Salut Ă toi, Frytjip,
ForcĂ©ment si tu joues aussi sur le registre de l’exagĂ©ration.
Je reviens sur cela car j’ai le sentiment que tu subodores que je sombre dans la mythomanie sĂ©nile.
OĂč aurais je exagĂ©rĂ©?
Les histoires de l’escalade et du kayak sont vraies. Pour l’escalade, j’ai refusĂ© la direction. Pour le kayak, j’ai Ă©tĂ© contraint car j’ai acceptĂ© la mission de direction avant de savoir.
Je suis convaicu que ce genre de chose est arrivĂ© Ă d’autres. Ne me dis pas que tu glorifies ce comportement d’organisateur.
Un organisateur qui pour une histoire de pognon, c’est Ă©videmment une histoire de rentabilitĂ© dans les 2 cas, veut que soit pris un risque, il doit le prendre lui mĂȘme.
L’histoire du projet OFNI est aussi absolument vraie.
Cependant, il est Ă noter qu’avec un public ado et des moyens consĂ©quents, cela aurait Ă©tĂ© une super aventure. Beaucoup ont vu, dans Koh Lanta, comment on fabriquait un radeau et en ont Ă©tĂ© mĂ©dusĂ©.
D’abord, le bois qu’on va utiliser.
Les palettes, c’est du pin pas peint. Avec du pin peint, on est sĂ»r de ne pas avoir de problĂšme de pous car c’est c’est sur le pin pas peint que le pou pond.
Mis Ă part ces problĂšmes de pous papa et pous pas papa, il y a le problĂšme de flottaison.
1 m3 de pin Ă une masse de 650 kgs.
Donc, en vertu des lois archimédiennes (Exit le Pode Cénal), le pin porte la moitié de sa masse.
Quelle masse aurait l’embarcation?
Etc.
Peux tu avoir la gentille amabilitĂ© bien sympathique de me dire oĂč tu as vu mes ignobles exagĂ©rations.
Al Batros
Salut Ă toi, Frytjip
ForcĂ©ment si tu joues aussi sur le registre de l’exagĂ©ration.
Ne sois pas obstinĂ©, on a bien compris ton opinion, pas la peine de passer par le lavage de cerveau. Ca doit bien faire une dixaine de posts oĂč t’espliques que l’on doit prendre en compte l’avais des parents. Que ne l’on doit pas faire contre leur avis. Mais qui a dit le contraire?
Le discours a un peu changĂ©. Les parents ne sont plus traitĂ©s de …
Quelqu’un, au moins, a dit: “si les parents veulent ça, moi je m’empresse de faire le contraire.”
Relie tout, tu retrouveras!
Mais, ce n’est pas grave.
Puis on s’Ă©carte totalement du sujet initial qui est l’autonomie. Oublies un peu tout ce que tu viens de dire et rĂ©ponds Ă cette question :
Comment penses-tu et conçois-tu l’autonomie en centre de vacances?
En ce qui concerne la capacitĂ© d’accomplir des tĂąches seuls, il n’y que la limite de la capacitĂ© des minĂŽtsĂ faire et celle de l’Ă©quipe Ă gĂ©rer.
Ex: En sĂ©jour de mineurs ados, j’estime que les anims ne devraient pas passer des nuits blanche dans la pĂ©nombre pour prĂ©parer les activitĂ©s. Les ados devraient ĂȘtre assez autonomes pour prĂ©parer leur activitĂ©s avec l’aide de l’Ă©quipe ou seuls.
En accueil de loisirs maternels ou jeunes enfants, les minĂŽts devraient pouvoir manger, s’habiller, faire complĂštement leur objet d’activitĂ© manuelle, seuls.
Si les parents sont consentants, il me paraitrait interessant que les ados puissent aller faire leur courses en petit groupe a village voisin. (Je dit bien village)
Etc.
Tout est une question de conventions établies avant.
Consentement des marents et des pinÎts, à la signature du contrat. Ou alors, le contrat prévoit la possibilité des aménagements.
Le tout, c’est que le directeur n’ait pas de dĂ©cisions irrĂ©guliĂšres Ă prendre.
On fait un job, sĂ©rieux, c’est tout.
Al Batros
ForcĂ©ment si tu joues aussi sur le registre de l’exagĂ©ration.
Ne sois pas obstinĂ©, on a bien compris ton opinion, pas la peine de passer par le lavage de cerveau. Ca doit bien faire une dixaine de posts oĂč t’espliques que l’on doit prendre en compte l’avais des parents. Que ne l’on doit pas faire contre leur avis. Mais qui a dit le contraire?
Puis on s’Ă©carte totalement du sujet initial qui est l’autonomie. Oublies un peu tout ce que tu viens de dire et rĂ©ponds Ă cette question :
Comment penses-tu et conçois-tu l’autonomie en centre de vacances?
Maintenant, je vais me lancer dans la mĂ©lĂ©e…
Ce n’est pas la “guerre”, personne, par la guerre, ne devient valeureux.
Associer les parents Ă la crĂ©ation d’un sĂ©jour, je trouve cela fort sĂ©duisant, au mĂȘme tĂźtre qu’associer les enfants au sĂ©jour…
Ce n’est pas ce que je prĂŽne.
Les parents ne connaissent pas assez les rĂšgles.
