Pourquoi chercher Ă vaincre la timiditĂ© ? Un jeune n’a pas le droit d’ĂȘtre timide ?
Entre 11 et 14 ans il y a plein de raisons de ne pas vouloir “s’afficher” devant les autres. et je pense qu’il vaut mieux travailler sur la relation entre pairs et le fait de s’accepter les uns les autres.
je mets ici, un document que j’ai crĂ©Ă© il y a quelques annĂ©es, sur les jeunes de 10 Ă 14 ans. Il peut aider Ă la rĂ©flexion, il peut ĂȘtre remis en cause, il peut entretenir le dĂ©bat…
Caractéristiques générales des 10-14 ans
A cet âge les jeunes se retrouvent à la frontiĂšre de deux stades de leur développement la période de latence et lâadolescence, ils veulent être « grands » et sont encore « petits ». Tout change autour dâeux dans leur vie sociale, lâentrée au collège et y vivre pendant près de 4 ans par exemple, mais le plus gros des changement est la puberté. Du latin pubescere, « se couvrir de poils », la puberté est la période pendant laquelle le corps de lâenfant se transforme en un corps adulte capable de se reproduire. Le rythme est variable dâun individu à lâautre, mais chacun subit peu à peu des transformations anatomiques, physiologiques, hormonales.
2.1.1 Lâentrée dans lâadolescence chez la fille
Les premiers signes de la puberté chez la fille apparaissent vers 10 ans et sâétendent jusquâà lââge de 16 ans.
Le rythme et le degré des transformations sont en grande partie liés au patrimoine génétique et varient donc dâune fille à lâautre. Les jeunes filles découvrent alors la réalité de leur corps dâadulte : elles seront grandes, moyennes ou petites, elles auront peu ou beaucoup de poitrine, etc. Avant la fin du changement, certaines parties du corps se développent plus vite que dâautres et donnent des silhouettes temporairement disproportionnées. Câest pourquoi angoisses et complexes émergent souvent à lâadolescence et se focalisent sur ce corps soudainement étranger, imposé et incontrôlable. Ainsi, la question de la normalité est centrale dans la problématique adolescente.
A) Une histoire dâhormones
La production soudaine des hormones FSH (hormone folliculo stimulante) et LH (hormone luténisante) entraîne la production par les ovaires de deux hormones féminines : lâĆstrogène et la progestérone. Ces hormones permettent de produire des ovules (un par mois) de la puberté à la ménopause. Elles sont certainement à lâorigine des transformations anatomiques. Par ailleurs, la glande surrénale sécrète une hormone masculine, lâandrogène, qui est responsable de la pilosité et en partie de la croissance. Lâhormone principale de croissance est la GH qui provoque à la puberté une poussée soudaine de la taille. Le premier signe de transformation du corps de la jeune fille est le développement des seins.
B) Les caractères sexuels primaires
Les menstruations (ou règles) arrivent en moyenne deux ans après le début du développement mammaire, en général vers 13 ans. Les premiers cycles des jeunes filles sont souvent irréguliers et anovulatoires. Les règles peuvent être douloureuses et entraîner une variation de lâhumeur. Les jeunes filles sont confrontées à cette nouveauté mêlant parfois souffrance physique et mauvaise humeur. Par ailleurs, lâarrivée des menstruations marque la possibilité dans lâimaginaire, et peu à peu dans la réalité, dâavoir une grossesse. Il sâagit donc dâun pas vers lââge adulte du point de vue physiologique ; toutefois la maturité psychologique qui permettrait dâassumer cet accès à la sexualité nâest pas concomitante. La jeune fille devra dâabord intégrer psychologiquement ce nouveau corps de femme.
Les organes génitaux de la jeune fille se développent : la vulve à lâextérieur augmente en volume, lâutérus et les ovaires grossissent, la muqueuse du vagin sâépaissit. Le corps de la jeune fille se prépare à la reproduction.
C) Les caractères sexuels secondaires
Les caractères sexuels secondaires se développent et ont la caractéristique, pour la plupart, dâêtre visibles à lâextérieur. Il sâagit donc dâune partie importante des changements pour lâadolescent puisque câest lâimage que lui renvoient le miroir et les autres. La sensibilité accrue et la dépendance inhérente à ce reflet ont des conséquences marquantes sur la construction de lâimage du corps et de lâimage de soi. Toutefois, la période de transformation est la plus fragilisante et, par la suite, le jeune adulte laissera de côté ce souvenir et se rassurera de ses proportions retrouvées.
