[Lapin]

Bonjour,

Dis-donc, il y’en a toujours autant sur ce forum : du kayak au viol, du contrat au règles du respect : l’éducation populaire à un vaste avenir!

Pour ma part, sur ce forum, ca ne me gène pas de metre autonomie, gestion partagée, enfant-auteur, et pourquoi pas éducation à l’environnement… dans le même paquet. Parceque la question de la finalité reste la même.

Il me semble que Olivier a plutôt bien expliqué le jeu entre volonté des parents et rôle de l’organisateur :

_Olivier_ a écrit ici (post#106)
Associer les parents à la création d’un séjour, je trouve cela fort séduisant, au même tître qu’associer les enfants au séjour…
Cependant, les associations et organismes qui organisent ces séjours sont à priori (sauf à la marge), compétant pour organiser des séjours. Ce sont des professionnels, dont c’est le métier, la raison sociale…

Jongloman, si je comprends bien, tu réponds que les organisateurs et les équipes péda sont compétents pour pratiquer l’animation en laquelle ils croient? Avec Mathusalem, vous défendez l’engagement idéologique du directeur et de son équipe, une “animation politique”, qui ait un sens. C’est ça?
Fryjip, tu défend l’autonomie : tu répond à Al-Batros qu’elle n’est pas source de danger, au contraire. Est-ce que c’est ça? Vassrohm, tu insiste (plutôt sur d’autre forums) sur l’importance de ce “paquet” (autonomie – enfant acteur/auteur, etc…) dans le développement de l’individu? Ou bien…?

Ca me pose un peu problème.

Ca part du postulat que l’éducation est la finalité du centre. Jongloman va jusqu’a affirmer que les séjours de vacances sont une institution éducative au même titre que l’Ecole!!

Jongloman a écrit :
Pourquoi (c’est une interrogation) les institutions éducatives : l’école, les séjours de vacances, les accueils de loisirs, les centres sociaux, … (ne voyez pas de classement dans l’ordre de ma liste) ne pourraient elles pas se permettre de dire ce qui est « bon » ou non à des parents pour leurs enfants ou simplement de donner leur avis ?

Ca me gène beaucoup. A mon sens, l’éducation que nous pouvons apporter est “périphérique” (frytjip, education populaire et famille), c’est à dire qu’elle n’est pas un but mais une méthode, pas une série d’actions mais un cadre, pas une fonction mais un rôle, etc…
Centre de Vacances et de Loisirs (hélas, l’appellation à disparu) et pas “Centre Educatifs”.

Pour finir :
OUI au plaisir gratuit de l’enfant!

[Nicolas31]

Pour autant, il appartient à l’équipe de mener et de rédiger son projet pédagogique.

La notion Projet Pédagogique n’a pas d’existence règlementaire.
L’art227-23 du CASF parle de description du Projet Educatif, mais nulle part on parle de Projet Pédagogique.

CODE DE L’ACTION SOCIALE ET DES FAMILLES
(Partie Réglementaire)
Article R227-23
Le projet éducatif mentionné au deuxième alinéa de l’article L. 227-4 est décrit dans un document élaboré par la personne physique ou morale organisant un des accueils mentionnés à l’article R. 227-1.

Que tu le veuilles ou non, et même si effectivement le projet pédagogique n’a pas d’existence “réèlle” vis à vis de la loi, il est obligatoire pour l’équipe (sous la coordination du directeur) d’en constituer un.
Effectivement elle n’est pas obligé de le nommer ainsi, mais elle est obligé de le faire.

Donc, soit tu n’as pas compris ce qu’il voulait dire en parlant de projet péda, et auquel cas tu peux lui demander de préciser, soit tu as tord en le reprenant car il a raison, l’équipe à l’obligation d’en mettre un sur papier, et ceci date au minimum du premier mandat de Chirac.

Nico.

[Al-Batros]

Salut à toi, Frytjip,

Effectivement on parle de contrat de fait mais il ne se fait exister qu’en cas de détermination de responsabilité.

Ce n’est pas un contrat de fait, mais de droit.
La convention existe bel et bien.

Et c’est la prestation de service qui rentre dans le cadre de ce contrat de “vente” tout comme l’achat d’une baguette de pain.

Le contrat avec les familles ne comporte pas que l’obligation de prestation d’activités, il est plus vaste que ça.

quand je disais il n’y a pas de contrat, je signifiais qu’il n’y a pas de contrat a priori, écrit.

Le Code Civil n’impose pas le caractère écrit à un contrat.
Idem pour un contrat de travail, il peut très bien être oral.
Il suffit qu’il y une conention.

Enfin, j’ai eu tort de préciser qu’il n’y a pas de contrat sur l’action éducative. L’organisateur a une obligation de prestation de service du momment que les parents achètent ce service. Mais il n’y a pas de contrat sur la pédagogie. D’ailleurs comme tu l’as si bien relevé, effectivement le projet pédagogique est du domaine extra-légal tout comme le projet d’animation(encore moins courant celui-là).

