Et au pire, tu mets JEUX LIBRES comme activitĂ© dans le planning en plus des autres activitĂ©s, justifiĂ© comme Ă©tant un choix par dĂ©faut oĂč les enfants qui ne sont pas attirĂ©s par les autres acti peuvent se regrouper sur celle-ci avec 1 ou 2 anim’ histoire de rĂ©flĂ©chir ensemble -spontanĂ©ment- sur ce qu’ils veulent faire avec les moyens disponibles.
(tu justifies auprĂšs de la mairie/parents que c’est pour rĂ©ellement respecter le choix de l’enfant, le “rendre acteur” et autre genre de beaux mots du ministĂšre).
AprĂšs, ça peut se dĂ©velopper, on peut faire un mini conseil d’enfant en dĂ©but d’acti, on peut dĂ©cider de ramener des trucs pour la semaine suivante (appareil photo, camĂ©ra, matos de bricolage, magazines en tout genre, …), on peut dĂ©cider de fabriquer un pestacle, de discuter, de construire, de dĂ©battre, de rĂ©flĂ©chir, d’Ă©couter de la musique, … La chose qui compte le plus : le relationnel ! đ
merci a tous pour vos réponses.
je prend note de vos (pertinentes) critiques afin de reajuster le tir.
J’irais ,dĂ©s que j’aurai le temps de le faire calmement, lire vos liens!!!
mille mercis en tout cas d’avoir pris le temps de m’aiguiller.
Un sujet en ce moment qui se rapproche :
Changer de mode de fonctionnement d’un accueil de loisirs
Les Conseils d’enfants, c’est pas facile, mais c’est surpuissant aussi đ
ils paient des anim’ pour animer un planning qui est vendu.
Le planning est donc rĂ©digĂ© par la mairie, l’association? Qui exactement? Peux-tu doner un exemple?
Mon avis Ă partir de mon vĂ©cu et de mes reprĂ©sentations : Ă critiquer et modifier đ ::
Ton objectif est tournĂ© avec la nĂ©gation : “en nâutilisant plus“. Pour gagner en efficacitĂ©, trouve quelque chose de positif du type “amĂ©liorer le fonctionnement”, “gagner en …”, …
Partie “Pourquoi ?”
Tu pars d’un constat, tu gagnes surement des points. Maintenant, si tu places l’expression “identification des besoins spĂ©cifiques de mon public”, ça aidera peut-ĂȘtre avec de beaux grands mots dont raffolent les hiĂ©rarchies…
DĂ©fendre le fait que l’enfant a rĂ©ellement besoin de s’ennuyer pour grandir au mieux, c’est trĂšs difficile Ă faire admettre aux gens qui ne raisonnent qu’en terme de productivitĂ© (ce qui est le cas pour beaucoup d’Ă©lus et d’animateur-trice…)
Je pense donc qu’il faut tourner les choses autrement, en Ă©tant moins honnĂȘte pour que le message soit mieux reçu.
Critiquer la sociĂ©tĂ© de consommation ouvertement (“petits Ă©crans, « peur du vide »), s’est te fermer Ă tous les Ă©lus qui -eux- ne voient pas les consĂ©quences nĂ©fastes de ce modĂšle sociĂ©tal. Et tu n’arriveras pas Ă la convaincre -malheureusement (oui, je suis fataliste la-dessus, on ne peut pas faire changer les gens, juste les faire Ă©voluer doucement au mieux.. et c’est excessivement long)
MĂȘme si tu expliques l’intĂ©rĂȘt Ă©ducatif de l’ennui et les limites (“ennuis nĂ©gatif”), le point de rĂ©fĂ©rence n’est pas commun, et ta hiĂ©rarchie restera donc en opposition.
Faut donc chercher une autre approche.
Partie “Comment ?”
Tu gagnes des points parce que tu proposes une solution avec compromis, ayant conscience de l’impact possible sur les parents. Et c’est trĂšs important pour les Ă©lus, puisque les parents sont des clients (euh, pardon, des Ă©lecteurs!).
