sosvoyages a écrit :
« se placer a l’écart des lois de l’économie c’est dépendre de la vigeur d’une inspiration politique soumise au aléas de la conjoncture »
Et oui ! C’est clair qu’au gré des décisions politiques le monde associatif est parfois amené à souffrir… Mais bon, il est aussi parfois bien aidé.
C’est un peu pareil pour le monde commercial, même si pour lui l’impact est bien moindre, et donc la pérennité plus aisée sur CE critère.
Quand 3.000.000 d’enfants ne partent pas en vacances chaque année (i.e. plus de 4 nuits consécutives en dehors de leur domicile), qu’est-ce que ce serait si on retirait les aides de la CAF, des collectivités, des CE ?
Les “colos à 10 Frs.” sont une nécessité sociale pour permettre aux plus défavorisés d’offrir des vacances à leurs enfants. Le programme de réussite éducative (PRE) est un exemple. Quand des parents ne savent pas comment ils vont nourrir leurs gamins à la fin du mois, il me semble compliqué d’épargner pour des séjours à 3000 €/semaine.
Dois-je rappeler le nombre de français sous le seuil de pauvreté en 2009 ? N’ont-ils pas droit eux aussi à des vacances ? En retirant toutes les aides, quelles familles pourront se payer les séjours à des tarifs exorbitants ? Et ça ne changera en rien le marché concurrentiel et la recherche du prix minimum pour rameuter des clients potentiels…
Après, j’entends la cause de ton association. Effectivement, il y a des associations (qui en ont que le nom) qui abusent de leurs avantages au nez des parents (voire des équipes d’animation) en affichant des offres alléchantes et prometteuses qu’elles ne respectent en rien pour raison budgétaire. Ces entreprises là devraient être traitées différemment.
Mais les associations ne sont pas à mettre toutes dans le même panier. Et il me semble dangereux de réduire une telle problématique à une citation.
réponse a Shaaa
Shaaa a écrit :
j’estime que les pouvoirs publics peuvent aider financièrement les familles et les structures de loisirs.
.
Dans son ouvrage « du tourisme social au tourisme associatif » qui a pour sous titre crises et mutations des associations de tourisme tjr chez harmattan jean froidure dit :
« se placer a l’écart des lois de l’économie c’est dépendre de la vigeur d’une inspiration politique soumise au aléas de la conjoncture »
Cordialement
alexis Selinger
matw a écrit
Donc pour repréciser ma pensée, il faut savoir si l’on part pour être animateur ou accompagnateur d’un groupe. Dans un séjour, il faut donc un mélange des deux et bien sur le principal reste la satisfaction des enfants qui est des fois supérieures dans des animations biens construites, que dans des activités de consommation. Là encore, c’est un très large débat
Je suis entièrement d’accord a vec ce point de vue.
Les objectifs de l’activité, sa préparation, sont les choses les plus importantes. Le titre seul d’une activité ne veux souvent pas dire grand chose.
sosvoyages a écrit à propos du livre noir de l’animation socioéducative
« de l’association comme capacité de parole dans l’espace public,a l’association comme modalités de gestion d’un ensemble de services paracommerciaux,parapublics,paramunicipaux etc il y a la distance qui nous autorise aujourd’hui a analyser en quoi des pratiques de gestion des hommes se drapent dans les grands principes de la tradition associative avec laquelle ils n’ont plus rien a voir »
Nous sommes confronté a un triple langage des associations qui ne peut qu’être que contradictoire Un discours destiné aux élues politiques et syndicaux qui sont les bailleurs de fonds,un autre ciblé sur les parents qu’il faut rassurer le troisième en direction des animateurs pour leurs faire accepter d’être exploités et precarisés au nom d’un pretendue mission d’éducation populaire.
Le livre noir de l’éducation socio éducative est un livre interessant et utile, mais il parle essentiellement de l’animation professionnelle. Les ACM n’y tiennent qu’une petite partie. En plus les deux types d’animation sont traités avec la même approche. A mon sens c’est une erreur. Il faut savoir, aussi, par qui ce livre a t’il été écrit. Il est normal qu’ils défendent les salariés.