Ce que je dit est que les projets doivent ĂȘtre conçus en fonction des besoins des parents et enfants et que les parents doivent apporter leur consentement Ă©clairĂ© pour tout ce qui sera fait.
Il ne faut plus que des organisateurs disent aux parents, avant,, vous inqiétez, je gÚre.
Et aprĂšs, quand les enfants sont dans des petites boites avec des poignĂ©es de part et d’autres.
Moi, je faisais confiance au directeur, j’Ă©tais sĂ»r qu’il connaissait son travail* … etc.
Par ailleurs, ce qui ressort beaucoup, de mon point de vue, de ce sujet c’est l’enfermement dans trop de cas particuliers… La fin ressemble Ă une accumulation d’exemples plus ou lmoins liĂ©s, et surtout trĂšs particuliers (dans le sens d’unique), qui de fait coupe le dĂ©bat de fond…
Ce sont des morts d’enfants qu’on traite de faits divers, maintenant de cas particuliers et bientĂŽt de dĂ©tails de l’histoire.
DĂ©solĂ©, moi je ne peux m’y faire.
Les ordures qui en sont la cause méritent beaucoup plus que ce qui leur arrive.
Al Batros
* Toutes ressemblances avec un évÚnement ayant existé est ni fortuite, ni involontaire
Salut Ă toi, Jongloman,
On ne doit pas Ă©voluer dans le mĂȘme monde de l’animation.
Peux tu me donner des exemples concrets de ton vécu. Simplement sans tergiverser. Quelle expérience as tu vécu réellement ou on allait contre la volonté des parents ?
Dans le projet OFNI (Objet Flottant Non Identifié) je devais, avec des 9 ans et des bouts de palettes, des outils inadaptés et dans une prairie sous le cagniard, construire une embarcation pour une sympathique compétition intervilles.
A la premiĂšre rĂ©union, le sympathique organisateur a dit que la DDJS Ă©tait au courant. A la suivante, qu’il allait les avertir.
Au final, j’ai tĂ©lĂ©phonĂ© Ă la DDJS, personne Ă©tait au courant. Cool.
J’ai vĂ©rifiĂ© auprĂšs d’un cabinet d’assurances ce qu’il fallait pour ĂȘtre correctement assurĂ©. J’ai compris que mon directeur chĂ©ri n’aurait jamais fait ça, ratas commeil Ă©tait.
J’ai vĂ©rifiĂ© auprĂšs des Services de la Navigation d’Avignon divers trucs.
J’ai demandĂ© aux parents des minĂŽts pour savoir ce qu’ils en pensaient. Ils n’Ă©taient pas au jus. Ils n’Ă©tait pas d’accord en fait.
En fait, je devait mener une activitĂ© sans assurance, avec du matos de m…, contre l’avis des parents Ă mes pisques et rĂ©rils.
Sympa le mec qui dit: (Cool, les guys, JS sont OK, ça swime!) Et il met la main devant son pif pour qu’on ne le voit pas s’allonger d’un mĂštre.
Dans l’histoire de l’escalade en structure artificielle. Greg2024 a bondi en disant que c’Ă©tait illĂ©gal. En structure artificielle, ça risque rien. Ce n’est pĂŽ ça le prob, c’est que l’organisateur ne prennait pas lui pas le risque lui mĂȘme de commettre l’infraction.
Ce sympathique organisateur faisait courir le risque au directeur.
C’est vachement cool, ça.
Dans l’affaire du Kayak, l’organisateur voulait l’activitĂ© car c’est lui qui en tirait profit.
L’activitĂ© Ă©tait correctement encadrĂ©e, mais les minĂŽts ne remplissaient pas les conditions rĂšglementaires de l’arrĂȘtĂ© connu de tous.
Il n’a, Ă©videmment bien sĂ»r, pas pris officiellement la dĂ©cision lui mĂȘme.
Ces mecs, je les adĂŽre, ils savent que c’est dangereux. Alors, ils ne se mouillent et font mouiller les autres.
J’ai du mal Ă croire qu’il n’y ait que moi Ă qui c’est arrivĂ©.
Al Batros
Salut Ă toi, Frytjip,
Je veux dire qu’Ă force de collectionner les faits divers et de les brandir comme une menace perpĂ©tuelle, on ne fait plus rien. En fĂ©vrier, je fais une colo et on Ă© dĂ©cidĂ© unanimement qu’on pouvait laisser des enfants seuls dans des coins amĂ©nagĂ©s dans la mesure oĂč les conditions de sĂ©curitĂ© Ă©taient prĂ©vues et organisĂ©es, tout ceci dans le respect le plus strict de la loi. Et vous savez quoi? J’en suis trĂšs heureux.
Dans unanimement, est ce que les parents sont inclus?
Bon sĂ©jour, mĂȘme si tu ne me rĂ©ponds pas.
Al Batros
Les CVL sous la coupe des faits divers, terrifiant.
Il faudrait que je relise le dĂ©bat depuis le dĂ©but, mais pas assez de temps. En plus, on ne retire rien de ce dĂ©bat stĂ©rile depuis quelques posts Ă part la trĂšs bienvenue contribution d’Olivier qui a le mĂ©rite de tenter de remettre chaque interlocuteur devant ses prises de position.
