surtout si t’essaie de monter sur le radeau…
vassrohm a écrit:
Evidemment aussi que l’activité radeaux en pince à linge
Attention sinon on va avoir le droit à un couplet de jurisprudence et code pénal !!!
Vous cherchez aussi avec vos histoires de radeau !!!
Encore une fois, on oppose vie quot et activité !
Je suis totalement d’accord avec toi pour dire que ne rien faire est une activité, que manger est une activité ou se lever mais manger, jouer au foot d’abord et prioritairement ça se VIT, ce n’est pas un projet que l’on peut didactiser!
D’ailleurs, comment peut on évaluer le réveil? Faut il et y a t il un intérêt à donner des critères d’évaluation du réveil?
Evidemment que ça se pense surtout en collectivité dans l’objectif de pouvoir fonder des règles qui permettent de se réveiller comme on le souhaite avec l’exigence du respect du aux autres mais je ne crois pas à une possible didactisation de cette activité! Si évaluation il y a elle est du domaine du ressenti, du subjectif parce que se réveiller est lié à de multiples facteurs humains: ai je rêvé, cauchemardé, eu envie de pisser, le soleil m’a t il réveillé, Jason m’a t il secoué l’oreiller… il est évidemment nécessaire de faire attention aux autres, d’avor le souci des autres mais ça en rentrera jamais dans une grille!
Evidemment aussi que l’activité radeaux en pince à linge je le pense mais je crois aussi que pour éviter de tomber dans la logique managériale et rentable on n’a pas de nécessité de répondre ou de remplir une grille de projet d’animation pour évaluer son activité parce que nous sommes soumis là encore non pas à une machine, à une chaine de montage et que mon activité radeaux réussira formidablement si je décide à un moment de l’arrêter pour telle ou telle raison, cela ne veut pas dire que l’on doit céder à toutes les formes de zapping dont raffolent certains gamins mais qu’il n’y a pas de critère de réussite unique pour une activité, qu’elle n’est pas réussie pour tous parce que ça uassi c’est un gros fantasme que de croire que tous les gamins auront apprécié une activité (du genr eje suis tellement bon que tous les gamins aiment les radeaux en bois).
Comme Jonglo, je pense que la vie quot est une activité sinon l’activité centrale d’un CV et que c’est dans celle-ci que se révèle les “bons” animateurs parce que cela relève aussi de l’intérêt que l’on porte aux enfants plutôt que de se comporter en star de l’animation cerf volant.
J’accepte tes plates excuses alors … 😀 Non mais jamais j’ai pensé que tu avais quelque chose contre moi en particulier … Je ne suis pas dans un trip parano comme certaines autres personnes.
Et puis on peut tout aussi bien débattre gentiment, avoir des idées différentes des autres, sinon, qu’est-ce qu’on se ferait ch*** …
(“Mon p’tit lulu” c’est une marque d’affection qui se fiche du sexe comme “mon p’tit coeur”)
Moi je suis pas contre toi, j’ai juste le clavier qui me démange.
J’en ai marre des sujets bateaux alors je saute sur tout ce qui bouge pour faire du hors sujet et aller un peu plus loin …
jongloman a écrit:
Je t’aime bien mon petit lulu mais là …
Juste entre parenthèse, moi j’suis une fille …
Je suis tout à fait d’accord avec vous au sujet de tout ce qui a été dit concernant la vie quot. Je vois pas pourquoi on en fait tout un fromage alors qu’à la base, on est d’accord. Oui la vie quot c’est super important dans un séjour, c’est 80% de la vie d’un séjour, et ça contribue à la réussite du séjour. Oui, sans une vie quot qui tourne bien, même si les activités sont canons, le séjour ne sera pas pour autant réussi …
Pourquoi vous m’avez mal compris, c’est parce qu’à la base je parlais de projet d’animation, et en général la vie quot n’apparait pas dans le PA car il s’agit d’activités “à part entière”, au sens brut de l’activité.
