chebs78 a Ă©crit :
Il Ă©tait une fois un chevalier sans cheval, assis sur une souche, la tĂȘte entre ses mains au milieu d’une forĂȘt immense…Ce fameux chevalier n’Ă©tait autre qu’Alderhan, le chevalier le plus maladroit de tout le royaume. Il se trouvait ainsi dĂ©pitĂ© car depuis plus d’une heure il Ă©tait seul Ă la recherche de sa noble monture…
Le soleil commençait Ă dĂ©cliner et le chevalier Alderhan commençait Ă dĂ©sespĂ©rer quand tout Ă coup il eu lâidĂ©e dâaller Ă la clairiĂšre, au milieu de laquelle trĂŽnait un chĂȘne majestueux, plus grand que tout ceux qu’il avait vu jusque ici. Ses rameaux, oscillaient comme des bras qui semblaient inciter notre hĂ©ros maladroit Ă s’approcher.
S’approchant du grand chĂȘne notre hĂ©ros se sentait de plus en plus attirĂ©, une impression de bien ĂȘtre l’envahit.
Arrivant prĂ©s du grand chĂȘne encore plus majestueux de prĂ©s que de loin, il trĂ©bucha sur une racine et se trouva nez Ă nez avec une muse, la muse du chĂȘne.Il vis dans ses yeux la blanche colombe qui chercha depuis des millĂ©naires.
NaĂŻf comme elle est, la muse s’approcha de lui, lui murmura qu’il Ă©tĂ© la bienvenue dans le nouveau monde majestueux qu’est le “Elfe City”.Alors oubliant que sa monture Ă©tĂ© dans les bois Ă folĂątrer parmi les pĂąquerette et les violette des bois. Il suivit alors la muse Ă l’intĂ©rieur du grand chĂȘne et fut Ă©bloui par Elf City, cette ville magnifique Ă©tincelait de milles couleurs. OĂč qu’il posait son regard, le dĂ©cor fourmillait de choses bizarres et magiques. Ici, Ă droite, une espĂšce de marchĂ© elfique oĂč un petit elfe bedonnant haranguait les passants pour leur vendre une sorte de dĂ©rivĂ© de la tomate. A gauche, une conversation animĂ©e entre 2 elfes conducteurs de chariots tirĂ©s par des libellules menaçait manifestement de tourner au vinaigre. Notre pauvre hĂ©ros aurait bien voulu s’arrĂȘter pour contempler ces 1001 choses mais son guide ne s’arrĂȘtait point. Il l’entraĂźnait au plus profond de Elf City, lĂ oĂč l’atmosphĂšre Ă©tait opaque, la lumiĂšre faiblissante et oĂč tout semblait hostile lorsque, comme si la nuit Ă©tait tombĂ©e brutalement nous nâentendions plus un bruit, plus une lumiĂšre, des corbeaux sâenvolent Ă son approche. Un lieu inconnu. Une ambiance fraĂźche et humide.
Il avance tout doucement sans trop savoir ou il met les pieds. Il est guidĂ© par la petite et douce voix de la belle muse.C’est alors qu’il entre aperçu une joli jeune elfe en plein dĂ©boire. Elle Ă©tait attaquĂ©e par un groupe d’affreux troll. Le chevalier maladroit pris son courage Ă deux mains et deux jambes et aperçu qu’il avait oubliĂ© son glaive sur son fidĂšle destrier, loin lĂ -bas Ă l’air libre.
Etant donnĂ© la taille et le nombre des trolls il Ă©tait impossible de les battre Ă mains nues. Le dĂ©faut principal d’un troll Ă©tait bien entendu leur absence de cerveau. Le chevalier qui lui Ă©tait aussi futĂ© que maladroit, eut l’idĂ©e de crier au troll qu’il y avait une douzaine de fĂ©es prĂȘtes Ă ĂȘtre dĂ©vorĂ©es Ă l’autre bout de la forĂȘt. En quelles que secondes il ne restait plus ici que la muse Ă©prouvĂ©e par ses pĂ©ripĂ©ties et le chevalier qui ne pensait qu’Ă crier, crier sans penser que les fĂ©es Ă©taient en danger.