Je veux dire qu’Ă force de collectionner les faits divers et de les brandir comme une menace perpĂ©tuelle, on ne fait plus rien. En fĂ©vrier, je fais une colo et on Ă© dĂ©cidĂ© unanimement qu’on pouvait laisser des enfants seuls dans des coins amĂ©nagĂ©s dans la mesure oĂč les conditions de sĂ©curitĂ© Ă©taient prĂ©vues et organisĂ©es, tout ceci dans le respect le plus strict de la loi. Et vous savez quoi? J’en suis trĂšs heureux.
Car passer sans arrĂȘt par le souvenir des faits dramatiques, ca ne fait que nous desservir, ca empĂȘche toute possibilitĂ© d’abancĂ©e. Le propre du progressisme c’est d’avoir la volontĂ© de dĂ©passer toutes les difficultĂ©s, les peurs, les prĂ©jugĂ©s et de poursuivre un idĂ©al, une finalitĂ©. A s’arc-bouter sur des ressentis, des images, des histoires, non seulement on se fait peur mais on fait peur aussi aux enfants et parents.
Une deuxiĂšme chose qui est le cĂŽtĂ© participatif : participer Ă l’organisation. C’est terriblement Ă la mode ca en ce momment. Et comme toute pratique, celle-ci a aussi de possibles dĂ©rives. Une participation qui pourrait se transformer en ingĂ©rence. Un sujet bien loin de l’autonomie et qui mĂ©rite un livre Ă lui tout seul.
Salut Ă toi, Greg2024
Dans tous ces échanges, je retire deux choses :
1. j’ai appris plein de nouveaux mots comme pĂ©remptoire
Ne dramatise pas, le vocabulaire c’est important.
2. j’ai compris que l’Ă©ducation populaire Ă©tait morte, que les CVL sont aussis pourris que les supermarchĂ©s, et que les animateurs Ă©taient devenus des techniciens (voire technico-commerciaux) de l’animation,… ce qui est, selon moi, une Ă©volution catastophique, Ă l’image de notre
société.
L’Education Populaire ne mourra pas si elle convient aux parents. C’est dommage que son sort dĂ©pende de connards, d’abrutis, de crĂ©tins, d’idiots, d’imbĂ©ciles …
Pour Ă©viter que les gamines se fassent violer par un dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, il faut planter leurs tentes dans les sanitaires. les gamins eux, peuvent se balader tant qu’il veulent la nuit, sans risque, et mĂȘme la quequette Ă l’air.
D’abord, on ne dit pas “se fassent violer” mais “soient violer”. Elle, elle ne font rien, elle subissent.
J’ai dit que le risque Ă©tai plus grand pour elle, mais il existe aussi pour les garçon. Tout le monde se rappelle de l’enlĂšvement et de l’assassinat du petit Jonathan (10 ans) Ă St BrĂ©vin les Pins en Loire Atlantique. On a retrouvĂ© le cadavre putrĂ©fiĂ© dans une mare a proximitĂ© du sĂ©jour de vacances.
Sur ce, je crois que je vais arrĂȘter de lire ce post avant d’aller me flinguer, foutre le feu Ă l’HĂŽtel de Bourvallais (siĂšge du MinistĂšre de la Justice), et de faire bouffer son code pĂ©nal machin chose Ă Al-batros
Ne te fingue pas, je suis sur que tu es un super anim. Les minĂŽts t’adĂŽrent.
Je n’ai pas de Code PĂ©nal papier, je n’ai que des documents informatiques.
Al Batros
Salut Ă toi, Mathusalem,
Ne confonds tu pas la correction et la politesse? Pour moi tes interventions sont souvent plus blessantes que les “connard” et autre interjections que tu rapportes.
Je ne cherche pourtant pas Ă blesser.
Certains propos m’ont blessĂ© sans qu’il y ait intentionnalitĂ©, j’en suis convaincu.
Il manque du Feed Back.
J’irai mĂȘme plus loin qu’Olivier dans le sens oĂč je pratique une animation politique (oh le gros mot) que ce soit dans la vie associative ou dans le cadre de mon emploi dans une collectivitĂ©.
A ce titre nous dĂ©fendons des choix et des valeurs. Si les parents ne les acceptent pas rien ne les force Ă venir sur nos sĂ©jours. S’il existe autant d’organisme d’Ă©ducation populaire c’est bien parcequ’il existe diffĂ©rentes interprĂ©tations des valeurs.
Je suis content de te lire: tu parles enfin du consentement des parents.
S’ils ne sont pas d’accord, ils vont ailleurs.
Maintenant, il reste Ă dĂ©terminer si les parents vont continuer de vouloir confier leurs minĂŽts Ă des organismes d’Ă©ducation populaire.
Je ne condamne pas de tels organismes sauf s’ils sont malhonnĂȘtes.
Al Batros
Dans tous ces échanges, je retire deux choses :
1. j’ai appris plein de nouveaux mots comme pĂ©remptoire
2. j’ai compris que l’Ă©ducation populaire Ă©tait morte, que les CVL sont aussis pourris que les supermarchĂ©s, et que les animateurs Ă©taient devenus des techniciens (voire technico-commerciaux) de l’animation,… ce qui est, selon moi, une Ă©volution catastophique, Ă l’image de notre sociĂ©tĂ©.
et une troisiĂšme :
Pour Ă©viter que les gamines se fassent violer par un dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, il faut planter leurs tentes dans les sanitaires. les gamins eux, peuvent se balader tant qu’il veulent la nuit, sans risque, et mĂȘme la quequette Ă l’air.
