[Matim]

Merci pour cette précision sur la grande souplesse réglementaire concernant l’itinérance.

Concernant les échantillons il y es bien indiqué “dans la mesure du possible un échantillon du repas sera conservé”.
Et ce doc confirme l’obligation de garder l’étiquetage, à défaut de garder échantillon.

Sur nos bateaux je n’ai jamais eu de soucis lors des contrôles à quai, car cette notion d’itinérance est vraiment sujette à appréciation au cas par cas (et d’ailleurs cette réglementation n’est plus appliquée sur les grosses unités, considérées comme des structures fixes).

**

[DIR-PTR]

Pas eu à chercher très loin :

https://archive.planetanim.fr/modules/reglementation/textes/2002_07_09ins_02-124JS_cuisine_camping.php

Irimbault, tu avais fait une quelconque recherche ?

[DIR-PTR]

instruction 02-124 du 9 juillet 2002

A ma connaissance, elle est toujours valable. Je la chercherai.

Sinon, beaucoup de DD pondent des textes régulièrement, en général ils contiennent des possibilités d’assouplissement.

Par exemple :

http://www.aquitaine.drjscs.gouv.fr/IMG/pdf/DD_SARTHE_guide_repas_CVL.pdf

[Matim]

Pour le faire régulièrement en bateau (on est dans la thématique), il nous et simplement demandé d’acheter quotidiennement nos éventuelles denrées fraiches sensibles (laitage, viandes…), le reste étant stocké à bord au départ.

Comme nous faisons de la nav cotière c’est pas un gros souci il faut juste bien prévoir notre feuille de route avec les escales permettant l’avitaillement.

Nous n’avons aucune obligation de garder nos plats témoins car de toute façon ils seraient périmés avant d’être analysés ce qui fausserait toute hypothèse d’intoxication.
Par contre obligation de garder les étiquettes des produits.
Dans la pratique on garde un échantillon lorsqu’on consomme de produits frais, le tout étant stocké dans un minuscule frigo à gaz.

Ha oui autant vous dire qu’un bateau de 40 pieds n’a jamais eu de cuisine aux normes collectives et n’en aura jamais… en toute connaissance de cause des autorités compétentes, bien sur.

L’itinérance a toujours bénéficié de “souplesses” quand à l’application des normes.

**

[Anfodico]

Et sinon : s’arranger avec les campings pour qu’ils gardes tes plats témoins durant 5 jours.

Utiliser une glacière dédiée à cela, dont on s’assurera qu’elle sera régulièrement alimentée en glace pour garantir une bonne conservation des aliments.

Quant à la règlementation, je ne sais plus trop de mémoire, mais je ne crois pas qu’elle impose réellement le plat témoin dans tous les cas… Elle n’invite pas plutôt à faire de son mieux pour en avoir un, sans poser une obligation absolue ? Je laisse ceux qui savent nous éclairer…

[Simon]

Salut,

Tes repas vont venir d’où? Comment se passe leur gestion?

Ils sont délivrés par la structure, pas compliqué c’est la cuisine qui s’en charge.

C’est de ton ressort, tu peux t’appuyer sur les produits réputés stables ou non soumis à un prélèvement témoin. Par exemple, les plats déjà cuisinés, cellophanés, en boîte… etc. Les produits stables c’est aussi les fruits, les yaourts, etc… Tu ne dois avoir un repas témoin que quand en fait tu prépares un plat. Mais qui dit cuisine ne dit pas seulement repas témoin, c’est aussi normalement des conditions de préparation stricte qu’en itinérance, faute de temps, on n’est pas en mesure de satisfaire…

Ca c’est la base, il y a aussi des trucs pour pouvoir cuisiner sans que cela devienne le parcours du combattant… Mais voyons-voir par rapport à ces premiers éléments où ta situation se situe.

[RIMBAULT]

[RIMBAULT]

Bonjour à tous,

J’ai une petite question, cet été je pars en itinérance kayak. On dors en camping, et je voulais savoir pour les repas, la législation impose de garder un échantillon cependant nous n’aurons pas de frigo donc on en garde un ? Si oui comment ?
Merci d’avance =)

[Auteur]

Messages