ludou a Ă©crit :
tu es dĂ©jĂ bien adulte si tu y vois un doux rĂȘve. Lui n’avait pas l’air de rĂȘver ce qu’il dit.
J’ai plus 12 ans :pen: …
tu es dĂ©jĂ bien adulte si tu y vois un doux rĂȘve. Lui n’avait pas l’air de rĂȘver ce qu’il dit.
C’est bien parce que la vidĂ©o Ă©tait courte !
Il est mignon le petit chaton đ
il y aura peut-ĂȘtre des subtilitĂ©s que j’ai pas compris.
Mais ce jeune rĂȘve beaucoup, et ça c’est beau. ça aurait Ă©tĂ© marrant de prendre son tĂ©moignage plus grand…
Ahhh quand les enfants son loin de la réalité politiques et économique, ça fait de doux reveurs :love:
https://www.youtube.com/watch?v=
Cet entretien avec Franck est un extrait du film documentaire “D’Amore Si Vive” tournĂ© par Silvano Agosti et montĂ© en 1982.
Silvano Agosti confronte les trois éléments traditionnels du sentiment amoureux : tendresse, sensualité et amour au triptyque des nouveaux codes relationnels : brutalité, sexualité et possessivité.
“La tendresse sans sexualitĂ© ni amour engendre l’hypocrisie.
La sexualité sans tendresse ni amour engendre la pornographie.
L’amour sans tendresse ni sexualitĂ© engendre le mysticisme.
En fait nous avons affaire Ă une sociĂ©tĂ© hypocrite, pornographique et mystique.” Silvano AGOSTI
Pour info.
Je n’ai pas regardĂ© en dĂ©tail le contenu, je n’ai donc pas d’avis sur l’outil ni la dĂ©marche.
Si quelqu’un la connait plus que moi ?
Sac Ă d’oses d’amour
Au printemps 2009, la Direction DĂ©partementale de la Jeunesse et des Sports et le ComitĂ© DĂ©partemental dâEducation pour la SantĂ© de la LozĂšre ont souhaitĂ© rĂ©aliser une Ă©tude auprĂšs des centres dâaccueil collectif de mineurs du dĂ©partement
(…)les structures enquĂȘtĂ©es et les questionnaires retournĂ©s ont permis de mettre en relief que le thĂšme de la vie affective et sexuelle de lâenfant Ă©tait peu abordĂ© par les Ă©quipes Ă©ducatives en particulier pour ce qui concernait les jeunes de moins de 12 ans.
Ce sujet questionne pourtant votre quotidien, bien que délicat car intime ou pouvant toucher à des situations personnelles.
http://www.irepslr.org/article-sac-a-d-oses-d-amour-109059637.html
Cet outil est destiné à la formation et au développement des
compétences professionnelles des équipes éducatives des
structures dâaccueil collectif de mineurs autour de la thĂ©matique
« Vie affective et sexuelle des enfants de 0 à 12 ans ».
Il est le fruit du travail et de la rĂ©flexion dâune Ă©quipe pluri-disciplinaire qui Ćuvre dans le champ de lâenfance et de la
jeunesse.
Son souhait est, Ă travers cet outil, de permettre :
âą dâĂ©tayer le positionnement professionnel des utilisateurs sur cette thĂ©matique sensible et peu abordĂ©e pour cette tranche dâĂąge,
âą dâĂȘtre Ă lâaise et serein dans sa pratique quotidienne
âą dâamĂ©liorer la qualitĂ© des accueils au service du bien-ĂȘtre et de lâĂ©panouissement de lâenfant.
bon c’est pas le post pour dĂ©battre de 3000 ans d’histoire, mes propos n’Ă©taient pas toujours clair soit, il ne remette pas non plus en cause toute la profession des psys pour enfant et autre sociologue.
mais un vĂ©cu est un vĂ©cu et il est trĂšs difficile de s’en dĂ©faire mais bon ce n’est que l’histoire de ma vie rien de grave au demeurant.