âą La poitrine : elle se développe sur plusieurs années, parfois irrégulièrement, un sein plus rapidement que lâautre
âą La pilosité : le pubis se recouvre de poils, ainsi que les aisselles, les jambes et les bras plus légèrement. Parfois, un fin duvet pousse au-dessus de la lèvre supérieure.
âą Lâacné : la peau devient plus grasse en raison des glandes sébacées qui se situent sous lâépiderme et produisent le sébum. Le visage en contient une quantité notoire, ce qui donne lieu à la fameuse acné de lâadolescence. Encore une fois, la présence et lâintensité de lâacné sont variables dâun adolescent à lâautre et provoquent une nouvelle inégalité fatale à assumer !
âą La croissance : chez la fille, la croissance subit une accélération vers 11 ans. Le gain total est de 20 cm entre 10 et 14 ans. Les filles sont en général plus petites que les garçons. Leur ossature est plus fine et leur musculature moins développée.
âą La voix : elle change mais reste relativement aiguë car la mue est très légère chez la fille.
2.1.2 Lâentrée dans lâadolescence chez le garçon
La puberté arrive un peu plus tard chez le garçon que chez la fille (environ 18 mois après), entre 12 et 15 ans. De même que pour les filles, les transformations du corps nâont pas le même rythme chez tous les garçons, et certains ont une puberté précoce ou tardive. Les garçons vont se comparer les uns aux autres pour essayer de trouver des repères rassurants face à ce corps changeant. Le premier signe visible de la puberté chez le garçon est la pilosité pubienne.
A) Une histoire dâhormones
Tout comme chez la fille, le système hypothalamo-hypophysaire dans le cerveau va soudain provoquer la sécrétion de deux hormones : la FSH (hormone folliculo stimulante) et la LH (hormone luténisante). Celles-ci vont agir sur les testicules qui produiront alors à la fois le sperme et une hormone spécifiquement masculine : la testostérone ; lâhormone de croissance GH et lâandrogène sont également sécrétés de façon importante au moment de la puberté, donnant lieu aux transformations anatomiques.
B) Les caractères sexuels primaires
Les organes génitaux se développent : le pénis et le scrotum à lâextérieur et les testicules à lâintérieur. Ce sont les testicules et le scrotum qui croissent en premier, vers 12 ans. Puis, environ un an après, le pénis sâallonge et sa croissance sâétale sur deux ans. A 15 ans, le garçon a atteint la maturitĂ© sexuelle avec la spermatogenĂšse qui signifie la production de spermatozoĂŻdes matures. Le jeune garçon connaît alors des Ă©rections et Ă©jaculations nocturnes qui le surprennent et le questionnent. Elles sont tout à fait normales puisquâelles sont la consĂ©quence des phĂ©nomĂšnes hormonaux.
C) Les caractĂšres sexuels secondaires
La testostĂ©rone est à lâorigine du dĂ©veloppement des caractĂšres sexuels secondaires.
âą La pilosité : elle sâaccroît dès 12 ans et les poils pubiens recouvrent le pénis. Puis les poils apparaissent sur les membres, le visage et les aisselles. Le jeune homme va commencer à adopter de nouveaux comportements quotidiens (rasage) qui le tirent vers lââge adulte.
âą La croissance : elle est plus tardive que chez la fille ; la taille augmente spectaculairement vers 15 ans. Le phénomène de croissance à la puberté se fait par poussées entraînées par la production des hormones. Le garçon peut prendre 15 cm en une année ! La musculature et lâossature croissent et donnent progressivement à voir une silhouette dâhomme.
âą La voix : elle commence à changer grâce au phénomène de « mue ». Le larynx se dĂ©veloppe sous lâeffet de lâhormone androgène. La voix devient plus grave, mais passe auparavant par une phase intermédiaire durant laquelle elle connaît des variations aiguës et graves. De même que dâautres éléments de la puberté, cette transition confronte le jeune garçon à lâincontrôlable et à la surprise de ce qui sort de son corps. De plus il fait le deuil de cette voix quâil connaît depuis des années.
2.1.3 Le ton change
Nous pouvons remarquer un changement de ton dans la façon dont ces jeunes nous répondent.
En effet, ce changement de ton est une des manifestations extérieures de lâentrée dans lâadolescence et des changements relationnels qui vont sâensuivre, notamment avec les parents. Quelque chose se passe à lâintérieur de lâadolescent, et cela réveille en nous des émotions plus ou moins conscientes, vives, parfois anxieuses. Chacun se trouve alors pris par des émois quâil ne contrôle pas. Il sâagit dâun nouvel équilibre, dâun dialogue à inventer sur un autre mode, et il va falloir sâadapter à cette nouvelle situation.
