Merci encore à ceux qui ont pu m’éclairer sur cette recherche, certaines réflexions “hors cadre” m’ont améné à prendre davantage de recul!
Pour faire le point rapidement, sachez que nous n’avons pas la prétention de former les gens mais nous souhaitons pousser à la réflexion collective puis individuelle. (sensibiliser pour susciter une réaction possible).
Je confirme que de manière générale, les réunions dites (de formations) directeurs sont parfois (souvent) peu enrichissantes et on a souvent l’impression d’y perdre son temps; certes! (je suis bien placé pour parler, j’étais assez doué pour les esquiver…)
C’est donc pour éviter de reproduire le même effet!
Sacchez que tout le monde dans l’animation ne travail pas de la même façon… (Nos diecteurs travaillent avant tout AVEC nous et non pas pour nous…). Nous cherchons à progresser ensemble. Je comprends que cela puisse surprendre…
Pour répondre à d’autres interrogations, je pense axer cette reflexion (sous forme de jeu) autour de cas concret mais aussi imaginés qui mettraient en avant le paradoxe entre la réalité du terrain et les textes (JS). On cherche parfois les complications et on oublie le premier problème!
(exemple: on se sent protégé parce que les anims ont un super portable avec super world forfait internationnal et que lorsqu’on en a réellement besoin, on se rend compte que le réseau ne marche qu’entre 1827 et 1830m d’altitude sur les pistes…)
…Est ce qu’on s’est réellement posé les bonnes questions…
Voilà, je terminerai + tard et surtout continuez à alimenter tout ça.
Merci.
biquet a écrit:
oui c’est bien cette défunte agence ….
On doit pas parler de la même, elle est pas “défunte”…
S’il y avait que le musher…
salut slem
oui c’est bien cette défunte agence ….
probléme de musher toi aussi ?
Bonjour Biquet,
Ce que tu décris post 22, il me semble l’avoir vécu avec une agence de voyage (dont le nom comporte 6 voyelles et 3 consonnes…)
Bonjour…
J’avais pas vu cette discussion qui me rappelle quelques souvenirs…
J’ai travaillé une fois pour un organisateur, qui expliquait à longueur de journée qu’ils étaient des pro et qu’ils s’occupaient de tout organiser (en fait comprendre encaisser et payer… Payer, pas toujours, mais c’est une autre histoire…)
90% du WE de préparation des directeurs à été consacré à la narration d’anecdotes (pompeusement appelées études de cas), ou on devait essayer de trouver la bonne solution, et repérer l’erreur.
Avec une lègère tendance pour l’organisateur à essayer de pièger les directeurs… d’ou finalement un certain malaise, et un organisateur qui ne comprend pas pourquoi presque plus personne ne participait.
L’utilisation de cette méthode dissimulait en fait l’incapacité de l’organisateur, à exprimer en principes généraux, donc applicable en tout lieu, en tout instant, son souci d’assurer la sécurité.
Par exemple :
anticiper
donc reconnaitre les lieux avant les enfants,
evaluer les risques,
adapter son comportement, ses objectifs,
etc…
Pour reprendre l’exemple de frityjp, (l’enfant tombé du tire fesse, avec le groupe qui attend en haut) :
Si on fait une simple étude de cas, on pourrait lui dire qu’elle aurait du redescendre ce groupe AVANT, de s’occuper de l’autre enfant… Ou de faire déchausser le groupe du haut, pour augmenter les chances qu’il ne s’en aille pas…Ou ceci ou cela, car de toutes façons, peut-être qu’aucune de ces solutions n’aurait été applicable, parce que l’on a pas toutes les conditions de l’instant…
Donc, on peut dire des tas de “tu aurais du ceci celà” en étant satisfait d’avoir trouvé une bonne réponse, de toute façon, sans avoir toutes les conditions de la situation, il parait très présompteux de prétendre connaître bon comportement à avoir dans cette situation là qui est unique…
(Dans la réalité de travail-pas en situation de formation, faire un débriefing en équipe me parait nécessaire)
Par contre, si on raisonne avec les principes cités plus haut, on s’apercoit qu’il y a un manque d’anticipation :
l’animateur n’a pas repéré les lieux avant les enfants, donc il n’a pas pu s’apercevoir que le tire fesse était difficile, donc il n’a pas pu s’adapter, et changer de tire-fesse, ou être plus sélectif dans son groupe d’enfants.
