et au séjour en général restera selon moi un échec dans la tentative d’inclusion du jeune au sein du groupe car les démarches effectuées en ce sens auront échouées.
matw25
lorsqu’on arrive à une mesure d’exclusion c’est que ce que l’on a tenté n’a pas fonctionner et donc on peut considérer cela comme un échec.
Un échec? Un échec au matw25?
Et bé, moi, j’y vois une brillante réussite pour le gosse qui a savouré du foutage de m… impunément.
Et les autres, les victimes, ceux qui en ont fait les frais, c’est chouette? Ce qui esr chouette effraie.
Comme a dit Balthazar: “Séjour proposant des loisirs? Ou séjour proposant une éducation anti-violence? Dans le cas du séjour anti-violence il faut annoncer clairement et fièrement “ici on n’accueille que des gorilles et on est prêts à les recevoir”. Si l’objectif est de proposer du loisir, on peut virer sans scrupule. Si l’objectif est de diminuer la violence, on ne peut pas virer quelqu’un “parce qu’il est violent” …”
C’est à qui de faire ce choix courageux?
Al
Salut Balthazar,
Je suis parti sur cette hypothèse d’incident isolé du fait que le mot claque était au singulier et qu’on avait pas d’autres faits rapportés donc en effet ma réponse vient de cette base.
Sur ton message je suis plutôt d’ accord sur ce que tu as écrit. Pour développer ma pensée, lorsqu’on arrive à une mesure d’exclusion c’est que ce que l’on a tenté n’a pas fonctionner et donc on peut considérer cela comme un échec. Je parle ici de jeunes que l’on souhaite maintenir sur le séjour et pas de comportements mettant en péril le groupe après il faut s’accorder sur les comportements.
Cet été, j’ai bossé une quinzaine sur un centre au fin fond de l’Auvergne. On accueillait un public mixte (CE du sud, enfants placés par la CAF75 pour les sortir d’un environnement délicat). On était donc dans une réelle idée de rupture au niveau de l’organisme avec des jeunes avec des comportements violents verbalement et aussi physique. Le soucis est que les personnes pour les encadrer ne sont pas forcément formés pour les encadrer. J’avais sur ce centre en plus un poste d’AS détaché ce qui me permettait d’avoir un regard différend sur les jeunes et comment cela se passait. Ca rejoint ton idée de sortir le nez du guidon et de trouver une personne “neutre” pour favoriser une régulation des conflits au mieux.
Un animateur référent pour un autiste? Ça me surprend parce que je n’en comprends pas la raison.
@matw25
pitavol a écrit qu’il y avait plusieurs enfants. Je ne sais pas où tu as compris qu’il y aurait eu une situation de conflit entre un anim et un enfant, tout comme j’ignore ce qui t’a fait penser qu’il y avait eu une colère de l’enfant.
Il existe aussi des enfants dont la culture est violente, et qui sont capables de réaliser un passage à tabac de manière anarchique ; sans qu’il n’y ait de chef ni même de préméditation consciente ils vont agir dans le même sens, parce que ça leur fait du bien ou parce qu’il y a une symbolique ou… peu importe. Les motivations irrationnelles existent bien évidemment. Ce n’est pas à des animateurs que je vais l’apprendre.
Ces motivations irrationnelles existent y compris chez des enfants chez qui on n’a jamais diagnostiqué de maladie qui rend furieux ou brutal.
S’il n’y a eu de violence physique qu’à la fin du séjour, ça ne veut pas dire que le reste du séjour s’est passé dans le calme. Pitavol ne revient plus et il ne nous dira probablement pas ce qui est vraiment arrivé.
”une mesure d’éviction (qui reste un échec complet)”
Séjour proposant des loisirs? Ou séjour proposant une éducation anti-violence? Dans le cas du séjour anti-violence il faut annoncer clairement et fièrement “ici on n’accueille que des gorilles et on est prêts à les recevoir”. Si l’objectif est de proposer du loisir, on peut virer sans scrupule. Si l’objectif est de diminuer la violence, on ne peut pas virer quelqu’un “parce qu’il est violent”…
Mais bon il y a tellement de choses à essayer de faire avant pour l’éviter
Tellement de choses auxquelles les animateurs ont probablement déjà bien réfléchi. C’est vrai qu’en séjour on a parfois “la tête dans le guidon” comme on dit, on n’a pas le recul nécessaire pour prendre des décisions sages.
Ceci étant dit, je me souviens d’un été où on a évité de justesse des trucs vraiment sérieux. Et je ne peux pas parler d’accident parce qu’objectivement le comportement de certains enfants nous avait déjà alertés auparavant. Il est évident qu’ils avaient l’intention de faire du mal. Contrairement à ce qu’on demandait, la coordinatrice refusait de les exclure… Amusant, c’est elle qui a choisi d’appeler la gendarmerie, ils l’ont envoyée balader. N’ayant plus le choix elle a exclu les dangereux, et en quelques heures le séjour a été transfiguré, en tout cas c’est ainsi que nous l’avons tous vécu.