Citation :
ben malheureusement pour toi ma vie sociale ne se limite pas Ă ma “petite” Ă©quipe d’animation et avec mes relations on a des sujets de conversations qui t’Ă©tonnerais
et le fruit de vos tergiversations?? c’est que les Ă©rudits sont tous des nazes?? wouahouh
passez de ça à ça c’est petit et tout Ă fait des dires sortie du contexte mais bon passons et
reprenons le fil :
je suis de l’avis de moilapa, en cas de doute vĂ©rifier avant de signaler, avec les coĂ©ducateurs , ils servent aussi à ça.
exemple: j’ai eu et j’ai encore un enfant qui se retrouve avec profusion de bleus jusqu’Ă violacĂ©s, l’Ă©quipe d’animation s’en inquiĂšte ce qui est lĂ©gitime, on vĂ©rifie avec les coĂ©ducateurs(entendre enseignant, prof extrascolaire et autre si possible), tout le monde constate la mĂȘme chose, lĂ catastrophe, il va falloir signaler (en connaissant la situation sociale de la famille on craignait le pire)
dernier recours avoir une discussion avec les parents, pris avec des pincettes tellement grosses qu’on aurait pu soulever la tour eiffel avec
et lĂ on apprends avec document Ă l’appui que l’enfant en fait Ă une hemophilie d’un type qui laisse des traces sur son corps mĂȘme quand tu lui serres la main, et dĂ©veloppe une allergie aux pansements, en plus le gamin est du genre casse cou enfin tout va bien quoi
seulement la famille, de peur qu’on refuse leur enfant avait occultĂ© son souci
heureusement qu’on a pas signalĂ© tout de suite vous imaginez la panique?
“A un post de Nuell , presque en fin de message.”
Autant pour moi. J’ai pour moi ce qui ne m’Ă©tais pas destiner.
J’irai brĂ»ler en enfer avec les mormons.
moilapa a Ă©crit:
“Quant Ă hĂ©siter Ă dĂ©truire une cellule familiale, mĂȘme merdique, alors lĂ je dis danger grave.”Tu te rĂ©fĂšres Ă quelle partie du post ? ?????
A un post de Nuell , presque en fin de message.
En lisant la suite de mon message, je signale que des enfants sont morts sous les coups de cette cellule familiale.
L’animateur qui a vu un bleu sur la cuisse d’une petite et qui se fait un film en 3 secondes ?
Evidemment, qu’il ne faut pas signaler pour un bleu!
J’ai eu quelques cas Ă signaler et les choses Ă©taient beaucoup plus significatives. D’autres collĂšgues directeurs ont eu les aveux des enfants eux mĂȘme. Fallait il les garder pour eux ?
Quelle formation a reçu le directeur de la structure pour réellement répondre à cette situation ? Ainsi que toutes les questions que je pose plus bas et que je ne vais pas reprendre.
C’est prĂ©cisĂ©ment parceque un dirrecteur n’a pas la formation suffisante qu’il faut effectuer le signalement. Aux travailleurs sociaux, a la DDJS, aux gendarmes ou au procureur suivant la gravitĂ© et l’urgence des choses. (Procureur en dernier recours)
On peut tout aussi bien bousiller un enfant en signalant des choses qui n’ont jamais existĂ©es que dans les fantasmes d’animateurs, qu’en rĂ©alisant rĂ©ellement ces actes dĂ©noncĂ©s.
Et si le terme “crĂ©tin” te dĂ©range, remplace-le par “criminel”.
Et bien dans les cas dont j’ai eu connaissance, moi ou des collĂšgues, le signalement a toujours Ă©tĂ© bĂ©nĂ©fique pour l’enfant. Evidemment il y avait des indices sĂ©rieux ou des aveux de l’enfant.
Dans ces cas la, cela aurait criminel de ne pas signaler et de se taire.
J’au aussi conu un directeur qui n’a rien dit par peur des reprĂ©sailles du quartier. Mais ar tes posts prĂ©cedents, je dĂ©duis que cela n’est absolument pas ton cas Moilapa. Tu prends tes responsabilitĂ©s.
