😆
Situla a raison Images… relis-toi. Il n’a pas écrit “libre d’apprentissage” mais “vide d’apprentissage”…
Et bien moi, je fais le paris que si je n’essaie pas de déterminer conjointement avec mon équipe des objectifs, des méthodes de travail et de se mettre d’accord sur la façon dont fonctionnera le centre en général, ça va être n’importe quoi.
reste encore à savoir ce qu’est ce n’importe quoi… c’est très vague comme notion ! je sais pas pourquoi mais je pense que j’adorerais ce “n’importe quoi”…
certains vont me pondre un planning mois avant le séjour avec la certitude que si vu qu’ils ont prévu deux activités, les enfants ont le choix
voila la vision étriquée du dirlo qui ne sais fonctionner qu’en terme de projet, qu’en terme d’animation sociocul.. comme si prévoir des activités état un état naturel…
D’autres vont pondre des règles arbitraires et sans sens et des punitions ridicules,
Et oui car formaté encore une fois par une vision étriquée et formatée de l’animation “cadré”. C’est vrai que l’avantage de la préparation et du sacro-saint PP c’est que toute l’équipe pondra les mêmes règles arbitraire et les mêmes punitions ridicules mais ua moins ça aura été décidé ensemble.
c’est un temps vide d’apprentissages
un temps de loisirs est en effet un temps vide d’apprentissage (désolé pour la confusion…) tu peux apprendre quelques chose mais la vocation de ce temps ne doit pas être d’apprendre.
Le projet pédagogique n’est pas une obligation légale !
Ce qui est obligatoire c’est un document (et non un “projet”) défini par l’article R227-25 du CASF.
Il dit simplement que ce doc doit préciser :– la nature des activités pratiquées (et les conditions pour les pratiques sportives)
– la répartition des temps d’activité et de repos (en gros : on dort la nuit et on vit le jour… nul besoin d’établir une journée-type)
– les modalités de participation des mineurs (!)
– comment on accueille les enfants avec un handicap ou trouble de santé
– le fonctionnement et la composition de l’équipe (qui fait quoi)
– les “modalités d’évaluation de l’accueil” -> rien n’oblige à pondre objectifs/moyens/évaluation ! On peut évaluer de mille et une manières !!
– les caractéristiques des locaux et des espaces
Bah oui, seulement va pondre une page ou deux et tu peux être sûr que la police de l’animation va te tomber dessus et va étiqueter le centre comme “sensible”. Non mais, c’est quoi ces énergumène qui osent aller contre la pédagogie, qui ose ne pas préciser comment ils gèrent les enfants, faut remédier à ça et entrer dans le moule sinon la fermeture est proche…
Voila toute la logique de ces ACM qui ne fonctionne que par la peur du gendarme, la peur du contrôle, la peur de la fermeture et accessoirement la peur de l’accident. Comment prétendre faire de l’éducation populaire, comment pouvoir prétendre apporter du libre arbitre et une autre vision du monde si le modèle même de ces structures est régie par une hiérarchie qui impose sa manière de penser ?
Ces ACM ne sont ni plus ni moins que des écoles privée qui cachent leur nom. Pour s’en convaincre vous n’avez qu’à regarder la journée type de votre centre et il y a fort à parier que dans 99% des cas on peut voir figurer un “temps libre”…. un temps libre durant un temps de loisirs… y’a rien qui frétille là ?
roke17 a écrit :
Et sur la question de fond entre ceux qui pensent que les vacances, pour l’enfant, c’est un temps vide d’apprentissages et d’évolution et ceux qui pensent qu’elles peuvent apporter quelque chose aux enfants, l’entente n’arrivera pas, au fil des topics, je crois que personnes n’évolue sur le sujet et que chacun reste sur ses idées.
qui dit ça ? je crois n’avoir jamais lu ça
tu as une lecture erronée des propos des personnes qui refusent cette notion de projet
les lignes bougent, roke. Personne ne peut camper sur ses positions ad vitam sans mourir.
Le projet pédagogique n’est pas une obligation légale ! [/b]
Ce qui est obligatoire c’est un document (et non un “projet”) défini par l’article R227-25 du CASF.
Il dit simplement que ce doc doit préciser :
– la nature des activités pratiquées (et les conditions pour les pratiques sportives)
– la répartition des temps d’activité et de repos (en gros : on dort la nuit et on vit le jour… nul besoin d’établir une journée-type)
– les modalités de participation des mineurs (!)