Et ne remettez pas une couche sur le dos de l’éducation populaire en disant que je suis plus du côté de la distraction populaire. Rien à voir, n’importe quoi, elle a bon dos l’éducation populaire. Je me suis mal exprimée dans le tout premier post et donc forcément les critiques pleuvent …
Bon, et pour un exemple de PA …
Rapidement, on imagine que l’activité finale c’est l’organisation d’un mini camp itinérant de 3 nuits avec un groupe de 15/17 ans. Donc ce mini camp, dans mon jargon, ce serait l’activité finale. Pour atteindre ce but, je développe certains objectifs avec mes jeunes : des capacités de gestion, d’organisation, de travail en équipe … Et pour monter ce camp, je réalise plusieurs activités : décider d’un lieu, faire les réservations nécessaires, activités autour du vélo (pour ne pas se lancer dans un camp itinérant avec des jeunes qui ont des difficultés en deux roues …) Bon voilà, je peux continuer encore longtemps comme ça mais là n’est pas l’intérêt …
Me suis-je mieux fait comprendre ?
C’est une activité le réveil ? Non, assurément non. Ca ne peut pas être considéré en tant que tel. Le réveil c’est de la vie quot, ni plus ni moins
Encore une fois, on oppose vie quot et activité !
Mais comment sont construites vos vies ? Vous mettez ainsi une frontière entre votre vie et vos activités ? Je ne comprend pas…
Pour moi (pas que pour moi d’ailleurs) l’Activité est l’interaction de l’individu avec son environnement ; alors oui le réveil c’est de l’activité ; ne rien faire c’est de l’activité ; manger c’est de l’activité ; faire la vaisselle, n’en déplaise à certains, c’est de l’activité,… au même titre que faire du foot, ou construite un radeau en pinces à linges !
Et l’activité, Vass, se pense, se construit, s’analyse ou s’évalue
Alors je ne dit pas de tomber dans la masturbation intellectuelle à vouloir coucher des objectifs éducatfs, pédagogiques opérationnels, transitionnels, que saisje encore…
Ludius a écrit:
on est bien ici en train de parler d’animation, donc en temps de vacances, et non pas d’éducation…
Je t’aime bien mon petit lulu mais là … la pillule a du mal à passer …
Education populaire ou distraction populaire ?
Tu parles du réveil comme d’une activité… C’est une activité le réveil ? Non, assurément non. Ca ne peut pas être considéré en tant que tel. Le réveil c’est de la vie quot, ni plus ni moins. Alors oui effectivement on peut associer vie quot et animation, mais pas au moment du réveil, ou tout du moins pas au tout début du réveil.
Moi j’ai de plus en plus tendance (peut-être à tord) à considérer la vie en collectivité en séjour de vacances comme l’Activité, l’Animation.
Et plus particulièrement : la vie quotidienne, les temps informels, les repas, les douches, …
Alors oui effectivement on peut associer vie quot et animation, mais pas au moment du réveil, ou tout du moins pas au tout début du réveil.
Je pense (dis moi si je me trompe) que tu sous entends que ce n’est pas un moment à animer du style : mettre de l’ambiancer, rythmer, chanter, … (on est dans la caricature mais c’est pour la compréhension) et en se sens je suis tout à fait d’accord avec toi.
Mais désormais j’ai tendance à dire que le travail de l’animateur à ce moment précis (que ce soit ce qu’il doit surtout faire ou ne surtout pas faire), dans notre exemple le réveil, c’est ça l’Animation c’est ça l’Activité unique et phare du séjour. C’est avant tout ça être animateur en centre de vacances ?
C’est celle qu’il ne doit surtout pas louper, pour laquelle on doit lui avoir donné le plus de clés en main pour la réussir, qu’il devra avoir le plus préparé, …
J’essaye, du mieux que je peux, de l’expliquer et de le faire comprendre aux animateurs et aux directeurs qui travaillent avec moi. Mais parfois c’est très très loin d’être compris tellement souvent on considère que la finalité se sont les activités (pour le coups celles auxquelles on pense : voile, foot, pâte à sel, …).
Dans mon Projet Pédagogique je présente toujours la vie quotidienne (et tout ce que je sous entends derrière) comme une activité parmis les autres et lui accorde plus d’importance qu’aux autres.