Pour renceflog
Tu as déjà du te rendre compte que le monde de l’animation est un monde de passionné. Tu as lu des avis extrèmes, contradictoires, modérés etc. :titille: Des fois c’est pire!
Je pense que tu as déjà pu te faire une idée et relativiser certaines choses., mais cela sera encore plus net lorsque tu auras lu plus de messages des habitués, dont je fais partie. 🙂
sosvoyages a écrit :
Bjr Shaaaje poserais une 3 eme question qui paye le séjour ,elle dans sa totalité ou pour une large partie une collectivité locale ,un CE ou la CAF
cordialement
alexis Selinger
Quand l’accès au loisir et aux vacances est un droit reconnu par la CIDE et ratifié par la France, j’estime que les pouvoirs publics peuvent aider financièrement les familles et les structures de loisirs.
Donc c’est une autre question qui viendra plus tard.
Pfff… On vois bien le haut niveau de ta réflexion ‘journalistique” qui se veut d’une grand objectivité et exempte de toute intervention gratuite…
—–
Apprend à mieux connaître ce secteur de l’animation que tu attaques tant, et tu verras que ce n’est pas nouveau d’y trouver des gens qui regrettent que les publics ayant le moins accès aux ACM sont les classes moyennes, trop riches pour percevoir des aides et trop pauvres pour pouvoir financer elles-mêmes et librement les vacances de leurs enfants.
Cet état de fait ne concerne pas les colos d’ailleurs !
fg63 a écrit :
C’est plus ennuyeux si on ajoute un engagement social et citoyen, qui consiste à rendre les loisirs accessibles au plus grand nombre, y compris ceux qui ont peu de moyens et ceux qui n’ont pas accès aux aides que tu décries tant( classes moyennes).
tjr aussi demago voila que le ” lumpen prolétariat” s’intéresse aux classes moyennes Je ne décris ni les aides,ni ceux qui en bénéficient mais ceux qui en profitent
alexis selinger
sosvoyages a écrit :
réponse fg 632 jours a disneyland je vois que tu est fâché tant avec la gestion des budgets que l’organisation
Un pass de 2 jours prix vaut prix individuel 99 euros 1 jour 57 euros Tu connait beaucoup d’ACM subventionné par la CAF ou les communes qui vont accepter de payer un tel droit d’entré auquel il faut rajouter le cout de la restauration
2 jours cela implique aussi un hébergement et la pas question de venir avec ta tente, ton réchaud et ta glaciere la region parisienne est dépourvue de camping et ceux qui existent son archi complet
Par ailleurs visiter Paris en car est difficile a cause des interdictions de stationner ce qui implique de prévoir des frais sup
La réponse d’AL Batros fut elle cynique est parfaitement en phase avec la réalité du terrain
alexis Selinger
– Tu annonces un pris de 99€ qui est le “plein tarif”…
Tu ignores donc que les groupes ont des tarifs préférentiels ? Et c’est moi qui suis fâché avec l’organisation et la gestion d’un budget ?
– Tu ignores aussi visiblement que non seulement pas mal d’ACM organisent des séjours chez Mickey, mais aussi qu’il existe des séjours qui ne font que ça : le tour des parcs d’attraction de France (ça ne devrait pas te déplaire ce genre de thème).
– Il existe des campings autour de Disneyland, et pas forcément inaccessibles… Mais bien entendu, les ACM ne privilégient pas spécialement ce mode d’hébergement, tu es une fois de plus dans une image issue de ton esprit et de ta volonté de discréditer un secteur, plutôt que dans une analyse objective.
Pour l’anecdote, on trouve même un camping DANS Paris (c’est la loi qui le rend obligatoire) !
– Une visite de Paris devrait forcément se faire en car ???