Si les organisateurs disaient aux familles: “On va refaire ou compléter l’éducation de vos gosses.” et que les parents acceptaient, il y aurait une convention donc un contrat. Ce n’est pas le cas me semble t’il.
Néamoins, s’il y a un préjudice, les parents pourront toujours attaquer sur le terrain délictuel, le cas échéant.
Donc, il vaut mieux être TARE, c’est plus sûr.

Rien n’a été dit dans l’éexistence d’un supposé contrat entre le législateur et les organisateurs.

C’est parce qu’il n’y en a pas. Respecter la loi, c’est une obligation et non un devoir. Ce n’est pas pareil. La différence est la même qu’entre axiome et postulat.
Attention, moi, je n’aime pô les glissement de dénotations.

Enfin, avec le parallèle fait entre une faute professionelle ou accident et les crimes nazis tu as atteint ce que l’on appelle communément le point Godwin.

Tu essaies de convaincre l’humanité tout entière que j’ai fait ce paralèlle. Pourtant, tu sais très bien que celui que j’ai fait est au niveau de la qualification de .
Cad, qualifier les hommicides involontaires par imprudences ou négligences délibérées ou caractérisées d’enfants de faits divers, c’est aussi grave que de qualifier les atrocités nazies de détails de l’histoires.
Ce n’est pas très fair play.
Mais, c’est bien tenté.

Une manière par laquelle tu démontres que ta démonstration est à court d’arguments.

Là aussi, tu sais bien que je ne suis pas à court d’arguments.
Les ignonimies du genre humain m’ont rendu intarissable sur ce sujet.

Le problème avec toi c’est qu’avant de parler sécurité tu pars du principe que chaque chose et chacun est dangereux. Le facteur chance n’a rien à voir là dedans.

C’est vrai, pour moi tout est dangereux.
On doit mettre le risque à un niveau accepté. (Et pas seulement acceptable)
Si les parents et les minôts acceptent le risque, on peut y aller. Mais, ça c’est impératif.
Il ne faut pas que le prof de gym dise avant: “Vous inquiétez pas, je gère.”
Et après: “J’étais sûr que que le guide connaissait son métier … .”

On ne doit pas baser la réussite d’un accueil de mineurs sur la chance.
“Hé bien voilà, il n’y a qu’une sur 30 que votre enfant se tue, alors on y va.” Tu vas dire ça aux parents, toi?

Instaurer un climat de contrôle trop poussé ou mal adapté n’a jamais apporté ses fruits.

Pas de contrôle, mais de d’accepatation du risque.

Et je maintiens que tu fais de la prévention de la prédiction.

La prévention de la prédiction?
Qu’est ce que c’est?

Parce qu’on permettrait une grande part d’autonomie aux enfants, il y aurait de plus grandes chances d’accidents. Or aucune scientifique ne vient corroborer cette hypothèse.

Je suis partant pour qu’on accorde l’autonomie qu’on peut accorder, cad avec les précautions qu’on a mis en place.

Une autonomie accordée à des personnes qui n’ont pas les capacités correspondantes, c’est forcément plus dangereux. Puisque tu ne connais pas de lois corroborantes, je te citerais celles de Murphy, dites des emm… maximum.

Et de nous illustrer cette idée de multiples cas d’expérience personnelle où à aucun momment tu cherches à savoir qui est vraiment le responsable.

Encore une allégation gratuite,, j’ai cherché. J’ai trouvé une solution, mais ce n’était peut être pas la solution. J’ai le doute de: The man who knows he isn’t God.

Un jour on s’est dit que ce serait bien de supprimer les parloirs dans les prisons. Les détracteurs d’une telle idée y voyaient là une menace pour la sécurité. L’expérience a montré finalement qu’une telle décision avait rendu le climat plus serien et donc amené d’avantage de confiance entre les surveillants et les surveillés donc moins de conflits…

Bel exemple pour montrer que l’erreur est humaine.

J’aimerais bien qu’on me convainque que je fais une erreur.
Mais là, il y a à faire.

Al Batros

[Simon]

Effectivement on parle de contrat de fait mais il ne se fait exister qu’en cas de détermination de responsabilité. Et c’est la prestation de service qui rentre dans le cadre de ce contrat de “vente” tout comme l’achat d’une baguette de pain. Quand je disais il n’y a pas de contrat, je signifiais qu’il n’y a pas de contrat a priori, écrit. Enfin, j’ai eu tort de préciser qu’il n’y a pas de contrat sur l’action éducative. L’organisateur a une obligation de prestation de service du momment que les parents achètent ce service. Mais il n’y a pas de contrat sur la pédagogie. D’ailleurs comme tu l’as si bien relevé, effectivement le projet pédagogique est du domaine extra-légal tout comme le projet d’animation(encore moins courant celui-là); Rien n’a été dit dans l’éexistence d’un supposé contrat entre le législateur et les organisateurs.

