à fg63
Merci pour l’info, effectivement on a noté pendant la formation(bsb), un manque sur les possibilités d’animation pendant la baignade.
Du fait que ds l’équipe de formateur, il n’y avait pas d’animateur et que cela ne faisait pas parti de leur objectif de formation.
Bien sur ce n’est que mon avis perso.
à roke 17
Mais oui, le sb peut surveiller des ado qui peuvent avoir la corpulence d un adulte mais dans ce cas, le sb lui même n’est pas obligatoire s’ils ont plus de 14 ans, alors bon…
Ok, pour un groupe exclusivement supérieur à 14 ans
Par contre si ton groupe est composée 13 -16 ans (par exemple ), on doit appliquer la législation de la tranche d’age la plus jeunes donc présence d’un sb.
De toute façon pour en revenir à ce que l’on disait, le tout est d’être formé sur les différents types de mannequin. Le jour de l’épreuve peut importe la mise en situation. On doit agir….
Puis si ce n’est pas le cas, il faut se remettre à niveau.
autant pour moi par rapport à l’histoire de l’afps obligatoire, ce n’était pas le cas quand je l’ai passé.
Mais oui, le sb peutsurveiller des ado qui peuvent avoir la corpulence dun adulte mais dans ce cas, le sb lui même n’est pas obligatoire s’ils ont plus de 14 ans, alors bon…
buzzz a écrit :
Moi la question que je me pose:
Y a t il une différence entre le BSB et le BAFA option SB?Si quelqu’un a à une expérience en BAFA option SB. Je serai curieux de savoir comment cela c’est déroulé.
Merci
Il n’y a aucune différence en ce qui concerne les prérogatives (les droits et les obligations de la personne diplômée).
La formation dans le cadre du BAFA est plus longue (8 jour contre environ 35 H pour le BFSB) et elle est beaucoup plus axée sur l’animation (c’est logique).
Les 8 jours ne sont pas consacrés QUE à la partie SB, mais bien entendu le volume y est très important, plus qu’en BFSB, surtout en ce qui concerne l’animation autour et dans l’eau car le SB aura un rôle de formation pour ses collègues “simples” BAFA.
Les épreuves sont un peu plus facile en qualification BAFA qu’au BFSB.
Il n’y a plus de passage en apnée lors du 200m par exemple.
Dans les deux cas, le PSC1 (ou AFPS pour les plus vieux) est obligatoire, ainsi que le fait d’être majeur au 1er juillet de l’année de passage.
Moi la question que je me pose:
Y a t il une différence entre le BSB et le BAFA option SB?
Si quelqu’un a à une expérience en BAFA option SB. Je serai curieux de savoir comment cela c’est déroulé.
Merci
roke17 a écrit :
oui, mais rappelons que reglementairement, l’AFPS ou le PSC1 n’est pas un pré recquis indispensable pouyr passer le SB. Du coup, quelqu’un qui a eu une formation sommaire aux premiers secours et qui passe lme sb en candidat libre peut s’en sortir sans n’avoir jamais fait de massage cardiaque à un mannequin gamins.
Pareil que morbac
roke17 a écrit :
Alors que rappelons le aussi,un sb n’a jamais à surveiller des adultes.
Bah si, les anims ds l’eau. Et des d’ados et pré-ados peuvent avoir la corpulence d’un adulte.
roke17 a écrit :
oui, mais rappelons que reglementairement, l’AFPS ou le PSC1 n’est pas un pré recquis indispensable pour passer le SB.
Maintenant si!
oui, mais rappelons que reglementairement, l’AFPS ou le PSC1 n’est pas un pré recquis indispensable pouyr passer le SB. Du coup, quelqu’un qui a eu une formation sommaire aux premiers secours et qui passe lme sb en candidat libre peut s’en sortir sans n’avoir jamais fait de massage cardiaque à un mannequin gamins. Alors que rappelons le aussi,un sb n’a jamais à surveiller des adultes.
Ouai…
Si l’organisme est réellement équipé, tu t’entraînes sur diffèrents modéles de mannequin, le jour de l’examen, cela me semble inutile d’être évaluer sur tous les modèles.
