[au84972]

Que tu ais une position politique, une vision de l’animation populaire bien tranchée et tout plein de raison de ne pas admettre le sport comme mode d’éducation et lorie comme culture française…. ok, mais laisse moi penser plus discrétement, plus modéremment, m’attaquer aux problèmes réels…

Comme si tout ce que tu viens de citer n’était pas des problèmes réels!

Tant que des gens s’inquièteront de ce que cela doit devenir, il feront tout pour que l’idée qu’il s’en font soit celle qui prédomine

Bien sur! On est tous libre et indépendant su système politique global dans lequel nous vivons? En somme on fait ce qu’on veut et il n’y a aucun déterminisme politique? est cela ton raisonnement? Et que feront ils quand il n’y aura plus de crédits pour l’éducation populaire ou quand celle ci sera transformée en vaste machîne à fric proposant ses produits sur un marché concurrentiel? (c’est déjà le cas non??)

@anthony: tout le monde il est beau!

[Barilla]

vassrohm a écrit :
Je suis fort heureux que tu me soutiennes mais quand je parle de développement d’une sous culture je vise aussi ceux qui tous les jours défendent par exemple le sport et la compétition comme moyen d’éducation, tous ceux qui refusant de prendre une position politique dans l’animation et dans l’éducation participent consciemment ou non de la logique de marchandisation des loisirs, tous ceux n’ont finalement comme crédo idéologique que le respect de toutes les valeurs sous prétexte que tout se vaudrait, tous ceux qui n’ont jamais entrepris en serait ce qu’une tentative de mise en plcae d’une pédagogie active, tous ceux qui refusent la politisation de l’animation et de l’éducation, tous ceux qui n’osent pas penser!

Est ce qu’il n’y a pas une différence entre penser et crier…
Enfin bref, en gros, et ne le prend pas comme une injure, mais tu me fais penser aux mecs d’ATTAC-UTC qui nous ont démonté notre vie associative sous pretexte de défendre mordicus certaines valeurs, finalement très insignifiantes faces à celles pour laquelle l’association s’est créée. Ce que je veux dire, c’est qu’au nom de valeurs et d’idéologies (certes très défendables…), ils sont tombé dans les extrèmes, se battant pour des grains de poussières quand ils auraient pu essayer d’acheter un balai…
Que tu ais une position politique, une vision de l’animation populaire bien tranchée et tout plein de raison de ne pas admettre le sport comme mode d’éducation et lorie comme culture française…. ok, mais laisse moi penser plus discrétement, plus modéremment, m’attaquer aux problèmes réels…

Pour répondre à la question de l’avenir de l’animation socio culturellle:
Je pense qu’il existera un avenir tant qu’il y’aura des gens pour se demander si il existe. Tant que des gens s’inquièteront de ce que cela doit devenir, il feront tout pour que l’idée qu’il s’en font soit celle qui prédomine. Et alors l’animation socio culturelle continuera!

[Import]

vassrohm a écrit :
Je suis fort heureux que tu me soutiennes mais quand je parle de développement d’une sous culture je vise aussi ceux qui tous les jours défendent par exemple le sport et la compétition comme moyen d’éducation, tous ceux qui refusant de prendre une position politique dans l’animation et dans l’éducation participent consciemment ou non de la logique de marchandisation des loisirs, tous ceux n’ont finalement comme crédo idéologique que le respect de toutes les valeurs sous prétexte que tout se vaudrait, tous ceux qui n’ont jamais entrepris en serait ce qu’une tentative de mise en plcae d’une pédagogie active, tous ceux qui refusent la politisation de l’animation et de l’éducation, tous ceux qui n’osent pas penser!

Chacun ses défauts ou qualités.On n’a pas tous les même vécus, et la même réflexion.On n’ai comme on ai. Bref on refais pas ce débat sur le sport Vass pour ce qui me concerne! 😀

[au84972]

Je suis fort heureux que tu me soutiennes mais quand je parle de développement d’une sous culture je vise aussi ceux qui tous les jours défendent par exemple le sport et la compétition comme moyen d’éducation, tous ceux qui refusant de prendre une position politique dans l’animation et dans l’éducation participent consciemment ou non de la logique de marchandisation des loisirs, tous ceux n’ont finalement comme crédo idéologique que le respect de toutes les valeurs sous prétexte que tout se vaudrait, tous ceux qui n’ont jamais entrepris en serait ce qu’une tentative de mise en plcae d’une pédagogie active, tous ceux qui refusent la politisation de l’animation et de l’éducation, tous ceux qui n’osent pas penser!