Sur ce, je crois que je vais arrĂȘter de lire ce post avant d’aller me flinguer, foutre le feu Ă l’HĂŽtel de Bourvallais (siĂšge du MinistĂšre de la Justice), et de faire bouffer son code pĂ©nal machin chose Ă Al-batros
Et au final, si effectivement les organisateurs ne devraient ĂȘtre que des prestataires de services, il paraĂźt normal que le recrutement des directeurs s’oriente dans cette direction.
BientĂŽt les directeurs choisiront dans une brochure le sĂ©jour qu’ils ont envie de diriger.
J’irai mĂȘme plus loin qu’Olivier dans le sens oĂč je pratique une animation politique (oh le gros mot) que ce soit dans la vie associative ou dans le cadre de mon emploi dans une collectivitĂ©.
A ce titre nous dĂ©fendons des choix et des valeurs. Si les parents ne les acceptent pas rien ne les force Ă venir sur nos sĂ©jours. S’il existe autant d’organisme d’Ă©ducation populaire c’est bien parcequ’il existe diffĂ©rentes interprĂ©tations des valeurs.
Tu as raison, j’ai perdu mon sang froid.
Cependant, je n’ai traitĂ© personne d’abruti, de connard, d’idiot, d’imbĂ©cile, de crĂ©tin …
Ne confonds tu pas la correction et la politesse? Pour moi tes interventions sont souvent plus blessantes que les “connard” et autre interjections que tu rapportes.
_olivier_ a écrit:
Cependant, les associations et organismes qui organisent ces sĂ©jours sont Ă priori (sauf Ă la marge), compĂ©tant pour organiser des sĂ©jours. Ce sont des professionnels, dont c’est le mĂ©tier, la raison sociale…
LĂ oĂč je me pose des questions, c’estface Ă la formulation : monter des projets rĂ©pondant aux besoins des parents…Cela me fait me gĂȘne dans la mesure oĂč Ă part quelques parents qui sont compĂ©tents dans l’organisation de sĂ©jours de vacances collectives pour leurs enfants, la plupart ne le sont pas… En quoi seront-ils alors Ă mĂȘme d’organiser les vacances d’un ensemble d’enfants, lorsqu’ils n’ont qu’une vision individuelle (ou de 2 ou 3 enfants (ou un peu plus), Ă l’Ă©chelle d’une famille), ou quels propositions pourront-ils faire sur les activitĂ©s, vis Ă vis de la lĂ©gislation…
Tout cela appartient bien aux organismes, c’est leur raison d’ĂȘtre. Leur rĂŽle est de rĂ©flĂ©chir Ă ce qu’est un sĂ©jour de vacances collectives et de proposer des choses qui rĂ©pondent aux besoins des enfants dans ce contexte prĂ©cis, pas aux besoisn des parents restĂ©s chez eux… (je sais, je caricature les propos)…
Ouf, merci !!!
Al-Batros a écrit:
J’allĂšgue que trop souvent, on ne prend pas en considĂ©ration les parents, on va contre leur volontĂ©.
“on va contre leur volontĂ©, …”
Je fais de l’animation depuis longtemps et je sais que c’est malheureusement trop souvent le cas
On ne doit pas Ă©voluer dans le mĂȘme monde de l’animation.
Peux tu me donner des exemples concrets de ton vécu. Simplement sans tergiverser. Quelle expérience as tu vécu réellement ou on allait contre la volonté des parents ?
Et je pense que c’est lĂ ou on n’est pas d’accord !
C’Ă©tait le fondement de lorsque je disais : on leur propose ce qu’ils ont envie d’entendre, de consommer.
Selon moi, aujourd’hui l’Education populaire* (s’agit il encore de ça ?) se prostitue (de façon gĂ©nĂ©rale certains bastions rĂ©sistent) pour SERVIR aux parents ce qu’ils PENSENT vouloir (du paraĂźtre, du qui fait bien, du vent, du faux, …).
Personne (certains le font) n’ose leur proposer autre chose en leur disant : vous savez c’est peut-ĂȘtre mieux pour votre enfant et au fond si je vous l’explique vous ĂȘtes capable de le comprendre et de l’admettre.
C’est le mĂȘme exemple que je te donnais lorsque je te disais : pour interpeller les parents je leur dit “non”.
Exemple :
– “Nous voulons que notre enfant de 4 et 12 ans soient dans la mĂȘme chambre et dans les mĂȘmes groupes d’activitĂ©s”
– “Non” => interpellation
(mais il c’est un fou, il ne veut pas faire ce qu’on exige de lui !!!)