Enfin, avec le parallèle fait entre une faute professionelle ou accident et les crimes nazis tu as atteint ce que l’on appelle communément le point Godwin. Une manière par laquelle tu démontres que ta démonstration est à court d’arguments. Le problème avec toi c’est qu’avant de parler sécurité tu pars du principe que chaque chose et chacun est dangereux. Le facteur chance n’a rien à voir là dedans. Instaurer un climat de contrôle trop poussé ou mal adapté n’a jamais apporté ses fruits. Et je maintiens que tu fais de la prévention de la prédiction. Parce qu’on permettrait une grande part d’autonomie aux enfants, il y aurait de plus grandes chances d’accidents. Or aucune scientifique ne vient corroborer cette hypothèse. Et de nous illustrer cette idée de multiples cas d’expérience personnelle où à aucun momment tu cherches à savoir qui est vraiment le responsable.

Un jour on s’est dit que ce serait bien de supprimer les parloirs dans les prisons. Les détracteurs d’une telle idée y voyaient là une menace pour la sécurité. L’expérience a montré finalement qu’une telle décision avait rendu le climat plus serien et donc amené d’avantage de confiance entre les surveillants et les surveillés donc moins de conflits…

[Al-Batros]

Re salut à toi, Frytjip, je reviens,

La réglementation porte avant tout sur la sécurité, physique, affective et morale avec toutes les déclinaisons qui en découlent.

Le règlement fixe en effet ce que j’appelle le minimum règlementaire que va faire l’équipe qui va se contenter du minimum syndical pour avoir le minimum d’emm… .

Moi, je suis prêt à en faire plus par égard envers les parents qui me font honneur en me confiant leur création à laquelle ils tiennent le plus au monde.

En 1998, J… est tombé dans la cour, il s’est entaillé la langue. Je l’ai pris en charge tout de suite, je l’ai emmené en salle des instits. (C’était dans le cadre d’une cantine et c’était un enfant qui n’y venait pas, donc qui n’était pas sous notre responsabilité.)
J’ai pris des compresses et j’ai nettoyé autour de la bouche en attendant qu’on appelle les pompiers. Que dalle …
Mon directeur l’a envoyé se rincer la bouche avec de l’eau plate, ce qu’il ne fallait pas, il aurait fallu du liquide physiologique que je n’avais pas.
La directrice de l’école a téléphoné à la maman en disant: “Votre fils a la langue TRANCHEE.”
L’enfant n’est pas allé à l’hopital.
Mon directeur m’a ensuite demandé à quelle heure a eu lieu l’accident, je lui ai répondu 13h25, il m’a répondu: “On est plus responsable après 13h20”.

La directrice n’a pas voulu faire une déclaration d’accident et voilà.

J’ai vu d’autres cas tout autant sordide.

Si tu as déjà fait des déclarations d’accident, tu dois savoir quelle galère c’est avec ces fumistes d’organisateurs pourris.

Une sécurité que tu ne cesses pas de nous rabâcher Al-Batros. Une sécurité que tu veux mettre en opposition avec une action éducative.

C’est vrai je rabâche parce que je connais trop de c… qui ont été faites et qui me révoltent.

Mais, je ne mets pas la sécurité en opposition avec une action éducative.
Je mets la sécurité en préalable, cad pas d’action éducative tant qu’il n’y a pas une sécurité raisonnable en place.

Une sécurité qui est pour toi incarnée par les parents et l’irresponsabilité que tu veux faire incarner par les animateur, “électrons libres”.

Ce n’est pas incarnée mais acceptée.
Si les parents se satisfont du minimum règlementaire, on le met en place.
Mais s’ils veulent plus, et bien, on leur apporte ce plus, même si ça ne plait pas à l’organisateur ou à l’équipe.

Je ne veux pas faire incarner l’irresponsabilité par les anims, tu le sais bien, même si par ta statégie discursive tu veux en convaincre l’humanité tout entière.

La réalité de l’anim électron libre, je l’ai mainte fois constatée.
La réalité de l’animateur irresponsable, ce sont les multiples drames effroyables causés par des imprudences ou négligences qui nous la décrivent.

Pourtant au delà de la multiplicité des faits divers par lesquels tu veux nous faire peur, il reste que la quasi-unanimité des séjours de vacances savent tout à fait bien concilier sécurité et liberté des enfants, autonomie.

Je ne cherche pas à faire peur.

Je ne supporte pas plus les termes “fait divers” que les termes “détails de l’histoire” (Repris par le breton auquel un autre forumeur faisait allusion ailleurs.) pour qualifier les atrocités nazies.

Dans beaucoup de séjours de vacances, la réussite = l’absence de drame grave.
Si cet absence de drame repose sur la chance, je crois qu’il n’y a pas de quoi pavoiser.

Faire croire qu’une horreur nous attend à chaque virage n’aide pas à conduire mieux, il ne fait qu’émettre le doute et à être défiant envers nos pairs.

Je ne cherche pas à faire croire qu’une horreur …
Je me refuse à masquer l’horreur pour faire croire que tout est beau et joli.