Lâadolescent nous « attaque » pour se rassurer.
Lâadolescent ne maîtrise pas toujours le ton avec lequel il parle. Nâoublions pas quâil est poussé par des pulsions internes quâil ne contrôle pas encore bien. Câest pourquoi lâagressivité se glisse en toile de fond des échanges quâil a avec nous. Il sâagit parfois de remarques provocatrices ou insolentes ayant pour but dâattaquer nos failles pour tester notre réaction, notre solidité narcissique et la valeur des points de repère que nous lui proposons. Nous sommes un modèle et ils nous « attendent au tournant »… Agissons-nous comme nous le disons ? Ou bien nos mots ne sont-ils que des belles paroles ?
Par exemple, les attaques peuvent avoir trait à notre caractère ou à notre physique, ce qui ne manquera pas de nous toucher. Notre narcissisme a besoin dâêtre suffisamment solide afin que nous nâen souffrions pas et que lâenfant soit bien assuré que ces attaques ne nous détruisent pas. Car ce quâil cherche câest justement à voir si nous assumons ce que nous sommes pour savoir comment lui pourra faire pour assumer tout ce quâil nâaime pas en lui. Toutefois, nous pouvons également lui rappeler que nous nâaimons pas quâil nous parle de cette façon et que nous nous devons un respect mutuel.
2.1.4 Poser des limites claires et responsabilisantes
Depuis que nous sommes petits, nous sommes confrontés à la notion de limite. Les limites du monde extérieur et nos propres limites intérieures. Il existe diverses sortes de limites : corporelles, temporelles, spatiales, morales. Il est intéressant de voir quâà lâadolescence, même si elles sont remaniées, les limites sont véritablement au centre des préoccupations de lâadolescent. « Il repousse toujours la limite » ou « Il cherche toujours la limite », entend-on souvent dire par les parents ou les professeurs. La limite sert à se situer par rapport au monde environnant ; elle est un point de repère qui nous rappelle que nous ne sommes pas tout-puissants et que nous ne pouvons pas tout avoir ni tout nous permettre. La limite interne est une limite que nous avons en nous-mêmes. Le petit enfant expérimente vite la limite de son propre corps, par exemple lorsquâil est confronté à son manque de motricité ou de coordination, il éprouve la frustration de ne pas pouvoir marcher, puis de ne pas pouvoir accéder à tout ce quâil veut. Lâacceptation des limites va de paire avec lâacceptation dâune certaine frustration.
Lorsque lâenfant ne peut avoir ce quâil veut, il crie ou pleure. Face au « non » du parent, il nâest pas content. Cependant il apprend quâon ne peut tout faire ni tout avoir tout de suite. Si on lui cède tout, il se sentira dépourvu, malheureux, en colère lorsquâil nâaura pas ce quâil souhaite ; il ne saura pas gérer la frustration.
De plus, le petit enfant se croit tout-puissant : il pense quâil crée les objets quâil désire ou dont il a besoin. Cette illusion de toute-puissance, bénéfique au début de la vie, doit disparaître peu à peu. Les parents aident lâenfant à comprendre cela et lâenfant en est rassuré. Car cette toute-puissante est à la fois grisante et angoissante. En effet, sâil peut tout, cela signifie que ses pensées ou sentiments de haine peuvent avoir un effet destructeur sur les objets. Ce pouvoir est terrifiant pour lui et le conduit à des sentiments de grande culpabilité. Apprendre à renoncer fait partie de la construction de la personnalité. Peu à peu les limites sont intériorisées. Lâenfant de la période de latence (6-10 ans) les connaît et a rarement besoin quâon les lui rappelle. Puis vient lâadolescence, et la question des limites semble relancée. En même temps quâil subit ces changements corporels et psychologiques, lâadolescent remet en question ce quâon lui a imposé jusquâici. Il se sent plus fort, plus à même de comprendre, et sa pensée sâautonomise.
Câest en déconstruisant le modèle que ses parents lui proposent quâil va construire sa personnalité. Il se peut quâil revienne fidèlement au modèle parental après lâadolescence mais, pour lâheure, il a besoin de le remettre en question. Au fond de lui il ne souhaite pas que les règles soient toutes abolies, mais a besoin quâelles évoluent. Câest pourquoi ce sont à la fois les adultes et lâadolescent qui doivent se mettre dâaccord sur de nouvelles limites. La part de responsabilité quâil prend dans la création des règles de vie lâengage à les respecter. Toutefois ce nâest pas à lui de les poser entièrement. Car sâil ne les respecte pas, il se sentira dévalorisé. Il a besoin de cet appui contre quelque chose. La règle est donc avant tout celle des adultes et il y participe.