– “Vous savez messieurs dames, vos enfants ne vont pas vivre les mĂȘmes vacances, ils vont se faire des copains respectifs, ne vont pas aller se coucher Ă la mĂȘme heure, ne voudront certainement pas faire les mĂȘmes activitĂ©s en mĂȘme temps, si on fait ça le grand sera le seul dans une chambre de 4 ans, ils ne sont pas autonomes (grand dieu j’ai osĂ© le dire) de la mĂȘme façon concernant la vie quotidienne, le grand aussi a le droit a des vacances se ne sont pas des prĂ©occupations de son Ăąge d’avoir son petit frĂšre Ă charge, ils pourront se voir au moment du repas, pendant certaines veillĂ©es, le grand pourra aller faire un bisou chaque soir au plus jeune, …” autant d’arguments concrets (on est loin du blabla commercial) d’un pĂ©dagogue qui connaĂźt son domaine (personne ne me jette de fleurs alors je le fais)
(petit regard perplexe du style si je te regarde comme ça tu vas bien craquer ?)
… un moment de vide intersidĂ©ral ou les concurrents te regardent en disant chouette il s’est plantĂ©
– “Ah ben Ă©coutez c’est peut-ĂȘtre (ils vont quand mĂȘme pas acquiescer sans un peut-ĂȘtre) vrai, vous avez sĂ»rement raison. Et que vont ils faire alors comme activitĂ© chacun de leur cĂŽtĂ© ?” …
“vous avez sĂ»rement raison” : oui effectivement, en tant que professionnel salariĂ© il y a de fortes chances (mais ce n’est pas vrai pour tout le monde) que je connaisse un petit peu mon domaine.
Cette connaissance (selon moi) me donne le droit de donner mon avis et surtout d’expliquer pourquoi j’estime que ce que les parents veulent n’est pas toujours positif Ă l’enfant. (ce qui ne veut pas dire que mon avis est le bon sur tout, je peux avoir des convictions personnelles que dâautres ne partagent pas, la preuve).
Je ne me permets pas en tant que citoyen, ĂȘtre humain, consommateur, … de me substituer Ă , de prĂ©tendre Ă mieux connaĂźtre que, … : un Ă©lectricien, un opĂ©rateur tĂ©lĂ©coms, un courtier en bourse, un pilote de F1, … Je peux apprendre et dĂ©couvrir, mais se ne seront que les mĂȘmes connaissances que ces dites personnes.
Ca rejoint une de mes rĂ©flexion actuelle Ă laquelle je nâai pas de rĂ©ponse et justement pour laquelle jâaimerais avoir vos avis.
Pourquoi (câest une interrogation) les institutions Ă©ducatives : lâĂ©cole, les sĂ©jours de vacances, les accueils de loisirs, les centres sociaux, … (ne voyez pas de classement dans lâordre de ma liste) ne pourraient elles pas se permettre de dire ce qui est « bon » ou non Ă des parents pour leurs enfants ou simplement de donner leur avis ?
Si jâacquiert des connaissance en Ă©lectricitĂ© câest que jâai lu, jâai demandĂ© conseil, jâai pourquoi pas expĂ©rimentĂ©.
Si des parents ne lisent pas, ne demandent pas conseils, ne se confient pas, … comment peuvent ils avoir la prĂ©tention de SAVOIR ĂȘtre parent et dâĂȘtre en mesure dâEXIGER ce qui est bon pour leurs enfants ?
Pourquoi des Ă©ducateurs professionnels, formĂ©s, ne pourraient ils pas simplement conseiller ou exiger (câest exagĂ©rĂ© mais câest simplement une question) que des parents modifient lâĂ©ducation quâils apportent Ă leur enfants ?
Pourquoi lorsquâun psy, un pĂ©diatre, … se permet de faire une remarque sur lâĂ©ducation de lâenfant, les parents considĂšrent (lĂ encore pas tous) quâil a tord ?
Pourquoi lorsquâun directeur de sĂ©jour Ă lâaudace de dire Ă une famille (câest un exemple vĂ©cu, mais qui nâest pas une gĂ©nĂ©ralitĂ©) : « je ne pense pas (il ne sâagit que dâun avis) quâil soit trĂšs positif que vous tĂ©lĂ©phoniez Ă votre enfant tout les jours », les parents prĂ©fĂšrent exiger, insulter le directeur, … ?
Al Batros tu avais écris :
Est ce que les parents vont payer pour qu’on refasse l’Ă©ducation de leur minĂŽt? Ca, j’aimerais savoir.
Non bien évidement.
Mais si on se permet dâĂȘtre utopiste. Pourquoi lâidĂ©e serait elle si stupide ?
Elle lâest parce quâil y a le mot « payer ». LâĂ©ducation populaire devrait ĂȘtre moins payante (mais selon moi tout de mĂȘme un minimum, mais câest un autre sujet).
Pourquoi un parent qui dĂ©cide de permettre Ă son enfant de partir en sĂ©jour ne pourrait il pas le faire dans lâobjectif que lâon contribue Ă son Ă©ducation ? Sâil le souhaite je te lâaccorde. Mais selon moi lâĂ©ducation populaire Ă©duque, de toute façon, par dĂ©faut et implicitement (jâai dĂ©jĂ donnĂ© mon avis sur le sujet sur une autre discussions).
Pourquoi nâaccepterait il pas que nous puissions, dans leur continuitĂ©, nous permettre dâintervenir, de contribuer, de les aider, de leur montrer, … lâĂ©ducation de leurs enfants ?