Si je fais des séjours c’est pour vivre ça avec les enfants et les autres adultes (et même quand j’étais animateur ) avant même de penser aux autres activités.
Mon seul but en tant que directeur est qu’on réussisse Cette Activité avant tout. Si celle si fonctionne bien alors les autres seront la cerise sur le gâteau !!!
Si on pousse le bouchon un peu plus loin : pourquoi semble t’il si dérisoire qu’un animateur présente un projet d’animation concernant un moment de vie quotidienne ?
– Je dois : vérifier les pipis au lits, aérer les chambres, ne pas brusquer les enfants, faire respecter le silence, ..
– Je dois penser à : me réveiller à l’heure, …
– Je dois préparer : des affiches lune-soleil, …
– L’objectif visé est : respecter le sommeil de chacun, permettre à l’enfant de se lever quand il le souhaite, …
Ca me paraît tout de même beaucoup plus concret qu’un PA de poule renard vipère avec une thématique extraterrestre ?
On est pas un peu plus proche de tout ce que visent (par banalité) les Projets pédagogiques (ex au hasard : réveil echelonné) ?
Qui va permettre le respect d’un tel objectif si ce n’est l’animateur ? Quel moment de la journée va permettre de l’atteindre si ce n’est la vie quotidienne ?
Ca m’a toujours fait rire de voir dans certaines grilles d’évaluation des stagiaires qu’ils devaient réussir à animer un temps d’activité et qu’en parallèle on ne précise absolument rien concernant leurs devoirs en matière de réussite en vie quotidienne auprès des enfants.
Quelques questions :
– Pourquoi existe t’il des perfs sur des activités mais pas sur la vie quotidienne d’un centre de vacances : toilette, rangement, temps informels, … ?
– Aurions nous la prétention de dire que nous sommes tous capable de réussir dans cet exercice de la même manière ?
– L’Animation socioculturelle aurait elle la prétention de penser qu’un stage théorique (ou c’est abordé succinctement) et un stage pratique suffisent à en faire comprendre les tenants et les aboutissants à de jeunes stagiaires ?
– Si on décompose tous les moments d’un séjour quel est celui qui représente le plus grand volume ?
– Certains animateurs choisissent (utiliser ce mot dans cette circonstance m’exaspère) leur séjour en fonction de la destination et des activités qui vont y être pratiquées. Ne feraient ils pas mieux de se renseigner sur ce que l’on attend d’eux pour la vie quotidienne et quels sont les moyens mis en oeuvre pour y parvenir ? Etant donné que ces ce qu’ils vont le plus faire durant le séjour …
Pourrais tu me donner un exemple de projet d’animation que vous avez déjà mis en place?
C’est quoi le but de ces activités mis à part prendre un coup de soleil sur le crane avec un foot en plein soleil
On est pas obligé de pratiquer le foot au soleil non?
Ca rend déjà bien assez idiot comme ça!
Un animateur n’est-il pas là pour proposer des activités que les jeunes ne feraient pas tous seuls ?
Si bien sur mais faut il nécessairement que ça entre dans le cadre d’un projet d’animation? Faut il nécessairement une progressions des activités qui aboutit à l’activité finale, n’y a t il pas dans le jeu libre quelques vertus? Le jeu en lui même n’est il pas beaucoup plus riche que le projet d’animation sans qu’il ait besoin de porgression-programmation.
Les activités qu’on met en oeuvre ont bien évidemment un but éducatif derrière.
Je crois qu’on a même pas à chercher un but éducatif dérrière, il y a dans le jeu un caractère éducatif, une vision du monde et qu’il est vrai que bien peu laissentse développer le jeu pour le remplacer par des activités divertissantes ce qui est loin du jeu!
L’activité finale c’est l’activité à laquelle aboutit le projet d’animation, le point d’orgue des activités successives qui ont été mises en oeuvre dans le PA.
Qui construit le PA ? L’équipe d’animation -> d’où la notion importante du travail d’équipe.