Pour la réglementation (par exemple) on te questionne sur un ou deux thèmes et pas sur l’ensemble de ce que tu auras appris.
alors content que ça se fasse, mais à mon avis, ça devrait être systématique, voire éventuellement une épreuve sur chaque mannequin.
Salut roke 17
Je pense que cela dépend du matériel de l’organisateur, lors de mon examen j’ai eu un mannequin de petite taille qui m’a obligé à pratiquer un massage à trois doigts
Salut à tous,
Je pense moi aussi qu’il est nécessaire de rappeler quel est le cadre d’intervention du sb. Il ne s’agit en effet de surveiller qu’en ACM. Dés lors, soit le groupe se situe sur une piscine publique dont le largeur maximale est de 25m soit un maximum de 12,5 mètres de remorquage de la victime en théorie et qui plus est, dans tous les cas que j’ai connu, la présence d’un maitre nageur. Soit le groupe se baigne dans une piscine privative du type 10m par 5m, auquel cas je ne refais pas un dessin sur la longueur de remorquage.
Concernant les baignades en plage, je pense que l’examen devrait plutot mettre l’accent sur les connaissances des phéniomènes liés à l’océan qui restent très sommaires et peu concret. J’ose espérer que les situations où les gamins se baignent à plus de 10mètres (par exemple) de l’endroit où ils ont pied est rare et je ne parle donc pas de l’endroit ou le sb n’aurait pas pied).
Compte tenu de tous ces éléments, je ne suis pas convaincu que l’épreuve de remorquage soit particulièrement inadaptée.
Je pense aussi que l’épreuve de réanimation cardio pulmo devrait être éventuellement réalisée aussi avec un mannequin de gamin de 4 ans, car ça change pas mal de choses, … par exemple.
quant au lancé de ballon, qui s’est déja 40 secondes pour langer une bouée à un gamin en train de se noyer avant d’aller faire le sauvetage?
Salut C-myy
je te trouve un peu dure dans ton analyse, j’ai également eu mon BSB l’année dernière;
Sur un groupe de 25 seulement 12 l’on obtenue, donc il y a quand même une sélection (suivant l’organisateur du stage cela peut changer…bien sur).
Nous sommes amenés à encadrer seulement en ACM, suivant les consignes posés, l’environnement aquatique, la trânche d’âges et le bon sens de l’animateur, il y a peut de chance de parcourir 200 m pour sauver un enfant.
Si effectivement il y a 200 m il me semble que les sauveteurs en mer peuvent intervennir en embarcation motorisé, c’est également leur rôle (Bien sur sur une plage aménagée)
Après sur les autres plages non surveillées à toi de garantir la baignade des enfants. Ne pas prendre de risques fait partie de ton BSB.
Puis si l’envie te prends, le bsb n’est qu’un brevets, il y a d’autre diplôme d’état pour encadrer les baignades beaucoup plus pointu avec des épreuves limités dans le temps.
Pourquoi j’ai passé mon BSB pour permettre aux enfants que j’encadre de se baigner quand il le souhaite et d’être formé afin de leur garantir un encadrement sécurisé.
Deux réflexions :
– Le PSC1 n’est absolument pas un brevet de secourisme.
Son but n’est pas de former des secouristes (pas plus que ce n’était celui de l’AFPS).
Son objet est bien clairement de former le plus de gens possible à quelques gestes et réflexes utiles afin de permettre un meilleur taux de survie des victimes avant leur prise en charge par un secouriste ou un médecin.
– Le BFSB et la qualification BAFA “surveillance des baignades” ne permettent de travailler que dans un cadre très strict : celui des ACM et de leur règlementation spécifique.
Il ne faut donc pas oublier un paramètre important qui est la présence de plusieurs adultes dans l’eau, avec les baigneurs.
Le SB n’est donc pas seul face à sa victime. il peut compter sur de l’aide, ne serait-ce que pour gérer les autres baigneurs.
