contrainte….
Ok, c’est pas facile de voir le rapport:
En effet, d’une certaine façon, Kant répond bien a la question existentielle: La liberté implique t’elle l’absence de contrainte?
Ainsi, pour Kant, le règne de la liberté, inexplicable, ne relève pas de la causalité naturelle, mais d’un monde intelligible (voir l’élément 5 du schéma général, et le schéma sur Kant). Si on ne peut connaître la liberté comme un fait d’expérience, on peut cependant la penser comme une idée (principe régulateur) non contradictoire. Mieux encore, on doit l’exiger comme postulat de la morale, c’est-à-dire des actes effectués par devoir. En effet, l’indépendance de la volonté à l’égard de toute autre loi que la loi morale est le fondement du respect et de l’obligation pour la loi morale (sur l’autonomie chez Kant : Fondements de la métaphysique des mœurs, 2e section, et Critique de la raison pratique, partie I, livre I, chap. 1, § 8). La liberté fonde la dignité humaine. L’impossibilité de penser le libre arbitre dans la sphère théorique n’empêche donc pas de le postuler dans la sphère pratique, où la liberté est la condition de la moralité et de la responsabilité (Critique de la raison pure, Théorie transcendantale des éléments, 2e division, livre II, chap. II, section 9, III).
Bon, j’avoue, c’est pas tout de moi…. Tout ca pour justifier ma réponse 😀
Petit clin d’oeil a ceux qui ont passé le BAC de Philo en S cette année, il me semble que le sujet s’en rapprochait!