– comment on accueille les enfants avec un handicap ou trouble de santé
– le fonctionnement et la composition de l’équipe (qui fait quoi)
– les “modalités d’évaluation de l’accueil” -> rien n’oblige à pondre objectifs/moyens/évaluation ! On peut évaluer de mille et une manières !!
– les caractéristiques des locaux et des espaces
Le projet pédagogique est un double-frein [/b]
Il est un frein avant tout au développement de l’enfant. Ce frein est lié au contexte de notre société (pas d’une autre) où l’inflation éducative ne fait qu’empirer de jour en jour. Il y a sans doute de multiples raisons à ça, notamment une idée généralisée dans l’animation et le milieu dit de “l’éducation populaire” de viser un monde plus juste en amenant à chaque enfant (et en particulier aux plus pauvres, aux plus “défavorisés”) une culture (aujourd’hui majoritairement scientifique et technique !) égale. On appelle ça depuis quelques temps déjà l’égalité des chances, comme si la justesse du monde résidait dans l’égalité des hommes (lire à ce propos le magnifique De l’inégalité de N. Berdiaev).
Quelle autre raison d’être y aurait-il aux accueils de mineurs que de produire du calque ou bien de transmettre une idéologie particulière (tous les grands dictateurs l’ont compris, la jeunesse est la plus malléable et la plus mobilisable des forces) ? Pourquoi créer ces espaces où les enfants sont enfermés et surveillés alors que pendant des siècles la plupart étaient libres en dehors de l’école et du travail domestique ? Pourquoi institutionnaliser pour des gamins qui ont une famille, donc qui reçoivent une éducation ces temps collectifs soumis à la pensée de l’adulte. Même avec un projet libertaire, les enfants sont soumis à la pensée de l’adulte sur ces temps précis, en plus de l’école et de la famille.
L’inflation éducative, donc (ou l’explosion éducative pour Pantillon) se traduit par cette notion de projet au sein des ACM. Elle est un frein au développement au développement de l’enfant parce qu’elle est de trop, dans notre société. Ça n’aurait peut-être pas été le cas à une autre époque ou dans d’autres pays. On pense beaucoup trop POUR l’enfant, et après on va lui demander d’être autonome… ahaha!
Un frein pour les équipes, pour l’animateur. Pour ça, pas besoin de longs discours, il suffit de regarder sur le forum la quantité de demandes du type “besoin d’idées d’activité sur le thème de l’inde, des chiens et de l’attraction terrestre”.
Je n’ai jamais eu à diriger un séjour sans faire de projet pédagogique. La question ne se pose pas sur le fait qu’il doit y en avoir un.
Si demain, je ne faisais plus de projet péda, évidement que je me poserai les mêmes questions avec mon équipe. Et sur la question de fond entre ceux qui pensent que les vacances, pour l’enfant, c’est un temps vide d’apprentissages et d’évolution et ceux qui pensent qu’elles peuvent apporter quelque chose aux enfants, l’entente n’arrivera pas, au fil des topics, je crois que personnes n’évolue sur le sujet et que chacun reste sur ses idées.
roke17 a écrit :
Disons que penser un projet pédagogique permet de se poser un certain nombre de question et de se mettre d’accord sur par mal de choses.
Pas besoin de projet pour cela, un cerveau, une pensée pédagogique et de vrais savoirs théoriques suffisent. A cela, il faut ajouter un positionnement qui n’est pas dans la pensée pour/sur l’enfant, mais la volonté de travailler avec les enfants.
Pourquoi avoir besoin d’un outil de merde pour faire fonctionner son cerveau?
Et bien moi, je fais le paris que si je n’essaie pas de déterminer conjointement avec mon équipe des objectifs, des méthodes de travail et de se mettre d’accord sur la façon dont fonctionnera le centre en général, ça va être n’importe quoi.
certains vont me pondre un planning mois avant le séjour avec la certitude que si vu qu’ils ont prévu deux activités, les enfants ont le choix,
D’autres vont délaisser complètement le quotidien et les chambre seront sans dessus dessous au bout de 3 jours et la moitié des gamins ne se sera pas lavé,
D’autres vont pondre des règles arbitraires et sans sens et des punitions ridicules,
…
Disons que penser un projet pédagogique permet de se poser un certain nombre de question et de se mettre d’accord sur par mal de choses.
si tu estimes que le projet c’est du flan, alors il faut le penser différement, la construction du projet, son écriture, son application.