Allez bye
Bon, donc “si on un doute on signale”
On “remet” le problĂšme entre les mains de personnes plus qualifiĂ©es” (lĂ dĂ©jĂ , y’aurait pas mal Ă dire), de lĂ Ă penser qu’on s’en lave les mains…
Bref, il y a signalement. Donc, y’a quelqu’un qui va se poser des questions, qui va essayer de savoir, donc qui va enquĂ©ter. Donc qui va aller lĂ oĂč il pense trouver des rĂ©ponses : voisins, parents, grands parents, enfants, maĂźtresse d’Ă©cole, directeur…
Et que va t-on dire Ă ces personnes d’une façon ou d’une autre, quelque soit la façon dont tout ça va ĂȘtre dĂ©ballĂ© sur la table : pensez-vous que les parents de X ont pu agresser physiquement, sexuellement leur enfant ?
Que la question soit poser aussi cruement ou d’une façon bien plus allusive, voilĂ ce qu’entendront les voisins, l’enfant, les adultes de l’Ă©cole, du centre de loisirs…
Terrible !
Alors quelle réponse ?
Si j’ai une certitude je signale ?
Oui… sauf que ça rĂ©pond pas Ă beaucoup de questions. A commencer par : qui est la personne qui a cette certitude.
Mais qui rĂ©pond au moins Ă l’idĂ©e “bon l’erreur est acceptable, si sur une dizaine de signalements un s’avĂšre rĂ©ellement prĂ©occupant, ça vallait le coup de bousiller 9 autres familles.”
Y’a pas se cĂŽtĂ© “on ne fait pas d’omelettes…” mĂȘme si l’erreur reste Ă©videmment possible.
nuel00 a Ă©crit:
dĂ©solĂ© moilapa j’ai une dĂ©fiance envers ces fameux Ă©rudits de l’enfance depuis de trĂšs nombreuses annĂ©es
aprĂšs peut ĂȘtre qu’ils ne sont pas tous ineptes :p…
un peu de modestie petit scarabĂ©, nous avons et tu as aussi beaucoup Ă apprendre des anciens, “qui ne tient pas compte de 3000 ans d’histoire est condamnĂ© Ă la revivre”, en occultant les recherches faites par d’autres avant nous, on repart Ă zĂ©ro et on avance pas
et qui n’avance pas recule, comment veux tu, comment veux tu que….
ben malheureusement pour toi ma vie sociale ne se limite pas Ă ma “petite” Ă©quipe d’animation et avec mes relations on a des sujets de conversations qui t’Ă©tonnerais
et le fruit de vos tergiversations?? c’est que les Ă©rudits sont tous des nazes?? wouahouh
dĂ©solĂ© moilapa j’ai une dĂ©fiance envers ces fameux Ă©rudits de l’enfance depuis de trĂšs nombreuses annĂ©es
aprĂšs peut ĂȘtre qu’ils ne sont pas tous ineptes :p
mais bon si tu as ouvert ce sujet c’Ă©tait bien pour en parler non?
donc parlons en mais pas forcement à travers bouquin interposé
Ta raison : pourquoi s’embĂȘter Ă lire ce que peuvent Ă©crire des pĂ©dopsychiatres qui ont Ă©tudiĂ© la question ? Pourquoi enrichir sa rĂ©flexion ?
En se basant uniquement sur ce que l’on a vĂ©cu, en se limitant Ă l’avis de sa petite Ă©quipe, on aura Ă©videment une meilleur vue d’ensemble que des gĂ©nĂ©rations de chercheurs…
ben malheureusement pour toi ma vie sociale ne se limite pas Ă ma “petite” Ă©quipe d’animation et avec mes relations on a des sujets de conversations qui t’Ă©tonnerais
mais bon on est pas lĂ pour se rendre des politesse je crois
bon, j’avoue je suis un peu dans mon monde bizarre en ce moment… quelqu’un m’explique ce que j’ai ratĂ© Ă propos de sĂ©golĂšne et ses directives ?
C’est pas tout nouveau c’est du temps de son passage Ă l’Ă©ducation nationale (Ă©poque Claude AllĂšgre). Cette directive qui Ă©tait censĂ©e protĂ©ger les enfants, n’a eu pour effet qu’une explosion des accusations de pĂ©dophilie (sans qu’il n’y ait plus de cas avĂ©rĂ©s au final), et pour consĂ©quence au moins un suicide de professeur accusĂ© Ă tort.