Pour ma part, quand j’y suis allé avec un groupe de jeunes, on a utilisé deux minibus pour s’y rendre (on ne venait pas de loin, et on n’était pas nombreux), on s’est garé dans un parking souterrain et on a ensuite utilisé nos p’tites jambes et les transports en commun pour se déplacer.
Paris est également très facilement accessible en train (Disneyland aussi d’ailleurs). C’est une solution pratique, confortable, sécurisée et pas forcément inabordable financièrement.
—–
Pour revenir sur le coût, il est clair qu’en tant que directeur je vais à priori préférer dépenser 100 € par enfant sur plusieurs activités, plutôt qu’une seule…
Cela dit, si le projet que l’on a a sa raison d’être (par exemple une sortie à Disneyland organisée par les jeunes, pour eux, en se prenant en main avec l’accompagnement des adultes), je ne vois pas de soucis à dépenser beaucoup.
Il ne faut toutefois pas se leurrer : les colos ne fabriquent que de faux billets pour leurs activités, pas encore pour payer des prestataires…
L’argent ne poussant pas non plus dans les arbres, il faut faire des choix : si on dépense tout son budget dans UNE sortie, on ne fera plus rien d’intéressant derrière.
Si on veut dépenser plus d’argent, il faut le trouver, et donc augmenter les tarifs de l’ACM.
Pas de soucis si on est dans une logique commerciale : on propose une offre, elle rencontre une clientèle prête à la payer et tout va bien.
C’est plus ennuyeux si on ajoute un engagement social et citoyen, qui consiste à rendre les loisirs accessibles au plus grand nombre, y compris ceux qui ont peu de moyens et ceux qui n’ont pas accès aux aides que tu décries tant( classes moyennes).
Bjr Shaaa
je poserais une 3 eme question qui paye le séjour ,elle dans sa totalité ou pour une large partie une collectivité locale ,un CE ou la CAF
cordialement
alexis Selinger
réponse fg 63
2 jours a disneyland je vois que tu est fâché tant avec la gestion des budgets que l’organisation
Un pass de 2 jours prix vaut prix individuel 99 euros 1 jour 57 euros Tu connait beaucoup d’ACM subventionné par la CAF ou les communes qui vont accepter de payer un tel droit d’entré auquel il faut rajouter le cout de la restauration
2 jours cela implique aussi un hébergement et la pas question de venir avec ta tente, ton réchaud et ta glaciere la region parisienne est dépourvue de camping et ceux qui existent son archi complet
Par ailleurs visiter Paris en car est difficile a cause des interdictions de stationner ce qui implique de prévoir des frais sup
La réponse d’AL Batros fut elle cynique est parfaitement en phase avec la réalité du terrain
alexis Selinger
(Bonjour Florence)
Quelles sont tes priorités pour les vacances de tes enfants ?
Quelles sont les envies de tes enfants pour leurs vacances ?
Eh bien, “consommation” ne va pas à l’encontre de “pédagogie”. On peut très bien avoir une très bonne action éductive en ne proposant que des sorties Dysneyland ou autres.
En effet, l’opposition n’est pas systématique…
Mais tout dépend du travail que l’on fait autour de l’activité de consommation…
Par exemple, si on vend un séjour à Disneyland, clé en main, on n’offrira pas grand’chose de plus qu’une journée agréable (ce qui est déjà bien après tout).
Par contre, on peut organises la sortie chez Mickey avec les jeunes, en les aidant à réserver le séjour, à contacter les transporteurs, à gérer le budget alloué à cette activité, en choisissant avec eux s’ils préfèrent aller chez Mickey 2 jours, ou alors passer une journée dans le parc et une autre dans Paris, etc…
Dans ce cas, on n’offre pas du “clé en main”, on va plus loin… On permet aux jeunes de devenir acteurs, de participer aux décisions, d’acquérir des compétences d’organisation. On les accompagne dans leur projet. On travaille avec au lieu de tout organiser pour eux.
—–
Cette exemple est évidemment plus adapté à des groupes d’ados.