Le doute rend plus humble.
Trop veulent être: “The men who would be God;”

On fait ou devrait faire confiance en ses pairs dans la mesure où ce qui peut être perdu n’est pas trop important.

Al Batros

[Al-Batros]

Salut à toi, Frytjip,

Un point à régler, il n’y a PAS de contrat entre l’organisateur et les parents. Le contrat c’est un terme très spécifique, on ne peut pas l’employer n’importe comment pour définir un type de relation.

Je suis complètement sorry.

CODE CIVIL
Article 1101
Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose.

C’est bel est bien un contrat. D’ailleurs, quand il y a judiciarisation, il y a les cas où la responsabilité est délictuelle et ceux où elle est contractuelle, cad basée sur l’art 1147 du Code Civil.

CODE CIVIL
Article 1147
Le débiteur est condamné, s’il y a lieu, au paiement de dommages et intérêts soit à raison de l’inexécution de l’obligation, soit à raison du retard dans l’exécution, toutes les fois qu’il ne justifie pas que l’inexécution provient d’une cause étrangère qui ne peut lui être imputée, encore qu’il n’y ait aucune mauvaise foi de sa part.

Un séjour de vacances à des comptes à rendre auprès du législateur, ce que l’on appelle des obligations légales.

Non, le législateur FAIT les lois. Un séjour de vacances, (ni son organisateur) n’est pas en contrat avec le législateur.

Pour autant, il appartient à l’équipe de mener et de rédiger son projet pédagogique.

La notion Projet Pédagogique n’a pas d’existence règlementaire.
L’art227-23 du CASF parle de description du Projet Educatif, mais nulle part on parle de Projet Pédagogique.

CODE DE L’ACTION SOCIALE ET DES FAMILLES
(Partie Réglementaire)
Article R227-23
Le projet éducatif mentionné au deuxième alinéa de l’article L. 227-4 est décrit dans un document élaboré par la personne physique ou morale organisant un des accueils mentionnés à l’article R. 227-1.

L’organisateur est avant tout un prestataire de services, encore plus aujourd’hui qu’auparavant. Les parents achètenet une activité, ski pour ne donner qu’un exemple.

Une vente revient à conclure un contat: Voir 1101 et 1582 du Code Civil.
Je ne vais pas copier-coller le Code Civil, vérifie sur:

http://www.legifrance.gouv.fr

Tout ce qui relève de l’action éducative, pédagogique, relève de l’extra-légal, c’est optionnel donc bien loin d’être soumis à un veto parental.

Si cette action éducative ou pédagogique est bien menée, c’est différent.
En effet, il n’y aura pas de veto parental.
Seulement si l’action éducative ou pédagogique ne convient pas aux parents, l’accueil de mineurs sera vide, alors … .
Il n’y aura que l’équipe qui maugerera contre le fait qu’il est malheureux que le sort de l’Education Populaire repose sur des crétins, des imbéciles, des idiots, des connards, des racistes, des sexistes … .

La réglementation porte avant tout sur la sécurité, physique, affective et morale avec toutes les déclinaisons qui en découlent. Une sécurité que tu ne cesses pas de nous rabâcher Al-Batros. Une sécurité que tu veux mettre en opposition avec une action éducative. une sécurité qui est pour toi incarnée par les parents et l’irresponsabilité que tu veux faire incarner par les animateur, “électrons libres”.

Là, tu interprètes, j’y reviendrais dessus sur un autre post.

Pourtant au delà de la multiplicité des faits divers par lesquels tu veux nous faire peur, il reste que la quasi-unanimité des séjours de vacances savent tout à fait bien concilier sécurité et liberté des enfants, autonomie. Faire croire qu’une horreur nous attend à chaque virage n’aide pas à conduire mieux, il ne fait qu’émettre le doute et à être défiant envers nos pairs.

Je trouve ignoble qu’on qualifie de “fait divers” une mort d’enfant causée par une imprudence ou négligence.
Quand on atteint un enfant, on n’atteint pas seulement l’enfant, mais l’humanité tout entière.
Je ne cherche pas à faire peur, j’aimerais que la prise de conscience soit plus réelle. On peut faire son travail en étant conscient de la réalité.

Enfin, les citations partielles d’un propos ne sont pas objectives. Car l’on peut détourner le sens premier d’un propos. Donc, appropriez-vous les argumentaires dans leur ensemble et non morcellés.

Tout à fait, cela conduit à ce que j’appelle la Contestatation Morbide par Métonymie, j’y ai même donné un nom par antonomase, il est inconnu ici, donc, c’est inutile de le dire.

Al Batros

[Al-Batros]

Salut à toi, greg2024,

Parce que les animateurs n’ont pas le droit d’avoir de vie sexuelle ? Leur box ? Tu bosses dans un CVL ou dans centre équestre ? Au milieu des minôts ?

J’ai du mal à te suivre…

Je ne comprends pas trop ton exemple…

Mais on sort encore du sujet !