un vieil article de Marianne
Crevette, tu aurais dĂ» lire tout le post :
“L’urgence qui leur est imposĂ©e (l’auteur parle des enseignants et de la circulaire “SĂ©golĂšne Royal” qui donne une marche Ă suivre en cas de soupçon d’actes de pĂ©dophilie, dĂ©marche selon laquelle l’instit’ doit immĂ©diatement “aviser le procureur de la rĂ©publique sans se livrer Ă une quelconque Ă©valuation de la situation”) si elle est propice Ă la rĂ©vĂ©lation de sĂ©vices sexuels, peut ĂȘtre Ă l’origine de signalements intempestifs, source certaine de troubles graves dans la cellule familiale et dans l’entourage des personnes incriminĂ©es. Sans compter que nombre de spĂ©cialistes, notamment psychiatres, pĂ©dopsychiatres et psychologues, considĂšrent que l’implication d’un enfant dans une telle affaire, lorsqu’elle est sans fondement, peut avoir des consĂ©quences aussi graves que si les faites Ă©taient avĂ©rĂ©s.”
“
D’accord avec toi, Solleana.
C’est un sujet Ă©minemment dĂ©rangeant quand on travaille avec des enfants ; J’avais lancĂ© un post sur ce sujet qui n’avait pas trouvĂ© Ă©cho.
A propos de ce que dis Nuel :
“mais je ne crois pas que c’est en donnant des ouvrages, peut ĂȘtre pas si digestes que ça, qu’on va changer la donne.”
Alors lĂ pas mieux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Non ? Ce n’est pas Ă travers le savoir que l’on peut tenter de mieux comprendre notre travail ? Les enfants ? Les incidences de nos actions ? Avoir le recul nĂ©cessaire vis Ă vis d’un sujet dont on est forcĂ©ment plein de prĂ©jugĂ©s et de “rĂ©flexes de pensĂ©es” !
A travers ce type d’ouvrages par exemple de spĂ©cialistes de l’enfance, de sociologues ? Dont, Ă une exeption prĂȘt, sont parfaitement abordables.
“il me semblerait plus utile de parler du vĂ©cu et des rĂ©actions qu’on a pu avoir face Ă une supposĂ© maltraitance ou une sexualitĂ© enfantine”
Ah oui ? Et parler avec qui ? avec le copain animateur ou le directeur ? Bien. Et aprĂšs ?
Ta raison : pourquoi s’embĂȘter Ă lire ce que peuvent Ă©crire des pĂ©dopsychiatres qui ont Ă©tudiĂ© la question ? Pourquoi enrichir sa rĂ©flexion ?
En se basant uniquement sur ce que l’on a vĂ©cu, en se limitant Ă l’avis de sa petite Ă©quipe, on aura Ă©videment une meilleur vue d’ensemble que des gĂ©nĂ©rations de chercheurs…
XXYYZZ a Ă©crit:
Par contre je suis moins d’accord sur le passage qui concerne la directive de SĂ©golĂšne Royale.
bon, j’avoue je suis un peu dans mon monde bizarre en ce moment… quelqu’un m’explique ce que j’ai ratĂ© Ă propos de sĂ©golĂšne et ses directives ?
Il y a bien sĂ»r la sexualitĂ© de l’enfant qui est Ă reconnaĂźtre mais il y a encore plus compliquĂ© Ă admettre c’est le lien libidinal qui unit Ă©ducateur et Ă©duquĂ©, Ă©lĂšve et enseignant, animateur et enfant non?
En tant que relation entre ĂȘtre de dĂ©sirs, cette dimension libidinale existe. Ăvidemment pas sous la forme de l’envie sexuelle proprement dite ou du rapport sexuel mais sous une forme dĂ©sirante tout de mĂȘme que cherche Ă cacher toutes les techniques didactique de mise Ă distance de l’enfant rĂ©el vivant.
A lire aussi:
je plussoie frytjip,
aprĂšs je ne dis pas que je suis choquĂ© ou ignorant de la sexualitĂ© de l’enfant
je me suis plutĂŽt mal exprimĂ© sur les prĂ©cĂ©dents post et je m’en excuse ce que je voulais dire c’est que c’est souvent le regard de l’adulte qui pose souci
Ă©videmment les enfants font des dĂ©couvertes de cette ordre j’ai des souvenirs de ma petite enfance fort croustillant, quant Ă mon adolescence passons lĂ dessus^^
mais je ne crois pas que c’est en donnant des ouvrages, peut ĂȘtre pas si digestes que ça, qu’on va changer la donne.
il me semblerait plus utile de parler du vĂ©cu et des rĂ©actions qu’on a pu avoir face Ă une supposĂ© maltraitance ou une sexualitĂ© enfantine pour que ce soit vraiment utile mĂȘme si chaque situation est unique bien sur
Alors rappelons tout ça aux directeurs en place (et anim’ sur le terrain).
