fg63:
c’est de l’internat, donc effectivement, on n’est pas payer toutes les heures…. choses impossibles…. (35 heures et 90 heures supp*3 formateurs…..)
Donc c’est aussi un choix de notre part de “refuser” ces heures.
Pour ce qui est de l’engagement, c’est beau, c’est doux, c’est altruiste, mais ça ne mettra pas de beurre au fond de ma gamelle de pâtes au 30 du mois… moi j’ai besoin de vivre, et donc d’avoir de l’argent, si je suis bénévole (ou même sous CEE) alors je file à l’usine le reste du temps ou même pire, je rejoints Ronald et je lui pique sa perruque ! :content:
Non, sans blague, je prends des congés sans soldes pour faire les formations, si en plus j’y perds de l’argent, y’a maldonne….
je veux bien aider, faire apprendre, transmettre, inculquer, insuffler….. mais je suis pas le pigeon non plus !
le bénévolat, oui, le jour où j’ai gagné à l’euromillions (mais je joue pas en fait !)
mais j’admire ceux qui le font et qui en plus mangent bien tous les jours ! 😛
@ badibulle : j’imagine qu’il s’agit de formation en demi-pension… Ou alors je ne comprend pas bien le calcul de tes heures si tu reste présent 24h/24 pendant 8 jours.
—–
Comme tu le dis, ta situation est très honorable et tant mieux si l’organisme parvient à maintenir ses coûts.
Mais il est tout aussi honorable de faire le choix d’un bénévolat strict comme cela existe dans certaines associations, ou de recourir au CEE comme une forme de reconnaissance d’un engagement qui se voudrait volontiers bénévole de toute façon.
Ola !!!
Pour ma part sur chaque session BAFA je suis en CDD 35 heures, en général, une bonne 30aine d’heures supp sont rémunérées en sus (ce qui ne fait pas le compte, c’est sûr…). je trouve cette situation tout à fait honorable.
Le mieux étant que le coût de la formation n’est pas plus élevée que dans tel ou tel organisme….
On a du matos péda, on mange bien, on dort (peu) mais bien, voili voilou !!
😀
Alors, l’arrêté du 25 juin 2007 nous dit (article 12) :
“L’effectif d’une session ne peut excéder quarante stagiaires. La session de formation comprend une équipe pédagogique unique constituée d’au moins deux formateurs jusqu’à vingt stagiaires et d’au moins trois formateurs au-delà.”
—–
Pour info, il était avant dit que “L’équipe pédagogique comprend une équipe permanente d’au moins trois formateurs”. (arrêté du 26 mars 1993).
Désormais cette notion d’équipe permanente n’existe plus (il ne reste que la notion d’équipe unique, qui existait déjà) et le nombre obligatoire de formateurs n’est plus que de 2 en-dessous de 20 stagiaires et de 3 au-delà, contre 3 dans tous les cas auparavant.
XXYYZZ a écrit:
fg63 a écrit:
– Depuis la réforme du BAFA, l’équipe des formateurs est UNIQUE, elle n’est plus CONTINUE.
Un formateur n’est donc pas obligé d’être présent tous les jours et peut très bien avoir son repos hebdomadaire obligatoire (ce qui nuit au suivi des stagiaires par contre).– J&S a été interpelé sur ce points par les organismes de formation, et il a été clairement dit qu’il y avait une totale tolérance en ce domaine.
Cela m’a été confirmé oralement par l’IJS et une conseillère de ma région… En plus d’un document écrit reçu par le responsable des formations chez moi.Avé fg ton information m’interesse énormément, car recemment nous nous sommes fait remonter les bretelles par la DJS,car un formateur était absent une journée.Nos étions pourtant 2 formateurs présents pour 13 stagiaires.
S tu pouvais m’envoyer les documents dont tu parles par mail Merci
Mon mail est dans mon profil. Sur orange de préférence.
Je ne suis pas certain du tout de pouvoir accéder à un document écrit sur la tolérance par rapport à la non prise du repos hebdomadaire (mon responsable BAFA est en vacances et ensuite c’est moi qui ne vais plus être disponible jusqu’à fin août).