Document qui a aider à la définition du public La Crise dâAdolescence Adeline Vanek-Dreyfus, Collection Eclairages
En plus de tout cela, il est important de prendre aussi en compte les caractĂ©ristiques propres “Ă ces jeunes” :
– le milieu social,
– frĂ©quentent ils tous le mĂȘme Ă©tablissement scolaire (effet de bande,…)
– quelle est l’ histoire du groupe….
Je pense que pour “vaincre sa timiditĂ©” tu peux passer par le thĂ©atre… Tu peux leur proposer des jeux de rĂŽle, mimes…
Tu peux aussi passer si tu as des themes de prévention, par un systÚme de scenette, jouées par les anims, et réadaptées selon leurs visions leurs envies, et leurs opinions par les ados.
Mais le thĂ©atre c’est une bonne maniere de toucher Ă la timiditĂ©, sans les mettre mal Ă l’aise…
Relisez le début sérieux !!!
ok faisons ça. Si je te cite
comme thĂšme “Vaincre sa timiditĂ©”
J’aimerais des jeux ou les ados se mettent dans des situations “mal a l’aise”.
de chanter les uns devant les autres ou de dire leur opinion etc!
J’aimerais juste qu’ils se libĂšrent POINT !!!
Oui je vais demander a mes ados de parler ouvertement d eleur vie privée !
Ca me suffit pour voir que tu cherches Ă provoquer des situations de “violence” pour les jeunes. C’est hyper malsain de chercher Ă rĂ©flĂ©chir comme tu le fais. Pourquoi un jeune devrait chanter devant tout le monde ou te parler de leur vie privĂ©e Ă toi parce que tu le veux ? Qui es-tu ? Pourquoi aurais-tu Ă connaĂźtre la vie privĂ©e des jeunes ? Tu n’es qu’une animatrice hein ! Les jeunes Ă la base ils s’en tamponnent de toi, tu es rien pour eux. Tu n’as absolument rien Ă attendre des jeunes que tu accueilles. L’animation c’est fait pour permettre aux jeunes de se retrouver librement entre eux avec qui ils veulent et de la maniĂšre qu’ils veulent pour pratiquer des activitĂ©s ensembles ou tout simplement se poser entre potes ou seuls.
Un jeune timide qui ne s’exprime pas ne deviendra pas extraverti par ton thĂšme Ă la con ! Mais peut ĂȘtre qu’il Ă©voluera au fil du temps parce qu’il se sent en confiance, qu’il aime venir Ă l’accueil, qu’il prends du plaisir Ă participer Ă des activitĂ©s, qu’il trouve en ton accueil un lieu de bien-ĂȘtre, de tranquillitĂ©, de non-violence, d’Ă©coute etc…
j’imagine que tu repasseras trĂšs cher Guest_ mĂȘme si ce n’est pas en te loggant sur le forum. Dommage que tu n’acceptes pas d’entendre ce que jojosmala et moi te disons.
Edit :
Mon directeur est d’accord donc sois je me suis mal exprimĂ© sois tu comprends rien !!
Qu’est ce que tu veux me prouver par lĂ ? C’est pas parce que Monsieur le VĂ©nĂ©rable Directeur a les mĂȘmes idĂ©es que toi qu’elles vont ĂȘtre soudainement intelligentes.
Mais n’importe quoi !!! Oui je vais demander a mes ados de parler ouvertement d eleur vie privĂ©e !
C’est vrai que de chanter une chanson devant d’autres ca tuera leur vie !! Relisez le dĂ©but sĂ©rieux !!!
Mon directeur est d’accord donc sois je me suis mal exprimĂ© sois tu comprends rien !! Donc arrĂȘte de me juger et de tout de suite penser que je vais tuĂ©e la pudeur des ados ! BientĂŽt je vais me faire insultĂ© !!
Je souhaite des jeux pour les libĂ©rĂ© !!!!! ArrĂȘter de voir le mal partout !
Moi aussi je rĂȘve quand je t’entends avec ta prĂ©tendue vĂ©ritĂ©. Je comprends que tes ados ne soient pas libĂ©rĂ©s avec une soit-disant animatrice qui va de maniĂšre totalement hasardeuse et injustifiĂ©e, chercher Ă mettre Ă vif la pudeur d’ados en crĂ©ant des situations oĂč les enfants seront obligĂ©s de se “foutre Ă poil” pour rester dans le lot. Parce que bien sur les jeunes les plus Ă l’aise se prĂȘteront Ă l’exercice avec simplicitĂ©; et les autres ils auront qu’Ă serrer les fesses pour faire pareil et rester dans le groupe quitte Ă en ressortir Ă©prouvĂ©s voir pire.