L’animateur n’a pas non plus testé le talkie walkie à cet endroit, et donc n’a pas pu anticiper le fait qu’il devrait certainement se passer de la technologie, et anticiper d’autres solutions pour un éventuel problème…
Tout ca pour dire que si on travaille sur du concret, des anecdotes, au lieu de travailler sur de l’abstrait, des principes, des procédures,…
…ben on donne du poisson au lieu d’apprendre à pêcher.
Tous ceux qui prétendent faire de la formation comprennent celà. Pourtant…
Autre chose curieuse, ce sont souvent les organisateurs qui utilisent ce procédé, qui ensuite essaient de te faire signer plein de règlements, chartes, cahier de consignes, pour essayer de se dédouaner de leurs responsabilités…
Sinon post 16, 100% d’accord.
crevette76 a écrit:
ADN a écrit:
Merci à vous pour ces réponses les idées commencent à me venir!!!pourquoi ne pas les partager ici alors 😕
Crevette, laisse-lui le temps de digérer, réfléchir et reformuler toutes ses pensées :content:
:plouf:
ADN a écrit:
Merci à vous pour ces réponses les idées commencent à me venir!!!
pourquoi ne pas les partager ici alors 😕
Merci à vous pour ces réponses les idées commencent à me venir!!! tout ça est pour le 9/02 je vous raconterai.
Par contre n’hésitez pas à me faire part de vos nouvelles inspirations!!
EH al !
ADN ne veut pas entendre des solutions miracles à tout les problémes possibles et inimaginables , il veut des cas concrets d’événements survenus en séjours ski , pour aprés le soumettre à ses collégues et susciter l’interrogation sur le role du directeur , la réflexion , envisager des solutions . Leur”propre réflexion” , pas la tienne ni la mienne .
Pour info , je m’en suis sorti en disant à un anim’ de faire un concours de dégustation de neige avec les gamins , comme ça ils étaient tous malade le jour du CDT . donc pas de CDT .
L’anim’ m’attaque en justice de sa cellule à l’heure ou je te parles pour « abus d’autorité orale » .
J’devrai gagner ….pas d’écrit …ni de cahier des charges.. 😆
Salut à toi, Biquet,
<>
<>
Non, c’est faux.*
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Tu risques la case prison, mise en danger de la personne d’autrui: 121-3 du Code Pénal.
<>
C’est comme la 1
<>
Et, Zorro est arrivééééé, sans s’presser…, le grand Zorro
Des détails, please.
Al the Vicious
* C’est cet imbécile de zorganisateur qui n’a pas été foutu d’exiger un diplômé.
Salut à toi, Frytjip,
Au vu de la réglementation qui tolère que l’activité ski peut être encadrée par des animateurs sans diplôme particulier, j’ai été amené à encadrer un groupe de 8 enfants de 9-10 ans “confirmés”(niveau 2 étoiles) sur piste. J’étais bien sûr seul. Tous ceux qui ont déjà vécu ca connaissent le dilemne. La remontée mécanique où len enfants s’autogèrent, impossible évidemment d’être avec tous les enfants. Le mot d’ordre est donc de s’attendre en haut. Sauf que là ce coup ci, on était tombé sur un tire cul un peu balèze à tel point que certains des petiots étaient soulevés par la tige. Ce qui devait arriver arriva, un d’entre eux est tombé en pleine zone hors piste. Une fois en haut voilà la question : Il y a des gamins qui montent, il y en a qui sont arrivés et il y a celui planté en pleine forêt. Comment gérer? J’ai fait à l’arrache et le talkie walkie ne captait pas donc pas pu prévenir qqn. J’ai dis aux enfants d’attendre là et je suis redescendu reprendre le tire Q puis me suis lâché pour récupérer l’enfant. Ensuite on a déchaussé et bien marché une demi heure pour rejoindre une piste. Une fois qu’on est remonté, les mômes étaient plus là, angoisse… On est redescendu à deux, personne en bas, grande angoisse… On a attendu histoire que je fasse du net dans la tête et les enfants sont arrivés avec deux adultes. Ont expliqué qu’ils avaient attendu longtemps et que les adultes leur ont proposé de redescendre. Voilà l’histoire.