Par contre, pour ce qui concerne l’info sur l’équipe unique, c’est tout simplement dans les textes règlementaires, je te cherches ça.
fg63 a écrit:
– Depuis la réforme du BAFA, l’équipe des formateurs est UNIQUE, elle n’est plus CONTINUE.
Un formateur n’est donc pas obligé d’être présent tous les jours et peut très bien avoir son repos hebdomadaire obligatoire (ce qui nuit au suivi des stagiaires par contre).– J&S a été interpelé sur ce points par les organismes de formation, et il a été clairement dit qu’il y avait une totale tolérance en ce domaine.
Cela m’a été confirmé oralement par l’IJS et une conseillère de ma région… En plus d’un document écrit reçu par le responsable des formations chez moi.
Avé fg ton information m’interesse énormément, car recemment nous nous sommes fait remonter les bretelles par la DJS,car un formateur était absent une journée.Nos étions pourtant 2 formateurs présents pour 13 stagiaires.
S tu pouvais m’envoyer les documents dont tu parles par mail Merci
Mon mail est dans mon profil. Sur orange de préférence.
slem41 a écrit:
“Dans les faits, il y a eu des embauches à l’UFCV (dont je parle ici, peut-être aussi ailleurs) pour gérer l’arrivée du CEE (des embauches, c’est bon pour l’emploi selon moi).”Hormis le fait que ce motif est peu crédible,
C’est tellement courte vue comme affirmation, que si tu voies pas (ou veux pas voir) ce qui est choquant dans cette phrase, cela sert à rien que je développe
Tu semble me prêter un avis sur ce point alors que je me contente d’exposer des faits.
Oui, chaque embauche est bonne pour l’emploi.
Non, si elle est en CDD ou à temps partiel ça n’est pas formidable et c’est même dommage.
Non, l’UFCV ne vit pas en ce moment une situation formidable avec une merveilleuse gestion salariale… Je sais hélas que la situation actuelle est même particulièrement délicate.
slem41 a écrit:
“Personnellement, sur ce point très précis, je me suis battu pour ne pas me faire imposer un repos obligatoire pendant les stages BAFA.”
Eh bien! Quel grand combat !!!As te lire régulièrement (puisque tu postes partout), globalement, tu donnes surtout l’impression de faire de l’ethnocentrisme, et d’oublier qu’il y a un monde socioéconomique autour avec des personnes qui n’ont pas forcément les mêmes conditions de vie et préoccupations que toi (même si elles peuvent partager les mêmes valeurs).
Un exemple : moi je prend pas de vacances, ca me permet de faire plein d’autres trucs interessants, donc j’ai envie de me battre pour faire supprimer les vacances comme cela les gens se rendront compte que l’on peut faire plein de choses plus intéressantes. D’ailleurs je peux même le démontrer par A+B. Mais ca va gonfler tout le monde…
Quand je dis que JE ME bat pour ne pas ME faire imposer une chose, j’ai pas l’impression de chercher à imposer mon point de vue à tout le monde, encore moins de me battre pour que tous le monde pense et/ou fasse comme moi.
Ce n’est pas un gros combat… mais si on ne devait se battre que pour des choses méga-hyper-supra importantes, ben je ne crois pas qu’on en serait forcément exceptionnellement grandis… 😉
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Ça semble t’ennuyer que j’intervienne sur beaucoup de sujets du forum…
Mais je t’invite à en refaire le tour. Il y a pas mal de sujets sur lesquels je n’intervient pas du tout, et encore pas mal aussi que je ne consulte même pas.
Nous sommes sur un lieu d’échanges. Rien ne dit que les gens doivent se limiter dans leur volume d’interventions, les règles du forum ne concernent que la façon de s’exprimer et tu es parfaitement libre de me porter la contradiction autant que tu le souhaites (tant mieux d’ailleurs, les échanges valent mieux que les monologues à mon avis).
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N’aurais-tu pas des arrières-pensées dans tes attaques et remarques ? Des comptes à régler ?