Alors il s’arrĂȘta de crier et se fit entendre comme un chuchotement lointain, rĂ©pondant Ă son appel. La forĂȘt toute entiĂšre se tĂ»t, comme paralysĂ©e par cet Ă©cho lointain. Le chevalier resta paralysĂ© un instant avant d’entamer une demie rotation vers l’arriĂšre.Et lĂ badaboum, son terrible et flambant neuf destrier Ă©tait lĂ , comme un prince brandissant lâirrĂ©cupĂ©rable princesse coincĂ© dans les grottes de MALICIA. La muse lui proposa donc…
de monter sur son dos,et de l’emmener loin de cette forĂȘt Ă la recherche
Il Ă©tait une fois un chevalier sans cheval, assis sur une souche, la tĂȘte entre ses mains au milieu d’une forĂȘt immense…
Ce fameux chevalier n’Ă©tait autre qu’Alderhan, le chevalier le plus maladroit de tout le royaume. Il se trouvait ainsi dĂ©pitĂ© car depuis plus d’une heure il Ă©tait seul Ă la recherche de sa noble monture…
Le soleil commençait Ă dĂ©cliner et le chevalier Alderhan commençait Ă dĂ©sespĂ©rer quand tout Ă coup il eu lâidĂ©e dâaller Ă la clairiĂšre, au milieu de laquelle trĂŽnait un chĂȘne majestueux, plus grand que tout ceux qu’il avait vu jusque ici. Ses rameaux, oscillaient comme des bras qui semblaient inciter notre hĂ©ros maladroit Ă s’approcher.
S’approchant du grand chĂȘne notre hĂ©ros se sentait de plus en plus attirĂ©, une impression de bien ĂȘtre l’envahit.
Arrivant prĂ©s du grand chĂȘne encore plus majestueux de prĂ©s que de loin, il trĂ©bucha sur une racine et se trouva nez Ă nez avec une muse, la muse du chĂȘne.
Il vis dans ses yeux la blanche colombe qui chercha depuis des millénaires.
NaĂŻf comme elle est, la muse s’approcha de lui, lui murmura qu’il Ă©tĂ© la bienvenue dans le nouveau monde majestueux qu’est le “Elfe City”.
Alors oubliant que sa monture Ă©tĂ© dans les bois Ă folĂątrer parmi les pĂąquerette et les violette des bois. Il suivit alors la muse Ă l’intĂ©rieur du grand chĂȘne et fut Ă©bloui par Elf City, cette ville magnifique Ă©tincelait de milles couleurs. OĂč qu’il posait son regard, le dĂ©cor fourmillait de choses bizarres et magiques. Ici, Ă droite, une espĂšce de marchĂ© elfique oĂč un petit elfe bedonnant haranguait les passants pour leur vendre une sorte de dĂ©rivĂ© de la tomate. A gauche, une conversation animĂ©e entre 2 elfes conducteurs de chariots tirĂ©s par des libellules menaçait manifestement de tourner au vinaigre. Notre pauvre hĂ©ros aurait bien voulu s’arrĂȘter pour contempler ces 1001 choses mais son guide ne s’arrĂȘtait point. Il l’entraĂźnait au plus profond de Elf City, lĂ oĂč l’atmosphĂšre Ă©tait opaque, la lumiĂšre faiblissante et oĂč tout semblait hostile lorsque, comme si la nuit Ă©tait tombĂ©e brutalement nous nâentendions plus un bruit, plus une lumiĂšre, des corbeaux sâenvolent Ă son approche. Un lieu inconnu. Une ambiance fraĂźche et humide.
Il avance tout doucement sans trop savoir ou il met les pieds. Il est guidé par la petite et douce voix de la belle muse.
C’est alors qu’il entre aperçu une joli jeune elfe en plein dĂ©boire. Elle Ă©tait attaquĂ©e par un groupe d’affreux troll. Le chevalier maladroit pris son courage Ă deux mains et deux jambes et aperçu qu’il avait oubliĂ© son glaive sur son fidĂšle destrier, loin lĂ -bas Ă l’air libre.
Etant donnĂ© la taille et le nombre des trolls il Ă©tait impossible de les battre Ă mains nues. Le dĂ©faut principal d’un troll Ă©tait bien entendu leur absence de cerveau. Le chevalier qui lui Ă©tait aussi futĂ© que maladroit, eut l’idĂ©e de crier au troll qu’il y avait une douzaine de fĂ©es prĂȘtes Ă ĂȘtre dĂ©vorĂ©es Ă l’autre bout de la forĂȘt. En quelles que secondes il ne restait plus ici que la muse Ă©prouvĂ©e par ses pĂ©ripĂ©ties et le chevalier qui ne pensait qu’Ă crier, crier sans penser que les fĂ©es Ă©taient en danger.