Parce qu’Ă chacune des situations que j’ai rencontrĂ©es (vĂ©cues, entendues, lues), je n’ai trouvĂ© que de l’ignorence, des gens qui croyaient bien faire, qui surrĂ©agissent, qui rĂ©agissent “affect” quand il faudrait commencer par prendre du recul par rapport Ă sa propre rĂ©action.
Des “surrĂ©actions” comme on en lit ici, des exemples d’animateurs qui se retrouvent face Ă une situation aussi commune qu’un enfant qui se masturbe…
Quel discours est proposĂ© lors des Bafa au delĂ du “dans le doute faut signaler” ?
Quelle place aux explications sur la sexualité des enfants quand on évoque par exemple des 3-6 ans ?
Quelle rĂ©flexion sur ce “doute” ?
Comment savoir ce qui est “doute”, “rĂ©action par rapport Ă sa propre sexualitĂ©”, etc… si on a pas eu un minimum d’information ?
Quelle rĂ©flexion sur le fait qu’un enfant peut souffrir tout autant de blessures rĂ©elles que d’un signalement sans fondement ?
Quelle rĂ©flexion sur la responsabilitĂ© que l’on a quand on s’engage Ă encadrer des enfants ?
Et justement, heureusement que nous ne sommes pas les seuls adultes Ă les encadrer… Il y a l’Ă©quipe, donc d’autres impressions, d’autres avis, les enseignants s’ils sont accessibles. Et enfin, il ne s’agit pas de “signaler” pour “signaler”. Mais plutĂŽt de savoir dĂ©lĂ©guer une problĂ©matique qui n’est pas de notre compĂ©tence. En parler dĂ©jĂ Ă son entourage professionnel n’est pas synonyme de dĂ©truire la famille…
En plus c’est difficile de parler comme cela sans pouvoir s’appuyer sur du concret car tout dĂ©pend du contexte aussi. Et Ă©videmment Moilapa que je partage avec toi le fait de dire que nous sommes trĂšs subjectifs dans notre apprĂ©ciation des choses. C’est pour ça qu’il est important de rapeller que l’animateur n’est pas seul… Et que des dĂ©cisions au sujet d’un enfant doivent toujours Ă mon avis se prendre de maniĂšre collective.
D’oĂč les rĂ©fĂ©rences que je donne.
Qu’est est la valeur de ce “faut signaler” quand on voit ce que sont ces animateurs aujourd’hui ?
Comment peut-on prĂ©tendre se rĂ©fĂ©rer Ă la protection de l’enfant quand on a ce discours : “Dans le doute, vaut mieux signaler !!!!!!!
En sachant qu’on peut faire Ă l’enfant et sa famille le mĂȘme mal que l’on prĂ©tend dĂ©noncer ?
Au nom de quoi peut-on s’octroyer de sacrifier certains pour en sauver peut-ĂȘtre d’autres.
Au nom du doute ????????
“Ne jouons pas Ă l’apprenti sorcier.”
Et ne nous posons pas de question : aprĂšs tout, qu’y a t-il en jeu , La vie d’un enfant et sa famille, juste ça…
Mais comme je l’Ă©cris : qui sont ces personnes qui ont un doute ? Comment les a-ton encadrer pour qu’ils puissent “gĂ©rer ce doute” ? Comprendre des situations d’une complexitĂ© parfois trĂšs grande ?
Des gens avec une solide formation Bafa ? EncadrĂ©e par des grands professionnels qui font de l’animation depuis au moins un an !!!
de quelles personnes compétentes parles-tu ? Des policiers ? Le procureur ?
a la lecture de ces ouvrages, on voit comment, mĂȘme pour des pĂ©dopsychiatres il est parfois trĂšs difficile de comprendre une situation.
Alors pour ma part ce discours “faut signaler dans le doute” il ne convient plus.