En cas de ‘blème, celui qui a décidé de laisser un anim seul avec le groupe de 8 enfants aurait été auteur indirect .
Il y a une pléthore de juriciarisations semblables dans lesquelles les zorganisateurs ont plongé.
A l’impossible, aucun anim n’est tenu.
Al the Vicious
Allez une originale ou peut être pas.
Au vu de la réglementation qui tolère que l’activité ski peut être encadrée par des animateurs sans diplôme particulier, j’ai été amené à encadrer un groupe de 8 enfants de 9-10 ans “confirmés”(niveau 2 étoiles) sur piste. J’étais bien sûr seul. Tous ceux qui ont déjà vécu ca connaissent le dilemne. La remontée mécanique où len enfants s’autogèrent, impossible évidemment d’être avec tous les enfants. Le mot d’ordre est donc de s’attendre en haut. Sauf que là ce coup ci, on était tombé sur un tire cul un peu balèze à tel point que certains des petiots étaient soulevés par la tige. Ce qui devait arriver arriva, un d’entre eux est tombé en pleine zone hors piste. Une fois en haut voilà la question : Il y a des gamins qui montent, il y en a qui sont arrivés et il y a celui planté en pleine forêt. Comment gérer? J’ai fait à l’arrache et le talkie walkie ne captait pas donc pas pu prévenir qqn. J’ai dis aux enfants d’attendre là et je suis redescendu reprendre le tire Q puis me suis lâché pour récupérer l’enfant. Ensuite on a déchaussé et bien marché une demi heure pour rejoindre une piste. Une fois qu’on est remonté, les mômes étaient plus là, angoisse… On est redescendu à deux, personne en bas, grande angoisse… On a attendu histoire que je fasse du net dans la tête et les enfants sont arrivés avec deux adultes. Ont expliqué qu’ils avaient attendu longtemps et que les adultes leur ont proposé de redescendre. Voilà l’histoire.
“Bonjour et merci à vous.
C’est vrai que la majorité des cas se rencontrent assez fréquemment sans que des réponses concrétes y soient apportées; d’où l’utilité d’échanger à ce propos sans avoir la prétention de résoudre d’enigmes…”
SALUT ADN , essayons d’etre original , des cas non résolus , je n’en ai pas car je resoud toujours tout . 😛
Quelques cas ayants fait appel à mes capacités d’adaptation et de réflexion et surout pouvant susciter certaines interrogations de directeurs…. j’en ai .
Je part en séjour ski , je suis en gestion super hoteliére donc toutes mes activités /prestations sont bouclées depuis des mois par l’agence qui m’employe .
J’ai l’immense joie de proposer aux gamins un aprés midi chien de traineaux (pfffffffff) .
Je rencontre au hasard d’une fromagerie un musher et lui demande entre deux tomes si ce n’est pas lui par hasard mon prestataire pour le lendemain .
Il me dit que non , mais que si ce n’est pas lui c’est l’autre ( ils ne sont que deux sur la station ) , et que je ne dois absolument pas bosser avec lui ……
-“Pourquoi ? ”
-” a pas son diplome ….il vient de le rater ….il exerce quand meme ….c’est un salop ….”
-“ah , et au pire vous l’avez votre diplome vous ?”
-“ah oui mon bon monsieur !!!!!”