Alors il s’arrĂȘta de crier et se fit entendre comme un chuchotement lointain, rĂ©pondant Ă son appel. La forĂȘt toute entiĂšre se tĂ»t, comme paralysĂ©e par cet Ă©cho lointain. Le chevalier resta paralysĂ© un instant avant d’entamer une demie rotation vers l’arriĂšre. Et lĂ badaboum, son terrible et flambant neuf destrier Ă©tait lĂ , comme un prince brandissant lâirrĂ©cupĂ©rable princesse coincĂ© dans les grottes de MALICIA. La muse lui proposa doncâŠ
soudain, se fit entendre comme un chuchotement lointain, rĂ©pondant Ă son appel. La forĂȘt toute entiĂšre se tĂ»t….comme paralysĂ©e par cet Ă©cho lointain. Le chevalier resta paralysĂ© un instant avant d’entammer une demie rotation vers l’arriĂšre. Et lĂ …
chebs78 a Ă©crit :
Je reprend:Il Ă©tait une fois un chevalier sans cheval, assis sur une souche, la tĂȘte entre ses mains au milieu d’une forĂȘt immense… […]
Le chevalier qui lui Ă©tait aussi futĂ© que maladroit, eut l’idĂ©e de crier au troll qu’il y avait une douzaine de fĂ©es pretes Ă ĂȘtre devorĂ©es Ă l’autre bout de la foret. En qq secondes il ne restait plus ici que la muse eprouvĂ©e par ses peripeties et le chevalier qui ne pensait qu’Ă …
Crié,crié sans penser que les fées étais en danger.
Alors il s’arrĂȘta de criĂ© et …
Je reprend:
Il Ă©tait une fois un chevalier sans cheval, assis sur une souche, la tĂȘte entre ses mains au milieu d’une forĂȘt immense…
Ce fameux chevalier n’Ă©tait autre qu’Alderhan, le chevalier le plus maladroit de tous le royaume.
Il se trouvait ainsi dĂ©pitĂ© car depuis plus d’une heure il Ă©tait seul Ă la recherche de sa noble monture…
Le soleil commencait Ă dĂ©cliner et le chevalier Alderhan commencait Ă dĂ©sespĂ©rer quand tout Ă coup…
Il se retrouva au bord d’une clairiĂšre, au milieu de laquelle tronait un chĂȘne majestueux, plus grand que tout ceux qu’il avait vu jusque ici. Ses rameaux, oscilaint comme des bras qui semblaient inciter notre hĂ©ros maladroit Ă s’approcher.
S’approchant du grand chĂšne notre hĂ©ros se sentait de plus en plus attirĂ©, une impression de bien ĂȘtre l’envahit.
Arrivant prĂ©s du grand chĂšne encore plus majestueux de prĂ©s que de loin, il trĂ©bucha sur une racine et se trouva nez Ă nez avec…
avec une muse, la muse du chĂȘne.
Il vi dans ses yeux la blanche colombe qui chercha depuis des millénaires.
NaĂŻf comme elle est, la muse s’approcha de lui, lui murmura qu’il Ă©tĂ© la bienvenue dans le nouveau monde majestueu qu’est le “Elfe-city”.
Alors oubliant que sa monture Ă©tĂ© dans…
… dans les bois Ă folatrer parmi les paquerette et les violette des bois. Il suivit alors la muse Ă l’intĂ©rieur du grand chĂȘne et fut Ă©bloui par…
ElF City, cette ville magnifiques Ă©tincelait de milles couleurs. OĂč qu’il posait son regard, le dĂ©cors fourmillait de chose bizarres et magiques. Ici, Ă droite, un espĂšce de marchĂ© elfique oĂč un petit elfe bedonnant haranguait les passants pour leur vendre une sorte de dĂ©rivĂ© de la tomate. A gauche, une conversation animĂ©e entre 2 elfes conducteurs de chariots tirĂ©s par des libellules menaçait manifestement de tourner au vinaigre. Notre pauvre hĂ©ros aurait bien voulu s’arrĂȘter pour contempler ces 1001 choses mais son guide ne s’arrĂȘtait point. Il l’entrainait au plus profond de Elf City, lĂ oĂč l’atmosphĂšre Ă©tait opaque, la lumiĂšre faiblissante et oĂč tout semblait hostile….
lorsque tout d un coup, comme si la nuit etait tombé britalement. plus un bruit, plus une lumiere, des corbeau s envole a son approche. un lieu inconnu. une ambiance fraiche et humide.
il avance tout doucement sans trop savoir ou il met les pieds. il est guidĂ© par la petite et douce voix de la belle muse…..
… C’est alors qu’il entre aperçu une joli jeune elfe en plein dĂ©boire. Elle Ă©tait attaquĂ©e par un groupe d’affreux troll. Le chevalier maladroit pris son courage Ă deux mains et deux jambes et….
aperçu qu’il avait oubliĂ© son glaive sur son fidĂšle destrier, loin lĂ -bas Ă l’air libre.