Il faudrait accentuer ton intĂ©rĂȘt aux regards des parents pour que les Ă©lus soient plus attentifs Ă tes paroles.
+1 pour ton idĂ©e de boite Ă idĂ©e (aprĂšs, faut rĂ©ussir Ă vraiment la rendre efficace…)
+1 pour ton idée de surprendre les enfants pour leur donner envie, de voir si ça accroche ou pas.
+1 pour ton idĂ©e de laisser l’enfant choisir de ne pas choisir parmi les propositions. Mais Ă toi de montrer que tu vas mettre en place un fonctionnement qui permet Ă quelques enfants de ne “rien faire” tout en assurant leurs sĂ©curitĂ©s physiques et morales.
EDIT : J’ai oubliĂ© une chose essentielle, tu peux reprendre leur Projet Ăducatif pour le comparer au Projet PĂ©dagogique et les comparer au fonctionnement concrĂšt.
Et par une dĂ©monstration, tu peux Ă©ventuellement rĂ©ussir Ă prouver que les moyens mis en oeuvre sur le terrain sont incohĂ©rents avec les objectifs du Projet PĂ©dagogique ET/OU du Projet Ăducatif. Ce qui forcera Ă adapter le fonctionnement pour qu’il rĂ©ponde mieux aux objectifs.
Voilà mes pistes de réflexion.
Et sinon, si ça t’intĂ©resse, je peux t’expliquer comment j’avais rĂ©ussis Ă “feinter” ma directrice pour mettre en place autre chose (orientĂ© sur les “jeux libres”).
Bonjour Laninie,
C’est dommage, t’aurais presque dĂ» attendre qu’ils te fassent chef !
Sinon ton Ă©crit Ă l’adresse d’un Ă©lu, je comprends qu’il soit mal passĂ©. Ta critique du fonctionnement actuel est trĂšs dure. Je ne dis pas que tu as tort, seulement un Ă©lu ou un supĂ©rieur habituĂ© Ă un fonctionnement a dĂ» prendre ça comme un sacrĂ© revers, tu n’y vas pas avec le dos de la cuiller.
Maintenant, je ne sais pas quelle est vĂ©ritablement ta marge de manoeuvre, mais il en reste. Mais peut ĂȘtre faut-il refaire l’inventaire de tes possibilitĂ©s d’action, de ton pouvoir rĂ©el, que tu peux lĂ tout de suite utiliser. Par dĂ©finition, une hiĂ©rarchie dans une institution, un pouvoir local, lĂ les Ă©lus, n’aime pas le changement, d’autant plus s’il est brusque, critique et qu’il n’est pas de leur initiative. Donc de fait, si tu poursuis comme ça, tu vas droit au mur et risque d’ĂȘtre marginalisĂ©-e.
En revanche, rien ne t’empĂȘche de bousculer ton fonctionnement Ă toi et ton collĂšgue au jour le jour, en le rĂ©ajustant si nĂ©cessaire, d’essayer. D’ailleurs, il vaut mieux faire comme ça et surtout vĂ©rifier tout de suite la rĂ©action et l’accueil des jeunes Ă tes changements, construire ces changements avec eux. Ca rejoint un peu ce que dit Ggamer. Ca peut ĂȘtre intĂ©grer d’abord dans le planning des temps animĂ©s par toi ou ton collĂšgue. Et ces temps vu que t’en as la responsabilitĂ© ben t’y fais ce que tu veux, c’est toi qui Ă la maĂźtrise dessus, y compris y laisser les jeunes faire plusieurs trucs, rien faire, monter un projet, consommer ….