C’est à dire que la pression que ces malfaiteurs foutaient sur quelques individus avait des répercussions sur quasiment tout le monde.
Vous avez regardé le contexte avec les quelques éléments donnés par pitavol
On est sur un centre de vacances, en fin d’un séjour peut être long pour tout le monde avec sans aucun doute de la fatigue, on a une situation de conflit entre un anim et un gosse qui mène à la colère du gosse pour une raison qu’on connait pas. La fatigue aidant y a une réaction émotionnelle inappropriée et le gosse donne une claque à l’anim (ce qui est condamnable on est ok).
Bon après apparemment ce n’est pas arrivé chaque jour, je pense pas qu’il y ait eu de jours d’ITT et compagnie non plus on est ici dans le cas d’un incident isolé dans le séjour apparemment.
Si c est bien cela, parler de dépot de plainte, signalement et j’en passe me parait juste risible. Débrieffer, entendre les deux parties, cerner les raisons, rétablir un cadre précis et ferme avec à la clé éventuellement une sanction me semble largement suffisant.
Sur un contexte de répétition, une mesure d’éviction (qui reste un échec complet) sera la réaction extrème sauf en cas de violence impliquant des conséquences importantes hein. Mais bon il y a tellement de choses à essayer de faire avant pour l’éviter, ça vaut le coup de chercher et de s’interroger en équipe pour avoir plusieurs regards de personnes plus neutres et non impliquées notamment
Je parle du cas ou c’est volontaire, dans l’autre cas (autisme?) c’est plus compliqué il doit falloir une prise en charge adéquate avec un animateur référent dans l’équipe qui puisse mieux connaître ces enfants et répondre de manière adaptée.
jpjs76
Les parents sont responsables de l’enfant et je pense que ca les ferai réagir … Meme si c’est barjot… Entre ca, se laisser taper dessus sans rien pouvoir faire, ou pire lui taper dessus en réponse sur le coup de la colère c’est peut être extrême mais il faut que cela cesse.
Z’êtes marrant!
Porter plainte contre quoi?
Si c’est un “enfant Rocky IV”, cad, un enfant qui donne des coups à tous va involontairement, vous l’aurez dans le cul puisque c’est un handicap.
Dans ma colo de juillet, y’en avait 2 et bé, on esquivait.
Al
Les parents sont responsables de l’enfant et je pense que ca les ferai réagir … Meme si c’est barjot… Entre ca, se laisser taper dessus sans rien pouvoir faire, ou pire lui taper dessus en réponse sur le coup de la colère c’est peut être extrême mais il faut que cela cesse.
Hi tous,
Al-Batros a écrit: Porter plainte contre un 9-10, z’êtes barge, ça va être la galère!
Surtout, parce qu’on a affaire à un môme qui nous mène en bâteau.
Al
pitavol
que faire face à des enfants violents avec des animateurs, enfants ages de 8/10 ans
Faudrait savoir si la violence est volontaire.
Il y a des pathologies qui font de l’enfant un “enfant Rocky IV”. L’enfant n’y peut rien.
Faut voir la FS ou la môman.
Porter plainte contre un 9-10, z’êtes barge, ça va être la galère!
Al
“Déposer plainte et ben ça serait grandiose enfin dans l’autre sens ça se fait mais j’aurais du mal à porter plainte contre un gosse de 8-9 ans.”
Déjà vu en AL, ça a surtout permis de déclencher une réaction chez la mère: Ben non petitcheridamour n’a pas le droit de taper un adulte (même si sa mère se laisse frapper par lui) et même si cet adulte n’a que 18 ans.
Déposer plainte et ben ça serait grandiose enfin dans l’autre sens ça se fait mais j’aurais du mal à porter plainte contre un gosse de 8-9 ans. Pour l’éviction à un jour du terme c’est illusoire, si vraiment il y a un soucis de violence générale et de danger pour les autres ou l’enfant on peut penser à une sortie du groupe mais est ce réellement le cas je ne sais pas … .
Attention aussi dans les procédures de signalement là tu cites un cas très particulier qui n’a pas l’air de concerner la situation donnée au vu des quelques éléments glanés.
Redis nous ce que tu as fait Pitavol.
L’animateur va t’il déposer plainte? A un jour de la fin la mesure d’éviction risque d’avoir peu d’effet. Peut être devrais tu le signaler à la cellule enfance en danger de ton département s’il y a un malaise plus profond…
D’accord donc violence physique après est ce un cas isolé ou le résultat d’un comportement qui a augmenté?
Quelles ont été les circonstances de cet acte de violence ? Je ne cautionne pas bien sur mais à voir ce qu’il s’est passé.
Après, honnêtement à un jour de la fin du centre ça va être compliqué de faire beaucoup de choses.
Reparler à tête reposée de chaque côté de ce qui s’est passée, voir les réactions de chacun, reposer un cadre précis pour la fin de séjour et faire pour que cela se passe au mieux.
Je ne vois guère quoi conseiller de plus sur un laps de temps si court.
violence physique claque envers un adulte sur un centre a 1 jour de la fin