Une vie sexuelle, oui, mais pas en vue des minôts.

C’était un séjour de vacances en centre équestre où il y avait plusieurs petits batiments et des petites pièces pour les anims au milieu des dortoirs des minôts.

Je voulais citer un exemple de comportements que je juge intempestifs de la part des anims.

Ils auraient pu aller dans un des batiments où il n’y avait pas d’enfants.

Al batros

[Import]

“J’ai eu Marcel et Martine qui ont fait picoti-picota dans leur box au milieu des minôts 9-11 ans. Il y en a un qui est venu me voir, Marcel et Martine s’enferme dans leur chambre et ils font l’amour.”

Parce que les animateurs n’ont pas le droit d’avoir de vie sexuelle ? Leur box ? Tu bosses dans un CVL ou dans centre équestre ? Au milieu des minôts ?

J’ai du mal à te suivre…

Je ne comprends pas trop ton exemple…

Mais on sort encore du sujet !

[Simon]

Un point à régler, il n’y a PAS de contrat entre l’organisateur et les parents. Le contrat c’est un terme très spécifique, on ne peut pas l’employer n’importe comment pour définir un type de relation.
Un séjour de vacances à des comptes à rendre auprès du législateur, ce que l’on appelle des obligations légales. Pour autant, il appartient à l’équipe de mener et de rédiger son projet pédagogique.
L’organisateur est avant tout un prestataire de services, encore plus aujourd’hui qu’auparavant. Les parents achètenet une activité, ski pour ne donner qu’un exemple. Tout ce qui relève de l’action éducative, pédagogique, relève de l’extra-légal, c’est optionnel donc bien loin d’être soumis à un veto parental.
La réglementation porte avant tout sur la sécurité, physique, affective et morale avec toutes les déclinaisons qui en découlent. Une sécurité que tu ne cesses pas de nous rabâcher Al-Batros. Une sécurité que tu veux mettre en opposition avec une action éducative. une sécurité qui est pour toi incarnée par les parents et l’irresponsabilité que tu veux faire incarner par les animateur, “électrons libres”.
Pourtant au delà de la multiplicité des faits divers par lesquels tu veux nous faire peur, il reste que la quasi-unanimité des séjours de vacances savent tout à fait bien concilier sécurité et liberté des enfants, autonomie. Faire croire qu’une horreur nous attend à chaque virage n’aide pas à conduire mieux, il ne fait qu’émettre le doute et à être défiant envers nos pairs.
Enfin, les citations partielles d’un propos ne sont pas objectives. Car l’on peut détourner le sens premier d’un propos. Donc, appropriez-vous les argumentaires dans leur ensemble et non morcellés.
A+

[Al-Batros]

Salut à toi, Jongloman,

C’est peut-être pour ça qu’avant d’envoyer ses enfants en CVL, les parents devraient définir s’ils y sont prêts (les parents) et seulement après se poser la même question pour leur enfant ?

Peut être bien, oui!

Tu semble d’accord avec moi sur le fait qu’il semble positif que les institutions éducatives donnent leur avis sur l’éducation reçue par les enfants.

Ce n’est pas “sembles” mais “es”.
Je suis d’acord sur le fait qu’une institution devrait le faire à ses pisques et rérils, quitte à perdre un client.

Mais ma question allait plus loin et là ou je souhaite avoir votre avis c’est sur EXIGER : “Pourquoi des éducateurs professionnels, formés, ne pourraient ils pas simplement conseiller ou exiger (c’est exagéré mais c’est simplement une question) que des parents modifient l’éducation qu’ils apportent à leur enfants ?”

“EXIGER” pourrait être possible si les anims et directeur étaient intègres. Malheureusement, dans une équipe, il y aura toujours des anims qui auront des comportements intempestifs:
J’ai eu Marcel et Martine qui ont fait picoti-picota dans leur box au milieu des minôts 9-11 ans. Il y en a un qui est venu me voir, Marcel et Martine s’enferme dans leur chambre et ils font l’amour. J’aurais été directeur, je les aurais encouragés à partir, mais je n’été qu’adjoint.
J’ai eu Barnabé qui se cachait de la vue des minôts 7-12 ans pour manger des Kinder Buenos du goûter des gosses à n’importe quelle heure de la journée.
Etc.

Si les éducateurs étaient bien éduqués, ça serait différent.

Par contre, une fois l’accueil de mineurs est conçu, présenté de façon transparente et annoncée aux familles et aux minôts, l’organisateur et le directeur, ayant bien précisé que ça serait comme, doivent ou devraient pouvoir exiger que ce soit comme cela.

Par exemple, il est prévu que les enfants ont une minute de contact avec l’extérieur par jour, ils devront faire comme à la Star Ac: “La minute est finie, ça va couper, je taime, je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime ….. CLIC.

