infobébé.com

12 sujets de 1 à 12 (sur un total de 12)
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    Messages
  • #184127
    Import
      @import

      Et puis ça a quand même un autre gout le poulet bio que le poulet de merde éco+ vendu par Edouard. Bien sur on n’est pas obligé d’acheter bio poru avoir de la bonne volaille… on peut viser le label rouge mais on est dès lors dans les mêmes prix… alors pourquoi pas du bio !

      #184130
      Import
        @import

        La bouffe bio est-elle meilleure à la santé ? ça n'est pas prouvé et c'est aussi un argument commercial. On peut aussi améliorer la qualité des repas sans forcément passer par le bio.

        Oui on peut améliorer la qualité des repas mais :

        – oui l’alimentation bio est meilleure pour la santé car elle contient une dose maximale de pesticide et ne doit pas contenir de conservateurs, d’antioxydant de synthèse,… ou tout autre additif réputés dangereux pour la santé, favorisant les cas de diabètes et interdits dans certains pays européeens.

        – l’alimentation bio, simple ET de proximité est aussi meilleure pour la planète et ça n’importe quelle étude scientifique te le dira.

        Et je ne pense pas que le fait que les gamins lèchent l’assiette n’est pas forcemment un gage de qualité et de sécurité alimentaire.

        Pour moi l’alimentation bio n’a jamais été un argument commercial pour “vendre” mes séjours mais bien une politique globale servant à la fois un intérêt économique, éthique et écologique (au même titre que l’abandon des produits d’entretiens sans l’écolabel, l’achat prioritairement de jeux français en bois, la suppression de la vaisselle jetable,…). Derrière c’est aussi l’image de la collectivité qui est valorisée en montrant que le choix du développement durable (ou de la régression soutenable) est viable, notamment économiquement.

        Mais bien sur on peut se voiler la face et faire une fois par un un petit projet sur le développement durable et sur le tri avec les enfants ; ça ne mange pas de pain mais c’est particulièrement hypocrite et inutile si ce n’est pas une remise en cause profonde de nos modes de production et de consommation.

        #184147
        Al-Batros
          @al-batros

          Salut la Foule,

          corection c’est infobebe.com et pas bébé

          Non,non, mais c’est pô grave.

          ensuite dans ma colo il la bouffe est super, les enfants leche l’assiete meme les petit de 6 ans et meme les legumes, les 3/4 des enfants sont des habitué depuis des année, leur parent, leur frere et soeur et les cousin cousin on tres souvent eux aussi fait les colos
          les effectifs sont de plus en plus ennorme, on en vient a refuser de plus en plus d’enfant (on trouve plus de mono!)

          Quand on est directeur, il faut bien choisir son cuistot.
          C’est une chose hyper importante.

          Vous les jeunes, vous pouvez pas comprendre.

          Bio ou pas bio, ce n’est pas important.

          Bravo à toi, Lau. En deux posts, tu as rassemblé des raisons majeures qui créé la désaffection pour les ACM.

          Peut être, prochainement les zorganisateurs comprendront.

          Al Batros

          #184171
          myriam
            @myriam-2

            corection c’est infobebe.com et pas bébé

            ensuite dans ma colo il la bouffe est super, les enfants leche l’assiete meme les petit de 6 ans et meme les legumes, les 3/4 des enfants sont des habitué depuis des année, leur parent, leur frere et soeur et les cousin cousin on tres souvent eux aussi fait les colos
            les effectifs sont de plus en plus ennorme, on en vient a refuser de plus en plus d’enfant (on trouve plus de mono!)

            #184178
            Lau
            Modérateur
              @lau

              Oui mais la mauvaise bouffe suffit-elle à expliquer la baisse de fréquentation des séjours ? 😕

              La bouffe bio est-elle meilleure à la santé ? 😕 ça n’est pas prouvé et c’est aussi un argument commercial. On peut aussi améliorer la qualité des repas sans forcément passer par le bio.