Si les interrogations sur la qualité de la formation sont légitimes, on peut y opposer les chiffres et l’expérience : les noyades sont fort heureusement très rares en ACM, et pour ce que j’en sais moins fréquentes (proportionnellement) que dans d’autres cas… Cela tend à montrer que le système actuel n’est pas si mauvais que cela.
Je n’ai par exemple jamais entendu parler de conséquences graves liées à la mauvaise qualité de la formation d’un SB.
J’ai par contre entendu parler de faits où son intervention s’est montrée soit efficace, soit sans conséquence directe avec des conséquences dramatiques (par exemple un décès lié à un malaise cardiaque dans l’eau, sans efficacité de la réanimation pratiquée par le SB, un MNS puis le SAMU dès les secondes qui ont suivi le malaise).
Le but est le même, seul la réalisation à changé.
L’épreuve consiste à lancer au-dela de 12 m par rapport au bord un ballon.
Cependant il peut etre envoyé dans les lignes d’eau d’à coté … cela ne pose aucun probléme. Ce detail fait que, comme je l’explique dans mon premier post, l’épreuve a perdue toute logique et le niveau d’éxigence à donc beaucoup baissé.
en effet, le BSB et le PSC1 n’ont pas exactement les mêmes buts…
– le BSB est conçu pour valider la possibilité d’encadrer des baignades dans un contexte donné (il s’adresse donc à un éventail réduit de personnes),
– le PSC1 est à la base conçu pour que tout un chacun puisse porter secours à une personne (il s’adresse donc à tous)…
Et comme C-myy le signale, les gestes de secourisme enseignés sont plus simples qu’avant et vont à l’essentiel pour que les personnes à qui on a enseigné ces gestes, qui vont en oublier une partie au fil du temps (parce qu’on ne se sert pas tous les jours de ces consignes), reviennent à des gestes utiles et statistiquement plus bénéfiques : l’exemple du garrot est parlant, c’est une technique à n’utiliser que rarement et beaucoup de personnes retenaient celle-ci, or son application est souvent plus dangereuse que bénéfique par les individus “lambda”. Le but est que tout le monde connaisse les infos basiques mais vitales.
Par contre, les modifications du BSB sont-elles conçues pour “limiter la casse” parce que là encore certaines consignes mal retenue et mal appliquées sont limite ?
La description de la nouvelle épreuve du lancer de ballon par exemple m’intrigue un peu… comment est-elle expliquée/présentée aux gens qui se forment ?
Quel est le but cette fois…
Voila une affirmation que je tire de ce site:
http://www.franche-comte-defibrillateurs.fr/
Cela justifi les réformes du PSC 1 !
“50 000 personnes meurent chaque année, prématurément d’arrêt cardiaque
Sans prise en charge immédiate, plus de 90% des arrêts cardiaques sont fatals
7 fois sur 10, ils surviennent devant témoin, mais moins de 20% de ces témoins font les gestes de 1er secours
Or, 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le 1er témoin
Le taux de survie à un arrêt cardiaque en France est de 2 à 3%. Il est 4 à 5 fois plus élevé dans les pays où les lieux publics sont équipés en défibrillateurs externes et la population formée aux gestes qui sauvent”.
Je suis cette semaine en formation PSE 1 et on nous a expliqué pourquoi le PSC 1 à changé.
– Le garrot et les point de compression à distance y sont plus pour une raison avec laquelle je suis d’accord.
Lorsque les formateurs ont appris la pose d’un garrot aux stagiaires … ces derniers lorsqu’ils se trouvaient devant un saignement abondant posé aussitôt un garrot. Alors que dans la majorité des cas cela n’était pas nécessaire.
Or le garrot lorsqu’il est posé, les conséquences pour la victimes sont terribles.
> Si on le retire, le membre est hors d’usage.
> Si l’heure de pose n’ai pas noté, le médecin ne sait pas quel dosages réalisé pour éliminer les toxines. Pour la victime cela signifie qu’elle risque de perdre son membre.
> Si le garrot est mal posé, il ne fait qu’aggraver la situation.
