Oui, mais pas de son propre chef : il faut attendre que le jeune vienne le voir et lui demande de tout arrêter (ce que d’autres avaient fait avant). Et ce n’est que là que le prof se rend compte que tout cela a pris une envergure démesurée (parce que cela a séparé deux amoureux !!!)
C’est bien ce jeune qui fait tout arrêter… le prof lui n’avait plus son libre-arbitre. Il a fallu un événement extérieur pour cette prise de conscience…
C’est dommage ; parce que sans ce choix ridicule, le film aurait vraiment été top…
Le jeune qui tire avec son pistolet sur les autres est aussi un ajout. Là aussi pour le côté romanesque et vendeur.
Je ne crois pas que cette expérience, si elle s’est bien déroulée comme le prof l’a racontée, avait suffisemment de force pour ne pas s’en écarter autant.
Sans doute, si je voulais simplifier au maximum les intentions de l’auteur du film (et le roman ?), je dirais le pistolet pour le public mâle, et l’histoire d’amour pour le public femelle.