Bravo ! Belle conception du bien-ĂȘtre, des vacances, de la socialisation, de l’entre-pairs !
Et ben… Moi qui demande de l’aide bientĂŽt on me juge c’est cool ça !!
Vous en faite pas je connais mon métier et on ma jamais dis que je faisais de la m*****
Donc ceux qui veulent juger passer votre chemin !
J’aimerais juste qu’ils se libĂšrent POINT !!!
Qui je suis? Une animatrice avec des objectifs pour faire avancer mes ados!!
Je rĂȘve de lire ça!!
ta question me turlupine un peu… Connais tu le public ado? as tu toi mĂȘme Ă©tĂ© ado??
Ensuite, est ce que c’est des jeunes qui se connaissent ? est ce que toi tu les connais? comment est organisĂ© ton espace jeune ? y a t il une grosse diffĂ©rence d’age ?? Ont ils des projets communs ?
Je pense qu’ avant de trouver des jeux “oĂč les ados se mettent dans des situation de mal a l’aise” il faut que tu crĂ©es un climat de confiance, et lĂ tu verras ils seront capables de te surprendre….
Ca commence fort !
Donc oui j’ai Ă©tĂ© ados comme tout le monde ! Ensuite Oui je connais le public ados!
Les jeunes se connaissent oui
Les diffĂ©rences d’age ne sont pas Ă©norme non ca va de 11 Ă 14 ans et ils se connaissent tous
La confiance pas de soucis la dessus
J’aimerais juste qu’ils n’ai pas honte de chanter les uns devant les autres ou de dire leur opinion etc!
C’est complĂštement surrĂ©aliste de lire ça. Tu veux des jeux oĂč tu provoques des situations de mal Ă l’aise chez les ados pour qu’ils arrĂȘtent d’ĂȘtre mal Ă l’aise… OĂč as-tu vu que les ados sont tous anormalement mal Ă l’aise ? Qui es-tu pour vouloir faussement agir sur le comportement des ados dont tu as la charge ? C’est quoi cette psychologie bon marchĂ© ? Elle est oĂč ta rĂ©flexion sur les loisirs et les temps libres des jeunes lĂ ?
J’espĂšre vraiment que tu t’es hyper mal exprimĂ© et que tu cherches uniquement des jeux “pour faire connaissance” “pour briser la glace”. Mais dans ce cas lĂ contrairement Ă ce que tu dis, il n’y a aucune situation de “mal Ă l’aise” Ă atteindre mais Ă l’extrĂȘme opposĂ©, d’atteindre une situation oĂč chaque personne se sent en confiance pour s’ouvrir aux autres et oĂč elle est mise en valeur dans un groupe.
Toons12 a Ă©crit :
Bonjour Ă tousJ’aimerais des jeux ou les ados se mettent dans des situations “mal a l’aise”. Loin de moi l’idĂ©e de l’humiliation soyons d’accord !
Mais juste qu’ils arrĂȘtent d’ĂȘtre mal a l’aise vis a vis des autres
VoilĂ
Merci pour vos réponses
Bonne journée
Sara
ta question me turlupine un peu… Connais tu le public ado? as tu toi mĂȘme Ă©tĂ© ado??
Ensuite, est ce que c’est des jeunes qui se connaissent ? est ce que toi tu les connais? comment est organisĂ© ton espace jeune ? y a t il une grosse diffĂ©rence d’age ?? Ont ils des projets communs ?
Je pense qu’ avant de trouver des jeux “oĂč les ados se mettent dans des situation de mal a l’aise” il faut que tu crĂ©es un climat de confiance, et lĂ tu verras ils seront capables de te surprendre….
Bonjour Ă tous
Je suis animatrice dans un espace jeune et pour la premiere semaine des vacances de FĂ©vrier j’ai dĂ©cider de prendre comme thĂšme “Vaincre sa timiditĂ©”
Et je ne trouve pas de jeux qui corresponde a part le shabalabala !
J’aimerais des jeux ou les ados se mettent dans des situations “mal a l’aise”. Loin de moi l’idĂ©e de l’humiliation soyons d’accord !
Mais juste qu’ils arrĂȘtent d’ĂȘtre mal a l’aise vis a vis des autres
VoilĂ
Merci pour vos réponses
Bonne journée
Sara