C’est quoi le problème avec foot,pâte à sel ? C’est quoi le but de ces activités mis à part prendre un coup de soleil sur le crane avec un foot en plein soleil, et faire des trucs qui ne ressemblent à rien en pâte à sel. Un foot, pourquoi pas, mais alors on change les règles, on y met des variantes, sinon, quelle est la place de l’animateur là dedans ? A quoi sert-il ? Un animateur n’est-il pas là pour proposer des activités que les jeunes ne feraient pas tous seuls ? Et pâte à sel … si l’activité est bien animée, c’est-à-dire si on ne se contente pas de balancer une boule de pâte à sel à chaque enfant en lui disant “vas y débrouille toi”, s’il y a un but à cette activité, là encore pourquoi pas. Par exemple, activité pâte à sel dans laquelle au début on demande aux enfants les ingrédients de la pâte à sel, comment on fait pour réaliser la pâte …
On en revient à ce PA que tu contestes. Non, le PA n’est pas présent dans tout le centre. C’est juste un fil conducteur de plusieurs activités sur tout le centre, mais on ne “bouffe” pas du PA pendant tout le centre. Bien entendu qu’il y a des moments hors PA, où on réalise les demandes des enfants. Attention, ne me fais pas dire que pendant les activités du PA les enfants n’ont pas leur mot à dire, loin de moi cette idée.
Et pour finir, oui, tu as bien rectifié, on agit dans un cadre éducatif mais pas dans un cadre scolaire. Les activités qu’on met en oeuvre ont bien évidemment un but éducatif derrière. Enfin, finalement, quand on y pense, c’est encore pas acquis pour tous ça …
on est bien ici en train de parler d’animation, donc en temps de vacances, et non pas d’éducation…
Ah bon? Je pense que tu voulais plus dire qu’on ne visait pas à l’apprentissage de savoirs scolaires mais on agit quand même dans un cadre éducatif non? Par ailleurs, et si on voulait pousser plus loin, il y a des chances que le temps de vacances se fondrait avec le temps scolaire, c’est bien parce que l’école est ennuyeuse, est une tâche, un dressage que l’on effectue la césure avec les vacances. Il y a fort à parier qu’une école qui laisserait plus de plce au désir tendrait à faire dispraître le temps de loisir car apprendre deviendrait non plus une contrainte mais un plaisir, enfin ce n’est pas le sujet!
Mon évocation du réveil avait plus but de faire émerger le ridicule de la didactisation et des projets d’animation!
C’est quoi l’activité finale??
Qui construit le projet d’animation?
C’est quoi le problème avec foot, pâte à sel et tomate? Franchement je ne vois pas le problème d’avoir des journées avec des activités variées et sans lien du moment que les enfants jouent ensemble, dans les règles de vie en collectivité et ont décidé de ce qu’ils souhaitent faire avec les anims.
D’ailleurs c’est quoi le but d’un projet d’animation, ça apporte quoi et ça se formalise comment? Ce sont des fiches que les anims préparent à l’avance?
Dans ce cadre là, on laisse quelle place aux jeux libres qui viennent souvent de n’impotre où, de l’imaginaire, du désir qui a du mal à rentrer dans les cases des projets d’animation.
En fait la séance d’animation m’apparaît, mais je dois me tromper, comme la séance où l’animateur fait sa démonstration de ses savoir faire techniques, c’est le temps du show!
D’ailleurs une activité a toujours un avant: le désir de l’activité, un pendant le plaisir de l’activité et un après la satisfaction d’avoir fait l’activité et cela peut être fait lorsqu’ils jouent au marchand et lorsque cela n’a pas été prévu dans le projet d’animation.
Bien, étant directement visée par cela, je tiens à répondre, et je suppose que tu attends ma réponse.