Suis-je le seul à sentir une forme de mépris (“sentir” car je reconnais que tu sais rester assez correct dans tes propos, et je t’en remercie).
“Dans les faits, il y a eu des embauches à l’UFCV (dont je parle ici, peut-être aussi ailleurs) pour gérer l’arrivée du CEE (des embauches, c’est bon pour l’emploi selon moi).”
Hormis le fait que ce motif est peu crédible,
C’est tellement courte vue comme affirmation, que si tu voies pas (ou veux pas voir) ce qui est choquant dans cette phrase, cela sert à rien que je développe
“Personnellement, sur ce point très précis, je me suis battu pour ne pas me faire imposer un repos obligatoire pendant les stages BAFA.”
Eh bien! Quel grand combat !!!
As te lire régulièrement (puisque tu postes partout), globalement, tu donnes surtout l’impression de faire de l’ethnocentrisme, et d’oublier qu’il y a un monde socioéconomique autour avec des personnes qui n’ont pas forcément les mêmes conditions de vie et préoccupations que toi (même si elles peuvent partager les mêmes valeurs).
Un exemple : moi je prend pas de vacances, ca me permet de faire plein d’autres trucs interessants, donc j’ai envie de me battre pour faire supprimer les vacances comme cela les gens se rendront compte que l’on peut faire plein de choses plus intéressantes. D’ailleurs je peux même le démontrer par A+B. Mais ca va gonfler tout le monde…
slem41 a écrit:
“…les formateurs ont fait le choix collectif du bénévolat, dans un but de faire des économies et ainsi limiter un éventuel impact sur les salariés.”
Franchement, cette phrase là est à mourir de rire. Etre doublement naïf à ce point… Je ne sais pas quoi rajouter !
Tu peux trouver cela drôle.
Il s’agit tout simplement d’un fait, d’un choix qui a été fait (pas dans la région où je suis) par un groupe de gens.
Je ne partage pas non plus ce point de vue (pas les raisons invoquées pour le bénévolat) mais je respecte ceux qui ont pris cette décision. 🙂
“Mais bon, les chiffres nous disent que le CEE ne coûte pas plus cher que les mesures de valorisation du bénévolat qui existaient auparavant.
Il existe par contre un surcoût lié au travail administratif de gestion des CEE… Mais ça c’est plutôt bon pour l’emploi à priori.”
Franchement, faut arrêter de raconter n’importe quoi FG : la dernière phrase est ridicule…
D’habitude j’essaie d’argumenter mes positions (sinon la discussion n’a rien de constructif) mais là c’est un gag ? c’est moi qui suit fatigué et qui ne comprend plus l’ironie ???
Ben je ne vois pas où est le ridicule…
Si une gestion demande plus d’heures de travail, par exemple pour éditer des contrats, des bulletins de salaires et des attestations ASSEDIC, alors cela représente (en théorie) plus de travail (il y a une limite à la surcharge de travail que peut recevoir et assumer un même salarié).
Dans les faits, il y a eu des embauches à l’UFCV (dont je parle ici, peut-être aussi ailleurs) pour gérer l’arrivée du CEE (des embauches, c’est bon pour l’emploi selon moi).
Le “problème” est que cela a engendré un surcoût dans l’organisation du BAFA (bien que les salaires CEE en soit ne coûtent pas vraiment plus cher que les divers systèmes qui existaient auparavant).
“…les formateurs ont fait le choix collectif du bénévolat, dans un but de faire des économies et ainsi limiter un éventuel impact sur les salariés.”
Franchement, cette phrase là est à mourir de rire. Etre doublement naïf à ce point… Je ne sais pas quoi rajouter !
“Mais bon, les chiffres nous disent que le CEE ne coûte pas plus cher que les mesures de valorisation du bénévolat qui existaient auparavant.
Il existe par contre un surcoût lié au travail administratif de gestion des CEE… Mais ça c’est plutôt bon pour l’emploi à priori.”