              #184226
              Al-Batros
                @al-batros

                Salut à toi, Greg2024,

                Pour info sur mon précédent centre social, on était passé à des repas (sur les camps) et goûter à 50% bio mini sans réelle augmentation du coût de ceux-ci par le passage à des aliments plus simples et moins cher comme le pain confiture pour les gouters en lieu et place des biscuits Eco+ dégeulasse de notre cher Edouard… Avec les économies réalisées les gamins avaient même droit à la brioche du boulanger local…

                Je te remercie pour ton super exemple qui va, je l’espère, susciter des initiatives heureuses.

                (Bon un nouveau directeur est passé et a supprimé la brioche… le gros c… !)

                Un gros cornichon, ça tu peux le dire!

                Al Batros

                PS: Il a supprimer la brioche, mais est ce qu’il les a supprimés du 5ème repas?

                #184232
                Import
                  @import

                  Pour info sur mon précédent centre social, on était passé à des repas (sur les camps) et goûter à 50% bio mini sans réelle augmentation du coût de ceux-ci par le passage à des aliments plus simples et moins cher comme le pain confiture pour les gouters en lieu et place des biscuits Eco+ dégeulasse de notre cher Edouard… Avec les économies réalisées les gamins avaient même droit à la brioche du boulanger local…

                  (Bon un nouveau directeur est passé et a supprimé la brioche… le gros c… !)

                  #184236
                  Al-Batros
                    @al-batros

                    Salut la Foule et à toi, en particulier, Lau,

                    J’avais pensé aux prix exorbitants des séjours.

                    450 euros pour 10 jours, ça fait 45 euros par jour.

                    Pour ce prix là, les enfants ont intérêt d’être bien nourris. (CornichonS de premier choix pour les enfants, aussi.)

                    En fait, les directeurs s’approvisionnent dans les magasins discount où on vend de la bouffe à faire vomir un rat.
                    Les minôts savent tout, on peut rien leur cacher, n’est ce pas. Ils informent leux vieux.

                    N’y a t’il pas des choses à faire?

                    Al Batros

                    PS: Il y a aussi le problème des familles qui ne savent pas ce qu’ils auront en échange des 450 euros.
                    Les informations sur les engagements prix pour les familles ne sont que rarement officialisées.

                    #184243
                    Lau
                    Modérateur
                      @lau

                      Salut à toi Al-Batros :coucou:

                      On est passé de 14% à 10%, pourquoi?

                      Les raisons de cette baisse sont assez connues, non ? 😕

                      La mauvaise réputation des colos, la préférence des parents pour les CLSH, certaines affaires qui ont fait de grands bruits dans l’actualité … 🙁

                      En plus, la légéreté de certains organisateurs ne fait rien pour arranger tout ça ! 😮 :non: :tresfache:

                      #184260
                      Al-Batros
                        @al-batros

                        Salut à toi, Magicmimi,

                        Merci pour ce document intéressant.

                        J’ai été surpris par le fait que l’adresse est bien:

                        http://www.infobébé.com

                        D’habitude, il n’y a pas de lettre accentuée dans les URL.

                        Ce n’est qu’un détail.

                        Le site me sembe en construction, il y a des raccourcis brisés.

                        Souhaitons leur bonne chance.

                        Une phrase m’interpelle:
                        “Seuls 10 % des 5-19 ans ont déjà tenté l’aventure aujourd’hui, contre 14 % il y a dix ans.”

                        On est passé de 14% à 10%, pourquoi?

                        Les ACM ne conviennent pas aux minôts des parents?, ni aux parents des minôts?
                        Etc.

                        Al Batros

                        #8059
                        myriam
                          @myriam-2
                          #184281
                          myriam
                            @myriam-2

                            je sait pas si vous connaissais se site moi je suis inscrite a 2 newsletter yen a une pour les bébé et une pour les plus gd et puis comme ya un article sur les “colo” je voulais vous en faire profiter
                            voila

                            Les jolies colonies de vacances !