Et je me fous de ce qui se fait aujourd’hui, de ce que la loi permet ou non, … Je souhaite des avis personnels, des propositions, des réfléxions : cela est il positif, négatif, réalisable, utopiste, envisageable, …
N’y a t’il pas des étapes intermédiaires possibles avant de retirer la garde des parents ? Toutes les familles qui ont la garde de leurs enfants leur donnent elles une bonne éducation ? Qu’est ce qu’une bonne éducation ? Et si effectivement on avait (l’éducation populaire) le droit d’exiger, quexigerions nous ? … ?

Des étapes intermédiaires, il doit y en avoir pour les familles jugées incapables ou défaillantes, je ne suis pas un spécialistes du droit de la familles.

je crois qu’il y a beaucoup de parents qui ont la garde de leur enfants et qui leur donne une éducation asociale ou tout autre qualificatif négatif. On n’y peut rien le plus souvent au nom de la liberté d’éduquer ses gosses.

Al Batros

[Marc-Antoine SCHNEE]

Al-Batros a écrit:
Un organisateur dans ce Forum a dit: “Si les parents veulent une chose (C’était pas une chose très noble, mais …), je me dépêche de faire le contraire.”

Peux tu rafraîchir ma mémoire ? Je ne me souviens plus de quoi il s’agit.

Tu raisonnes en fils de tes parents, tu n’es pas encore le père responsable de tes enfants!

Je ne vois pas ce qui te permets d’avancer ça ? Tu ne sais rien de moi ni de mon histoire …

Le lien entre les parents et leur enfant est viscéral, parfois fusionnel. (Syndrome de l’enfant unique, Complexe d’Oedipe ou de Jocaste, Syndrome de Peter Pan …?)

C’est peut-être pour ça qu’avant d’envoyer ses enfants en CVL, les parents devraient définir s’ils y sont prêts (les parents) et seulement après se poser la même question pour leur enfant ?

Tu semble d’accord avec moi sur le fait qu’il semble positif que les institutions éducatives donnent leur avis sur l’éducation reçue par les enfants.
Mais ma question allait plus loin et là ou je souhaite avoir votre avis c’est sur EXIGER : “Pourquoi des éducateurs professionnels, formés, ne pourraient ils pas simplement conseiller ou exiger (c’est exagéré mais c’est simplement une question) que des parents modifient l’éducation qu’ils apportent à leur enfants ?”

Et je me fous de ce qui se fait aujourd’hui, de ce que la loi permet ou non, … Je souhaite des avis personnels, des propositions, des réfléxions : cela est il positif, négatif, réalisable, utopiste, envisageable, …
N’y a t’il pas des étapes intermédiaires possibles avant de retirer la garde des parents ? Toutes les familles qui ont la garde de leurs enfants leur donnent elles une bonne éducation ? Qu’est ce qu’une bonne éducation ? Et si effectivement on avait (l’éducation populaire) le droit d’exiger, quexigerions nous ? … ?

(le premier qui dit la solution c’est super nini je l’émascule !!!)

[Al-Batros]

Salut à toi, Jongloman,

Merci.

Ca rejoint une de mes réflexion actuelle à laquelle je n’ai pas de réponse et justement pour laquelle j’aimerais avoir vos avis.
Pourquoi (c’est une interrogation) les institutions éducatives : l’école, les séjours de vacances, les accueils de loisirs, les centres sociaux, … (ne voyez pas de classement dans l’ordre de ma liste) ne pourraient elles pas se permettre de dire ce qui est « bon » ou non à des parents pour leurs enfants ou simplement de donner leur avis ?

Toutes ces institutions peuvent dire aux parents ce qui est “bon” pour leur enfants. Elles en ont même le droit.
En ce qui concerne la diction de l’avis, c’est la même chose.

Le problème est de savoir qui prend la décision de ce qui va être apporté aux enfants.

L’inscription d’un enfant par les parents est un contrat dans lequel les parents sont créanciers, donc ce sont eux qui sont en droit d’exiger l’exécution des obligations par le débiteur qui est l’entité organisatrice.

Si le contrat prévoit que l’équipe décide ce qui est “bon” pour l’enfant, l’équipe décidera.
Sinon, l’équipe s’abstiendra.

Un organisateur dans ce Forum a dit: “Si les parents veulent une chose (C’était pas une chose très noble, mais …), je me dépêche de faire le contraire.” Je ne trouve pas ça très correct. Si les parents ont des exigences pas très morales (C’était le cas.), on devrait leur dire: “Cassez vous ailleurs, c’est contraire à nos principes d’éducation populaire.”
Ben non, on les prend quand même et ça parce que une inscription, c’est du pognon. La belle morale se casse la gueule.
Dans les affaires que j’ai citées, le pogon était au cul* du problème.
L’embarcation était possible avec un budget 100 fois plus grand.
Un hébergement en camping, c’est plus cher.
Faire encadrer l’escalade par des diplômés, c’est plus cher.
L’activité kayak ne rapporte pas si des minôts ne la font pas.
A Lescheraines, un détecteur d’incendie, ça aurait coûté 20 euros.
A la crête de Lauzet, si les minôts avait eu des ARVA, ça aurait été moins grave.
Et tutti aquanti, et caetera.
Encore et encore, ces problèmes de pognon qui font que des minôts perdront peut être leur vie bêtement.
Quand on porte atteint à la vie d’un enfant, on atteint pas seulement l’enfant, mais l’humanité tout entière.