Rassure toi, je considère que tout ce qui concerne le “projet” en animation est du flanc aussi.. comme ça je suis raccord.
ce n’est pas parce que tous les objectifs ne sont pas atteints que le projet est mauvais !
Non mais c’est parcequ’il a des objectifs que le projet est mauvais, du moins en terme de loisirs, ces objectifs n’ont pas le moindre sens.
on peut avoir des intentions loaubles, et des moyens adaptés, et ne pas arriver
As tu déjà essayé de rendre un bilan totalement négatif à un financeur ou plus simplement à ta hiérarchie (autre concept complètement ridicule dans l’animation) et tu risque vites de te retrouver à Pole emploi ou sans budget pour tes “moyens adaptés”.
on peut l’expliquer aux animateurs avec des notions simples, de la logique, de la clarté
sous entendu : les anim sont tous des blaireaux ? merci pour eux ! mais encore une fois le problème n’est pas là. Pourquoi vouloir imposer un projet à des animateurs, les cantonner dans une vision, un cadre alors que sans ce cadre et sans cette pression de la hiérarchie ils pourraient être tellement plus autonomes et proposer tellement plus aux enfants sans entrer dans cette logique d’apprentissage.
enadiras a écrit :
si tu estimes que le projet c’est du flan, alors il faut le penser différement, la construction du projet, son écriture, son application.
Non, il faut changer d’outil. Le projet n’est qu’un outil…
ce n’est pas parce que tous les objectifs ne sont pas atteints que le projet est mauvais !
on peut avoir des intentions loaubles, et des moyens adaptés, et ne pas arriver !
Objectifs/moyens/projets… c’est le problème en tant que tel. Pourquoi vouloir supputer que le temps de loisirs dit être rentable éducativement?
l’intention de départ doit etre là, écrite avec la participation ( au moins l’avis ) de l’équipe et portée par tous, soutenue par le directeur.
La participation, voilà bien encore un marronnier de l’animation… Mais la participation de qui et pour quoi? l’entre-adulte qui pense pour l’enfant? Faire participer les animateurs pour donner à voir un pseudo-esprit d’équipe unanimiste? Belle manipulation… Faire participer les enfants en leur faisant croire que l’adulte écoute son avis? faire participer les enfants au rangement parce que l’adulte à décider… Fumisterie de l’animation…
Je ne peux pas lire que “le projet PP c’est du flan” sans me sentir obligé de réagir.
Pourquoi dis tu ça ?
si tu estimes que le projet c’est du flan, alors il faut le penser différement, la construction du projet, son écriture, son application.
ce n’est pas parce que tous les objectifs ne sont pas atteints que le projet est mauvais !
on peut avoir des intentions loaubles, et des moyens adaptés, et ne pas arriver !
on peut modifier le projet en cours de séjour / accueil !
on peut l’expliquer aux animateurs avec des notions simples, de la logique, de la clarté.. ce n’est pas parce qu’on est ambitieux et qu’on a des idées originales que les autres ne peuvant pas comprendre..
l’intention de départ doit etre là, écrite avec la participation ( au moins l’avis ) de l’équipe et portée par tous, soutenue par le directeur.
enfin, je sais pas, enfin peut-être…
L’animation sociocul dans sa splendeur : des gens qui ont besoin d’une méthode pour juste vivre auprès des autres…
C’est bien triste…
Lorsque tu sauras faire des projets idiots, sans intérêt mais qui paraissent intelligent alors tu pourras arrêter d’en faire et déconstruire cette notion et enfin, tu avanceras…
ta petite ma phrase m’a fait sourire 🙂
En fait ça me fait penser qu’il m’aura fallu presque dix ans pour me rendre compte que toute ces conneries de PP, PE, de formations professionnelles n’étaient que du flanc et que ce que je faisais au tout début sans avoir le moindre formatage de cette animation sociocul était bien plus valable que tous les projets abscon que j’ai pu pondre par la suite et qui n’ont aucun sens dans une logique de temps de loisirs.
lorenzo4400_ a écrit :
C’est à croire que la méthodo ne suffit pas.