                            Riche en activités et en rencontres, les “colos” aident aussi nos enfants à devenir plus grands ! Toutefois, et surtout s’il s’agit d’une première séparation avec papa et maman dans un cadre inconnu, il convient de bien choisir le lieu et la durée, et de préparer à l’avance son enfant. Petit guide.

                            ” Qu’allons-nous faire des enfants cette été ? ” La question revient chaque année, mais cette fois, c’est décidé, vous prendrez l’option ” colo ” ! Sportive, linguistique, musicale… il existe mille et une formules de séjour pour les petits. Riches en expérience, les colonies de vacances sont pourtant de plus en plus boudées par les enfants… Seuls 10 % des 5-19 ans ont déjà tenté l’aventure aujourd’hui, contre 14 % il y a dix ans. Il faut dire que laisser partir seule sa progéniture est toujours angoissant pour les parents. A vous de veiller au bon choix du séjour pour leur garantir des vacances top plaisir !

                            Pas facile de se décider
                            Dès l’âge de trois ou quatre ans, il est possible d’envoyer son enfant en colonie de vacances. Toutefois, attendre son sixième anniversaire semble plus raisonnable pour expérimenter les vacances loin de papa et maman. C’est aussi à cet âge que l’école les emmène en classe de neige ou en classe verte… Partir une première fois seul, dans le cadre d’une colo, peut l’aider à apprécier les séjours organisés par la maîtresse.

                            Règle numéro un : ne jamais inscrire votre enfant en colonie de vacances sans lui en avoir fait part auparavant ! Soumettez-lui d’abord l’idée puis laissez-le réfléchir quelques jours, voire quelques semaines. La décision doit se prendre ensemble, après une longue discussion.

                            Si c’est un non catégorique, ne le forcez pas, c’est le meilleur moyen pour que le séjour se transforme en vrai cauchemar. Dîtes-lui que ce n’est pas grave et qu’il pourra partir l’année prochaine s’il le souhaite ! Tentez tout de même de comprendre les raisons de son refus : timidité, peur de la séparation, etc. Pourquoi ne pas lui proposer de partir avec un(e) copain(e), un(e) cousin(e)… ? A deux, c’est tellement plus facile de vivre cette aventure !

                            ” Un soir, Coleen est rentrée de l’école avec un papier sur un séjour organisé par un centre de colonie, à la montagne. Merveilleux pour elle qui n’y avait jamais été. Roller, ski sur herbe, poney, voile, vélo, randonnée, piscine… Elle s’y voyait déjà ! Il faut dire qu’elle est assez autonome. De plus, le fait de savoir qu’elle allait passer quinze jours loin de son petit frère la réjouissait déjà ! Le seul inconvénient pour nous restait le prix (450 euros pour 10 jours). Elle nous a répondu que nous n’avions qu’à prendre son argent à la banque. Elle se “payait” donc ses vacances. Elle semblait vraiment décidée à partir… ” Delphine, maman de Coleen, 9 ans, et Baptiste, 5 ans.

                            Comment choisir sa colonie ?
                            Les activités. Des colos, il en existe des sportives, des scientifiques, des longues, des courtes, en France, à l’étranger et il y en a tellement qu’on ne sait plus comment choisir ! Voyez ce qui pourrait enthousiasmer votre enfant : découverte de la Nature, stage de voile, voyage linguistique, initiation au violon… C’est important qu’il trouve un intérêt au séjour.

                            La durée. Pour des premières vacances loin de vous, préférez les courtes durées (une semaine maximum). Vous trouverez bien un autre moyen de l’occuper le reste de l’été. En revanche, si c’est un habitué des colos, aucun problème, une, deux ou trois semaines, voire un mois entier… tant qu’il s’y sent bien, c’est l’essentiel.