Si j’acquiert des connaissance en électricité c’est que j’ai lu, j’ai demandé conseil, j’ai pourquoi pas expérimenté.
Si des parents ne lisent pas, ne demandent pas conseils, ne se confient pas, … comment peuvent ils avoir la prétention de SAVOIR être parent et d’être en mesure d’EXIGER ce qui est bon pour leurs enfants ?

L’enfant est leur création par une méthode que je n’expliquerais pas . Ils ont créé un enfant, ils n’ont pas créé une humanité, certes.
Maintenant, l’avenir de cette créature est entre leurs mains et entre aucune autre main. (L’art 375 du Code Civil permet de retirer cet enfant dans des cas particuliers. Et la, c’est le juge qui décide.)

Les parents confient leur enfant à une institution, temporairement, qui en aura la charge. Mais les parents conserveront la garde de leurs enfants.
Si le fils de l’organisateur va emmerder les vaches, comme le souhaitait l’organisateur précédamment cité, et qu’il entraine dans sa bêtise d’autres minôts, les parents de ces derniers devront en répondre.
Entre nous, j’espère que tu ne trouves pas très correct d’aller faire ch… ces paisibles ruminants? Après, ça risque de finir par des jets de pétards bison ou pirate dans des poulaillers ou des jeux de foot ball avec des crapeaux ou …

Après, il ne faut pas s’étonner si les colonies sont personna non grata dans nos belles campagnes.

Pourquoi des éducateurs professionnels, formés, ne pourraient ils pas simplement conseiller ou exiger (c’est exagéré mais c’est simplement une question) que des parents modifient l’éducation qu’ils apportent à leur enfants ?

Les parents sont maîtres de l’éducation de leur gosses. Un quidam, aussi instruit et bien intentionné soit il, peut leur donner des conseils, mais c’est tout.

Par contre, je serais partant pour qu’on éduque certains organisateurs, directeurs ou animateurs. J’ai rencontré une série de spécimens qui sont la honte de notre corporation. Et là, no limit, ça serait tout bénéfice.

Tu raisonnes en fils de tes parents, tu n’es pas encore le père responsable de tes enfants!

Pourquoi lorsqu’un psy, un pédiatre, … se permet de faire une remarque sur l’éducation de l’enfant, les parents considèrent (là encore pas tous) qu’il a tord ?
Pourquoi lorsqu’un directeur de séjour à l’audace de dire à une famille (c’est un exemple vécu, mais qui n’est pas une généralité) : « je ne pense pas (il ne s’agit que d’un avis) qu’il soit très positif que vous téléphoniez à votre enfant tout les jours », les parents préfèrent exiger, insulter le directeur, … ?

Les parents vont voir un pédiatre, c’est une consultation. Ils n’ont aucune obligation de suivre les conseils promulgués.
Je trouve que le directeur est sorti du cadre de sa mission. Les parents auraient pu cependant ne pas être insultants.
Peut être, ils l’ont été parce que le ton du directeur était trop péremptoire?
Pourquoi le directeur veut il cela? Est ce parce que ça l’arrange?
Le lien entre les parents et leur enfant est viscéral, parfois fusionnel. (Syndrome de l’enfant unique, Complexe d’Oedipe ou de Jocaste, Syndrome de Peter Pan …?)

Al Batros

* En puriste de la fonction symbolique, j’aurais dû dire au “coeur”.
Je veux simplement insister sur le fait que c’était beaucoup plus bas.

[Marc-Antoine SCHNEE]

C’était la répone 107 de sujet à la page 11.

D’ailleurs ce n’était pas destiné qu’à Albatros !!! (qui est bien un héros !!!)

[Al-Batros]

Salut à toi, Vassrohm,

Moi j’attends toujours la réponse d’Al Batros sur les interrogations de Jonglo autour de la compétence des gens qui font de l’animation et notamment de ses réflexion autour de l’école…

Tu m’as interpellé indirectement 4 fois sur cela.

J’aimerais bien répondres à ces interrogations.

Peux tu me les rappeler? (Toi ou Jongloman)

Merci d’avances.

Al Batros

[Al-Batros]

Salut à toi, Vassrohm,

Moi j’attends toujours la réponse d’Al Batros sur les interrogations de Jonglo autour de la compétence des gens qui font de l’animation et notamment de ses réflexion autour de l’école…

J’aimerais bien répondres à ces interrogations.

Peux tu me les rappeler? (Toi ou Jongloman)

Merci d’avances.

Al Batros

[Al-Batros]

Salut à toi, Jongloman,

Al bator, al bator, le plus grand de tout les héros …

Moi, c’est Al Batros, et je n’ai rien d’un héros.