Tu touches du doigt le problème… Plus exactement, la méthodo ne sert à rien, c’est même le problème…
lorenzo4400_ a écrit :
je pense que je dois apprendre à mettre en place des animations sur des valeurs qui ne sont pas prioritaire pour moi, en cela je pense que c’est un exercice intéressant et que ce sont des situations que l’on retrouve beaucoup dans nos pratiques.
C’est effectivement un exercice, intéressant uniquement pour commencer la déconstruction de la notion de projet… Situation que l’on retrouve dans nos pratiques, en fait non, pas dans les pratiques mais dans la pseudo-pensée spéculative d’avant la colo… Là aussi, c’est le problème. Lorsque tu sauras faire des projets idiots, sans intérêt mais qui paraissent intelligent alors tu pourras arrêter d’en faire et déconstruire cette notion et enfin, tu avanceras…
Salut Images
Je comprends ton propos mais il ne m’aide pas ma démarche.
Mais bon ce n’est pas ta faute car tu voulais pointer qque chose qui te parait important, mais j’ai pas envie de partir la dessus.
Je sais pourquoi j’ai envie de faire ces séjour et je préfère le garder pour moi ( raisons personnelles ).
Donc je suis prêt à accepter ces contraintes sans problème.
( j’ai mal formulé mon propos donc je comprends la raison de ta question )
Faire une animation sur le thème de la tolérance, j’ai tout simplement besoin d’aide, je n’ai pas d’idée, c’est con pour un directeur!!
C’est à croire que la méthodo ne suffit pas.
Si j’avais eu carte blanche, je l’aurais écris en 1h le projet péda mais je pense que je dois apprendre à mettre en place des animations sur des valeurs qui ne sont pas prioritaire pour moi, en cela je pense que c’est un exercice intéressant et que ce sont des situations que l’on retrouve beaucoup dans nos pratiques.
une question toute con..
Pourquoi tu vas t’enquiquiner dans une colo qui va t’imposer des trucs, où tu ne seras pas libre ? pourquoi tu vas pas voir ailleurs ?
Bonjour
Je suis en direction de séjour au mois d’aout et à ce titre,
je dois rédiger le projet péda ( en associant les anims bien sûr ).
Malgrès toutes mes connaissances en matière de méthodo
de projet, je bloque sur le non négociable du P. Educatif.
Le projet Educ. s’appuie sur les valeurs suivantes que sont:
Justice
Solidarité
Respect de tous
Jusque là ça va.
l’organisme: CCAS CE EDF
public: 12-14 ans
Thème: grimpe d’arbre
Le responsable péda est en vacances, sa remplaçante n’a pas les outils pour me répondre.
Il me fixe un OBJ de travail qui est:
Act’éthiques
En gros ils veulent que je mettent en avant la diversité sous toute ses formes, la tolérance que je dois traduire en initiatives et actions.
L’action lecture ( ça c’est ok mais une aide ne me fera pas de mal )
Développement social et solidaire
Actions éthique et citoyennes
Le centre à une restauration ou le directeur ( moi ) n’a pas la main sur le temps des repas ( pas d’économat rien du tout, etc ) on pourrait manger bio et aller au marché chez un agriculteur par exemple, mais ,non c pas possible.
L’action santé
Sensibilisation prévention
Ca me parait difficile à mettre en oeuvre sur mon centre
pas de prestataire travaillant sur ce domaine.
Mes anims ainsi que moi sont dans l’embarras par rapport ce frein à la liberté. On va mettre en place des choses qui nous parlent pas et ca va se voir, en gros je suis inquièt.
J’ai beau avoir de l’expérience dans l’animation mais là je suis face à un mur.
Pouvez vous m’aider dans ma démarche de mettre en place des actions et initiatives sous forme d’exemples?
Bonjour Jetty,
jetty a écrit :
Sinon, vos objectifs vous les évaluez comment à la fin du séjour. Sur quels critères?