Tant que tu es en adĂ©quation avec ce qui est Ă©crit dans le PE et dans ton contrat, tu ne risque pas grand chose. Surtout, que ta hiĂ©rarchie ou la mairie ne vont pas te courir aprĂšs pour savoir ce qu’il se passe rĂ©eellement. Et puis, le jour viendra, oĂč parce que justement t’auras des rĂ©sultats trĂšs concrets, des jeunes qui te suivent et qui sont en demande, tu seras en position de force pour imposer un ou deux changements plus massifs et ainsi de suite.
Enfin lĂ je donne une mĂ©thode trop prĂ©cise, il faut bien sĂ»r et t’es le (la) mieux placĂ©-e pour savoir Ă quoi s’en tenir, voir le contexte prĂ©cis. Rien n’et juste.
Il est tout aussi lĂ©gitime de vouloir changer les choses de front. Mais si tu fais ça sans soutiens quelconques, tu risques vraiment de t’y casser les dents.
Sinon, il y a aussi le fait de s’entretenir personnellement avec les personnes influentes. Multiplier les entretiens, rassembler des tĂ©moignages, de la doc allant dans ton sens, et que ton collĂšgue mouille sa chemise avec toi dans cette opĂ©ration.
je suis sur des 10 – 17 ans.
C’est exactement ce que j’ai proposĂ© et cela a Ă©tĂ© refusĂ©, ils paient des anim’ pour animer un planning qui est vendu.
Bonjour,
Pour commencer, si tu pouvais prĂ©ciser de quelle tranche d’Ăąge tu parles, car tu alternes entre les termes ‘enfants’ et ‘jeunes’. Du coup, ce n’est pas trĂšs clair.
Mais pour en revenir Ă ton souci, je dirais qu’il faudra ĂȘtre malin. Etant donnĂ© que le putsch n’a pas fonctionnĂ©, il va falloir y aller en douceur :
Tu continues ce qui Ă©tait fait jusqu’Ă prĂ©sent, mais en modifiant les choses petit Ă petit. Par exemple, si vous ĂȘtes 3 animateurs, 2 font le planning prĂ©vu tandis que le 3Ăšme animateur accompagne uniquement les projets personnels des enfants. Et tu avances comme cela petit Ă petit de façon Ă tester la faisabilitĂ© de ton projet avant de prouver au final que cela peut fonctionner…
Bonne chance.
A +
merci pour ta réponse,
Apres plusieurs argumentaires oraux, lors de reunion , on m’a demandĂ© de faire un trĂ©s bref (j’insiste) ecrit que voilĂ :
Je souhaite changer le fonctionnement de lâAccueil Jeunes, notamment en nâutilisant plus lâoutil « planning » tel quâil existe aujourdâhui.
“Pourquoi ?
Je suis partie dâun constat. Les jeunes ont des emplois du temps trĂšs chargĂ©s, un rythme de vie trĂšs soutenu. Entre lâĂ©cole et les activitĂ©s extrascolaires ils nâont plus le temps de « rien faire », et lorsque lâorganisation familiale leur permettrait de sâennuyer ils sont attirĂ©s par foule de petits Ă©crans qui empĂȘchent leur imagination et leur crĂ©ativitĂ© de se mettre en branle.
Nous sommes dans un monde oĂč notre temps doit ĂȘtre « rentable », nous nous obligeons Ă remplir chaque minute de nos vies de quelque chose et nous imposons cela Ă nos enfants.
De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, nous, les adultes, percevons lâennui comme une mauvaise chose. Nous sommes dans une sociĂ©tĂ© oĂč la productivitĂ© et la performance sont mis en avant, lâennui nâa pas sa place. Il faut rendre notre utilisation du temps efficace. SI un enfant sâennuie, nous considĂ©rons que câest un Ă©chec et nous tenterons Ă tout prix de lui trouver quelque chose Ă faire.
Je me demande alors pourquoi en ACM poursuivre cette course frĂ©nĂ©tique Ă lâoccupation. Et surtout pourquoi montrer aux jeunes que nous, aussi, nous avons « peur du vide ».