Mais avec des plus jeunes, on peut conserver la démarche et les impliquer aussi dans le déroulement de leur séjour.
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Dans tous les cas, les enfants vont se plaire dans un séjour qui leur propose des activités intéressantes et agréables.
Mais dans un cas il n’y aura que le plaisir, dans un autre on aura en plus la possibilité de se prendre en main (en fonction de ses possibilités et capacités), d’acquérir de l’autonomie, de mieux comprendre son environnement et d’agir dessus, …
Bjr Renceflog
Malheureusement Moilapa ne peints pas un tableau relativement noir de l’animation mais fait avec humour le constat des lieux Dit en d’autre terme c’est l’analyse qui se degage aprés lecture de l’ouvrage collectif « le livre noir de l’animation socio culturel » edite chez Harmattant dont voici un extrait concernant les associations
« de l’association comme capacité de parole dans l’espace public,a l’association comme modalités de gestion d’un ensemble de services paracommerciaux,parapublics,paramunicipaux etc il y a la distance qui nous autorise aujourd’hui a analyser en quoi des pratiques de gestion des hommes se drapent dans les grands principes de la tradition associative avec laquelle ils n’ont plus rien a voir »
Nous sommes confronté a un triple langage des associations qui ne peut qu’être que contradictoire Un discours destiné aux élues politiques et syndicaux qui sont les bailleurs de fonds,un autre ciblé sur les parents qu’il faut rassurer le troisième en direction des animateurs pour leurs faire accepter d’être exploités et precarisés au nom d’un pretendue mission d’éducation populaire
alexis selinger
AL Batros,
Tu soulignes là encore une chose importante qui peut aider à répondre aux interrogations précédentes. Des animations bien construites recquiert une équipe motivée certes mais sans doute de la préparation en amont du séjour. Dans les grands organismes, ces réunions ne sont pas possibles du fait de l’éloignement géographique et au vue des journées déja longue, elles sont dures à mettre en place même si bien sur quelques unes sont quand même mis en place.
Ainsi, on retrouve ici également un des avantages et un gage peut être de qualité( car cela n’a rien de sur surtout pour les équipes) de la piste intéressante que représente les petites associations. Je peux nuancer cela en disant que dans certaines petites associations autour de chez moi, il s’agit souvent d’équipes ayant plusieurs années et se retrouvant des fois plus pour eux que pour les enfants d’où la faible qualité des séjours.
Ainsi il n’y a pas pour revenir au sujet initial de plans parfaits mais juste des pistes à essayer de suivre.
Bonjour, Matw25, (Mes excuses pour l’erreur, c’est le 5 qui a échappé au glisser-coller)
Il faut savoir si l’on part pour être animateur ou accompagnateur d’un groupe.
Je te suis 5 sur 5.
La satisfaction des enfants qui est des fois supérieures dans des animations biens construites que dans des activités de consommation
Ou inférieure. En tous cas, l’organisateur, il kiffe ta proposition.
Et puis, les animations bien construites, faut les moyens de les faire, le temps, l’envie des anims, …
Al
Al Batros,
Déja tu as mal recopié mon pseudo je sous doubiste donc c’est matw25 attention xD.
Là encore, tu rentres dans l’éxagération des traits je trouve. Je ne suis en rien contre les activités commerciales, on en fait car les enfants y trouvent du plaisir, j’ai bossé avec l’AVEA en aout il y en avait pas mal surtout des activités sous traités. Par contre, les séjours disneyland ou autre organisé par des organismes qui nous contactent disant rechercher des animateurs, je ne suis pas d’accord il s’agt là de surveillants au mieux d’accompagnateurs.
Animateurs = animation ainsi à part imiter pluto dans Disney, il n’y aura pas d’animation.
Donc pour repréciser ma pensée, il faut savoir si l’on part pour être animateur ou accompagnateur d’un groupe. Dans un séjour, il faut donc un mélange des deux et bien sur le principal reste la satisfaction des enfants qui est des fois supérieures dans des animations biens construites que dans des activités de consommation Là encore, c’est un très large débat
Bonjour, Matw2,
Pour ce qui est de la consommation au niveau des activités, je pense qu’elle peut être présente mais ne doit surtout pas prendre le pas sur les activités pures selon moi.