Dans ce cas pourquoi lâĂ©cole, qui elle dit ouvertement quâelle contribue Ă lâĂ©ducation des enfants, est elle obligatoire ? Les parents ne peuvent pas sây substituer ! Mais sâagit il aussi pour toi dâune garderie ? (voir ci-dessous)
* lorsque je vois ça écrit :
Un organisateur organise un accueil de mineurs pour rĂ©pondre Ă des besoins de parents (besoins de garde d’enfants …) et des besoins d’enfants ou ados (besoins de loisirs, vacances …).
Je pense effectivement que l’on a pas la mĂȘme vision de l’Education populaire et de notre rĂŽle au sens large.
_____________________
“LĂ©gendaire”, “lĂ©gendaire”, pourquoi ce mot?
Quel sens cachĂ© dissimule t’il?
Encore une réponse qui restera sans question!
Parce que jâen ai marre que tu te permette de dire « Et bien voilĂ , on y arrive » alors que tu ne propose rien, tu te contente de dĂ©nigrer, dâinterprĂ©ter, de contester, sans proposer, sans donner ton avis autrement que par des jurisprudence, … (jâai lâimpression de me rĂ©pĂ©ter)
Et oui tu Ă©tais visĂ© par « visiblement on ne les prend pas en considĂ©ration, on va contre leur volontĂ©, … »
Cependant, je n’ai traitĂ© personne d’abruti, de connard, d’idiot, d’imbĂ©cile, de crĂ©tin ..
Câest justement parce que tu prĂ©tends que jâai dit ça que je me permet de dire « Puisque visiblement on ne les prends pas en considĂ©ration, on va contre leur volontĂ© ».
Ce que jâai dit câest : « Le vrai problĂšme tient dans le mot “payer”. Tout français, qui croit ĂȘtre respectable, est persuadĂ© que ce simple fait lui permet de se comporter comme un connard. »
Effectivement la catégorie « parents » rentre dans la catégorie « français ».
Mais, je tâai dĂ©jĂ expliquĂ© sur un autre sujet que ce que je dĂ©finissais comme un « connard » câĂ©tait le consommateur dans sa globalitĂ© (en faisant une gĂ©nĂ©ralitĂ©) pas les parents.
Je ne me suis jamais permis (du moins je nâespĂšre pas) de dire ce que tu prĂ©tends, câest comme si je disais toutes les caissiĂšres sont des connes.
Alors je redis ce que jâai dĂ©jĂ dis : parfois les parents mâagacent, parfois ils ont des demandes saugrenues, certains se comportent comme des connards (mais certainement pas tous et comme dans tous les domaines), parfois je me comporte comme un connard, certains parents sont super sympa, certains parents sont comprĂ©hensifs, certains parents sont aidant, certains parents savent quoi attendre dâun organisme, … mais je ne considĂšre pas que, par dĂ©finition, les parents sont des connards.
La réalité a montré que les filles étaient plus souvent que les garçons victimes des prédacteurs
Ca aussi câest une gĂ©nĂ©ralitĂ© qui me paraĂźt fausse.
Ma vérité, ma solution, ma réponse je les ai déjà étalées.
DĂ©solĂ©, mais Ă chaque fois quâon tâa posĂ© une question simple tu nây a pas rĂ©pondu ou alors par des choses totalement sorties du contexte, par des jurisprudences, …
Tu nâas jamais donnĂ© ta vision, ton ressenti, …
Le seul moment ou tu tente de rĂ©pondre câest :
Un organisateur organise un accueil de mineurs pour rĂ©pondre Ă des besoins de parents (besoins de garde d’enfants …) et des besoins d’enfants ou ados (besoins de loisirs, vacances …).
Il identifie ces besoins et choisi d’en satisfaire certains.
Il mobilise les moyens nécessaires.
Les familles inscrivent leurs minĂŽts, d’oĂč des contrats entre l’asso et les familles.
L’Ă©quipe est recrutĂ© pour exĂ©cuter ces obligations.
Selon moi lâorganisateur propose un accueil quâil a organisĂ© selon ses convictions et ses valeurs. Convictions et valeurs quâil met en place Ă travers des moyens quâil prĂ©tend mettre Ă disposition pour la rĂ©ussite du sĂ©jour.
Les parents sont alors libre ou non de choisir de permettre Ă leurs enfants de participer Ă ce sĂ©jour. Et sâils le choisissent, câest quâils acceptent les choix que lâorganisateur a fait de part ses convictions et ses valeurs. Puisquâils Ă©taient libre de ce choix et que personne ne les a contraint Ă le faire, le seul cas ou ils peuvent ĂȘtre mĂ©content et revendiquer, câest si les moyens prĂ©tendus par lâorganisateur ne sont pas respectĂ©s !
Mais lĂ ou tu as raison câest que, au vu du prix que doivent payer les parents (jâen ai parlĂ© plus haut), pour permettre Ă leurs enfants de bĂ©nĂ©ficier dâun sĂ©jour de vacances, il est difficile de leur faire comprendre ça et quâils nâaient pas envie dâexiger en tant que consommateur de service.
Câest ce que beaucoup dâorganisateurs ont compris et ce qui les pousse Ă se comporter comme des prestataires de services qui rĂ©pondent Ă des besoins (faux selon moi) de parents. Et selon moi, on est alors bien loin de lâEducation populaire ?
Tiens au fait, si jâavais rĂ©pondu Ă lâavis que tu as donnĂ© par « Eh ben voilĂ , on y arrive », comment aurais tu rĂ©agis ?