                            L’organisme. Si d’autres parents vous recommandent un séjour pour votre enfant, vérifiez quand même qu’il s’agisse d’un organisme « sûr », ayant pignon sur rue. Il n’existe pas de liste « officielle » des accueils déclarés. Renseignez-vous auprès de la Direction départementale de la jeunesse et des sports, des Centres Information-Jeunesse (CIDJ, réseau IJ…), de votre comité d’entreprise, de votre mairie ou de votre Caisse d’allocations familiales.
                            Une fois l’organisme trouvé, posez toutes les questions que vous souhaitez, sur les conditions d’hébergement et d’encadrement, les activités, etc. Les organisateurs sont là pour vous répondre et vous rassurer.

                            Plusieurs organismes peuvent vous aider à financer les vacances de votre enfant. Adressez-vous à votre comité d’entreprise, à votre Caisse d’allocations familiales ou à votre mairie.

                            Partir loin de papa et maman

                            Une séparation difficile
                            Votre enfant était ravi à l’idée de partir en colonie de vacances, mais voilà qu’à quelques jours du départ, il ne veut plus vous quitter ! Son angoisse peut se manifester de différentes manières : maux de ventre, perte d’appétit, troubles du sommeil, etc. Pas de panique, beaucoup d’enfants réagissent de cette manière. Ils réalisent que très vite, ils seront séparés de vous : fini les câlins avant de dormir, fini les repas en famille… Ne cédez pas à ses peurs en annulant le séjour, usez plutôt de vos pouvoirs maternels pour le rassurer.

                            Ce qu’il faut faire :
                            – discuter avec lui de ses peurs ;
                            – insister sur tous les bons moments qu’il va passer : ” tu vas te faire plein de copains ! “, ” tu vas faire plein d’activités ! ” ;
                            – lui faire savoir qu’il pourra vous joindre au téléphone à tout moment.

                            Si les ” au revoir ” sont des moments déchirants pour les enfants, ils le sont aussi pour vous ! Ne vous éternisez pas en mots d’amour et en bisous, un tel comportement rend le départ plus difficile encore. Souhaitez-lui plutôt de bonnes vacances et demandez-lui de vous téléphoner, s’il en a la possibilité, dès son arrivée au camp. Ainsi, pas de drame !

                            ” A quelques semaines du départ, il commençait à angoisser et à nous dire qu’il ne voulait plus partir. Alors, nous l’avons rassuré comme nous avons pu : nous avons préparé un petit album de photo, trié ensemble les affaires qu’il allait emmener… ” Jolande, maman de Clément, 6 ans.

                            ” Le départ s’est très bien passé ! Ils étaient excités et m’ont aidé à préparer leurs valises. A la gare, c’était des grands signes et des gros bisous. Pour nous, les parents, c’était une petite larme à l’oeil. ” Sophie, maman d’Alexis, 7 ans, et Jérémie, 5 ans.

                            Les premiers pas vers l’indépendance…
                            Pour certains enfants, partir loin des parents ne pose aucun problème ! Ce sont généralement des petits plein de confiance et sociables. Pour d’autres en revanche, partir en colonie de vacances demande un gros effort : d’abord d’intégration, mais aussi d’autonomie.

                            ” Les colos laissent aux enfants des souvenirs inoubliables, les ouvrent sur un autre monde. Ils s’amusent un maximum… et ça leur apprend à devenir très autonome sans leurs parents. Je pense que je mettrai mes enfants en colonie de vacances si ça leur plait. Du moins je les encouragerai lorsqu’ils en auront l’âge ! ” Delphine, maman de Kévin, 3 ans ½, et Paul, 1 mois, et ancienne animatrice de colo

                            Dans le car ou le train qui les mènent au centre, les enfants vont faire connaissance. Mais, à cet âge, pas facile d’aller vers les autres ! Les animateurs trouvent souvent le moyen, par le jeu, d’apprendre à se connaître. L’intégration se fera rapidement et sans problèmes pour la plupart. Pour d’autres, quelques jours de plus seront nécessaires pour se sentir vraiment bien.