Lâennui nâest pas une fin en soi. Le but dâun ACM nâest pas de produire de lâennui mais il est pour moi une Ă©tape qui permet aux jeunes de stimuler leur dĂ©sir et leur indĂ©pendance de pensĂ©e .Cela va les pousser Ă faire preuve de crĂ©ativitĂ© et dâinitiative sans attendre passivement la proposition des adultes.
Lâennui nĂ©gatif serait de placer le jeune dans une situation oĂč rien ne lui serait proposĂ© mais aussi de ne pas lui donner les moyens de faire autre chose que de tourner en rond. Pour goĂ»ter au bĂ©nĂ©fice de lâoisivetĂ© il faudra mettre Ă disposition du jeune des ressources, tant humaines que matĂ©rielles.
On peut aussi facilement penser quâen lui apprenant Ă sâoccuper seul maintenant ,fera de lui un adulte qui ne sâennuie pas car il aura dĂ©veloppĂ© toutes les compĂ©tences lui permettant de mettre Ă profit son temps libre pour son plaisir ou son dĂ©veloppement personnel et non plus pour remplir un vide.
Si nous ne voulons plus placer les jeunes en tant que consommateur dâactivitĂ©, il faut cesser de leur donner des activitĂ©s Ă consommer. De mĂȘme, produire un planning Ă lâavance, sans eux, et lâoffrir aux parents comme un contrat met toute la famille du jeune dans une situation de consommation. En agissant ainsi, nous nous engageons Ă produire lâactivitĂ© et incitons les familles à « en vouloir pour leur argent ».
Comment ?
Nous ne pouvons pas ne pas prĂ©voir dâactivitĂ©.
Certaines demandent de lâanticipation, que se soit parce quâil faut prĂ©voir le transport, rĂ©server ou prĂ©venir un prestataire⊠De plus, je pense quâil serait anxiogĂšne pour les parents et pour les jeunes de ne pas avoir de planning du tout alors que jusque lĂ ils ont Ă©tĂ© habituĂ©s Ă un planning ficelĂ© et rigoureusement suivi.
Je propose donc de faire une sorte de planning Ă trou. Nous informerons les jeunes et les familles des activitĂ©s que nous avons prĂ©vues et anticipĂ©es (escrime, journĂ©e neige âŠ.) mais nous laisserons libre le reste du temps.
Attention, cela ne veut pas dire que chaque jour les animateurs arriveront les mains dans les poches en attendant de voir un jeune avoir une idée lumineuse. Cela va demander encore plus de travail de préparation que pour un fonctionnement normal.
DĂ©jĂ , il va falloir que lâĂ©quipe rĂ©flĂ©chisse au matĂ©riel qui devra ĂȘtre mis Ă disposition des jeunes et sous quelle forme (coins permanents, armoire ouverte, budget âŠ.).
Elle va devoir aussi avoir, en stock, un grand nombre dâactivitĂ© Ă pouvoir proposer de maniĂšre informelle et qui pourrait trĂšs bien ne jamais ĂȘtre mise en place. De plus, il ne faut pas perdre de vue que les adultes ont des idĂ©es et des connaissances que les jeunes nâont pas, et donc ces idĂ©es puisquâelles ne sont pas imposĂ©es devront ĂȘtre valorisĂ©es .Le mot « sensibilisation » va donc prendre tout son sens.
Nous allons devoir stimuler leurs envies. Ils nâont pas lâhabitude de ce fonctionnement et se trouveront donc complĂštement dĂ©contenancĂ©s au dĂ©but. Il faudra les aider Ă entrer dans les dĂ©marches de prise dâinitiative et de projet.
Un panneau Ă idĂ©es pourrait ĂȘtre mis en place avec un cotĂ© animation et un cotĂ© vie quotidienne oĂč chacun (animateur compris) pourra punaiser ses idĂ©es.