N’es tu pas au final un de ces prof qui considère l’Animation comme la dernière des dernière ?
La cinquième roue du carosse ?

Non. Pour moi, l’animation c’est très sérieux.
Il y des choses à faire, il faut les faire.
Il y a des choses à ne pas faire, il ne faut pas les faire.

L’animation est à égalité sur le plan de l’apprentissage et de l’éducation. Le tout, c’est qu’on respecte les règles qui ont été fixées. (Pas forcément par nous)

N’es tu pas un de ces animateurs qui est tombé sur des directeurs décérébrés totalement tarés et qui t’a fait dire moi je peux faire mieux ?

Le coup de l’embarcation m’a marqué. Je trouve ignoble qu’on décide de mettre des minôts sur une embarcation de fortune sans même prévenir les parents.

Pour l’escalade en structureartificielle, ce n’est pas dangereux. C’est le fait que le gars te dit sans le dire: “Tu prends le risque, mais moi, je reste au sec.”

L’histoire du terrain, avec des grands ados, ça irait, mais pas avec des petits de 10 ans.

Le coup du kayak, c’est pareil. L’organisateur encadre l’activité, donc c’est lui quien tire profit. Donc, si on respectait les règles, il gagnerait moins. Mais lui, il ne veut pas courir le risque.

Il y a sûrement des choses que j’ai oubliées.

Qu’est ce qui t’a poussé à franchir le pas vers la direction ? (puisque visiblement c’est récent, malgrès une grosse expérience en tant qu’animateur)
C’est une question qui appelle une réponse simple et claire, sans chichis et autres cacahouètes.

L’animation, c’est fantastique.
J’ai ainsi connu la plupart des publics: maternels, petits enfants, préados, ados, grands ados, enfants handicapés (A et B sur les 2 catégories de handicaps et adultes handicapées (A et B …).
Je n’ai encore pas connu le public personnes âgées valides.

Quand on s’engage à prendre en charge des personnes de ces catégorie, on a des choses à faire, on doit les faire et des choses à ne pas faire.
On s’engage à prendre des précautions:
On peut se contenter, en accord avec les concernés, du respect du règlement, ce que j’appelle le minimum règlementaire.
On peut aussi par égards envers les parents, prendre des précautions non obligatoires, mais raisonnables. (Comme accueillir des minôts de 10 et moins dans un camping fermé, même si le règlement nous autorise à les accueillir sur un terrain vague.)

Je ne revirerais plus à ce niveau.

Je n’ai décidé d’être directeur que depuis que je sais exactement ce que doit faire cette personne.
Et ça, c’est récent.

Je tiens aussi à ce que mes animateurs n’aient sur la tête une épée de Damoclès qui n’existe pas. (Un anim qui ne décide pas ne sera jamais responsable d’un désastre causé par un diro ou organisateur sal… .)

Par contre, il saura celle qui existe vraiment.

Je rererererererererererererererererererererererererererererererereredis:
“Le risque majeur pour les animateurs résultent de leurs tendances compulsives à s’attribuer des pouvoirs de décisions qu’ils n’ont pas, leur responsabilité sera bel et bien engagée dans ces cas là.”

Al Batros

[Import]

solleea a écrit:
j encourageais mes anim’s a venir sur planetanim surtout les ptits jeunes justement, j estime important d ouvrir des perspectives a ceux qui debutent dans l animation 😮

Et maintenant t’es fier de moi hein 😀

Désolé :jesors:

vous pouvez supprimer si vous le vouluez… 🙂

[au84972]

Moi j’attends toujours la réponse d’Al Batros sur les interrogations de Jonglo autour de la compétence des gens qui font de l’animation et notamment de ses réflexion autour de l’école…

[Marc-Antoine SCHNEE]

Al bator, al bator, le plus grand de tout les héros …

N’es tu pas au final un de ces prof qui considère l’Animation comme la dernière des dernière ?
La cinquième roue du carosse ?
N’es tu pas un de ces animateurs qui est tombé sur des directeurs décérébrés totalement tarés et qui t’a fait dire moi je peux faire mieux ?

Qu’est ce qui t’a poussé à franchir le pas vers la direction ? (puisque visiblement c’est récent, malgrès une grosse expérience en tant qu’animateur)
C’est une question qui appelle une réponse simple et claire, sans chichis et autres cacahouètes.

[Marc-Antoine SCHNEE]

solleea a écrit:
jonglo:
en arriver a dire a quelqu un “tu fais chier” ou “je ne comprends pas que tu sois directeur” (ou un truc dans le genre) pour moi ca depasse la defense d idees
les posts qui ont suivi mon intervention confirme mon opinion; ca devient delirant “je commencais a t apprecier” on est ou la???

Au vu de cette citation il semble que l’on soit d’accord.

C’est bien pour ça que je te répondais mais tout en disant qu’il ne fallait pas y voir d’attaque personnelle.

[Auteur]

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