Etant donnĂ© la taille et le nombre des troll il Ă©tait impossible de les battre Ă mains nues. Le defaut principal d’un troll etait bien entendu leur absence de cerveau. Le chevalier qui lui Ă©tait aussi futĂ© que maladroit, eut l’idĂ©e de crier au troll qu’il y avait une douzaine de fĂ©es pretes Ă ĂȘtre devorĂ©es Ă l’autre bout de la foret. En qq secondes il ne restait plus ici que la muse eprouvĂ©e par ses peripeties et le chevalier qui ne pensait qu’Ă …
Etant donnĂ© la taille et le nombre des troll il Ă©tait impossible de les battre Ă mains nues. Le defaut principal d’un troll etait bien entendu leur absence de cerveau. Le chevalier qui lui Ă©tait aussi futĂ© que maladroit, eut l’idĂ©e de crier au troll qu’il y avait une douzaine de fĂ©es pretes Ă ĂȘtre devorĂ©es Ă l’autre bout de la foret. En qq secondes il ne restait plus ici que la muse eprouvĂ©e par ses peripeties et le chevalier qui ne pensait qu’Ă …
aperçu qu’il avait oubliĂ© son glaive sur son fidĂšle destrier, loin lĂ -bas Ă l’air libre.
… C’est alors qu’il entre aperçu une joli jeune elfe en plein dĂ©boire. Elle Ă©tait attaquĂ©e par un groupe d’affreux troll. Le chevalier maladroit pris son courage Ă deux mains et deux jambes et….
lorsque tout d un coup, comme si la nuit etait tombé britalement. plus un bruit, plus une lumiere, des corbeau s envole a son approche. un lieu inconnu. une ambiance fraiche et humide.
il avance tout doucement sans trop savoir ou il met les pieds. il est guidĂ© par la petite et douce voix de la belle muse…..
( ya des mots un peu compliker kan meme dans votre histoire… (c koi une muse? a pars un rapace…?))
ElF City, cette ville magnifiques Ă©tincelait de milles couleurs. OĂč qu’il posait son regard, le dĂ©cors fourmillait de chose bizarres et magiques. Ici, Ă droite, un espĂšce de marchĂ© elfique oĂč un petit elfe bedonnant haranguait les passants pour leur vendre une sorte de dĂ©rivĂ© de la tomate. A gauche, une conversation animĂ©e entre 2 elfes conducteurs de chariots tirĂ©s par des libellules menaçait manifestement de tourner au vinaigre. Notre pauvre hĂ©ros aurait bien voulu s’arrĂȘter pour contempler ces 1001 choses mais son guide ne s’arrĂȘtait point. Il l’entrainait au plus profond de Elf City, lĂ oĂč l’atmosphĂšre Ă©tait opaque, la lumiĂšre faiblissante et oĂč tout semblait hostile….
… dans les bois Ă folatrer parmi les paquerette et les violette des bois. Il suivit alors la muse Ă l’intĂ©rieur du grand chĂȘne et fut Ă©bloui par…
avec une muse, la muse du chĂȘne.
Il vi dans ses yeux la blanche colombe qui chercha depuis des millénaires.
NaĂŻf comme elle est, la muse s’approcha de lui, lui murmura qu’il Ă©tĂ© la bienvenue dans le nouveau monde majestueu qu’est le “Elfe-city”.
Alors oubliant que sa monture Ă©tĂ© dans…
S’approchant du grand chĂšne notre hĂ©ros se sentait de plus en plus attirĂ©, une impression de bien ĂȘtre l’envahit.
Arrivant prĂ©s du grand chĂšne encore plus majestueux de prĂ©s que de loin, il trĂ©bucha sur une racine et se trouva nez Ă nez avec…
Il se retrouva au bord d’une clairiĂšre, au milieu de laquelle tronait un chĂȘne majestueux, plus grand que tout ceux qu’il avait vu jusque ici. Ses rameaux, oscilaint comme des bras qui semblaient inciter notre hĂ©ros maladroit Ă s’approcher.
Ce fameux chevalier n’Ă©tait autre qu’Alderhan, le chevalier le plus maladroit de tous le royaume.
Il se trouvait ainsi dĂ©pitĂ© car depuis plus d’une heure il Ă©tait seul Ă la recherche de sa noble monture…
Le soleil commencait Ă dĂ©cliner et le chevalier Alderhan commencait Ă dĂ©sespĂ©rer quand tout Ă coup…
Il Ă©tait une fois un chevalier sans cheval, assis sur une souche, la tĂȘte entre ses mains au milieu d’une forĂȘt immense…