-“z’avez un creneau pour 50 gamins demain ? ”
-” ah ah ah …ben non mon bon monsieur ….. tout est réservé depuis 2 mois
Que fais je ?
solution 1 : j’annule le CDTraineaux , je ne respecte pas le cahier des charges , je suis mort , les gamins me pourchassent , l’agence de voyage aussi .
solution 2 :je prend le risque , je lui demande son diplome de musher , effectivement , il ne l’a pas mais invoque de travailler sous couvert de sa boite ….(???)
Je réalise donc l’activité en confiance , il me met un gamin dans un ravin , il n’a pas de diplome et ne travaille sous couvert de personne …..je suis mort ….lui aussi ….la société entiére me pourchasse .
(le gamin va cependant bien …il n’aime plus les chiens c’est tout)
Solution 3 : j’annule et invoque auprés des parents des dangers immédiats à pratiquer l’activité , cependant je ne peux la remplaçer par autre chose (trop tard) , je leur achéte donc des tomes ….
Solution 4 : celle que j’ai adopté .
Voila , j’ai plusieurs histoires du même genres …..
-aller faire de la patinoire la nuit à 4 km sans transport ..
-passer la frontiére avec la suisse en télésiége sans papiers d’identité ……
-la traçabilité des tomes achetées par les gamins aux producteurs …
Des choses qui m’ont donné à réflexion , bien sur les solutions on peut les trouver , et vous tous vous les avez !
( et puis dans ce post je joue tout seul mais n’oublions pas que l’organisateur peut m’aider à trouver des solutions,) .
ADN , ça t’aide ça ?
Elle avait un groupe de débutants et elle trouvait que ça allait pas assez vite
Ca,n c’est pas très pro comme reflexion!!!
On est anim et on l’assume ou alors, on va faire du ski avec ses potes. Faut pas s’attendre à ce que les gamins puissent aller faire de la noir!!!
Salut à toi, Enadiras,
Eh bien moi j’ai vu ma copine rentrer de colo ski pas contente ( tout ça pour dire que je n’ai pas directement vécu la situation )
Elle avait un groupe de débutants et elle trouvait que ça allait pas assez vite, genre 2h pour descendre une piste verte.
Pourquoi elle n’est pas allé à Courchevel tout seule? La noire du télésiège, elle speede un max.
mais les gamins sont ils toujours d’accord pour se lever tout les matins à 7h ?
Ah bon, il faut écouter les zenfants?
sinon en appro ski, j’ai eu un groupe de stagiaires qui a fait du hors piste, dont un qui a détruit sa planche.
( on les a laissé descendre en autonomie, apres les conseils d’usage, dont celui d’éviter le hors piste )
ce genre de chose peut arriver avec des ados
Aux ados, on refile des consignes ou des conseils?
Ecoutez, les mecs, je vous conseille de ne pas jeter des canettes de Jenlaim devant la dameuse. Je vous conseille de ne pas sortir le soir seuls. Je vous conseille de ne pas rejoindre les meufs au pieu quand on dort. Je vous conseille de ne pas violer les filles. …
C’est cool la colo avec toi. Je kifferais un max.
Al
Bonjour et merci à vous.
C’est vrai que la majorité des cas se rencontrent assez fréquemment sans que des réponses concrétes y soient apportées; d’où l’utilité d’échanger à ce propos sans avoir la prétention de résoudre d’enigmes…
Bonjour,
eh bien moi j’ai vu ma copine rentrer de colo ski pas contente ( tout ça pour dire que je n’ai pas directement vécu la situation )
Elle avait un groupe de débutants et elle trouvait que ça allait pas assez vite, genre 2h pour descendre une piste verte. Je lui ai répondu qu’a ski, on peut faire plein de petits jeux sur du plat. c’est rigolo et moins frustrant que de tomber tout les deux metres en descente
Elle a aussi trouvé que le matin on devait speeder (se lever tot, manger vite ) , et que ça respectait pas trop le rythme des gamins et le coté vacances.