Un animateur, pourrait, trĂšs bien, tout seul, commencer une activitĂ© (construction dâune grande sculpture ou autre) afin de susciter la curiositĂ© et ainsi voir plusieurs jeunes lâaccompagner spontanĂ©ment et participer. Cette activitĂ©, si elle avait Ă©tĂ© mise au programme et imposĂ©e nâaurait peut ĂȘtre pas connu le mĂȘme succĂšs.
Les animateurs donc avoir des compĂ©tences complĂ©mentaires afin de permettre aux jeunes de mettre en Ćuvre nâimporte quelle sorte de projet.
Cela veut aussi dire, que nous allons devoir les amener au dialogue et ĂȘtre trĂšs Ă lâĂ©coute. Il ne faudrait pas que les plus timides et rĂ©servĂ©s doivent subir les choix des autres.
Ils sont en Ăąge oĂč nous pouvons leur faire confiance et les mettre en autonomie sur une activitĂ© de leur choix. Il faudra donc que les animateurs soit concentrĂ©s et prĂȘt Ă surveiller (parfois de loin) plusieurs animations et groupes de jeunes.
Si un groupe, ou un jeune isolĂ©, dĂ©cide de ne rien faire alors ce sera leur choix et ils auront le droit de ne rien faire .Il faudra veiller Ă ce que ce ne soit pas une maniĂšre protester, car cette oisivetĂ© serait alors synonyme de souffrance.”
J’ai donc essayĂ© de condenser un maximum ma pensĂ©e, en essayant de montrer comment l’appliquer sans tout bousculer non plus.
Je n’ai toujours eu que des rĂ©ponses orales: C’est pas realisable.
Il faudrait donc monter un argumentaire, qui soit Ă la fois basĂ© sur le rĂŽle Ă©ducatif d’un nouveau fonctionnement, et qui soit basĂ© sur l’aspect financier (*sic*). Enfin, c’est con, mais j’me dis que c’est les seuls arguments viables aux oreilles des Ă©lus.
Tu pourrai nous mettre les copies de vos Ă©changes ? (si c’Ă©tait Ă l’Ă©crit ^^) Histoire qu’on sache mieux situer la situation.
De toute façon, toi, comment tu as abordé le sujet ? Quels mots tu as utilisé ?
Et surtout, pourquoi selon toi, le fonctionnement en planning est moins épanouissant ? Quelles sont les conséquences sur les enfants ?
Bonjour Ă tous,
J’Ă©tais animatrice territoriale depuis 6 mois sur une structure dirigĂ©e par une educ. Nous sommes employĂ©s par une assoc que la mairie sous traite via un marchĂ©.
Il y a un autre anim permanent avec moi et parfois des occasionnels.
L’educ, dont l’animation n’Ă©tait clairement pas le boulot vient de partir . Dans l’attente d’un nouveau chef je dirige.
Sauf que……voilĂ , les plannings figĂ©s je deteste! je suis pour la libertĂ© de l’enfant, son libre choix etc….. enfin vous voyez.
L’animateur qui est avec moi me suit, il a compris ma vision des choses et il adore. Il est complĂ©tement partant pour cette nouvelle façon de travailler. C’est quelqu’un de trĂ©s compĂ©tent qui saura parfaitement travailler sans planning.
J’ai donc informĂ© mon assoc et la mairie du changement que je souhaitais operer. Ils m’ont rĂ©pondu que cela Ă©tait impossible Ă mettre en place, que ça ne fonctionnerait pas et mĂȘme que ça n’existait pas……
Bref, me vlĂ complĂ©tement dĂ©pitĂ©e. Je suis forcĂ©e Ă bosser comme ils l’ont toujours fait jusque lĂ .
J’y suis ptĂ©tre allĂ©e un peu fort ou un peu vite. Je voudrais que vous m’aidiez Ă trouver des astuces pour leur montrer que c’est faisable et qu’en plus c’est logique!
En attendant je continue de lire tout ce que je trouve ici sur le sujet.
Bonne soirée à tous.