Déjà d’une part, je ne vois pas le rapport avec l’IUFM ou je ne sais plus quoi d’ailleurs, on est bien ici en train de parler d’animation, donc en temps de vacances, et non pas d’éducation… Et pour info, l’IUFM est désormais loin de mes priorités et loin de ma vie tout court également …
Tu parles du réveil, de critères d’évaluation du réveil … Dans ma propre conception, j’ai envie de te dire que ceci n’a rien à voir avec cela. Tu parles du réveil comme d’une activité… C’est une activité le réveil ? Non, assurément non. Ca ne peut pas être considéré en tant que tel. Le réveil c’est de la vie quot, ni plus ni moins. Alors oui effectivement on peut associer vie quot et animation, mais pas au moment du réveil, ou tout du moins pas au tout début du réveil.
Sinon, qu’est-ce qu’un projet d’animation ? Bien je ne suis pas ici pour faire un module sur le PA. Rapidement, on peut dire que c’est une suite d’activités ayant un but commun, avec une continuité et une suite logique dans ces activités, des buts pédagogiques et qui finalement amènent à ce que l’on appelle chez nous “une activité finale”.
A quoi ça sert ? A plonger les enfants dans une atmosphère sur plusieurs temps, et à ne pas faire des activités décousues les unes des autres, sans aucun but. Sans quoi on tombe vite dans les journées pate à sel, tomate, chef d’orchestre et foot en plein soleil. Un animateur c’est fait pour faire foot et pâte à sel ? OK, à celui qui pense ça je répondrais que effectivement il n’a alors pas besoin de construire un PA.
Qu’est-ce qu’une séance d’animation ? C’est tout simplement une animation /activité, bien construite, avec un avant, un pendant, et un après. Et pas seulement un truc qui arrive d’on-ne-sait où et qui va servir à on-ne-sait-quoi.
Quant aux critères d’évaluation, non, ça ne concerne pas réellement les enfants. On ne va pas leur faire un bilan individuel chaque soir en tête à tête pour savoir si à la suite de telle activité il a réussi tel but et a atteint tel objectifs. Quand je parle de critères d’évaluation, c’est plus par rapport aux animateurs et à leur travail, savoir évaluer son travail, savoir voir le négatif et le positif, savoir revenir sur ses expériences et en tirer les conclusions nécessaires.
Ai-je répondu à tes questions ?
Projet d’animation
Projet de direction
Projet éducatif
Projet pédagogique… et surement d’autres se multiplient dans le champ des cvl! On adore faire des projets qui pour la plupart soit ne servent à rien qu’à accentuer la bureaucratisation latente de l’animation, soit ne disent rien de la réalité ou une toute autre réalité et enfin et surtout masque à mon avis l’absence de réel projet d’éducation populaire… à savoir qu’est que je fous là, pour quoi faire, dans quel but ce qui dépasse évidemment les notions écrans ou discours idéologiques autour de l’enfant acteur, du respect du rythme et autres formules efficaces. Qui parle dans son projet péda de son implication politique, affective, de même pour les projets éducatifs qui sont souvent de phrases pompeuses du style: maintenir le lien social, respecter l’environnement, accentuer la solidarité…
Par ailleurs, j’ai trouvé cela dans un autre sujet du forum et ça m’étonne…
Moi perso dans un premier temps je fais un rappel sur la notion de projet d’animation, qu’est-ce que c’est, à quoi ça sert, pourquoi en faire un, et surtout, comment en faire un.Ensuite je rappelle les éléments constitutifs d’une séance d’animation, comment faire pour réaliser une bonne animation en quelque sorte.Et enfin, les critères d’évaluation de la séance d’animation et de toutes les activités du centre
J’aimerai d’abord savoir ce qu’est un projet d’animation, à quoi cela sert, j’aimerai savoir aussi ce que c’est une séance d’animation et quels sont les critères dont tu parles Ludius.
Je sens poindre le coup de la didactisation propre aux abonnés des iufm et qui sont persuadés que cela constitue le véritable travail intellectuel du futur métier d’instit ou de prof alors que c’est souvent un écran qui empêche de penser ou sert à ne pas penser l’éducation.
Par exemple, le réveil est il une séance d’animation ou l’on mettrait des critères d’évaluation du genre: ne réveille pas les autres, marche lentement et sans bruit dans le couloir… ou bien s’agit il plutôt des critères de réalisation…