On peut contrôler que l’on a atteint des objectifs. Il me semble plus difficile d’évaluer des objectifs. Personnellement, ce que je vais chercher à évaluer, c’est le sens du séjour, le sens de nos actions. Cette évaluation du séjour (= chercher à déterminer sa valeur) passera forcément par l’analyse de nombreuses choses, notamment le ressenti régulier des enfants (et pas lors d’un bête questionnaire de satisfaction à la fin du séjour, voire 1 mois après) et des animateurs, notre capacité collective (enfants + adultes) à faire évoluer notre organisation, la prise en main de certains outils (forum, cahiers de râlage, météos) par les enfants et leur éventuelle modification (les enfants modifient ou suppriment des outils que nous proposons en début de séjour), etc…
On ne peut évaluer un séjour avec un tableau (même si on l’a tous fait un jour ou l’autre). Si on se situe dans la logique méthodologie de projet (objectifs, moyens, critères, rétroplanning, etc…), alors on peut contrôler l’atteinte ou non des objectifs. Oui/Non. C’est binaire. Or un séjour n’est jamais binaire, sauf à n’utiliser qu’un ressenti à un instant T (t’es content de ton séjour ou pas ?). Un enfant n’est pas binaire, il ne va pas bien ou mal, il n’est pas heureux ou malheureux, il n’est pas fatigué ou en pleine forme, solitaire ou socialisé. Il est tout ça à la fois sur un séjour.
Pour moi, l’évaluation d’un séjour, c’est en faire le bilan. Et ce bilan n’est pas un bilan comptable, ce n’est pas une suite de chiffre ou de cases. Ça passe par de l’analyse, du questionnement, des hypothèses. Bref : du texte.
Les critères, c’est bon pour se rassurer, c’est bon pour jouer cette grande mascarade qu’est la communication. L’organisateur (mairie, asso ou entreprise) se satisfera toujours de critères binaires (objectifs remplis ou non), tant que ceux-ci prouvent que le bilan est positif. C’est plus vendeur.
Si on voulait vraiment évaluer un séjour, on établirait des critères et des objectifs avec les enfants (et éventuellement avec les familles, quoi que…). On leur dirait dès le premier jour : “c’est quoi pour toi un séjour réussi ?”. Sauf que cette méthode amènerait forcément une réponse binaire, alors que les raisons de penser qu’un séjour est réussi, ça change tout le temps, tout au long du séjour, ce n’est pas oui/non, échec/réussite.
La démarche du projet rend le critère rigide, car l’objectif ne peut changer (sous peine de faire vaciller toute la machine “projet”). Dans ces conditions, on détermine à l’avance, sans les enfants, ce qui fera ou non leur bonheur.
Et vous, vous aimeriez qu’on vous dise si oui ou non vous êtes heureux sans vous poser la question “c’est quoi être heureux pour toi ?” ?
Bonjour,
Le post est intéressant outre les limites du nombre. (On n’élabore pas 1 projet péda à 10 comme à 3). Je vois deux autres grosses limites :
– le temps dont on dispose
– les personnes autour de la table. Là on est en face d’une “équipe” ayant de l’expérience et ayant probablement déjà travaillé ensemble. Quid du jeune anim BAFA de 17 ans ? Quid de la jeune fille qui a le bafa depuis 1 an mais n’a jamais vu comment fonctionnait une colo? Quid de l’anim qui a des difficultés pour exprimer des concepts, défendre des idées ?
En fait je pense que cette méthode est adaptée à un petit groupe d’anim qui a une forte expérience en séjour, une réflexion sur les problématiques jeunesse et sociales, une envie de réfléchir ensemble au projet péda. Ce qui n’est pas le cas de la plupart des équipes que j’ai dirigé.
Bref, du coup cet été les 6 anims qui travailleront avec moi vont réfléchir comme les 4 dernières années à leurs projets d’animation dans le cadre d’un projet péda quasi clé en main explicitant le fonctionnement et tutti quanti.
Et finalement je me dis que si ils arrivent à entrer en relation avec les enfants, à proposer des activités pas trop nunuches voir soyons fous à monter des mini projets en partant des envies des gamins sans les imposer ben ce sera vachement top
Sinon, vos objectifs vous les évaluez comment à la fin du séjour. Sur quels critères?
Pour la devinette : Le directeur c’est le mr à gauche non?
Une réunion d’équipe se résume à “des bières” ! et bien laisse moi te dire que tu te trompes, et qu’avant tout, l’équipe doit prendre du plaisir à travailler ensemble, autour d’un projet global, l’enfant étant au centre du projet. Et le soir, je préfère passer du temps à parler des enfants et des difficultés rencontrées, ou à préparer des aménagements, des activités, des sensibilisations de grands jeux, la création de décors, costumes, avant de penser à mon “petit plaisir personnel”.
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