Bonjour Ă tous,
VoilĂ , cela fait quelques mois que je vous lis, et je me dĂ©cide enfin Ă m’enregistrer pour participer Ă vos petites causeries ma foi fort intĂ©ressantes…
J’ai essayĂ© de lire ce sujet depuis le dĂ©but, mais bon, 11 pages c’est un peu long, et je n’ai donc pas tout retenu, je vous demande donc de m’excuser si je reviens sur des choses dĂ©jĂ dites ou si je dĂ©forme vos propos…
Maintenant, je vais me lancer dans la mĂ©lĂ©e…
Associer les parents Ă la crĂ©ation d’un sĂ©jour, je trouve cela fort sĂ©duisant, au mĂȘme tĂźtre qu’associer les enfants au sĂ©jour…
Cependant, les associations et organismes qui organisent ces sĂ©jours sont Ă priori (sauf Ă la marge), compĂ©tant pour organiser des sĂ©jours. Ce sont des professionnels, dont c’est le mĂ©tier, la raison sociale…
LĂ oĂč je me pose des questions, c’estface Ă la formulation : monter des projets rĂ©pondant aux besoins des parents…
Cela me fait me gĂȘne dans la mesure oĂč Ă part quelques parents qui sont compĂ©tents dans l’organisation de sĂ©jours de vacances collectives pour leurs enfants, la plupart ne le sont pas… En quoi seront-ils alors Ă mĂȘme d’organiser les vacances d’un ensemble d’enfants, lorsqu’ils n’ont qu’une vision individuelle (ou de 2 ou 3 enfants (ou un peu plus), Ă l’Ă©chelle d’une famille), ou quels propositions pourront-ils faire sur les activitĂ©s, vis Ă vis de la lĂ©gislation…
Tout cela appartient bien aux organismes, c’est leur raison d’ĂȘtre. Leur rĂŽle est de rĂ©flĂ©chir Ă ce qu’est un sĂ©jour de vacances collectives et de proposer des choses qui rĂ©pondent aux besoins des enfants dans ce contexte prĂ©cis, pas aux besoisn des parents restĂ©s chez eux… (je sais, je caricature les propos)…
Cette idĂ©e me dĂ©range d’autant plus lorsque je fais le parallĂšle avec l’Ă©cole :
Cela revient en effet Ă demander aux parents de construire les programmes, d’organiser le fonctionnement de l’Ă©cole, le travail des enseignants…
Ă l’heure actuelle, c’est ce que je ressort des derniers propos… Une fois de plus je repĂ©cise que je rentre juste dans la conversation sans l’avoir suivi depuis le dĂ©but et que certains Ă©lĂ©ments m’Ă©chappent donc probablement…
Par ailleurs, ce qui ressort beaucoup, de mon point de vue, de ce sujet c’est l’enfermement dans trop de cas particuliers… La fin ressemble Ă une accumulation d’exemples plus ou lmoins liĂ©s, et surtout trĂšs particuliers (dans le sens d’unique), qui de fait coupe le dĂ©bat de fond…
olivier
Salut Ă toi, Jongloman,
Al-Batros a écrit:
Toi, tout Jongloman que tu es, tu trouves ça, normal.Bravo, une fois encore tu as parfaitement compris le fond de ma pensĂ©e. Peux tu me rappeller quand j’ai dit ça ? Juste pour info, parce que j’ai la mĂ©moire qui flanche, j’me souviens plus trĂšs bien …
En effet, je ne me souviens pas d’avoir lu ça de toi.
Tu sais, je sais aussi avoir ces rĂ©actions humaines que j’exĂšcre.
Quand j’ai lu:
“Puisque visiblement on ne les prends pas en considĂ©ration, on va contre leur volontĂ©, …”
je me suis senti visé.
Je fais de l’animation depuis longtemps et je sais que c’est malheureurement trop souvent le cas.
On peut le dénier, ça ne changera rien.
Et bien voilĂ , on y arrive.
Ah cette désormais prétention légendaire !!!
“LĂ©gendaire”, “lĂ©gendaire”, pourquoi ce mot?
Quel sens cachĂ© dissimule t’il?
Encore une réponse qui restera sans question!
Enfin, ça m’empĂȘchera pas de dormir.
Mais pourquoi tu ne nous la livre pas ta vĂ©ritĂ©, ta solution, ta rĂ©ponse, … puisque tu sembles dĂ©tenir le savoir absolu sur le sujet …
Ma vérité, ma solution, ma réponse je les ai déjà étalées.
Je recommence.
Un organisateur organise un accueil de mineurs pour rĂ©pondre Ă des besoins de parents (besoins de garde d’enfants …) et des besoins d’enfants ou ados (besoins de loisirs, vacances …).
Il identifie ces besoins et choisi d’en satisfaire certains.
Il mobilise les moyens nécessaires.
Les familles inscrivent leurs minĂŽts, d’oĂč des contrats entre l’asso et les familles.
L’Ă©quipe est recrutĂ© pour exĂ©cuter ces obligations.
Selon ce qui aura été convenu avec les familles, les anims et directeur(rice*) auront un pouvoir de décision plus ou moins étendu.
Je me garderais de dire que c’est un savoir absolu.