Franchement, faut arrêter de raconter n’importe quoi FG : la dernière phrase est ridicule…
D’habitude j’essaie d’argumenter mes positions (sinon la discussion n’a rien de constructif) mais là c’est un gag ? c’est moi qui suit fatigué et qui ne comprend plus l’ironie ???
Lau a écrit:
C’est bizarre ce que tu dis fg63. 😮J’ai moi même travaillé dans cet organisme. On nous incitait plutôt à faire le contraire, c’est-à-dire à passer du statut de CEE au statut de bénévole. Comme argument on nous disait que nous étions des militants, que l’organisme avait des difficultés financière et qu’il fallait se montrer généreux … et bla bla bla … et bla bla bla… :tresfache:
Soyons certains de parler du même organisme. Moi je parle de l’UFCV.
Je sais qu’il existe au moins une région UFCV où les formateurs ont fait le choix collectif du bénévolat, dans un but de faire des économies et ainsi limiter un éventuel impact sur les salariés.
Mais bon, les chiffres nous disent que le CEE ne coûte pas plus cher que les mesures de valorisation du bénévolat qui existaient auparavant.
Il existe par contre un surcoût lié au travail administratif de gestion des CEE… Mais ça c’est plutôt bon pour l’emploi à priori.
C’est bizarre ce que tu dis fg63. 😮
J’ai moi même travaillé dans cet organisme. On nous incitait plutôt à faire le contraire, c’est-à-dire à passer du statut de CEE au statut de bénévole. Comme argument on nous disait que nous étions des militants, que l’organisme avait des difficultés financière et qu’il fallait se montrer généreux … et bla bla bla … et bla bla bla… :tresfache:
slem41 a écrit:
“- Il semblerait qu’il y ait des projets de réforme du CEE, justement pour prendre en compte cette spécificité des formations BAFA/D et prolonger dans ce cas la période possible sans repose hebdomadaire.”Ca c’est de l’avancée sociale comme on aime !!!
Avec des mouvements d’éducation populaire qui appuient dans ce sens, plus besoin de se plaindre de Sarkosy…
Personnellement, sur ce point très précis, je me suis battu pour ne pas me faire imposer un repos obligatoire pendant les stages BAFA.
Je ne suis pas formateur pour y gagner de l’argent, je le suis par conviction.
J’ai commencé dans un contexte où le bénévolat devait être la règle, puis le CEE est arrivé et on a fortement été incités par l’organisme à y souscrire… Et pas l’inverse.
“- Il semblerait qu’il y ait des projets de réforme du CEE, justement pour prendre en compte cette spécificité des formations BAFA/D et prolonger dans ce cas la période possible sans repose hebdomadaire.”
Ca c’est de l’avancée sociale comme on aime !!!
Avec des mouvements d’éducation populaire qui appuient dans ce sens, plus besoin de se plaindre de Sarkosy…
Alors :
– On ne peut normalement pas être bénévole ET salarié sur une même mission.
D’ailleurs il n’est pas possible de passer sans cesse du statut de salarié (CEE) à celui de bénévole (cela est encadré par la loi, je ne connais pas les détails.
– Depuis la réforme du BAFA, l’équipe des formateurs est UNIQUE, elle n’est plus CONTINUE.
Un formateur n’est donc pas obligé d’être présent tous les jours et peut très bien avoir son repos hebdomadaire obligatoire (ce qui nuit au suivi des stagiaires par contre).
– J&S a été interpelé sur ce points par les organismes de formation, et il a été clairement dit qu’il y avait une totale tolérance en ce domaine.
Cela m’a été confirmé oralement par l’IJS et une conseillère de ma région… En plus d’un document écrit reçu par le responsable des formations chez moi.
– Il semblerait qu’il y ait des projets de réforme du CEE, justement pour prendre en compte cette spécificité des formations BAFA/D et prolonger dans ce cas la période possible sans repose hebdomadaire.
he ben tu peux avoir un jour de congé non pris en plus
ou bien tu es benevole le jour du congé
😀
salut,
hé bien il y a un jour où le formateur ne forme pas et laisse ses collègues le faire, non?