> etc
Donc la fédération à décidé de retirer la pose du garrot pour les PSC 1 / AFPS afin de limiter les abus. Afin d’éviter que l’on ne doivent encore sectionner des membres hors d’usage parce que, perverti par toutes ces séries TV, le sauveteur à mal posé un garrot ou à poser un garrot alors qu’il ne le fallait pas !
Heureusement que la fédération à enlever le garrot lorsque l’on voit les statistique ces statistiques qui font peur !
On sait que dans 1 % des cas de saignements abondants, le garrot est nécessaire … alors pourquoi continuer à apprendre une technique mal utilisé qui fait plus de victimes que de personnes sauvé …
– Le 2ème point qui concerne l’allégement des formation est aussi un judicieux choix. En effet, la France est un pays où pour diverses raison, la population est très peu formé.
Or aujourd’hui on sait que si lorsqu’une personne fait un arrêt cardio-pulmonaire, autour de lui se trouve une personne capable de réaliser une RCP (réanimation cardio-pulmonaire). Les chances de survie de la victime sont plus que considérablement augmenté. Encore plus si elle sait poser un défibrillateur.
Chaque année en France 3000 personnes meurt d’étouffement parce que personne autour ne sait réaliser les 5 claques dans le dos et les 5 compressions de Heimlich.
Je passe les chiffres accablants …
Donc du coup la fédération à décidé de réduire les temps de formation et de former au minimum nécessaire pour agir de manière décisif.
Ce changement dans le temps de formation va dans le sens de la campagne actuel pour la pose de défibrillateurs partout dans les lieux sportifs, centres commercial, et tout lieux publics !
En ces points je trouve donc cela judicieux de former et surtout sensibiliser la population, en les incitant à participer à une formation qui prend que très peu de temps et peut permettre de sauver beaucoup de vie … c’est pour çà que l’on appel désormais cette formation Premiers Secours CIVIQUES de niveau 1 !
Salut
Ta réflexion intéressante rejoint mon questionnement sur le brevet de secourisme (PSC1) qui est devenu n’importe quoi.
point commun ?
– un allégement des formations (on est passé de 5 jours de formation pour le brevet de secourisme il y a 20 ans à 12h pour le PSC1 aujourd’hui !) et sans examen ..
– une volonté de former le plus grand nombre aux gestes les plus simples
– des situations d’urgence sans réponses
Le but étant qu’on retienne l’essentiel sans être parasité par le reste. Conséquences d’études statistiques j’imagine..
On ne voit plus le garrot ni les points de compression a distance etc..
Alors je crois, comme toi, qu’on arrive a des formations qui ne sont plus que des “sensibilisations aux gestes d’urgence” mais de moins en moins des formations de secourisme.
Faut il mieux plein de personnes faiblement formées ou peu de personnes très bien formées … manifestement le premier choix a été adopté.
**
Voila quelques affirmations qui nous obliges à ce poser toutes ces questions sur le BSB et les épreuves qui y sont proposées.
1) “L’installation d’un défibrilateur dans les lieux publics, et à la disposition de tous peut améliorer les chances de survie de 20 à 30% s’il est utilisé dans les 5 minutes suivant l’arrêt cardiaque. Ce résultat peut être amélioré si les premiers témoins savent pratiquer le massage cardiaque”.
>>> source : http://www.franche-comte-defibrillateurs.fr/
2) “Chaque minute gagnée dans la mise en place d’un DAE peut augmenter de 10% les chances de survie de la victime”.
>>> source: http://www.secourisme45.com/?page=dons#SlideFrame_1
FFSS de du département du Loiret.
3) “Quand le cœur s’arrête de battre, le sang cesse de circuler et l’alimentation en oxygène du corps entier est stoppée. Le cerveau est l’organe le plus sensible de l’organisme à un manque d’oxygène. Le cœur et les autres organes sont également atteints après quelques minutes.
Dès la troisième minute d’arrêt cardiaque, des lésions cérébrales apparaissent si aucun geste de secours n’est réalisé. Progressivement, elles deviennent irréversibles rendant les chances de survie quasiment nulles au-delà de la 8ième minute”.
>>> Source: http://pages.infinit.net/courssn/arretcardiaque.html