Toi aussi, tu veux convaincre l’humanitĂ© tout entiĂšre que je suis d’une prĂ©tention exorbitante.
Al Batros
* J’ai fait ce qu’il fallait pour qu’on me taxe pas de sexiste.
Salut Ă toi, Greg2024,
J’ai du mal Ă mettre sur le mĂȘme plan tes deux premiers exemple avec le troisiĂšme.
Dans les deux premiers, rien d’illĂ©gal… mĂȘme si ça peut paraitre choquant Ă certains qui soushaiteraient que les tentes soient Ă©quipĂ©es de sanitaires ; le troisiĂšme lui outrepasse dangereusement la lĂ©gislation.
Tu allĂšgues que le premier cas n’est pas illĂ©gal?
Tu devrais d’abord vĂ©rifier auprĂšs des Services de la Navigation. avant d’ĂȘtre si pĂ©remptoire!
Le deuxiĂšme cas n’est pas contraire au rĂšglement. Certes,
mais, la rĂ©alitĂ© a montrĂ© que des TGI ont condamnĂ© au Civil des asso pour dĂ©faut d’organisation de sĂ©jours de vacances ayant favorisĂ© la commision d’un crime ou dĂ©lit.
La notion de faute caractérisée ne repose plus sur le RÚglement.
Le troisiĂšme cas est beaucoup plus courant que ce que tu sembles croire.
Je l’ai revu dans une activitĂ© kayak rĂ©cemment.
PS : J’adore une nouvelle fois ton exemple sexiste que veut que seules les minotes soient dĂ©rangĂ©es pour aller pisser mais pas les minots, qui eux font de l’escalade !
Il n’y a pas de sexisme de ma part, mĂȘme si tu veux en convaincre l’humanitĂ© tout entiĂšre par ta statĂ©gie communicative.
La réalité a montré que les filles étaient plus souvent que les garçons victimes des prédacteurs.
Al Batros
Salut Ă toi, Vassrohm,
C’est juste parce que chez les scouts les sĂ©jours sont non mixtes!
Désolé, je craque!
Mais je crois me souvenir que c’est Al batros qui nous reprochait de dĂ©former ses propos il n’y pas si longtemps que ça…
J’aimerais comprendre la 1Ăšre phrase.
Je constate qu’on dĂ©forme ou interprĂšte mes propos.
Je dĂ©plore qu’il y ait bien peu d’attitudes d’enquĂȘte ou de reformulation.
Par contre, je ne fais jamais aucun reproche à quiquonque qui aurait une de ces réactions humaines.
Il y a des choses beaucoup plus reprochables que ces futilités.
Al Batros
Salut Ă toi, Mathusalem,
Bonjour ,
Al a part porter des jugements Ă l’emporte piĂšce et nous citer d’interminables textes de lois interdisant aux enfants d’alle acheter des bonbons tu ne proposes pas grand chose. Du haut de ta suffisance tu jauges les pauvres choses qui tentent de faire avancer le schmilblic.
Alors cesse donc de te poser en grand Ă©rudit et dis nous avec des mots simples (Ă notre portĂ©e diras tu) ce que tu as Ă dire sinon tais toi…
Concernant l’achat de bonbons, c’est pourtant vrai, mais …
Ce que je propose est simple, on conçoit des accueils de mineurs en fonction des besoins qu’on peut satisfaire des parents ou des minĂŽts.
On ne fait rien sans l’accord Ă©clairĂ© des parents.
Ici on parle correctement aux gens ou on va potasser son dalloz au fond du terrain vague…
C’est plus respectueux.
Tu as raison, j’ai perdu mon sang froid.
Cependant, je n’ai traitĂ© personne d’abruti, de connard, d’idiot, d’imbĂ©cile, de crĂ©tin …
Quand j’ai lu:
“Puisque visiblement on ne les prends pas en considĂ©ration, on va contre leur volontĂ©, …”
je me suis senti visé.
J’allĂšgue que trop souvent, on ne prend pas en considĂ©ration les parents, on va contre leur volontĂ©.
Je me suis gardĂ© de dire que c’Ă©tait tout le temps.
La communication a des dimensions non verbales qui ne fond pas rĂ©agir de la mĂȘme façon.
Al Batros
Bonjour ,
Al a part porter des jugements Ă l’emporte piĂšce et nous citer d’interminables textes de lois interdisant aux enfants d’alle acheter des bonbons tu ne proposes pas grand chose. Du haut de ta suffisance tu jauges les pauvres choses qui tentent de faire avancer le schmilblic.
Tu me fais penser Ă cet ingĂ©nieur qui explique par A+B qu’il ne faut pas creuser comme ça et qui Ă la fin de sa pĂ©roraison se retrouve devant un trou qu’il ne trouve pas satisfaisant et qui t’explique pourquoi ton trou n’est pas bien… Mais qu’a t’il fait en quoi a t’il fait avancer les choses?
Alors cesse donc de te poser en grand Ă©rudit et dis nous avec des mots simples (Ă notre portĂ©e diras tu) ce que tu as Ă dire sinon tais toi…
Il faut arrĂȘter de rigoler.
On bosse sĂ©rieux, ou on va cultiver des salsifis Ă Angers, c’est plus propre.
Ici on parle correctement aux gens ou on va potasser son dalloz au fond du terrain vague…
C’est plus respectueux.