[Import]

vassrohm a écrit :
L’animation socio-culturelle est en train de plonger largement dans la marchandisation de la culture ou dans la diffusion d’une culture de masse se refusant aisni à jouer son rôle politique et historique ancré dans l’éducation populaire à savoir l’émancipation des individus.
Les clsh ou les cv sont entrés dans une logique commerciale, dans une logique d’offre et de la demande en conservant des valeurs historiquement sociales qui mais qui sont inadéquation totale avec les réalités du terrain. Par ailleurs les associations affichent des objectifs bien souvent humanistes, solidaires voire politiques et conduisent dans le même temps une politique managériale totalement inverse et axée sur la recherche de profits (cf le livre noir de l’animation socio-culturelle).
Bref, l’animation est àa la croisée des chemins entre une logique de type club-med ou une réaffirmation radicale de ses objectifs sociaux et politiques. malheuresement j’ai bien peur que le deuxième axe ne soit pas choisi…

Pour appuyer tes propos Vass, j’ai l’exemple type d’une stagiaire qui est en BEATEP avec moi,qui travail dans un centre depuis plus de 8ans et qui à été racheter par un autre organisme beaucoup moins cher que le sien. Alors même si l’animation proposé sera pas top, on prend quand même le moins cher. Bizarre comme conception. Moi honnêtement je suis plus à l’aise pour travailler dans un centre axé sur ta deuxième proposition,mais combien peut on en compter aujourd’hui?! 😕 😮 🙁 C’est donc à nous anim, responsable de structures de dire non à certains système. Je dit pas de joué les révolutionnaires, mais ayant des valeurs,je me vois pas m’assoir dessus pour un système qui me conviens pas.

[au84972]

L’animation socio-culturelle est en train de plonger largement dans la marchandisation de la culture ou dans la diffusion d’une culture de masse se refusant aisni à jouer son rôle politique et historique ancré dans l’éducation populaire à savoir l’émancipation des individus.
Les clsh ou les cv sont entrés dans une logique commerciale, dans une logique d’offre et de la demande en conservant des valeurs historiquement sociales qui mais qui sont inadéquation totale avec les réalités du terrain. Par ailleurs les associations affichent des objectifs bien souvent humanistes, solidaires voire politiques et conduisent dans le même temps une politique managériale totalement inverse et axée sur la recherche de profits (cf le livre noir de l’animation socio-culturelle).
Bref, l’animation est àa la croisée des chemins entre une logique de type club-med ou une réaffirmation radicale de ses objectifs sociaux et politiques. malheuresement j’ai bien peur que le deuxième axe ne soit pas choisi…

[BRESSON]

dans le terme animation socio-culturelle il y a 3 mots et chacun est d’importance. Ce qui veut dire que derrière ce thème il y a plein de métiers et donc des milliers de postes tous aussi différents les uns que les autres. C’est un secteur professionnel encore très jeune et donc très mal organisé : il existe de multiples types d’organisations, de structures, d’interventions, d’opinions (souvent passionnelles donc peu ouvertes)… De plus le monde du social (assistantes social, éducateurs spécialisés, …) et de l’éducation (instit, prof, CPE,…) ne sont pas encore prêts à accepter de travailler avec nous, pour eux (pas tous heureusement) nous ne sommes que des joueurs de billes dans les cours de colos!
Tout ça pour dire que oui l’animation socio-culturelle à sa place dans la société d’aujourd’hui; elle se reconnait elle même mais est encore loin d’être reconnue par tous les acteurs du social et du culturel.
Pour cela il faut que l’on continu ( et certain commence tout simplement!!!) à avoir une attitude pro dans le cadre de notre boulot sans se faire bouffer. Il ne faut pas se leurrer, nous sommes les parents pauvres du social et travaillons souvent pour des structures qui ne rapportent pas d’argent, donc question salaire…il est loin d’être à la hauteur de nos responsabilité!
les métiers de l’animation socio-culturelle ont souvent une raison passionnelle, c’est sans doute pour ça que l’on accepte beaucoup de concessions à titre privé et certainement pour cette même raison que l’on y reste, que l’on y croit.

je suis defa, formatrice en plus de mon boulot et connait bien les secteurs du loisir enfance- jeunesse, ado et prévention spécialisée

[jacques Coutoux]

vaste question, je ne peux répondre pas d’autres questions. S’il n’y avait pas de socio-culturel comment le tissus social marcherait, quand on voit la réflexion actuelle sur la société et le positionnement du gouvernement, on se pose des questions sur l’avenir du métier du socio-culturel.
On remplacerai par quoi ? Puisque l’opinion semble dire que le socio-culturel ne résoud rien ou n’apporte rien, quelles sont ls solutions ? 😕

[Schnappauf Jan]

Voila je trouve ke votre site est très intéressant.
J´ai 26 ans, diplômé d´1 Bts en communication et je souhaite vivement m´orienter dans la voie professionnelle de l´animation socio-culturelle. Je constate de plus en plus ke cette fonction aura un rôle trés important à jouer dans l´avenir. Elle l´a déjà vous me direz mais avec les difficultés sociaux et de plus en plus de problèmes rencontrer dans l´intégration et l´éducation cette mission s´avère de plus en plus important dans les avis des institutions et des personnes privées. Mais est-ce que cette fonction sera valoriser ? :thx:

[Auteur]

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