Donc, il y a les activités “pures”, “propres”, “nobles”, …
Et, il y a les activité salasses, sataniques, etc.
N’est ce pas une simple question de thunes à sortir par l’organisateur?
Qu’est ce qui est préférable entre un enfant qui éclate de rire à cause d’une pitrerie de Dingo à Disneyland et un autre enfant qui éclate de rire parce que David lui a appris à chier en plein air?
Al
Pour vous répondre, la vision de moilapa sur les centres de vacances est comme je le dis souvent très caricatural dans le sens négatif dans le sens qu’il ne voit dans les colos que les dérives qui pourraient arrivées et pas le reste. Pour ce qui est de la consommation au niveau des activités, je pense qu’elle peut être présente mais ne doit surtout pas prendre le pas sur les activités pures selon moi. Par exemple, une sortie commerciale sur un séjour de 21 jours comme j’ai fait en juillet ne me choque en rien. Voila pour ma visions personelle.
Bonjour, Renceflog,
J’ai un peu de mal à comprendre pourquoi “consommation” irait à l’encontre de “pédagogie.
Eh bien, “consommation” ne va pas à l’encontre de “pédagogie”. On peut très bien avoir une très bonne action éductive en ne proposant que des sorties Dysneyland ou autres.
C’est à priori pas vers ce type de séjour qu’on s’oriente, mais je cherche quand même à comprendre un peu mieux pourquoi vaudrait-il mieux choisir le séjour “Jackasse” où, assurément, les enfants vont avoir des accidents, plutôt que Disneyland où, assurément, … ils vont faire des attractions sans risque!
La raison est toute simple. Une sortie Dysneyland, ça va faire sortir par l’organisateur: 500 euros de convoyage (Car + chauffeurs), 100 à 200 euros pour le piquenique, 5 à 10 euros par enfant pour entrer (Les accompagnants payent aussi et c’est plus cher), …
Alors qu’un bon RVP, ça va coûter 5 x 4 euros en bonbons pour le final + 5 x 1, 23 euros pour les bouteilles de sirop top budget.
Alors, on s’évertue à diaboliser ces activités pour ne pas avoir à les proposer.
Al
Bonjour vous tous,
et pardonnez mon absence de quelques jours, mais j’ai été bien absorbée par cette société de consommation qu’évoquent Matim et Moilapa !
Ouf … Je fais un peu relâche 🙂
J’ai un peu de mal à comprendre pourquoi “consommation” irait à l’encontre de “pédagogie.
C’est à priori pas vers ce type de séjour qu’on s’oriente, mais je cherche quand même à comprendre un peu mieux pourquoi vaudrait-il mieux choisir le séjour “Jackasse” où, assurément, les enfants vont avoir des accidents, plutôt que Disneyland où, assurément, … ils vont faire des attractions sans risque !
Pardon Moilapa, mais je ne suis pas complètement d’accord avec toi sur ce sujet.
Par ailleurs, j’ai le sentiment que tu peints un tableau relativement noir de l’animation et j’imagine que tu as bien tes raisons de le faire…
Loin de me décourager, ça me pousse bien plus à connaître les signes qui font qu’un séjour de vacances sera sûr d’une part, et bien vécu par mes enfants d’autre part.
Je note la piste de la petite des “petites assos à taille humaine”. Effectivement, c’est un gage, je suppose de proximité entre l’équipe d’animation et l’organisation du séjour, pourtant, selon le type de séjour de vacances, une organisation un peu frêle me ferait peut être un peu peur… A suivre !
Pour répondre à Matim, je prends du recul ! J’ai bien sûr vu des choses relatées qui font parler bien du monde, mais je suis aussi bien consciente que tant de choses se passent bien …
J’avance, j’avance …
Un grand merci à vous tous,
Florence