                            La colo est aussi l’occasion pour votre enfant de développer son autonomie et le sens de l’initiative. Il participe à la vie en communauté : vaisselle, rangement… A son retour, vous le trouverez très certainement grandi !

                            Savoir garder la bonne distance.
                            Un coup de fil chaque jour ou une lettre par semaine… à vous de trouver le juste milieu ! Loin de vous, votre enfant doit ni se sentir ” oublié “, ni, à l’inverse, trop surveillé.
                            De votre côté, si l’envie de téléphoner à votre trésor vous démange, essayez de vous contrôler. Il ne doit pas sentir qu’il vous manque, mais au contraire, que vous profitez de son absence pour faire plein de choses. Pour vous rassurer, les organisateurs du séjour prévoient presque toujours un moyen de prendre des nouvelles des enfants (répondeur téléphonique, boîte mail…).

                            La sécurité

                            Vos angoisses
                            Votre petit quitte le nid… pour quelques jours seulement. Mais, en tant que parent, vous imaginez le pire et c’est légitime. Seuls la moitié des parents se disent favorables au départ de leurs enfants en centre de vacances et un tiers ont déjà fait partir un ou plusieurs de ses enfants en colo.
                            Votre première crainte ? Pour 54 % des parents, il s’agit des abus sexuels et les plus jeunes d’entre vous (moins de 35 ans) sont les premiers effrayés. Une liste des ” personnes interdites ” est régulièrement actualisée et mise à disposition des organisateurs de séjour.
                            Viennent ensuite les tentations de la drogue ou de l’alcool (si votre enfant et en préadolescence) et le manque de surveillance… Sachez que statistiquement pourtant, les accidents sont plus fréquents lors des vacances en famille !

                            ” Tous les jours, nous pouvions suivre leurs activités par l’intermédiaire d’un message téléphonique sur répondeur. Nous pouvions aussi leur envoyer des messages par mail. Et quand mon grand est tombé malade, rien de grave, juste un gros rhume, nous avons été avertis tout de suite et ils ont fait venir le médecin. ” Sophie, maman d’Alexis, 7 ans et Jérémie, 5 ans.

                            Une réglementation très stricte
                            Les ” monos “. Ils doivent être âgés de plus de 18 ans et titulaire du BAFA (Brevet d’aptitude à la fonction d’animation), dont la formation dure 28 jours. Ne soyez pas étonné(e) d’apprendre que certains d’entre eux sont mineurs : la réglementation autorise dans les effectifs d’encadrement, 30 % de stagiaires et 20 % de personnes non qualifiées.
                            La colo doit compter un animateur pour douze mineurs maximum et pour huit mineurs maximum, s’ils ont moins de six ans.

                            Les dortoirs. Si votre enfant a moins de six ans, il peut passer ses nuits dans une chambre mixte. Au-delà de cet âge, filles et garçons sont séparés. Les enfants doivent, bien entendu, disposer d’un couchage individuel.

                            La santé. Au moment de l’inscription, vous remplirez une fiche sanitaire de liaison. Celle-ci permet de renseigner les organisateurs sur l’état de santé de votre enfant : ses traitements médicaux, les personnes à contacter en cas d’urgence, etc. Il vous sera également demander un certificat médical si votre enfant va pratiquer des activités physiques pendant le séjour et, s’il suit un traitement médicamenteux, ses ordonnances médicales.

                            En cas de litige : certaines des activités que vous aviez payées ont été annulées, votre enfant s’est plaint de la nourriture ou d’un manque d’hygiène, les animateurs ont laissé les petits un peu trop libres à votre goût… Pour toute remarque ou plainte, vous pouvez vous adresser aux directions départementales de la jeunesse et des sports ou aux directions départementales de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes.

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