Là je lui ai rien répondu, je trouve que c’est assez vrai. les organisateurs vendent du ski, et c’est ce que les parents payent, mais les gamins sont ils toujours d’accord pour se lever tout les matins à 7h ?
sinon en appro ski, j’ai eu un groupe de stagiaires qui a fait du hors piste, dont un qui a détruit sa planche.
( on les a laissé descendre en autonomie, apres les conseils d’usage, dont celui d’éviter le hors piste )
ce genre de chose peut arriver avec des ados
voila..
Manu
Salut à toi, Al-Batros :coucou:
Si tu n’a pas compris le sens de ce que veut dire ADN, cela signifie que tu n’as pas encore atteint le stade hypothético-déductif. 😀
Salut à toi, ADN, :coucou:
Les problèmes que l’on recontre en colo ski sont presque souvent toujours les mêmes, quand on a un peu d’expérience, on peut les anticiper. Alors, à part les gants perdus ou les petits accidents, difficile de trouver des trucs un peu originaux. Je vais quand même essayer.
😎 J’ai connu le cas du petit Roger qui est tombé du tire fesses et qui n’a rien trouvé de mieux que de descendre tout droit, sur la piste du tire fesse, en risquant de heurter un touriste qui montait. 😮
😎 Un peu comme Roger, j’ai connu Bernard qui est tombé du tire fesse, à un endroit un peu retiré, dans un bosquet d’arbres. Au lieu de rester sur place comme on le lui avait dit, Bernard est descendu entre les arbres, dans la neige poudreuse. 😮
😎 J’ai aussi connu le cas de la petite Germaine qui, après une chute et un coup sur le crâne, a vu sa tête toute gonflée. Il a fallu l’emmener à l’hosto vite fait, quand elle est revenue, il fallait la réveiller 3 ou 4 fois par nuit pour voir si elle était encore consciente. 😮
😎 Il y avait aussi le cas du petit Gaston, adolescent difficile, qui voulait absolument partir torse nu sous sa combinaison. Il l’a fait mais il a vite compris sa douleur. 😮
😎 Et puis il y a aussi le classique casse-tête réglementaire : on a des enfants débutants mais on n’a pas les moyens de prendre des cours ESF. Comment fait-on sachant qu’on ne peut pas montrer de geste technique. 😮
Voilà, j’espère que ça t’aidera.
Salut à toi, ADN,
Cette question a pour objectif d’alimenter des échanges et solliciter la réfléxion à partir de cas concrets lors de réunions de préparations ou de formations avec les directeurs pour préparer les séjours.
Des échanges, une réflexion?
Parce qu’il y a des lacunes dans le cadre de la gestion des évaluations sommatiques et prédictives?
Parce que nous entrons dans l’ère de l’animation différenciée pour les zones de développements proximales?
Parce que au niveau de l’hétérogénéité socioculturelle, il faudrait obligatoirement une remédiation de la translation didactique?
Parce que dans le contexe formatif, il faudrait que le concept phare soit d’agir sur la psychopédagogie cognitive du … ?
Je sens que tu as en perspective de belles séances de br.. éducatives!
Pour préparer des séjours, il ne me parait pas intéressant de partir de cas particuliers qui ne peuvent se produire que dans un contexte bien précis. Mais, …
Est ce que l’histoire de discothèque et de canette de bière fait partie de ce qui t’intéresse?
Al
Merci Lau tu me rassures…
Je recherche des cas concrets qui sortent un peu du commun et incitent à la reflexion et au débat éventuellement.
Ayant plusieurs années d’expérience de ce types de séjours, je recherche des exemples que l’on ne rencontre pas tous les jours (et heureusement).
Il est donc plus fréquents d’avoir entendu parlé de(…) que de l’avoir vécu soi-même (ce que je vous souhaite). Je reprécise: en activité ski.
Je souhaite développer par la suite avec des directeurs des thèmes tels que: sécurité/organisation/recrutement/bon sens…
merci.